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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mercredi 24 février 2021

Je suis vraiment dépassé…

Je n’ai rien compris à « l’islamo-gôchisme » !
 
Et vous ?
Parce que moâ, j’ai toujours cru que le « gôchisme », c’est tout ce qui venait du cœur (qui reste à gôche chez les gens normalement constitués), les élans de générosité comme de compassion et que la « droâte », c’était tout le contraire, que ça venait du côté sec et calculateur de l’humanité, à savoir son égoïsme natif et sa pingrerie incarnée.
Naturellement, mon côté « papiste » me faisait pencher vers la candeur et la bonté envers mes semblables.
Et puis au fil du temps (et de l’Histoire), je me suis rendu compte que c’était un peu plus compliqué que ça.
Qu’on pouvait être de « droâte » et s’entraider sans retour avec une immense générosité et beaucoup de cœur et qu’on savait être kon, fasciste et pingre en se prétendant défendre des valeurs de « gôche » !
Eh oui : C’est un constat vérifié à de multiples occasions.
 
En réalité, la frontière est plutôt entre ceux qui commencent à comprendre les ressorts de nos sociétés « avancées » et ceux qui ne pouvaient pas les comprendre. Même pas qu’ils ne voulaient pas les comprendre jusqu’à vouloir les changer, mais ne ils pouvaient pas du tout…
Tout simplement : Ils ne peuvent pas imaginer que si « les choses » sont telles qu’elles sont, ce n’est que très rarement l’effet du hasard, mais beaucoup certainement du fait des nécessités du moment.
Et que finalement, la vraie fracture, pour revenir à l’esprit « peigne-kul » qui anime tant de personnes, restait entre être soi-même, libre et égal à tout autre, et ceux qui te jalousaient de parvenir ainsi à une paix intérieurez et publique, une certaine sérénité qui touche à « la réussite » et une harmonie de l’âme rayonnante.
Point-barre : Le « gôchisme » c’est la négation, souvent de l’autre, parfois violent, et qui de toute façon qui veut détruire ce qui est établi.
Je sais : J’en devient presque sectaire, mais ce ne sont que des observations quasi-quotidiennes.
 
Par exemple, au nom du « progrès-gôchiste », il faudrait nier les sexes pour n’accepter que les genres, nier l’orthographe et la grammaire pour n’avoir que « l’écriture inclusive », réécrire l’Histoire pour nier les différences, censurer les meilleurs auteurs sous l’accusation de racisme ou de je ne sais quoi encore et faire la chasse incessante aux « pensées déviantes »…
Bref, détruire au lieu de dépasser !
 
Quant à l’Islam, il faut être crétin pour ne pas comprendre qu’Allah, c’est le même Dieu que le mien ou que Yahvé. Les trois religions monothéistes, pour résumer, parlent du même personnage réputé être Créateur du tout, du matériel et de l’immatériel, et même des sentiments d’amour, qui nous animent et rendent nos journées plus belles.
Bon, c’est vrai, ce n’est pas avec le même vocabulaire, les mêmes mots, les mêmes préceptes, le même clergé ni les mêmes rituels voire les mêmes dévotions exigées par « le Livre », mais toutes sont si similaires qu’on peut se poser la question de leurs origines réciproques.
Que les juifs aient été persécutés dans un monde polythéiste, je le conçois. Qu’ils aient « inventé » un état d’esprit de persécuté alors qu’ils sont sûr d’être le « peuple élu », je veux bien l’admettre.
Sauf que leur Messie est passé par là et ils ne l’ont pas reconnu.
Il faut dire que le message christique, juif d’entre les juifs, il a eu un discours inattendu : Ils attendaient Israël et tout d’un coup devraient découvrir que le peuple élu de Dieu, ce n’est pas seulement la communauté juive et ses douze tribus, mais toute la communauté des hommes, de tous les hommes (et femmes)…
Évidemment, ça n’a pas bien pris d’emblée.
 
Là-dessus, comme les uns et les autres se foutaient sur la gueule en permanence, je conçois parfaitement que dans sa divine miséricorde pour sauver « Sa créature », Dieu ait eu l’idée d’envoyer un énième prophète, le dernier, Mahomet.
Sauf que Mahomet, pédophile, polygame et chef de guerre, il n’a pas bien le profil du type qui en met plein la vue avec ses miracles…
Une poignée à peine, telle que la Lune fendue en deux… ce qu’on devrait pouvoir vérifier toutes les nuits, n’est-ce pas.
Pire, si quelle que part Moïse parle à un buisson ardent, Jésus nous laisse des apôtres (qui ne sont d’ailleurs pas les siens mais ceux de Jean-le-Baptiste) qui eux sont des témoins directs de sa vie et en rapporte l’essentiel dans leurs évangiles.
Bon d’accord, ces évangiles ont été probablement « retravaillés » par la suite avant que d’être fixés à ce qu’on en connaît aujourd’hui.
En revanche le Coran, tout respectable qu’il est, aura mis plusieurs siècles avant d’être fixé et rassemblé par des témoins de témoins qui aurait vécu à l’époque du Prophète.
Pire que ça, les Paroles Divines sont dictées par l’Archange Gabriel, Jibril, le même qui se présente à Marie.
Conclusion : Vous savez, l’homme qui a vu l’homme qui a vu la bête…
Le tout remanié durant presque 300 ans, c’est sûr et certain que c’est de la « première main », n’est-ce pas !
Mais bon, je n’ai rien contre.
 
