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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mardi 9 février 2021

Le tournant moscovite ?

Plutôt une marche en avant qui accélère !
 
Le 5 février 2021, Sergeï Lavrov, « sinistre de la diplomatie » russe reçoit en ses murs son homologue européen « Josep-Beau-rel » pour parler de « choses sérieuses » en vue d’une « normalisation » (comme si rien n’est « anormal » avec les Popov).
Le jour même, comme message de bienvenue, la Russie décide d'expulser trois diplomates européens les accusant d’avoir participé à une manifestation de soutien à l’opposant emprisonné Alexeï Navalny.
Diantre !
Il est loin le temps où, le Kamarade « Croûte-chef » reçu par De Gaulle partait ensuite faire la promotion du PCF dans les rues parigotes…
Une autre époque !
Naturellement, « les trois pays concernés estiment qu’ils remplissaient leur fonction en observant les manifestations et jugent infondées ces expulsions. »
 
Une belle leçon à l’adresse des dirigeants européens : Même « Jupiter » n’a pas osé en faire autant lors de la visite-amicale de « Poux-Tine » à Brégançon en amont du G7 de Biarritz !
C’est dire où en sont les niveaux des relations diplomatiques et « amicales » entre les deux blocs du continent européen…
Cette triple expulsion constitue d’autant plus un camouflet pour l’Union européenne que Sergueï Lavrov aura soigneusement attendu sa rencontre avec le chef de la diplomatie européenne pour l’annoncer.
Il aurait pu le faire la veille ou le lendemain pour marquer sa mauvaise humeur, ou plus tard ou bien avant, histoire de pimenter la réunion.
Non, le jour même !
Comme si Moscou réclamait la tête de « Beau-Rel » pour une obscure raison.
D’ailleurs, les russes pourraient bien l’avoir…
Le message du Kremlin est paraît-il clair, c’est « mêlez-vous de vos affaires » que dit la Russie en réaction à la décision des Vingt-Sept qui avaient officiellement demandé en commun, jeudi 4 février, la libération d’Alexeï Navalny.
C’est vrai que « Poux-Tine » n’avait rien à dire, à Brégançon justement, sur les « Gilets-jaunes » et les échauffourées parigotes et d’ailleurs ne s’était pas gêné pour le faire savoir bruyamment…
 
Ce qui reste assez drôle, c’est que l’Union européenne avait choisi la stratégie de la main tendue en envoyant « Beau-rel » à Moscou, première visite d’un haut représentant pour la politique extérieure de l’Union depuis 2017.
Quelle idée !
Le chef de la diplomatie européenne a fait de son mieux pour évoquer les possibilités de coopération, en matière de recherche, d’échanges universitaires ou sur le vaccin russe Spoutnik V, mais il a bien été forcé de constater – en forme de bilan – que les relations UE-Russie sont au plus bas…
Ce n’est jamais qu’un constat : Il aurait pu être fait avant de prendre l’avion.
En bref, il est revenu chauve pour avoir mangé son chapeau, la visière et son propre scalp après l’épisode.
À mon sens, il n’est pas près d’y retourner…
 
Il faut dire que cette visite était placée sous le signe de la préparation de la discussion stratégique sur la relation entre l’Union et la Russie que tiendront les Vingt-Sept lors de leur sommet, fin mars 2021.
Mal barrée cette affaire-là, depuis que « l’affaire Navalny » et désormais celle des expulsions, elle oriente déjà le ton des débats.
Forcément, il n’y a rien à attendre des Russes tant qu’ils sont dirigés à la schlag.
Plus tard, bien sûr, ils auront toute leur place dans l’UE, mais plus tard seulement.
 
À dire vrai, les relations entre l’Union européenne et la Russie n’ont cessé de se dégrader depuis 2014 avec la guerre en Ukraine et surtout l’annexion de la Crimée par la Russie.
C’était pourtant une affaire « populaire » du peuple de Crimée en colère contre le pouvoir central de Kiev qui a retrouvé une « liberté » insoupçonnée sur les bords de la Mer Noire, aidé par des « paramilitaires » venus d’on ne sait où, pas du tout le coup des « mineurs-roumains » venus spontanément déloger les Ceausescu à une époque reculée, pensez-bien…
Le vote référendaire était pourtant tout aussi clair : Si Moscou n’a absolument pas besoin d’un port en eau profonde sur sa côte sud – chacun sait cela comme d’une évidence qui coule de source – ni de faire main basse sur la mer d’Azov qui est bordée par le Donbass, territoire aux mains de « révoltés » qui assurent le ravitaillement en eaux douce de Sébastopol, puisque maintenant il y a un pont qui relie la péninsule au continent, on ne voit pas pourquoi l’UE se mêlerait du destin de populations basées si loin de Bruxelles.
Circulez, il n’y a rien à voir…
 
