Qu’est-ce qu’ils nous ont
fait caguer avec ça…
Vous souvenez-vous des
« sachants-écololos-bobos » rayonnants de joie à la fin du premier
confinement 2020, version « embastillement » ?
Ils étaient ravis que la planète ait pu respirer mieux, un air dépollué, que c’était paraît-il si bon pour vos « délicates alvéoles pulmonaires » !
On avait trouvé et même mieux, expérimenté in vivo la meilleure façon de sauver la planète : Empêcher les gens de respirer librement !
Les gens et surtout leurs activités laborieuses.
Perspective jouissive : On n’avait qu’à persister dans la « non-culture », le « non-tourisme », la « non consommation » ad vitam æternam et le tour était joué.
Et effectivement, il faut
bien reconnaître que les confinements successifs ont permis de mener une
expérience sans précédent en grandeur réelle : Mesurer l’impact réel des
transports sur la pollution atmosphérique dans les villes.
Conclusion, si la circulation routière contribue évidemment à répandre des particules fines, du dioxyde d’azote et de l’ozone dans l’atmosphère, c’est hélas dans des proportions bien moindres que l’affirmaient sans cesse les adversaires des véhicules motorisés.
Et même parfois, les effets sont seulement marginaux !
Ainsi, les proclamations d’une
baisse spectaculaire de la pollution atmosphérique au début de l’année 2020
étaient très, très exagérées. Les graphiques d’Airparif pendant les deux
confinements le montrent tout comme une étude plus récente de chercheurs de
l’Université de Birmingham sur 11 grandes villes dans le monde.
Naturellement, ce n’est pas « politiquement correct », alors vous n’en avez pas entendu parler.
Bien évidemment, et pourtant…
Tout le problème avec le
simplisme des « autistes-triomphants » est qu’il déforme parfois
tellement la réalité qu’il ne permet plus de s’attaquer vraiment aux problèmes.
Tout au plus de les effleurer.
Et la question de la pollution atmosphérique dans les grandes villes en est un bon exemple.
Tout d’abord, et contrairement
à de nombreuses idées reçues, elle a beaucoup baissé au cours des dernières
décennies.
Ensuite, si la circulation automobile a un impact indéniable, elle n’est pas, et de loin, la seule et principale cause de phénomènes complexes.
Et les confinements ont été une expérience sans précédent, en grandeur réelle, en pleine nature à l’œuvre, qui a permis de le démontrer.
Question : Faut-il encore accepter des faits qui ne correspondent pas du tout aux discours dogmatiques ?
Tout le monde l’aura
oublié, mais deux alertes majeures aux particules fines à « Paris-sur-la-plage »
ont eu lieu justement pendant les deux confinements.
Il y aura eu en tout trois pics de pollution aux particules fines l’an dernier à « Paris-sur-la-Seine », dont deux pendant les confinements marqués pourtant par des baisses sensibles de la circulation routière : Le premier le 28 mars, le second les 26 et 27 novembre.
Dur constat pour les « dogmatiques » !
Toujours dans
l’agglomération parigote, si les émissions de dioxyde d’azote semblent elles
bien évoluer en corrélation avec le niveau de circulation automobile, il n’en
est rien des particules fines qui sont cancérogènes et dont on affirme, mains
sur le cœur et depuis des années, qu’elles proviennent notamment des
motorisations diesel !
Mais vu le désastre que cela implique pour les « sachants-trisomiques » et autres « autistes-dogmatiques », depuis quelques mois, les communications officielles insistent surtout et avant tout sur les niveaux de dioxyde d’azote.
Plus le reste…
Un hasard ?
Ce polluant proviendrait dans la « Kapitale de toutes les Gauloisies » pour 61 % de la circulation automobile, selon les chiffres naturellement « officiels ».
Et sa quantité dans l’atmosphère « parigote » aura bien diminué pendant le premier confinement de 28 % en mars, 48 % en avril et 44 % en mai.
Le problème est que si le
dioxyde d’azote est nocif pour la santé, il présente rarement un seuil
critique… contrairement aux particules fines !
La concentration dans l’air de dioxyde d’azote n’a déclenché le « seuil d’information » en Île-de-Gauloisie que seulement deux fois depuis 2015 contre 39 fois pour les particules fines…
Et les niveaux de dioxyde d’azote ont baissé alors que les niveaux d’ozone ont augmenté !
Ce constat n’est pas seulement spécifique à l’agglomération parigote.
