Bienvenue !

Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

jeudi 11 février 2021

Visite de courtoisie de l’OMS en Chine

Ce n’est pas une enquête, seulement une visite de politesse !
 
La « Gauloisie-covidée » a franchi mardi la barre des 80.000 morts liés au « Conard-virus », avec plus de 700 nouveaux décès à l’hôpital ainsi que dans les Ehpad.
Le nombre d’hospitalisations reste élevé, à plus de 11.000 nouvelles entrées et 1.700 à 1.800 arrivées dans les réas tous les sept jours en moyenne depuis le 24 janvier.
On n’aura pas encore atteint l’objectif « Jupitérien » de 5.000 hospitalisations, mais dépassé celui des moins de 3.000 réanimations/semaine.
 
Pendant ce temps-là, les « enquêteurs » de l’OMS étaient sortis de leur quarantaine et se faisaient promener par les autorités chinoises durant quelques jours pour finalement faire une conférence de presse commune de « fin de visite ».
Après récusation, par la Chine, de plusieurs co-experts pressentis pour faire partie de la mission, leurs visas avaient été très longs à obtenir, ils ont pu taper la semelle un bon moment devant la frontière pour ensuite analyser à de fond en comble le contenu des mini-bars des hôtels où ils furent confinés 14 jours…
Un an après la pandémie de coronavirus originaire de la ville de Wuhan en Chine, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a réussi à négocier et organiser avec les autorités chinoises un séjour de quatre semaines en Chine pour son équipe de 13 experts (virologues, zoologistes, épidémiologistes…).
L’objectif officiel affiché était de percer « les origines de la pandémie de Covid-19 afin que cela ne se reproduise plus à l’avenir ».
Mais oui, mais oui…
 
Deux pistes majeures devaient être examinées lors de cette « enquête » : Une fuite accidentelle du « Conard-virus » dun laboratoire de Wuhan ou lhypothèse dune transmission à l’homme via des élevages intensifs d’animaux à fourrure, notamment les visons.
Dire qu’on pensait jusque-là qu’il s’agissait du Pangolin, l’animal « réservoir » : Il se sera vêtu d’un manteau de fourrure de vison, tiens donc…
Ladite conférence de presse des experts de l’OMS a débuté à 10 h 30 par la présentation de la méthode et des résultats par le professeur Liang Wannian, chef du panel d’experts « Conard-virus » à la Commission nationale de santé chinoise.
Premier constat : Un virus capable de provoquer une pandémie mondiale doit être hautement adaptable, et cela implique qu’il s’est d’abord familiarisé au contact humain en circulant probablement parmi les animaux, a-t-il expliqué.
Les études ne permettent pas pour l’instant de confirmer quel animal pourrait avoir transmis le virus à l’homme…
Pas de bol…
 
Autre conclusion présentée par le professeur Lang Wannian : Il n’y a pas « assez de preuves (…) pour déterminer si le Sars-CoV-2 s’est propagé à Wuhan avant décembre 2019 ».
Pas assez, ce n’est pas « aucune ».
Comprenez : Il y en a mais elles ne sont pas déterminantes.
En effet, le virus pourrait avoir d’abord circulé dans d’autres régions avant que les premiers cas n’aient été détecté à Wuhan.
 
La transmission à l’homme a-t-elle eu lieu sur le fameux marché de Huainan ?
Car des cas de transmission ont été détectés en même temps sur d’autres marchés de la ville, quand encore d’autres ne sont pas associés à des marchés.
Le virus s’est donc propagé en même temps ailleurs dans la ville, conclut-il.
Est-ce lié aux produits alimentaires vendus ?
Là encore, les échantillons issus du marché de Wuhan et d’autres lieux sont en cours d’étude et pour l’instant, l’animal à l’origine du coronavirus « n’a pas encore été identifié ».
Le travail sur l’origine et le passage du virus à l’homme est donc seulement « en cours », a expliqué de son côté Peter Embarek, chef de l’équipe d’experts de l’OMS, avant de lancer la présentation des différentes pistes de recherche.
Selon lui, l’hypothèse de la fuite d’un laboratoire est très improbable et le groupe d’experts privilégie la transmission du virus par un animal intermédiaire.
 
Face aux nombreuses critiques mettant en doute la crédibilité des sources chinoises et surtout leur manque de transparence, l’OMS avait tenu à souligner qu’il « ne s’agissait pas de trouver des coupables » mais d’obtenir des résultats scientifiques solides sur cette pandémie qui a déjà fait plus de 2,3 millions de morts et a touché 106 millions de personnes dans le monde.
Au terme de cette mission, l’OMS se cantonne donc à des hypothèses qui seront détaillées dans le rapport final, dans les semaines… plus tard !
 
