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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

jeudi 25 février 2021

On ne parle plus que de ça…

Même « Gégé-deux-par-deux » jouerait au vieux dégueulasse !
 
Ce septa-là, vous le savez, je le supporte mal : Trop vulgaire pour moâ alors qu’il est adulé par la foule de ses fans pour ses talents de comédiens.
Sauf qu’il ne joue pas vraiment la comédie : Pour avoir été mon voisin de la rue du cherche-midi, je peux vous dire qu’il est identique à lui-même dans la vie quotidienne, sans même avoir besoin d’en rajouter une once…
Sauf dans les avions quand il décide de pisser dans les couloirs…
Quoique, chassez le naturel…
Et puis, il est désormais russe.
Pour payer moins d’impôt et avoir été séduit par « Poux-Tine »…
Le mek est tellement kon qu’il ne sait pas s’entourer de conseillers fiscaux un à peu près « corrects » : Ses biens et revenus sis en « Gauloisie-fiscale » resteront toujours soumis au CGI local !
C’est comme ça, à peu près partout dans le monde.
Car peu importe la nationalité dès qu’on franchit une frontière.
Même les « ricains » recherchent activement tous les « nationaux » nés chez eux par hasard en application de leur « droit du sol » : C’est toujours de l’impôt indu encaissé en plus…
 
Ceci dit, c’est une déferlante : « Berri-berri », « Pépé.D.A », quelques autres encore, que ce soit autour de la Mairie-parigotte ou dans les milieux « littéraires-avancés », ces affreuses histoires d’inceste qui bousculent les « élites » de la pensée post-soixanthuitarde, franchement, « ça pue du bec » !
 
« Gégé-deux-par-deux » mis en examen pour « viols » et « agressions sexuelles » qu’il aurait commis à l’été 2018 sur une « jeunette », ce qu’il conteste vertement à la suite d’une confrontation.
Non mais réfléchissez deux secondes : Sur ce coup-là, ce n’est pourtant pas l’affaire de 20 ans après… La plaignante, avait dénoncé à la gendarmerie fin août 2018, avoir été violée à deux reprises, les 7 et 13, c’est dire si elle a pu apprécier la première fois…, pour remettre le couvert au domicile parisien de la star.
Rien de professionnel là-dedans alors que la presse locale avait évoqué une répétition de théâtre : C’est un « ami de la famille ».
Tu parles, des amis comme ça, qu’ils restent chez eux…
Quant à la damoiselle, si elle se jette elle-même dans la gueule du loup, c’est qu’elle n’était pas si victime que ça, au moins la seconde fois !
 
Du coup, force est de constater que quand les médias ne s’intéressent plus aux prochaines élections entre « Jupiter » et « Marinella-tchi-tchi » pour vous vendre leurs papiers, ça tourne en boucle autour de deux sujets majeurs : La pandémie et l’inceste.
Et on y ajoute quelques corollaires : Les vaccins et le viol.
C’est assez fulgurant : La grogne des « Gilets-jaunes », les « séparatistes » et les combats de rue de bandes de d’jeuns, les Birmans qui se font tailler en pièces, tous les autres affronts au respect dû à l’humanité et ses membres, c’est de la seconde zone !
C’est loin, on n’est pas concernés, n’est-ce pas : En revanche la bidoche dans les assiettes des « petits-lyonnais », là ça ne passionne que les élites de « sachants-élus »…
Incroyable !
 
Notez qu’on peut y voir des traits communs : La pandémie recrute ses victimes très majoritairement parmi les hommes, même si la chose se dit peu.
Certes, la guerre des sexes fait rage, mais depuis que la rédemption de l’humanité s’épelle en « LGBTQI++ », pas question de reconnaître que le chromosome Y est un facteur de comorbidité !
Fort drôle…
La chose est en effet acquise dans l’opinion qui compte : Les hommes sont tous des salopards de coupables !
Coupables d’odieux forfaits sur les femmes et même leurs enfants.
Vous ne le saviez pas ?
Moâ non plus : Je n’ai jamais violenté qui que ce soit, et pourtant…
 
Ce qui reste assez étonnant : On semble, en effet, confondre désormais, dans une même dénonciation, ce qui toucherait les femmes et les enfants.
Je ne sais pas s’il y a des degrés dans l’horreur des crimes commis ainsi dans l’intimité des chambres obscures et le secret des familles, mais franchement, depuis qu’ils n’ont plus de curés abusifs à se mettre sous la dent, ils amalgament tout et n’importe quoi.
Pour ma part, je reste sans voix quand on prend conscience, quelque quinze ans plus tard, que la demoiselle, devenue adulte, n’était pas si consentante que cela.
Ou pas toujours.
En revanche, c’est forcément largement différent quand la victime est mineure au moment des faits, bien évidemment.
Le viol d’un gamin ou d’une gamine imberbe reste une ignominie abjecte.
Quel plaisir peut-on en tirer qu’on ne « tirerait » pas ailleurs ?
Pire encore quand il s’agit d’un inceste, ce tabou plurimillénaire et probablement sans d’excellentes raisons de toutes sortes, qui devrait être à jamais « imprescriptible ».
La blessure, la mortification l’est bien, elle…
 