Dans un article publié par The Conversation au Royaume-Uni, deux chercheurs de l’Université de Birmingham, spécialisés dans la chimie et la science atmosphérique, montrent que les annonces d’une amélioration spectaculaire de la qualité de l’air dans les villes pendant le premier confinement étaient donc pour la plupart très exagérées…
Ils écrivent que les
premières études et comparaisons faites sur la pollution atmosphérique pendant
le confinement et avant et après « étaient trompeuses ».
Ainsi, cette étude affirme que les émissions de dioxyde d’azote avaient baissé de 90 % à Wuhan.
« Mais cette comparaison n’a pas de valeur. La météorologie affecte aussi les niveaux de pollution en dispersant, par exemple, les émissions provenant des villes.
Plus de carburants
fossiles sont brûlés pendant l’hiver pour le chauffage qu’au printemps et les
polluants réagissent différemment dans l’atmosphère sous différentes conditions
d’ensoleillement et de températures.
Cela se traduit par le fait que les niveaux de pollution atmosphérique varient selon les saisons.
Ces différents facteurs limitent l’influence d’un évènement unique sur la concentration de polluants dans l’atmosphère ».
Pour être clair, il n’y a
pas qu’une cause et il y a plusieurs types de conséquences en fonction des
circonstances locales et passagères…
Ces chercheurs de
l’Université de Birmingham (qui ont trouvé) ont isolé l’impact des confinements
sur la qualité de l’air dans onze grandes villes : Beijing, Wuhan, Milan, Rome,
Madrid, Londres, Paris, Berlin, New York, Los Angeles et Delhi.
Leur étude prend en compte les niveaux de dioxyde d’azote, de particules fines de taille inférieure à 2,5 micromètres (PM2,5) et d’ozone.
Or, dans toutes les villes étudiées, le niveau de dioxyde d’azote a baissé durant le confinement, « mais l’effet était plus faible que celui mesuré avant et après le confinement.
À Wuhan, par exemple, les
concentrations de dioxyde d’azote ont baissé de 47 % pendant la seconde et la
cinquième semaine de confinement. Mais une partie de cela était dû à la
météorologie et au changement de saison et ce serait produit de toute façon.
Le confinement seul a compté pour 34 % ».
Par ailleurs, et cela
semble paradoxal, les niveaux d’ozone ont augmenté dans la plupart des villes
pendant le confinement de 2 % à 30 % !
Or, l’ozone qui se situe au niveau du sol, contrairement à la couche qui se trouve à 20 kilomètres d’altitude, est un polluant qui se forme quand les hydrocarbures et le dioxyde d’azote réagissent à la lumière du soleil.
Curieux, n’est-ce pas puisque plus personne ne roulait.
Enfin, le confinement a
bien fait, en général, baisser les niveaux de particules fines PM2,5 qui
proviennent en partie de la circulation routière.
Mais ce n’est pas le cas à Beijing, Londres et Paris !
Rien que pour contrarier nos « écololos-bobos » et « Sœur-Âne » ?
Dans ces villes, des niveaux très élevés de particules ont même été enregistrés pendant les confinements.
Et l’explication est relativement simple : Les particules fines proviennent avant tout du chauffage résidentiel, de l’agriculture et se déplacent sur des centaines de kilomètres voire des milliers de kilomètres.
Si la circulation automobile joue un rôle, il est très limité contrairement à ce qui est dit en permanence.
Une étude d’Airparif de 2017 montrait déjà qu’en hiver et en automne, la contribution de l’automobile aux émissions de particules fines serait de seulement 15 % en « Île-de-Gauloisie » et de 25 % en été.
Donc on savait déjà il y a plus de trois ans.
Le discours est donc mensonger depuis…
Pour les chercheurs de
l’Université de Birmingham, « les confinements ont par inadvertance permis
une expérimentation mondiale qui a fourni un air plus pur à des millions de
personnes.
La seule réduction des
émissions de dioxyde d’azote a permis des bienfaits généralisés pour la santé.
Mais cela a été contrebalancé par des augmentations d’ozone et bon nombre de changements ont été bien plus limités que ce que nous pensions.
Cela illustre combien il est difficile de réduire la pollution de l’air ».
Pas très optimistes, les
gars.
Ceci dit, rien n’empêche les
« sachants » de prendre des précautions et des décisions
dictatoriales : Après tout, ils sont élus pour ça, c’est vous qui les avez
choisis et vous les payez grassement pour ça.