Interrogé par RFI, celui qui fait secrétaire général du Centre de recherche politique de Sciences Po (Cevipof) dans le civil, remarque toutefois le changement d’attitudes des deux diplomaties.
Ah oui ? Comme c’est étrange.
Je reprends : « Il y a une situation qui depuis 2014 est structurellement mauvaise. On était auparavant entre une forme d’indifférence et une forme parfois d’incompréhension.
Mais on glisse progressivement de l’incompréhension à une forme d’hostilité.
Des coopérations sectorielles peuvent être observées en matière d’armement nucléaire, c’est l’Accord New Start entre les États-Unis et la Russie (Traité de contrôle et de limitation des armements : Merci « McDo-Trompe »).
En matière énergétique, c’est le cas de Nord Stream 2 entre la Russie et l’Allemagne (Merci McDo-Trompe). Mais on observe effectivement que la tonalité générale est mauvaise. »
C’est le moins qu’on puisse en dire.
Entre la Géorgie, la Syrie, le Donbass et la Crimée, cet été le Haut-Karabagh, c’est une succession d’initiatives pour le moins « borderline » qui violeraient le droit international public aux entournures.
« Poux-Tine » ne tient au pouvoir que parce qu’il donne à becqueter à ses soldats et un soldat, c’est fait pour faire la guerre : « Jupiter » l’a parfaitement compris en persistant à des « opérations extérieures » au Sahel.
Et avant lui, quelques-uns de ses prédécésseurs.
 
Et la « Teutonnie » ne fait qu’en rajouter : Elle a besoin de gaz pour faire tourner ses centrales électriques depuis qu’elle a tourné le dos au nucléaire, au fioul et au charbon (ainsi qu’à la tourbe).
Or, le gaz vient du Caucase et la route ukrainienne est jugée géopolitiquement « fragile ».
Le passage par la Turquie, est tout autant aléatoire.
Reste plus le pipeline sous-marin en mer Baltique.
Les meks en « Teutonnie », ils n’ont toujours pas compris que le gaz améliore à peine la signature carbone de leur production électrique.
Pourtant, un petit cours de chimie pré-bac aurait dû leur ouvrir les yeux…
Il faut rappeler que quand on a des « Grünen » dans son paysage politique, on ne peut pas faire autrement que ce qu’en disent ces autistes-là.
Passons…
Sauf que « Poux-Tine », il lui faut vendre son gaz, même à prix bradé.
Alors pourquoi se gêner ?
Résultat, tout le monde se tient par la barbichette…
De la « fine-diplomatie » : On se croirait revenu à l’époque de l’entre-deux-guerres.
 
Factuellement, il y a trois éléments qui permettent de comprendre le durcissement de Moscou vis-à-vis de l’Europe en disent les analystes : « Il y a un pari du côté de la Russie qui consiste à dire que l’Occident est plutôt déclinant. »
Vous vous souvenez du laïus du maître du Kremlin quand il estimait que la démocratie élective est un modèle tellement archaïque qu’il disparaîtra…
Chacun peut avoir ses lubies et les siennes confortent son emprise personnelle.
« Donc il faut jouer sur cet affaiblissement, jouer également sur la montée de la Chine pour continuer à avancer, et se positionner comme étant à même de pouvoir avancer et faire avancer ses pièces et ses pions dans le jeu international.
Donc, on a à la fois tout cela et puis, probablement des autorités russes qui sentent aussi que l’opinion publique est aujourd’hui davantage mécontente de ses gouvernants qu’elle ne l’a été encore il y a quelques années.
Donc, il y a aussi une volonté de se figer et de jouer ce réflexe d’autorité, ce réflexe nationaliste en quelque sorte qui consiste à mettre la faute à l’extérieur de la communauté politique.
Donc, on a une convergence de ces trois éléments qui permet d’expliquer peut-être le durcissement du côté de Moscou. »
J’adore quand on a ainsi des positions dogmatiques aussi tranchées (vous l’imaginez bien pour ceux qui me connaissent un peu…).
 