Et pourtant, les uns et les autres assimilent le viol et l’inceste dans le même élan…
Une régression ?
Probablement.
À bien y regarder, le néo-féminisme actuel fait des femmes d’éternelles petites filles, enfants inconscientes, victimes de ce qui leur arrive et incapables de se défendre face au mâle prédateur !
Ça en devient puéril.
Et néfaste.
D’ailleurs, courant toujours après l’opinion pour rattraper les faits divers, le législateur travaille actuellement sur trois propositions de loi pour renforcer la protection des mineurs victimes de violences sexuelles.
Seuil d’âge du consentement éclairé, prescription des crimes sexuels, crime spécifique d’inceste à créer, la protection des « moins de quinze ans », âge de la majorité sexuelle n’étant pas suffisante.
On aurait pu s’en rendre compte avant.
Et du coup on en oublie les violences sexuelles faites aux personnes handicapées, les « Gogolitos-gogolitas » par exemple.
 
Et ça donne une débauche de konneries en barre compacte où, pour « certain.e.s » le problème est moins celui des hommes, espèce qu’on ne saurait au fond guérir de sa sexualité perverse, que celui d’un système, à savoir la famille : « Au centre des drames de l’inceste, il y a la famille moderne, post-révolutionnaire et pyramidale, où les hommes se voient encore aujourd’hui comme des chefs de famille pour les femmes et pour les enfants ».
Comme quoi, il y a encore des adultes-responsables qui n’ont pas surmonté leur complexe d’Œdipe, manifestement…
Le paroxysme de la domination masculine, c’est « une affaire de pouvoir d’homme, donc, qu’incarne la cellule familiale et qui façonne ensuite la soumission de tout individu issu de cette cellule familiale à d’autres soumissions, à d’autres hommes de pouvoir ».
Donc pour ces grands malades qui s’ignorent, il faut détruire la famille une fois pour toute.
« La défense de la famille est une idéologie délétère qui s’affiche partout dans les films, les livres, etc. »
« La famille doit être remise en question » car elle repose sur un concept qui « continue de nuire aux droits des femmes ».
Le problème, c’est que la société n’y est pas encore prête « car il faudrait reconnaître la violence masculine, remettre en cause le patriarcat qui structure notre société et l’idée que la famille est basée sur l’amour et le respect, reconnaître enfin que la sexualité masculine a des aspects inquiétants »…
Et les rejetons de ces coïts féconds, on les met où ?
Au Kolkhoze ou au Kibboutz ?
Vraiment n’importe quoi : On le disait l’autre jour, tous les prétextes sont bons pour « détruire » ce qu’on ne peut pas comprendre…
 
L’alternative proposée depuis les tréfonds des délires dogmatiques et utopiques oublie que s’il faut punir sévèrement les agresseurs avérés et aider un maximum les victimes de violences sexuelles, qu’il faut aussi savoir analyser les différentes situations avec recul, sans céder à l’émotivité, et discerner le vrai du faux.
Depuis l’éclatement de l’affaire Weinstein et les débuts du mouvement #Metoo, on voit régulièrement apparaître sur les réseaux sociaux des vagues de dénonciation d’agressions et des accusations de harcèlement et de violences sexuelles.
Au nom de la libération de la parole, les victimes supposées soutenues par la foule voient leurs accusations considérées comme paroles d’évangile qu’il est blasphématoire de remettre en question.
Ce qui est dit est vrai, ne peut pas être faux.
Ça ne se discute même pas, n’est-ce pas !
 
Et on a ainsi vu une grande partie d’Hollywood dans la tourmente après avoir vu nombre de ses stars accusées des pires sévices, le plus souvent par le biais des réseaux sociaux.
Les répercussions sur l’image des accusés est telle qu’il n’est pas rare de voir les organismes de production tout simplement virer sans préavis les acteurs que l’on accuse.
Le mouvement #Metoo avait en effet une volonté de dénoncer toutes les formes de violences sexuelles, de s’unir entre victimes pour briser les tabous et les difficultés à en parler liés à ces formes d’agressions si particulières.
Le simple choix de la formule « Me too » visait probablement à créer une unité entre toutes les victimes de violences sexuelles, et c’est un terme – en apparence du moins – plus pacifiste que notre « #Balancetonporc » national que je n’avais pas bien compris.
(I-Cube (l'exilé): Touche pas à mon porc ! (flibustier20260.blogspot.com))
Et ce qui apparaît désormais pour un mouvement qui devait s’essouffler, c’est le danger de la dénonciation sur les réseaux sociaux et la portée que les accusations peuvent avoir sur la sphère publique. Quand elles sont nommées, les conséquences pour les cibles de ces dénonciations peuvent être terribles, allant même jusqu’au suicide.
 