Évidemment, vous ne pouviez pas savoir qu’en plus ils vous mentent en permanence, même si vous vous en doutez bien, puisque c’est leur métier.
En bref, réduire la
circulation automobile de façon autoritaire reste une ânerie.
Il y a deux façons de faire : Interdire ou rendre encore plus malaisé et coûteux.
Interdire, ce n’est pas constitutionnellement facile. Mais on peut créer des « zones » interdites aux véhicules.
Tant pis, les gens n’y viendront plus et les commerçants seront contents de payer un amoncellement de taxes pour ne pas faire de business.
Comme ils ne votent pas, ce n’est pas bien grave.
On peut faire payer toujours plus cher les « usagers » récalcitrants et si peu motivés par l’avenir de la planète.
Ça décourage les pôvres et ça rapporte des budgets supplémentaires.
Sauf que nos élus deviennent rapidement addicts aux rackets « légaux » qu’ils instaurent.
Quand il n’y aura plus personne pour payer, ils seront dans le kaka.
Mais ce n’est pas près
d’arriver (avec tout le pognon qui dégouline des banques centrales). Tout
juste, on forme des ghettos de rupins.
C’est d’ailleurs hélas ce qui se passe à « Paris-bobos » !
Une « ville-musée » (que plus personne ne visite) dotée de « dortoirs-dorés » et demain d’un vaste champ de jachères commerciales.
Déjà, ses « petites-industries » auront déménagé depuis si longtemps (il ne reste plus que les déchetteries à ses frontières), mais pire, ses bureaux, le dernier « os-à-ronger », se vident, puisque nous « télétravaillons ».
La belle politique que voilà avec sa « prime à la rente » des déjà installés.
J’adore les politiques « soces » qui veulent en plus planter des arbres pour que ça fasse joli…
Eux, ils ont des logements de fonction intramuros, naturellement.
Ils étaient ravis que la planète ait pu respirer mieux, un air dépollué, que c’était paraît-il si bon pour vos « délicates alvéoles pulmonaires » !
On avait trouvé et même mieux, expérimenté in vivo la meilleure façon de sauver la planète : Empêcher les gens de respirer librement !
Les gens et surtout leurs activités laborieuses.
Perspective jouissive : On n’avait qu’à persister dans la « non-culture », le « non-tourisme », la « non consommation » ad vitam æternam et le tour était joué.
Conclusion, si la circulation routière contribue évidemment à répandre des particules fines, du dioxyde d’azote et de l’ozone dans l’atmosphère, c’est hélas dans des proportions bien moindres que l’affirmaient sans cesse les adversaires des véhicules motorisés.
Et même parfois, les effets sont seulement marginaux !
Naturellement, ce n’est pas « politiquement correct », alors vous n’en avez pas entendu parler.
Bien évidemment, et pourtant…
Tout au plus de les effleurer.
Et la question de la pollution atmosphérique dans les grandes villes en est un bon exemple.
Ensuite, si la circulation automobile a un impact indéniable, elle n’est pas, et de loin, la seule et principale cause de phénomènes complexes.
Et les confinements ont été une expérience sans précédent, en grandeur réelle, en pleine nature à l’œuvre, qui a permis de le démontrer.
Question : Faut-il encore accepter des faits qui ne correspondent pas du tout aux discours dogmatiques ?
Il y aura eu en tout trois pics de pollution aux particules fines l’an dernier à « Paris-sur-la-Seine », dont deux pendant les confinements marqués pourtant par des baisses sensibles de la circulation routière : Le premier le 28 mars, le second les 26 et 27 novembre.
Dur constat pour les « dogmatiques » !
Mais vu le désastre que cela implique pour les « sachants-trisomiques » et autres « autistes-dogmatiques », depuis quelques mois, les communications officielles insistent surtout et avant tout sur les niveaux de dioxyde d’azote.
Plus le reste…
Un hasard ?
Ce polluant proviendrait dans la « Kapitale de toutes les Gauloisies » pour 61 % de la circulation automobile, selon les chiffres naturellement « officiels ».
Et sa quantité dans l’atmosphère « parigote » aura bien diminué pendant le premier confinement de 28 % en mars, 48 % en avril et 44 % en mai.