Il me semble seulement, pour ma part, que le chef de la diplomatie européenne n’aura pas voulu entendre les avertissements du Parlement européen qui le dissuadait de s’aventurer à Moscou par ces temps délicats.
Un autre « dogmatique » en mission-suicide ?
Résultat immanquable : Un voyage humiliant pour le haut-représentant de l’UE et vice-président de la Commission.
En effet, « Beau-Rel » pensait pouvoir amadouer son homologue russe sur le sort de l’opposant anti-Kremlin incarcéré.
Tu parles !
Résultat, expulsion de trois diplomates, un Allemand, un Suédois et un Polonais.
Et une baffe de plus pour l’UE !
 
À Bruxelles, les critiques fusent à la suite de cette mésaventure moscovite. « Il y a deux jours, j’ai demandé à Josep Borrell, haut-représentant de l’UE pour les affaires étrangères, de reporter sa visite en Russie, tant qu’il n'avait pas les outils nécessaires pour persuader le président Poutine de libérer Alexeï Navalny.
Aujourd’hui, la visite de M. Borrell s’est transformée en un fiasco diplomatique », cingle le chef du groupe Renew au Parlement.
« M. Borrell devra répondre à des questions et justifier ses actions devant la plénière du Parlement européen. Les événements d’aujourd'hui sont une gifle pour l’Europe.
Nous devons en tirer toutes les conséquences.
Nous attendons de la diplomatie européenne qu’elle fonctionne et qu’elle soit en mesure de défendre sérieusement nos valeurs communes : respect de la dignité humaine, liberté, démocratie, égalité, État de droit et droits de l’homme.
Nous avons les outils pour défendre les droits de l'homme, nous devons les utiliser. »
 
« Ils sont nuls, nuls, nuls ! », s’exaspère un député PPE de la commission des Affaires étrangères.
Car « l’incident » moscovite survient une semaine jour pour jour après le pataquès nord-irlandais sur les vaccins où la Commission a déclenché la bombe atomique d’une surveillance aux frontières entre les deux Irlande, avant de se rétracter piteusement quelques heures plus tard, en réalisant les implications considérables de son faux pas.
Des amateurs…
Une décision malheureuse et précipitée du cabinet d’« Ursule-de-la-Lyre » dont le premier réflexe a été d’en rejeter la faute sur le commissaire Dombrovskis, en charge du Commerce qui n’y était pour rien.
Ambiance…
Résultat, les tensions internes étaient palpables cette semaine au Berlaymont, siège de la Commission, entre les équipes…
Il faut dire aussi que la « frontière-flottante » dans les ports d’Irlande du Nord ne fait pas que des heureux : Un truc de « BoJo » qui rend Belfast (et Gibraltar, mais chez ces derniers, ça fonctionne : Ils ont l’habitude…) « hors UK » et « hors UE », un régime spécifique UK/UE qui reste assez unique au monde et rend les « loyalistes » (à la Couronne) plutôt furieux qui se pensent « abandonnés » par Londres…
 
Le plus curieux dans cette affaire semble être l’incroyable tête-à-queue stratégique de la Commission : Bruxelles plaide depuis quatre ans pour l’absence de toute frontière physique entre les deux Irlande en vertu de l’accord de paix du Vendredi saint dont la Commission se dit le plus ardent défenseur face à Londres.
Et voici que pour une querelle de vaccins en retard, elle se propose de restaurer un contrôle, à vrai dire très théorique.
Une aubaine dont « BoJo » s’en est aussitôt saisi.
D’autant mieux qu’il avait déjà préacheté toutes les doses produites par le labo Nantais au nez et à la barbe de l’administration « Gauloisienne », autiste au dernier degré sur ce coup-là !
Le « Premier sinistre » britannique joue donc sur du velours et peut harponner l’Union européenne sur le sujet : « Il est tout à regrettable que l’UE semble jeter des doutes sur l’accord du Vendredi saint, les principes du processus de paix, en semblant appeler à une frontière sur l’île d'Irlande », a-t-il déclaré au Parlement de Westminster.
En outre, le faux pas bruxellois réveille les unionistes qui considèrent « inapplicable » le protocole sur l’Irlande du Nord issu du Brexit.
Des difficultés considérables attendent depuis les négociateurs, le commissaire Sefcovic et son homologue britannique Michael Gove, qui doivent se rencontrer cette semaine.
 