Les chercheurs ont travaillé en réalité sur les quatre hypothèses déjà explorées pour expliquer l’introduction du virus chez l’homme : Soit un saut direct de la chauve-souris à l’homme, soit un passage par un animal intermédiaire, proche de l’homme, soit une transmission via les aliments et notamment des produits congelés, soit un accident de laboratoire.
Cette dernière hypothèse, d’un accident ou d’une introduction volontaire du virus, aura été écartée d’emblée par l’OMS : Après avoir visité le laboratoire de virologie de Wuhan, l’équipe juge « hautement improbable » une fuite et donc s’abstient enquêter plus avant dans cette direction !
Quand on a des pré-acquis, même inconscients, ou seulement « obligés », on ne perd pas son temps à les démontrer…
La transmission directe depuis la chauve-souris est également rejetée, « Wuhan n’étant pas une ville proche de l’habitat de ces chauves-souris ».
Pas de chance…
 
Officiellement ne reste donc plus que le passage par un animal intermédiaire, « hypothèse la plus probable », pour laquelle les experts de l’OMS appellent à mener de plus amples études sur les félins et les mustélidés.
Mais restait aussi la question des produits congelés, qui auraient pu servir à « répandre la maladie » sur le marché de Wuhan, considéré comme « l’un des premiers clusters ».
Le premier, faut-il rajouter, même si le premier malade ne le fréquentait absolument pas.
C’est pourquoi la transmission aurait commencé en amont de ce marché, réaffirment les spécialistes.
Ce qui fait plaisir aux chinois, puisque c’est l’hypothèse que la Chine défend avec vigueur depuis plusieurs mois, pointant du doigt des exportations de produits congelés contrôlées positives au coronavirus.
En réalité, des études menées à Hong-Kong indiquent qu’il s’agit de travailleurs positifs au virus qui auraient contaminé les emballages plutôt que l’inverse.
D’ailleurs, en Europe (et ailleurs), à ce jour, aucun cas d’infection via de la nourriture contaminée n’aura été recensé.
 
Dès le début de l’épidémie à Wuhan, les autorités chinoises ont nié les origines « chinoises » du virus, (refusant qu’on l’appelle « virus chinois » alors qu’on parle des « mutants » comme autant de « variants anglais, sud-africain et brésilien »).
« Baille-Den » aura depuis interdit, par décret, d’utiliser le terme « virus chinois ».
Justice est rendue aux autorités de l’Empire du Milieu…
Quand on pense qu’elles ont été même jusqu’à accuser les États-Unis de l’avoir exporté en Chine durant les jeux olympiques militaires à Wuhan, en octobre 2019…
Dommage : Le « Conard-virus » n’était pas présent avant mi-novembre en dit l’OMS…
Et Pékin défend encore l’idée que le virus circulait même en Europe dès la fin de l’été 2019.
C’est possible, mais ça reste à démontrer… ce qui ne sera pas simple pour être « abracadabrantesque », pour reprendre une formule restée célèbre en « Gauloisie-Chie-rat-quienne ».
En bref, l’OMS ne nous aura rien appris qu’on ne savait pas déjà.
 
Le premier patient diagnostiqué (le patient zéro) est identifié le 1er décembre 2019 dans la province du Hubei, en Chine centrale. Il est âgé de 70 ans environ, sort peu de chez lui et n’a pas fréquenté le marché de Wuhan. De plus il est atteint de la maladie d’Alzheimer.
La première hospitalisation remonte au 16 décembre 2019.
La séquence génétique de ce « Conard-virus » est similaire à 80 % à celle du coronavirus du SRAS.
Il appartient au sous-genre Sarbecovirus.
Son génome, stable et constitué d’un ARN simple-brin à polarité positive de 29.903 nucléotides et aura été séquencé pour la première fois le 5 janvier 2020 à l’Université Fudan de Shanghai (Chine).
Sauf que, stable, c’est un abus de langage car tous les virus peuvent muter.
 
Si ces mutations peuvent n’avoir aucune conséquence, elles peuvent dans certains cas avoir un impact, par exemple sur la transmissibilité ou sur la virulence du virus.
Les mutations expliquent aussi le passage d’un virus d’une espèce à une autre : Elles jouent un rôle dans l’adaptation du virus au nouvel hôte.
En comparaison avec les virus à ADN, les virus à ARN (comme le virus de la grippe ou le VIH) ont tendance à muter plus rapidement et plus fréquemment.
Et entre la fin 2020 et début janvier 2021, de nombreuses mutations problématiques, dans le sens où elles ont un effet négatif pour l’Homme, ont été identifiées, comme le variant britannique VOC-202012/01, le variant sud-africain 501.V2, et les variants brésiliens B1.1.248 et P.1, le premier étant 50 % à 75 % plus contagieux et les autres également, en plus de renfermer la mutation E484K, qui pourrait compromettre l’efficacité des vaccins.
 
Le 30 octobre 2020, des scientifiques suisses, américains et espagnols publient l’étude d’une nouvelle souche du SARS-CoV-2, appelée 20A EU.185.
Après son développement en Espagne, cette mutation s’est étendue à de nombreux pays européens et jusqu’en Nouvelle-Zélande.
La souche 20A EU.1 s’est mélangée à la population locale et a ensuite migré vers d’autres régions du pays, représentant actuellement plus de 70 % de toutes les séquences analysées par les chercheurs.
La nouvelle souche SARS-CoV-2 20A EU.1 s’avère plutôt contagieuse, ce qui pourrait expliquer le développement rapide de la deuxième vague.
 