La concentration dans l’air de dioxyde d’azote n’a déclenché le « seuil d’information » en Île-de-Gauloisie que seulement deux fois depuis 2015 contre 39 fois pour les particules fines…
Et les niveaux de dioxyde d’azote ont baissé alors que les niveaux d’ozone ont augmenté !
Ce constat n’est pas seulement spécifique à l’agglomération parigote.
Dans un article publié par The Conversation au Royaume-Uni, deux chercheurs de l’Université de Birmingham, spécialisés dans la chimie et la science atmosphérique, montrent que les annonces d’une amélioration spectaculaire de la qualité de l’air dans les villes pendant le premier confinement étaient donc pour la plupart très exagérées…
Ainsi, cette étude affirme que les émissions de dioxyde d’azote avaient baissé de 90 % à Wuhan.
« Mais cette comparaison n’a pas de valeur. La météorologie affecte aussi les niveaux de pollution en dispersant, par exemple, les émissions provenant des villes.
Cela se traduit par le fait que les niveaux de pollution atmosphérique varient selon les saisons.
Ces différents facteurs limitent l’influence d’un évènement unique sur la concentration de polluants dans l’atmosphère ».
Leur étude prend en compte les niveaux de dioxyde d’azote, de particules fines de taille inférieure à 2,5 micromètres (PM2,5) et d’ozone.
Or, dans toutes les villes étudiées, le niveau de dioxyde d’azote a baissé durant le confinement, « mais l’effet était plus faible que celui mesuré avant et après le confinement.
Le confinement seul a compté pour 34 % ».
Or, l’ozone qui se situe au niveau du sol, contrairement à la couche qui se trouve à 20 kilomètres d’altitude, est un polluant qui se forme quand les hydrocarbures et le dioxyde d’azote réagissent à la lumière du soleil.
Curieux, n’est-ce pas puisque plus personne ne roulait.
Mais ce n’est pas le cas à Beijing, Londres et Paris !
Rien que pour contrarier nos « écololos-bobos » et « Sœur-Âne » ?
Dans ces villes, des niveaux très élevés de particules ont même été enregistrés pendant les confinements.
Et l’explication est relativement simple : Les particules fines proviennent avant tout du chauffage résidentiel, de l’agriculture et se déplacent sur des centaines de kilomètres voire des milliers de kilomètres.
Si la circulation automobile joue un rôle, il est très limité contrairement à ce qui est dit en permanence.
Une étude d’Airparif de 2017 montrait déjà qu’en hiver et en automne, la contribution de l’automobile aux émissions de particules fines serait de seulement 15 % en « Île-de-Gauloisie » et de 25 % en été.
Donc on savait déjà il y a plus de trois ans.
Le discours est donc mensonger depuis…
Mais cela a été contrebalancé par des augmentations d’ozone et bon nombre de changements ont été bien plus limités que ce que nous pensions.
Cela illustre combien il est difficile de réduire la pollution de l’air ».
Évidemment, vous ne pouviez pas savoir qu’en plus ils vous mentent en permanence, même si vous vous en doutez bien, puisque c’est leur métier.
Il y a deux façons de faire : Interdire ou rendre encore plus malaisé et coûteux.
Interdire, ce n’est pas constitutionnellement facile. Mais on peut créer des « zones » interdites aux véhicules.
Tant pis, les gens n’y viendront plus et les commerçants seront contents de payer un amoncellement de taxes pour ne pas faire de business.
Comme ils ne votent pas, ce n’est pas bien grave.
On peut faire payer toujours plus cher les « usagers » récalcitrants et si peu motivés par l’avenir de la planète.
Ça décourage les pôvres et ça rapporte des budgets supplémentaires.
Sauf que nos élus deviennent rapidement addicts aux rackets « légaux » qu’ils instaurent.
Quand il n’y aura plus personne pour payer, ils seront dans le kaka.
C’est d’ailleurs hélas ce qui se passe à « Paris-bobos » !
Une « ville-musée » (que plus personne ne visite) dotée de « dortoirs-dorés » et demain d’un vaste champ de jachères commerciales.
Déjà, ses « petites-industries » auront déménagé depuis si longtemps (il ne reste plus que les déchetteries à ses frontières), mais pire, ses bureaux, le dernier « os-à-ronger », se vident, puisque nous « télétravaillons ».
La belle politique que voilà avec sa « prime à la rente » des déjà installés.
J’adore les politiques « soces » qui veulent en plus planter des arbres pour que ça fasse joli…
Eux, ils ont des logements de fonction intramuros, naturellement.
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