En fait, pour la Commission, la période est très troublée, car s’ajoute à ces deux bourdes diplomatiques une polémique inextinguible sur l’absence de doses suffisantes des vaccins précommandés par l’UE.
Chacun veut son shoot !
Les Européens ont-ils été imprévoyants ?
Eut-il fallu se préoccuper davantage du renforcement des capacités de production ? La Commission tablait sur un premier vaccin en dix-huit mois, mais les chercheurs ont été plus rapides (huit mois).
Or, il faut au bas mot de « quatorze à dix-sept mois » pour créer de toutes pièces une usine de vaccin, selon les diplomates hongrois en relation avec les Russes.
 
« En réalité, le ministre allemand de la Santé, Jens Spahn, s’était inquiété des capacités de production l’été dernier.
Le commissaire Thierry Breton aussi, mais on lui a dit que c’était l’affaire de la commissaire à la Santé, Stella Kyriakides, qui travaillait directement avec la présidente von der Leyen.
Alertée par Spahn, Angela Merkel avait alors interrogé Ursula von der Leyen, laquelle avait répondu que tout était sous contrôle », indique une source à la Commission.
Sous contrôle, vraiment ?
Jusqu’au moment où AstraZeneca révèle que les doses promises ne seront pas au rendez-vous et que les Britanniques ont signé, trois mois avant l’UE, un contrat qui leur assure la priorité des productions issues des deux sites britanniques du groupe (les plus performants, en outre).
 
Il faut comprendre le contexte du moment : Il régnait « une certaine euphorie l’été dernier », commente un témoin, dans les étages supérieurs de la Commission : Le plan de relance européen était acté et c’était une avancée majeure de la solidarité au sein de l’UE. Les confinements européens se relâchaient et la circulation du virus refluait. La Commission se voit donc confier la mission de négocier avec les Big Pharma et élargit par là même ses compétences sur un secteur, la santé, qui n’est pas son ordinaire quotidien.
Jamais l’Union européenne n’aurait imaginé signer un contrat d’approvisionnement prioritaire avec un groupe pharmaceutique. Et pour cause ! Dès le début de la pandémie, l’UE s’est conçue comme une puissance protectrice du monde.
Pas seulement des Européens, mais du monde entier.
 Ce qui est très généreux mais assez logique : On ne peut pas garder des frontières étanches avec le reste du globe pour contrer un virus qui n’a pas de passeport en règle.
Il n’y avait que le nuage de Tchernobyl qui aura respecté les consignes douanières sur le bord du Rhin, tout sait cela également…
 
C’est par conséquent la Commission qui pousse à l’organisation d’un « Covithon » mondial afin que toutes les nations et notamment les plus pauvres, aient accès au vaccin et au traitement de manière égale le jour où il serait trouvé.
L’initiative connue sous le nom Covax repose sur l’idée que personne ne sera tout à fait à l’abri tant que tous les habitants de la planète ne seront pas vaccinés.
Dans cet état d’esprit, l’Europe a commandé beaucoup plus de doses (trois milliards de doses à la fin de l’année, sauf nouvel accroc) que ce dont elle a besoin pour pouvoir en distribuer à ses voisins plus démunis.
Forcément, dans cet état d’esprit fort louable, la Commission ne signe pas des contrats de fournitures prioritaires avec les groupes pharmaceutiques !
Aucun État membre, associé à cette stratégie, ne préconise d’ailleurs cette option.
En voie de quitter le marché unique à ce moment-là, les Britanniques, eux, s’immergent dans la compétition économique mondiale : United Kingdom first !
Ils n'ont pas hésité face à une Europe généreuse, mais naïve.
 
Résultat, le russe peut se poser en puissance mondiale et l’UE en est à envoyer son principal diplomate aller bouffer son chapeau : Il devait être question, aussi, du vaccin « Spoutnik V »…
Inutile de vous dire que j’en rigole encore plus fort.
Le gaz teuton, le vaccin, les droits de l’homme, l’opposition russe, franchement, la mayonnaise est infecte !
Il va falloir quand même que l’UE remette de l’ordre dans ses idées et réalise qu’elle a des faiblesses criardes. C’est le tournant qu’il lui faudra réaliser face à l’ours russe.
C’est un minimum pour ensuite embrayer sur les corrections indispensables si elle veut pouvoir peser sur des ogres un peu plus gros que sont la Chine et les USA.
C’est qu’elle n’a pas que des amis autour de la planète, loin s’en faut.
Et cette fois-ci, ils ne sont pas nécessairement situés eu tréfond de la City-financière.
Mais ce que j’en dis ou rien, n’est-ce pas…

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