Pas plus que comme le Bouddhisme. Il n’y a pas un texte, mais plusieurs chants transmis de générations en générations par voie orale avant d’être transcrits en sanscrit.
Tous également « révélés » mais tellement imprégnés de philosophies préexistantes orientales que c’est comme dans une auberge espagnole : On y trouve de tout.
On dit « auberge espagnole », mais on devrait dire café-bar islandais. Là, on y trouve vraiment tout ce qu’on veut. Et s’il n’y en a pas, il y en a dans la boutique d’à côté.
En bref, le « fait religieux » existe au moins depuis Neandertal (qui enterrent ses morts lui aussi, alors que les bouddhistes les brûlent… comme d’une dernière purification en vue d’une réincarnation pour un nouveau Karma, un peu comme les égyptiens antiques qui momifiaient leurs dieux-vivants… et réincarnés !), il n’y a rien à nier et probablement que chacun a sa place, même les hérétiques-huguenots et les hérésies de toutes les espèces : Ce n’est pas bien grave.
Sauf que…
 
J’ai cru comprendre que les islamistes prétendent que la loi de Dieu est supérieure à celle des hommes et doit s’appliquer avec rigueur à tout le genre humain : La Charia.
Alors que pour moâ, « papiste-devenu-de-droâte », la loi humaine tente seulement de toucher au divin et à ses enseignements philosophiques, avec toutes ses imperfections passagères et opportunistes.
Peut-être qu’au bout, on arrivera à une sorte de Charia, mais comme celle-ci sort tout droit du moyen-âge et qu’on ne doit même pas l’interpréter sans pouvoir l’adapter, il y a tout de même un gros problème en ce début du troisième millénaire.
Un texte qui aura mal supporté les affronts de plus d’une dizaine de siècles de progrès scientifiques et de connaissances vérifiables diverses et variées empilées au fil du temps…
Et justement, si j’ai bien compris, il s’agit pour les « islamistes » de rejeter les technologies contraires à la Charia (et l’esprit des Lumières qui lui ont donné peu ou prou naissance, en tout cas favorisé leur éclosion).
 
Que justement, figurez-vous, les « gôchismes » qui rejettent déjà ce qu’ils ne comprennent pas, forcément se retrouvent dans le même mouvement de rejet.
Pour ces deux-là, finalement, c’est le même combat contre ce que sont devenues, pour de mauvaises ou bonnes raisons, nos sociétés modernes.
Ils sont faits pour s’épauler, s’entraider, se soutenir en vue de pourrir ce qu’ils abhorrent et détestent le plus au monde, bien naturellement.
Conclusion, « l’islamo-gôchisme » ou le « gôchisme-islamiste », c’est de la même trempe sans être la même graine : Mais qui se ressemble s’assemble, c’est bien connu.
Pourquoi tout d’un coup se poser la question de leur légitimité ?
Ce n’est jamais qu’un constat épistémologique (l’étude des origines).
 
C’est là que pour les chercheurs du CNRS (qui feraient mieux de s’occuper d’autres choses plutôt que de leurs échecs patents avec mes impôts) l’expression n’a « aucune réalité scientifique ».
Ah bon ?
Déjà, quand tu sors de ton lieu de travail, tu peux penser à éteindre la lumière de tes locaux : Ce n’est pas parce que ce n’est pas toâ qui paye que c’est gratuit…
Ensuite, un « fait », même seulement « politique » voire religieux, c’est quoi au juste sinon un fait digne d’études « scientifiques » ?
 