L’exemple du Hashtag #SciencesPorcs est assez parlant : depuis le 9 février, les IEP sont dans la tourmente et voient des dizaines de personnes témoigner sur les réseaux sociaux de violences sexuelles qu’elles auraient subi. On retrouve donc sous ce hashtag des témoignages allant des accusations de viol aux remarques sexistes de la part de professeurs, notamment de l’un d’entre eux plaisantant sur le fait que les femmes représentent 60 % des 13.000 élèves de l’Institut et donc ne « respectent pas les quotas ».
Ce nouveau « mouvement de libération de la parole » est finalement un grand fourre-tout où coexistent dénonciation de crime et incapacité indécrottable à comprendre des blagues !
Mais le point commun de toutes ces prises de paroles sur les réseaux sociaux, c’est non seulement leur côté invérifiable, mais surtout le fait que la grande majorité des élèves de Sciences Po… les avalent sans rechigner…
Aucun esprit critique, ni même de « prise de distance ».
Inquiétant pour les futures élites du pays…
Elle se jettent à corps perdu dans une justice et un arbitrage digne des chasses aux sorcières de l’Inquisition.
Et pour cause, remettre en question un témoignage sans l’apport d’aucune preuve – ou pire, simplement suggérer à la victime supposée d’aller porter plainte dans un commissariat – c’est faire du « victim blaming », et par conséquent finir considéré par la foule de la même façon qu’Hitler.
 
Autre inquiétude : Quand on suggère à une victime de porter plainte et ce même quand, dans les faits et comme le rapportent les témoins eux-mêmes, ne peuvent pas être considérés comme des viols, ça devient absurde.
Notamment les « j’ai couché volontiers avec toi il y a dix jours, je t’ai même dit que j’avais envie de toi, mais aujourd’hui je le regrette, donc c’était du viol ».
Voir ainsi que la notion de viol peut être rétroactive, ça devient ubuesque !
Ce climat de méfiance dans les relations homme-femme n’est pas sans conséquences : on observe une recrudescence de signatures de « contrats de consentement » que les deux amants s’engagent à signer avant de s’envoyer en l’air.
Je vous en ai fourni un il y a longtemps, à télécharger sans retenue : I-Cube (l'exilé): Résultats de recherche pour convention de libre coïtage (flibustier20260.blogspot.com)
 
Les hommes se défendent donc dans le cas d’un éventuel retournement d’humeur (ce fameux « viol rétroactif ») de la dame. Mais les « féministes » considèrent scandaleux de contractualiser ainsi le consentement féminin, alors que le vrai scandale est plutôt d’avoir atteint une paranoïa telle qu’avant d’entamer tout type de relation avec le sexe opposé, on protège ses arrières avec un contrat !
Mais alors, comment mieux prendre en charge les victimes de violences sexuelles et les aider à obtenir justice, sans pour autant leur permettre de porter des accusations sans aucune preuve sur Internet ?
S’il est tout à fait compréhensible qu’une victime souffre fortement de ce qu’elle a subi et qu’elle peut en ressortir traumatisée à vie, ce n’est cependant pas une raison pour accuser nominativement et sans aucune preuve quelqu’un sur Internet !
Le bon sens devrait avoir le dessus, mais depuis quelques temps… force est de constater que ce n’est plus le cas !
 
La victime veut obtenir justice et c’est très bien.
Sauf que l’institution judiciaire est en crise : Elle n’est plus capable ni de lutter contre l’insécurité, ni d’indemniser convenablement les victimes.
Celles-ci n’ont en effet que rarement des dommages et intérêts qui couvrent la totalité des préjudices subis, sachant qu’en plus elles financent déjà le système judiciaire par le biais des impôts, et par conséquent l’emprisonnement de leur bourreau.
Et une fois sa dette payée à la société, on ne se demande même pas si l’agresseur a acquitté celle qu’il doit à sa victime, ni s’il existe un risque qu’il fasse de nouvelles victimes en cas d’une éventuelle récidive.
Car il y a bien de dangereux « prédateurs-sexuels » dans la nature : Il y en a même qui ont été condamnés à être soignés à coup de Viagra par ladite institution…
 
C’est dire si toutes ces « dérives » sont bouleversantes à mon pôvre et unique neurone (celui du nerf honteux) : Du coup ce dernier se met en grève illimitée.
Et tout d’un coup, la vie me paraît bien triste à vivre…
Comme quoi, l’enfer est bien pavé de bonnes intentions !

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