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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mercredi 3 février 2021

Très fort la fiscalité du « Conard-virus » !

Grosse pagaille dimanche dernier.
 
« Sœur-Âne » en rêvait : Mettre un péage à l’entrée de la Kapitale.
On n’a même pas retiré les portiques à « Bonnets-rouge » sur le périphérique, des fois que ça devienne un moyen de collecter un « péage à usage ».
« Sadique-Canne » l’avait fait pour l’hypercentre de London-City : Seuls les banquiers, quelques Lords et les diplomates avaient les moyens de payer.
Les autres, ils polluent un peu plus loin sur un réseau routier saturé : C’est probablement mieux pour la planète…
 
« Sœur-Âne », bêtement, elle rend impraticable le centre de « Paris-sur-la-Seine » sauf à vélo et trottinette.
Et elle accumule les obstacles pour prendre son bus ou seulement accéder chez toâ en bagnole quand tu as des paquets et des valises à débarquer.
Des fois que tu aies des envies d’évasion…
D’accord, elle se rattrape sur les péages de stationnement : Ce ne sont même plus des amendes en cas de non-paiement, mais une « indemnité d’occupation de la chaussée ».
Après tout, on croyait que la chaussée publique appartenait à tout le monde, pas à « Paris-sur-plage » : Elle appartient seulement à la municipalité (qui l’entretient, la balaye, la répare parfois, la défonce souvent… quand elle peut).
 
Nous, on avait pris l’habitude de « payer » pour vivre « normalement » chez soi : Taxes d’habitation, des enlèvements des ordures, de trottoir, de chaussée, d’arrivée d’eau de ville, d’épuration d’eau usées…
Tu as le droit également d’avoir de l’électricité délivrée par EDF (la produire toâ-même est réputé prohibé, sauf à payer une installation « autorisée » et un « passe-droit »), qui en profite pour te faire payer le courant (mais ça c’est anecdotique), les taxes au poteau, la taxe d’acheminement, la retraite des gaziers, la provision pour démantèlement et j’en passe un tombereau.
C’est simple, quand EDF vend à ses salariés à prix coûtant, c’est à peine 10 % de la facture d’un quidam normal.
 
Ça fait bien longtemps qu’on paye sans rechigner des taxes sur les farines, les sodas, les huiles, les carcasses de bidoche, les emballages, l’écotaxe sur les cartons pourtant recyclable, les accises sur les alcools, poirés, cidres, les capsules-congés sur le pinard, les taxes sur le tabac (pour les seuls fumeurs) et naturellement toutes les taxes sur les produits pétroliers nécessaires pour t’acheminer tout ça au pied de chez toâ sans te fatiguer trop fort.
Il nous manquait d’être taxer pour respirer, mais avec le « Conard-virus », tu payes pour te payer un masque et respirer derrière comme tu peux (moâ ça me donne des boutons sur le nez…), sauf que pendant longtemps, on n’avait pas de masque.
Ah l’intendance…
Mais depuis qu’on aura refait les rayons, si tu n’en portes pas, tu en as pour 135 euros !
 
Maintenant, tu payes aussi pour te promener à l’air libre en soirée, pendant le « couvre-feu », sauf si tu as un chien.
(Le chat de la voisine, ça ne marche pas… Peut-être que je vais acheter un iguane avant que ce ne soit interdit de vendre des animaux en animalerie, parce que c’est prévu pour « incessamment sous peu »…).
Payer pour respirer…
Non mais tu imagines ?
Les « portos-lusitaniens » payent bien pour avoir une fenêtre exposée au soleil !
Chez nous, ça n’a pas encore bien pris, mais on va finir par faire payer une taxe sur les balcons-parigots, je n’en doute pas… (à défaut du retour de la taxe de l’Ancien régime sur les « portes & fenêtres »), puisque le cheminement est en cours.
 
Là, l’imagination reste au pouvoir : Savez-vous pourquoi « Jupiter » n’a pas voulu reconfiner ?
Bé c’est très simple.
Le confinement, c’est couvre-feu permanent.
Et il est tout de même beaucoup plus intelligent pour les recettes du Trésor-public de faire un couvre-feu alternatif.
Pas pour combattre le « Conard-virus » : Il fait que ce qu’il veut…
De 6 heures à 18 heures, tu peux te casser (avec ton masque). Mais à 18 heures, tu payes pour circuler : 135 € par tête de pipe qui n’a pas un motif légitime !
Et de prévenir : Il y aura des contrôles !
 
Oui, mais qui dit « contrôle » dit arrêt de la circulation et thrombose sur les chaussées et voies d’accès (qui sont déjà limitées et saturées, même mes « raccourcis-habituels »)
Et quand tu es en bagnole rentrant d’avoir été à la pêche ou aux escargots, bé ça encombre ladite chaussée.
Du coup ça ralentit sévère. Au lieu de mettre une heure, tu en mets deux voire trois ou plus pour rentrer chez toâ !
Résultat, tu te fais gauler et tu ralentis à ton tour ceux qui sont derrière.
400 km de bouchons en « Île-de-Gauloisie » dimanche dernier.
Jusqu’à quatre fois plus qu’en temps normal pour un retour de week-end pas particulièrement ensoleillé.
Ta seule issue, c’est de passer quand les pandores ont épuisé leurs stocks de carnets-à-souche.
 
Gagnant à tous les coups : À cause de ces embouteillages, créés artificiellement par les pandores, nombreux sont les automobilistes qui n’ont pas pu être chez eux avant l’heure du couvre-feu.
Logique : Verbalisé, c’est comme si tu payais un droit d’entrée, un péage, ou le retour des barrières d’Octroi !
Qui l’eût cru ?
Ils se sont donc tous exposés à des verbalisations pour goûter aux plaisirs de l’Ancien régime.
Quand je vous dis qu’il revient…
 
Et ce soir-là, le « sinistre de l’Intérieur & des cultes », « Gégé-Dard-à-la-main », se trouvait dans les Yvelines, pour superviser les opérations des forces de l’ordre.
Il avait alors annoncé une « augmentation de plus de 30 % » des contrôles depuis la veille, samedi 30 janvier.
Notez que lui avait une escorte de motards pour rentrer dans ses appartements de fonction, coupant les carrefours à fond les grelots, roulant sur les BAU sur des kilomètres passant des coups de téléphone derrière le garde-de-son corps pour commander fissa des tombereaux de carnets à souche tout neuf.
C’est ça les « grandes opérations » déclenchées à la « va-vite » : L’intendance ne suit pas toujours !
« Les Français doivent savoir qu’après 18 heures, ils ont beaucoup de chance de se faire contrôler et donc verbaliser.
Pouvoir contrôler ces attestations, c’est vraiment une priorité donnée aux préfets, aux gendarmes et aux policiers », même si ça demande du temps.
Une opération qui sera donc renouvelée (dès qu’on aura touché les nouveaux stocks de carnets à PV).
Mais qui ne fera pas reculer la pandémie.
 
Pandémie dont on se rend compte désormais que ça touche une forte minorité de plus de 65 balais, mais quasiment pas les plus jeunes, sauf les maladifs.
Et encore, ceux-là s’en remettent rapidement tel qu’on persiste à rechercher les « séquelles ». Sait-on jamais : Une catastrophe de perdre un client qui n’aura pas encore cracher tout « son jus »…
Pour faire peur naturellement (Tu es allé voir Pépé alors que tu n’es pas testé [il n’y a ni assez de tests, ni assez de doses vaccinales] ! Tu veux le tuer ?), parce que finalement, si certains pays renforcent leurs mesures contraignantes – jusqu’à te rendre délinquant – d’autres y auront renoncé, faute de moyens : Les pôvres, ils n’ont pas compris tout l’intérêt de faire « payer pour respirer » !
 
Du coup, les images de ces files de voitures, avançant peu voire pas du tout, a bien évidemment scandalisé beaucoup d’automobilistes, certains estimant que c’est la mise en place des contrôles des forces de l’ordre qui a causé les importants bouchons, les plaçant « de fait dans l’illégalité ».
Sur « Twister », ils dénoncent même un « manque de discernement de la police » (comme si ils étaient payés pour « discerner »… S’ils en étaient capables, ils feraient un autre métier…) et affichent leur incompréhension : « Waze nous dit 1 h 30 de route. On ne peut pas anticiper 3 heures de route à cause de bouchons causés par les forces de l’ordre », s’agace-t-on.
 
Petit gars, tu devrais rouler plus souvent ou acheter « Les Aventures de Dumè » (108 pages de blagues « Corses » pour moins de 6 boules : Il faut d’ailleurs que je travaille à une seconde édition avec « mon Gardien »).
J’y raconte une histoire vécue d’une journée de rush vers la « Grande-Bleue ».
Ça roule normalement jusqu’à ce que je perçoive la fumée de pneus qui arrachent le bitume, devant moâ.
Ralentissement. Au pas durant une heure sur 10 km.
Jusqu’à ce qu’on dépasse des gendarmes qui flashaient le trafic inverse… Dix minutes plus tard, annonce sur Radio-autoroute d’un accident derrière moâ : Deux meks (ou plus) se sont salement tamponnés à l’approche du ralentissement.
Encore une heure plus tard, nouvel accident mais dans l’autre sens, à peu près jusqu’au niveau des gendarmes et de leur radar : Les meks qui roulaient en sens inverse, ils regardaient l’accident et ça s’est accumulé… jusqu’à se tamponner sous les yeux des pandores…
Les flics sur la route, c’est dangereux !
« La police française qui verbalise les automobilistes coincés dans les bouchons : voilà un bon résumé de la stratégie sanitaire gouvernementale », résume un internaute.
Oui, mais ils ne l’ont même pas fait exprès…  
 
Heureusement, les automobilistes ne sont pas les seuls à être montés au créneau, la classe politique également : « Je plains les policiers qui ont dû faire cette action absurde qui a créé des bouchons, donc mis des gens en retard… et bim, amende ! On peut arrêter de prendre les Français pour des gamins ? », a réagi le porte-la-parole de la belle jeunesse de la « Gauloisie-Insoumise ».
Il s’agit d’un « manque de discernement de la part des forces de police car, en faisant les opérations de contrôle, elles contribuent à ralentir le trafic », a pour sa part dénoncé le premier adjoint « soce » à la mairie de « Paris-sur-merde ».
Il devrait se réjouir : Ils ont osé là où sa patronne a toujours reculé…
« Bienvenue en absurdie ! » s’énerve l’élu de la « Gauloisie Insoumise » de Seine-Saint-Denis.
Il dénonce « la cohue » provoquée par les contrôles.
« Le périphérique bloqué, 400 km de bouchons, impossible pour beaucoup de Franciliens d’être chez eux à temps… et là, on vous verbalise à 18 h 05 ! », écrit-il.
Nous, « l’Absurdistan », quand on est « parigot », on a l’habitude depuis au moins les « axes-rouges » du « Chi »…
C’est dire !
Un député du Val-d’Oise a quant à lui suggéré à « Jupiter » d’arrêter « d’emmerder » les gauloisiens.
 
Mais non, mais non : Plus 50 % d’entre eux voulaient être reconfinés.
Rien que pour les faire caguer quelques semaines de plus (au moins jusqu’aux vacances d’hiver), ça n’a pas été l’option retenue : On préfère relever le niveau des recettes du Trésor par flicaille interposée. C’est nettement plus rentable !
On aura juste fermé les centres commerciaux de plus de 20.000 m².
Encore une ânerie, parce que l’hyper alimentaire qui fait tracteur des centres commerciaux, lui il est resté ouvert quelle que soit sa surface.
Ce sont les commerces d’opportunité qui gravitent autour qui vont être matraqués.
Les bailleurs commerciaux vont être aux anges : Avant de repayer de l’impôt, il va s’en passer du temps avec les déficits accumulés depuis un an…
 
Demain, ce sera les surfaces (imperméabilisées) de plus de 10.000 m², puis de 5.000.
Et on va déployer plein de CRS pour compter les « jauges » 8 m² par « promeneur ». Une famille de 4, c’est 32 m². Sur un hyper de 10.000 m², c’est un brassage de 312 personnes à un moment « t ».
Mais au moins on passera moins de temps aux caisses à attendre bêtement en file indienne : On attendra chacun son tour dehors, sous la pluie (ou l’ardent soleil, selon la saison).
J’adore la perspective, finalement.
Encore un peu, il faudra être « transfrontalier » pour aller se ravitailler en pinard & alcools-forts.
Parce qu’eux, ils pourront franchir les frontières sans se faire faire un test dans le trou de balle, les veinards : Exemptés de se faire « trouer le kul » !
Les autres y passeront tous tôt ou tard : Le type même de mesure qui va aider à relancer le tourisme quand les restaus (musées, théâtres, stades, boites de nuit, etc.) rouvriront.
Pas demain la veille, quoi…
 
En bref, le fiscaliste que je reste est totalement émerveillé par le progrès engendré par le « Conard-virus ».
Même dans mes cauchemars les plus fous, je n’avais imaginé non seulement de faire payer les gens pour qu’ils puissent respirer, mais pas plus de monter de gigantesques nasses à amende en limite des grandes-villes.
Une bonne pêche, finalement !
Même si elle aura été trouvée probablement par hasard.
Mais celle-là, ils ne vont pas la lâcher, croyez-moâ : Ça paye les heures supplémentaires de tout le personnel mobilisé… et même plus que ça en une seule soirée !

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