Ça me fait bien rire : Pour les « jupitériens » cette notion est attestée par une « convergence des idées » (ce que je viens de noter sans être « jupitérien » pour autant) entre une partie de l’extrême gôche et l’islam politique.
Si ce n’était que religieux, encore, mais non on parle d’islam « politique ».
Donc « c’est un fait politique. (…) Je ne sais pas si cela a une réalité scientifique mais de façon indubitable, on voit aujourd’hui qu’une partie de la gauche, plus précisément de l’extrême gauche, mélange sa voix et fait converger ses idées avec l’islam politique », a ainsi estimé, dimanche 21 février, le délégué général du parti des « marcheurs-même-pas-en-rêve » sur Europe 1 (média qui tente de survivre dans le PAF), « Les Échos-du-matin » et CNEWS.
Et de citer en exemple la participation de « Mes-Luches » à la marche contre l’islamophobie en novembre 2019. Pour lui, cette présence, revendiquée par les Insoumis est « la preuve indiscutable qu’il y a une convergence politique de ces deux thèses-là, et qu’ils essaient de faire leur lit dans une vision sécessionniste de la société française. »
Mais non, il se goure : La meuf à « Mes-Luches » est seulement de « culture » musulmane, pas très pratiquante peut-être, mais a plein de potes qui le sont et qui se sentent exclus des cercles « chrétiens » qui étreignent le pouvoir et ses allées…
C’est tout : Il ne faut pas chercher des complots partout non plus, surtout là où il n’y en a pas !
 
« Un fait social indubitable » pour le « sinistre de les Ducs à Sion » qui l’expliquait la veille, avec le même exemple mais en utilisant des mots différents pour creuser le sillon polémique de la lutte contre « l’islamo-gauchisme » en marge de l’assassinat du professeur d’Histoire Samuel Paty (cette horreur d’une exécution sans nom qui nous vient tout droit de la bêtise humaine et archaïque) : « Ce serait absurde de ne pas vouloir étudier un fait social. Si c’est une illusion, il faut étudier l’illusion et regarder si cela en est une. Pour ma part je le vois comme un fait social indubitable », expliquait-il sur BFMTV, estimant que « certains essayent toujours de minimiser ce projet politique ».
Non, seulement le remettre à sa place, aux côtés des « black-bloks », « d’Action directe » et des « croix de feu », comme d’une « mode passagère »…
Et que je finis par croire qu’ils ont peur de leur ombre, pas plus.
 
« C’est un phénomène qu’il faut regarder en face », ajoutait-il, citant pêle-mêle les exemples d’ateliers « non mixtes » organisés par le syndicat Sud Éducation 93 en 2017, l’interruption « par des activistes » d’une représentation du poète antique Eschyle à la Sorbonne ou le soutien à mots voilés à des « islamistes radicaux ».
Il aurait pu rajouter les piscines lilloises de « Titine-Eau-Brie » réservées aux femmes voilées…
Pour le « sinistre », il s’agit d’un terme « très global », « qui n’a pas forcément un contenu scientifique » mais qui « décrit une réalité politique. »
Pourquoi pas ?
C’est là que la « sinistre de l’Enseignement supérieur » en rajoute une couche pour être à l’origine du retour de cette expression dans le débat public, après avoir demandé au CNRS une étude sur « l’islamo-gauchisme » seulement à l’université, au risque de s’attirer les foudres du monde universitaire.
Plein la tronche qu’elle s’en est prise en retour…
Et elle persiste et signe ce dimanche dernier dans Le JDD… tout en certifiant qu’il ne s’agit pas de la priorité du gouvernement.
Ah oui ?
Bé voyons : Il y a bien pire, comme les contaminations du mutant british que Nice en est obligé de fermer sa « promenade des Anglais » sur la Baie des Anges : Là au moins, c’est signifiant !
 
« Bien sûr, l’islamo-gauchisme n’a pas de définition scientifique », d’après la « sinistre de les ducs à Sion supérieure », en réaction au « recadrage » du CNRS.
« Mais il correspond à un ressenti de nos concitoyens, d’abord, et à un certain nombre de faits, aussi : l’empêchement, dans certains établissements, d’une représentation des Suppliantes d’Eschyle ou de la lecture d’un texte de Charb, des enseignants qui ne se sentent pas libres d’enseigner comme ils le souhaitent ».
Ont-ils jamais été libres, au juste ?
Bon, admettons… Mais faire une étude sur du « ressenti », c’est sûr que ce n’est pas très « scientifique »…
 
Pourtant elle prône « une approche rationnelle et scientifique » de ce débat sorti de nulle part. N’importe quoi, tant qu’on y est…
« Comment peut-on être ministre des universités et confondre le travail savant et le ‘‘ressenti’’ (sic) de certains ? Sans citer aucun fait ayant trait à la recherche », s’interroge, un historien au lendemain de la publication d’une tribune signée par 600 universitaires réclamant la démission de leur « sinistre » de tutelle.
Justement, on manquerait de « données » à « chercher »…
Et là, ça devient vraiment politique : Qui c’est qui fait chef au juste ?
 
En analyse un autre : « Fabriquer son ennemi c’est la meilleure manière de fédérer des alliés. Et là, on sent bien que quelque chose arrive de la gauche et de la droite (…). La critique vient de ceux qui ont le sentiment d’avoir perdu la main sur le social et de ceux qui ont le sentiment que la plus grande France s’effondre ».
« C’est l’alliance des vieux bruns et des vieux rouges. »
Ils ne sont pas tous déjà morts, ceux-là ?
Ah non, on en retrouve encore chez les « écololos », il est vrai.
D’ailleurs, ça n’a pas tardé : « Yan-Nique-Yoda » demande, à son tour, le départ de la « sinistre » : « Qu’il y ait eu des complaisances individuelles, à droite comme à gauche, avec des associations qui protègent un agenda salafiste, c’est une évidence ». Mais d’expliquer « l’islamo-gôchisme » ne correspond à rien à ses yeux.
Bé, faudrait savoir si on parle sur du vide ou si ce n’est pas le cas, non ?
Pour lui comme pour de nombreux chercheurs et universitaires, « la ministre qui porte la disqualification de la recherche et de l’enseignement supérieur dans notre pays ne peut rester en poste. »
Et pourtant, ce ne sera pas la première et sans doute pas la dernière non plus…
 
Donc, il n’y a rien à voir ?
Probablement puisque les faits parlent d’eux-mêmes.
D’autant qu’il y a plus urgent que de créer des polémiques vides de sens.
Comme par exemple ces histoires de menu dans les cantines lyonnaises…
D’abord c’est une décision de la précédente municipalité, très « jupitérienne » et non pas du maire « écololo » sorti des urnes à l’occasion des dernières élections.
Pourquoi le vilipender au juste ?
Ou que soi-disant Sciences-Po imposait l’écriture inclusive à ses élèves alors qu’ils s’emmêlent encore les pinceaux avec les mœurs de leur président d’une autre époque.
Passer à un plat unique permet aux cantines, il faut bien le dire, d’accélérer leur cadence ce qui est nécessaire pour faire déjeuner les élèves tout en respectant les précautions sanitaires.
D’autant que de mon époque, nous n’avions pas le choix : Il n’y avait que mes potes musulmans et feujs qui avaient un menu dérogatoire servi gracieusement.
Par ailleurs, la moitié des élèves de primaire ne choisissant pas la viande (par goût, par habitude, pour des questions religieuses), puisque ce serait ça le cœur du problème, et la mairie a donc opté pour le menu susceptible de rassembler tous les enfants.
 
Quand on s’emmêle une fois de plus les pinceaux sur des polémiques ridicules, ils osent tout (c’est même comme ça qu’on les reconnait… les kons), il y a lieu de s’inquiéter : Donner accès à la viande aux enfants défavorisés reste la dernière trouvaille.
Il n’y avait pas mieux en magasin ?
Rappelons qu’en « Gauloisie-bouchère », chez les ouvriers, on consomme 35 % de viande de plus par jour que chez les cadres (150 g contre 113 g).
Je dois être un « sous-prolétaire » accentué : J’en mange 300 à 400 grammes en deux repas…
…Parallèlement, 53 % des enfants de non-diplômés consomment moins de 2 portions de fruits et légumes par jour contre 23 % pour ceux de parents ayant au moins bac + 3.
Chez moâ, les fruits c’est en jus avec un trait d’alcool-fort, sauf pour les gamins, naturellement.
En bref, nous sommes paraît-il omnivore et nos gamins ont besoin d’aliments divers (et de plus de végétaux). Le respect de la politique a besoin de celui des faits.
Bref, typique d’une mauvaise foi inique : Ça panique chez les « sachants », me semble-t-il, à en perdre les pédales !
 
La « sinistre » mise en cause par sa maladresse sur « l’islamo-gôchisme », épaulée, à en détourner le regard, par le « sinistre de l’intérieur & des cultes » qui se dit « choqué » de ne pas avoir de viande au menu (les œufs, les poissons, ça compte pour du beurre ?), a finalement le dernier mot (à mon sens) : « Les libertés académiques, la liberté de la recherche doivent être défendues à tout prix. Ce que je souhaite, c’est savoir si ces libertés ne sont pas entravées dans le travail des chercheurs et des enseignants-chercheurs. »
« Ce sujet suscite beaucoup de réactions, mais ce n’est pas notre priorité aujourd’hui. La priorité, c’est la situation des étudiants et la pandémie. »
Bien naturellement…
 
Sauf pour tous ceux qui veulent « détruire » ou seulement nuire…
Bien entendu également…
Bref, une polémique de m… (étron) de plus pour des résultats plus qu’incertains qui ne font que démontrer que ça panique au « château » qui décidément fait feu de tous bois pour masquer son incurie de plus en plus évidente.
Pas mieux.

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