Puis la souche B1.1.207 présente au Nigeria. Elle représentait 1 % des contaminations en décembre, mais pourrait augmenter en prévalence.
La souche D614G qui a été qualifiée de « plus infectieuse » que les autres.
 
Le cluster 5 : Il s’agit d’une mutation du SARS-CoV-2 apparue dans des élevages de visons danois qui est aussi susceptible d’altérer la réponse des vaccins. Il a entraîné l’abattage de 15 millions de visons…
Qu’il a fallu déterrer ensuite pour les incinérer…
 
Le variant VOC202012/01 (dit aussi « anglais »), une souche qui est apparue en octobre 2020 au Royaume-Uni et qui a connu une croissance exponentielle à partir de début décembre pour devenir largement majoritaire.
Elle comporte la mutation N501Y qui modifie la façon dont le virus s’attache aux cellules par la glycoprotéine S.
 
Le variant 501.V2 (dit « sud-africain »). Il s’agit d’un variant apparu en Afrique du Sud en octobre-novembre 2020, qui est particulièrement suivi en raison de sa forte contagiosité puisqu’il porte la mutation N501Y.
Celui-là a plus muté puisqu’il porte aussi deux autres mutations notables, dont la E484K, qui pourrait altérer l’efficacité des vaccins en réduisant le pouvoir neutralisant des anticorps.
 
Le variant B1.1.28 détecté au Brésil en février 2020. Les mutants B1.1.248 et P1 en seraient issus.
Cette souche présente les mutations N501Y et E484K et est donc toute aussi problématique que le variant 501.V2. Plus de 12 mutations ont été détectées sur la protéine S, cible des vaccins.
Le variant P1 (détecté à Manaus) détecté en décembre 2020 dans la région de Manaus au Brésil qui fait un malheur au box-office local…
 
Le CAL.20C est le nouveau variant découvert dans l’état de Californie, aux États-Unis. Il représente 25 à 40 % des cas de « Conard-virus » et celui-ci pourrait être à l’origine du nombre exponentiel des cas en Californie.
Rien qu’à Los Angeles c’est plus de 400.000 contaminations supplémentaires enregistrées en un mois pendant la période du 30 novembre au 2 janvier 2021, alors qu’il avait fallu dix mois auparavant pour atteindre ce seuil.
Ce variant compte trois mutations, dont la mutation L425R située dans le RBD de la protéine spike et qui a été associée à une résistance de certains anticorps neutralisants.
Et il possède des ressemblances avec celui observer au Danemark (Cluster 5).
 
De quoi en tourner la tête à plus d’un, mais rien aucune information du voyage des « experts » de l’OMS sur les séquençages et les travaux du labo P4 de Wuhan.
Rien, nada, nothing, ensemble-vide.
Circulez, il n’y a rien à voir !
Et pourtant on sait parfaitement que les équipes de tous ces labos « hypersécurisés » travaillent toutes sur le Mers, Ébola, le Sida et quelques autres saloperies virales de « qualité militaire » afin de mettre au point des vaccins (ou des traitements) efficaces.
On s’amuse quand le Prix Nobel Montagnier nous aura informé depuis si longtemps de certaines « coïncidences »…
Il y en a d’autres, mais il s’agit d’informations reprises, hélas, seulement par des sites classés « complotistes ».
Plus facile à maîtriser avant de devenir virales, n’est-ce pas ?
 
Alors, devant le « fiasco » officiel de la mission de l’OMS, je ne vois pas la raison pour laquelle je me priverai d’en inventer encore une autre, dautant mieux si les travaux de lINSERM sont confirmés, puisquils affirment que le « Conard-virus » était présent en « Gauloisie-experte » probablement dès le mois doctobre 2019, mais à bas-bruit.
Dans ce cas-là, tout le monde a tout faux !.
Dans le « roman du prochain été », le professeur Phîu est mort avec ses secrets.
Mais on retrouve sa trace dans la pandémie actuelle.
Lui ou ses émules, car finalement, on ne sait pas tout de l’élaboration d’armes virales de quelques déments qui parcourent ces univers-là des recherches « biologiques » en cours, ni qui y participent, ni qui financent, ni quels sont les objectifs poursuivis.
Et « Charlotte » attribue la pandémie à une « éprouvette mal désinfectée ».
Qui probablement contamine un animal vagabondeur et file contaminer en toute liberté la population locale de ses congénères et, au bout de la chaîne alimentaire, les humains…
 
Personnellement, je note seulement que la « recherche qui trouve » nous aura fait un cadeau fantastique : Les vaccins à ARN-messager !
C’est la réponse OGM, rapide et « scientifique » aux manipulateurs des génomes.
Une rupture majeure qui ouvre des perspectives inattendues : Les « écololos » et autres « José-Beau-Vais » auront du mal à critiquer, après coup, tous ces travaux du génie génétique…
Là, BRAVO : On entre dans une nouvelle ère de traitements curatifs et même prophylactiques.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire