Car c’est terrifiant
Certes, c’est un peu « recuit » puisque ça
date de la semaine dernière.
Mais c’est dans le prolongement de ce que nous disions hier à propos de l’amateurisme de l’actuelle commission de l’UE, que ce soit sur le plan diplomatique ou de la gestion de la crise sanitaire et de ses vaccins…
Il s’agit du rapport parlementaire sur justement la gestion de la pandémie de « Conard-virus » en « Hexagonie-Gauloisienne ».
Que n’a-t-on écrit sur cette pandémie et surtout sur sa gestion par la fine équipe de responsables politiques aux commandes de l’État !
Jusqu’à feu Bernard Blier (l’acteur) à qui on fait demander « Et ce sont les mêmes qui gère une guerre nucléaire ? » avec son air sérieux de « pince sans rire » des meilleurs jours…
Terrifiant, finalement à en avoir froid dans le dos.
À en croire les opinions de la plupart, de nombreuses
erreurs furent commises par un gouvernement qui n’a pas été suffisamment à la
hauteur.
Tout le monde aura pu le constater.
Pourtant, avec nos « sachants d’élite », tout ne peut pas avoir été raté avec obstination, forcément !
Nous y reviendrons.
Et pour trier le bon grain de l’ivraie, une mission
d’information du Parlement sur la crise du « Conard-virus » a été spécialement
mandatée pour enquêter sur cette gestion de crise et en tirer les enseignements
pour faire avancer le pays vers une plus grande sérénité future.
Car, pour bien vous foutre la trouille, non seulement on garde le suspens sur le confinement, sur les vacances scolaires des « chère têtes-blondes », sur l’efficacité, douteuse pour certains, des vaccins et surtout sur les nouveaux virus (des mutants : Ça fait encore plus menaçant, plus terrifiant…) qui mugissent jusqu’aux abords de « nos sillons », enfants de la Patrie…
Et la majorité de mes concitoyens acceptent sans râler plus que ça ces discours anxiogènes à souhait de « scienteux-experts » qui ont pris le pouvoir dans les allées du pouvoir…
J’adore ce genre de délires paradoxaux.
Donc, presqu’un an après le début de ses travaux,
cette mission était sur le point de rendre les premiers résultats quand, soudain
et de façon totalement fortuite, elle a été discrètement dissoute entre deux tasses
de thé à la buvette de l’Hémicycle, ce qui aura déclenché un tollé qui n’aura
pas duré plus que ça, le week-end et le couvre-feu étant passés par-là.
Pas plus que quelques entrefilets dans la presse aux ordres, dont l’intérêt aura été reporté sur « l’évaporation du pouvoir régalien » ou les détournements de fonds d’associations lucratives sans but mais à revendications diverses.
Un bel enterrement qui m’interroge…
La majorité « Jupitérienne » a, évidemment dû
rappeler comme un seul homme (leur arrivent-ils d’avoir des opinions
personnelles, à ceux-là ?) que cette mission était temporaire, qu’ayant
rendu un rapport, elle pouvait donc disparaître mission accomplie, et que non,
cette mission n’a pas été dissoute parce que le seul rapport produit (un bel
effort scriptural de plus de 400 pages) est, essentiellement, une critique à
l’acide de la gestion calamiteuse de la crise par notre brochette de bras
cassés gouvernementaux et leurs dévoués fonctionnaires.
On a les « sachants » que l’on peut et je pose toujours la question, « et vous, dans les mêmes circonstances et avec les mêmes éléments en main, qu’auriez-vous fait ? »
Et si vous en avez une idée, bé c’était avant qu’il eût fallu l’énoncer, pas après : Ce train-là ne passe qu’une fois !
Rien que les titres de chapitres et des paragraphes dans
la table des matières fait remonter des souvenirs où les responsables politiques
se succédaient aux tribunes médiatiques pour expliquer à quel point tout était sous
contrôle, maîtrisé, planifié et comment la « Gauloisie-extraordinaire »
et merveilleuse, allait s’en sortir sans problème en deux coups de test, trois
traçages et une paire de quarantaine : « Préparation inadaptée », « fort
tropisme hospitalier », « défaut de vigilance à l’égard des plus
vulnérables » et j’en passe, ces titres se suivent et offrent un joli
panorama d’une accumulation difficilement acceptable de tous les
dysfonctionnements de l’ensemble administratif tricolore.
Un beau résumé du « mal Gauloisien » !
Et encore, souvenez-vous du diagnostic du docteur-ministre « Buse-One » : La Chine c’est loin.
Et on est prêt à toutes les situations, vue la qualité de nos énârques et autres « sachants » qui savent tout mieux que quiconque.
Bref, aucun risque !
La Chine, c’est peut-être loin, mais la « Ritalie », c’était de l’autre côté des Alpes et de la frontière (largement ouverte), et eux ne rigolaient déjà plus du tout en février…
Parmi les perles, on peut ainsi lire que « la DGS a
fait le choix de ne conserver qu’une très faible quantité de masques en stock
et a modifié un rapport scientifique a posteriori pour justifier sa
décision ».
Rhôôôô : On tripoterait presque le mauvais côté de la légalité et on les a tous gardés au lieu de les virer sans pension comme ça se fait partout ailleurs ?
« Le choix de la réquisition : une méthode contre-productive »… Ah ? Non mais sans rire ?
« Des stratégies de soins sans coordination » : Ils sont pourtant nombreux les comités Théodule et autres « machins » dont la pléthore reste tout le sel de la raison d’être étatique…
« Embûches administratives » : Qué ? Allons-donc !
Et autres « pesanteurs organisationnelles » (franchement ?) voire des aveux ridicules : « Santé publique France : une agence contestée et débordée ».
Ils ont pourtant des budgets conséquents et les postes sont si recherchés par tous les « à recaser » qui ont mordu la poussière dans leurs carrières antérieures à votre service, celui du public… signant ainsi leur attestation autodélivrée d’avoir atteint leur niveau d’incompétence.
Vous êtes sûrs qu’après ça la CGT et autres syndicats voudront poursuivre la « défense du service public » et non pas l’enterrer ?
C’est juste une question idiote, reconnais-je…
À côté de toutes ces énumérations, finalement « Buse-One »,
alors en poste au tout début de la crise, est jugée bien moins sévèrement que
ce à quoi on pourrait s’attendre.
Si on comprend que le haut de la pyramide du pouvoir était au courant assez tôt et avait compris, malgré tout l’importance d’agir, malheureusement, le Mammouth étatique, faute d’avoir été dégraissé, même aiguillonné par la « sinistre de la bonne santé » (ex-future-mairesse de « Paris-sur-la-plage » en remplacement de « Gris-veaux-la-turlute »), n’avait pas jugé bon de s’inquiéter.
Et lorsqu’il s’est agi de se bouger le kul et les fesses qui vont avec, son inertie naturelle de pachyderme obèse l’en a durablement empêché : Aucune agitation ministérielle n’aura abouti à quoique ce soit !
Bref, la majorité « Jupitérienne » n’a pas
eu beaucoup de mal à faire passer le rapport pour un brûlot polémiste
inacceptable car « partisan ».
Toutefois, ce qui y est décrit reste corroboré à la fois par les éléments de presse de l’époque, la mémoire collective et les expériences personnelles de tout un chacun.
Un fait, aussi cuisant soit-il, ne peut être qualifié de partisan : Ça reste un fait, pas une opinion.
Ce qu’on apprend donc entre les lignes, c’est que finalement même la réalité devient partisane quand elle démontre sans le moindre doute possible que les équipes au pouvoir ont été dramatiquement nulles, jusqu’au tragique tant leur incompétence a coûté du temps et donc des vies par l’absence de certaines mesures simples, comme la protection des aînés prisonniers dans leurs maisons de retraite étant ce qui saute aux yeux dans le rapport.
La dissolution de la mission d’enquête et la placardisation rapide de son rapport est donc logique.
Mais quelle logique, au fait ?
Autre conséquence : En passant à la trappe
médiatique (et législative) tout cette prose (400 pages tout de même), « LREMême-pas-en-rêve »,
probablement sur ordre « d’en haut » voudrait surtout faire oublier la
gestion calamiteuse des autorités en qualifiant toutes critiques en simple
polémique politicienne.
J’en rigole encore : Quand ils jouent les « autistes », ils ne font que maquiller leur « trisomie » native.
Mais elle suinte par tous les pores de leur vernis.
Inutile que j’en rigole pour vous l’avoir suffisamment expliqué tout au long de ces dernières années.
En leur reconnaissant toutefois que ce ne sont ni les premiers (quoiqu’à ce niveau-là… ils mettent la barre assez haute) ni probablement les derniers.
Le plus drôle, parce que quand on est kon, on le reste
puisque ça ne se soigne pas, c’est qu’en voulant étouffer cette commission et
ce rapport, les « Marcheurs-même-pas-en-rêve » évitent ainsi la prise
de conscience qui devrait frapper nos dirigeants devant les problèmes de mon
pays (celui que j’aime tant et qui me le rend si mal…) qui ne datent pas d’hier
et que cette crise aura seulement mis en exergue (nous en sommes nous-mêmes parfaitement
conscient, avec notre clope au bec et nos odeurs de diesel de « gens sans
dent ») : On devrait tout de même s’inquiéter de la suradministration, des
lourdeurs bureaucratiques multiples, des décisions idiotes et parfois
contradictoires, arbitraires et antagonistes, que les myriades d’agences et
autres furoncles du Léviathan étatique qui parasitent, bouffent les « forces
vives » en leur gâchant la vie et gangrènent la vie normale et productive
du pays.
Ce serait de Salut public !
Car en réalité, ces éléments ne dépendent pas de la politique d’un gouvernement même s’il s’agit de clowns diplômés de la « grande ékole des Ânes » et pourraient à eux seuls pousser à de puissantes réformes nécessaires si ses ministres savaient s’élever un tout petit-peu au-dessus de leur condition d’improvisateurs permanents.
Ce serait bien logique, n’est-ce pas ?
Pas du tout : Nous, nous avons appris de ces « guignols-cravatés »
(et désormais « masqués »), mais eux, rien du tout.
Au mieux, comme « Buse-One » ou « Hue-L’eau », on ne gâche pas son talent (et son temps) à rester parmi eux – puisque ça ne sert à rien – au pire, on essaye de réfléchir à la condition de ministre.
Or, comme ça ne les effleure même pas, ils ont préféré jeter le bain et le bébé avec l’eau du bain de ce rapport, au lieu d’espérer en tirer profit pour tracer une voie de sortie de l’ornière dans laquelle ce pays est plongé depuis tant d’années.
Je serai « Bébé-Roux », haut-commissaire au
plan, au lieu de faire savoir sur tous les toits que 4.000 boules/mois et par
personne, c’est tout juste « la classe moyenne », là où « Tagada-à-la-fraise-des-bois »
considérait que c’était de « la richesse », démontrant ainsi son
inaptitude totale à avoir des responsabilités quelconques pour rester indécrottablement
« crétin-autiste-trisomique » déconnecté d’un pays où plus des trois
quarts de la population vit avec moins de 3 K€/mois et seulement 18 % seraient
alors « classe moyenne », je m’emparerai de ce rapport (et de
quelques autres) pour tenter de bâtir un avenir meilleur à nos gamins…
Mais non…
Ceci plus cela, comme en dit un autre, finalement, l’enterrement
de cette commission et de son rapport garantit ni plus ni moins que les problèmes
« Gauloisiens-éternels », de ceux qui se situent bien au-delà de ses
gouvernants précaires, à savoir « sa gangrène fulgurante du formulaire
Cerfa en triplicatas tamponnés, sa bousculade d’administrations inutiles se
marchant les unes sur les autres », a encore de folles journées devant
elle pour abrutir toujours plus le peuple.
Fonctionnaire qui fonctionne, c’est vraiment un métier d’avenir : Non seulement ils ne sont jamais responsables, ils ont la carrière assurée en toutes circonstances, ils sont au chaud, ils sont nourris correctement, mais ils ne seront surtout jamais ni attaqués, ni remis en cause.
À se demander si ce n’est pas le principal message à retenir… pour calmer leurs syndicats.
Quoiqu’il y en ait peut-être également un autre :
L’exécutif, tout comme le pouvoir législatif, n’est jamais responsable de sa propre
konnerie puisqu’ils sont « sachants », parfois élus mais pas toujours,
qui savent tout mieux que vous.
Et celui qui laisse supposer l’inverse, il est enterré vivant !
Oui mais alors, à quoi sert un Parlement, au juste, si même quand il tente d’enquêter honnêtement sur des « bavures » (si tant est qu’on puisse rester « honnête » en toutes circonstances…) ?
Il sera probablement enterré lui aussi, tôt ou tard.
C’est là que c’est vraiment terrifiant : Dans
cette crise du « Conard-virus », il y aura eu pléthore de funestes
erreurs… On ne tue pas plus de deux millions de personnes sans raison…
Ce n’est pas grand-chose sur 7,5 milliards d’individus (à peine sensible), mais je reste persuadé que ce n’était qu’un essai, probablement juste une opportunité (et non pas un « coup monté » à l’avance) offerte par la Chine, comme une façon de rôder les comportements des uns et des autres.
Pour mieux en détecter les limites, plus d’en faire l’inventaire des conséquences…
Et surtout l’occasion de prendre des décisions ineptes au regard de nos institutions (qu’ils sont censés protéger quoiqu’il en coûte…, ils ont été élus pour ça aussi !).
De ce point de vue-là, c’est plutôt une grande réussite.
Mais là encore, personne ne vous le dira et surtout pas le rapport parlementaire qui sera passé à côté.
Peut-être quelques historiens vous le diront, mais bien plus tard…
On sera alors tous morts « en bonne santé » à ce moment-là !
Quelques-uns auront témoigner qu’ils n’étaient pas dupes…
Mais c’est dans le prolongement de ce que nous disions hier à propos de l’amateurisme de l’actuelle commission de l’UE, que ce soit sur le plan diplomatique ou de la gestion de la crise sanitaire et de ses vaccins…
Il s’agit du rapport parlementaire sur justement la gestion de la pandémie de « Conard-virus » en « Hexagonie-Gauloisienne ».
Que n’a-t-on écrit sur cette pandémie et surtout sur sa gestion par la fine équipe de responsables politiques aux commandes de l’État !
Jusqu’à feu Bernard Blier (l’acteur) à qui on fait demander « Et ce sont les mêmes qui gère une guerre nucléaire ? » avec son air sérieux de « pince sans rire » des meilleurs jours…
Terrifiant, finalement à en avoir froid dans le dos.
Tout le monde aura pu le constater.
Pourtant, avec nos « sachants d’élite », tout ne peut pas avoir été raté avec obstination, forcément !
Nous y reviendrons.
Car, pour bien vous foutre la trouille, non seulement on garde le suspens sur le confinement, sur les vacances scolaires des « chère têtes-blondes », sur l’efficacité, douteuse pour certains, des vaccins et surtout sur les nouveaux virus (des mutants : Ça fait encore plus menaçant, plus terrifiant…) qui mugissent jusqu’aux abords de « nos sillons », enfants de la Patrie…
Et la majorité de mes concitoyens acceptent sans râler plus que ça ces discours anxiogènes à souhait de « scienteux-experts » qui ont pris le pouvoir dans les allées du pouvoir…
J’adore ce genre de délires paradoxaux.
Pas plus que quelques entrefilets dans la presse aux ordres, dont l’intérêt aura été reporté sur « l’évaporation du pouvoir régalien » ou les détournements de fonds d’associations lucratives sans but mais à revendications diverses.
Un bel enterrement qui m’interroge…
On a les « sachants » que l’on peut et je pose toujours la question, « et vous, dans les mêmes circonstances et avec les mêmes éléments en main, qu’auriez-vous fait ? »
Et si vous en avez une idée, bé c’était avant qu’il eût fallu l’énoncer, pas après : Ce train-là ne passe qu’une fois !
Un beau résumé du « mal Gauloisien » !
Et encore, souvenez-vous du diagnostic du docteur-ministre « Buse-One » : La Chine c’est loin.
Et on est prêt à toutes les situations, vue la qualité de nos énârques et autres « sachants » qui savent tout mieux que quiconque.
Bref, aucun risque !
La Chine, c’est peut-être loin, mais la « Ritalie », c’était de l’autre côté des Alpes et de la frontière (largement ouverte), et eux ne rigolaient déjà plus du tout en février…
Rhôôôô : On tripoterait presque le mauvais côté de la légalité et on les a tous gardés au lieu de les virer sans pension comme ça se fait partout ailleurs ?
« Le choix de la réquisition : une méthode contre-productive »… Ah ? Non mais sans rire ?
« Des stratégies de soins sans coordination » : Ils sont pourtant nombreux les comités Théodule et autres « machins » dont la pléthore reste tout le sel de la raison d’être étatique…
« Embûches administratives » : Qué ? Allons-donc !
Et autres « pesanteurs organisationnelles » (franchement ?) voire des aveux ridicules : « Santé publique France : une agence contestée et débordée ».
Ils ont pourtant des budgets conséquents et les postes sont si recherchés par tous les « à recaser » qui ont mordu la poussière dans leurs carrières antérieures à votre service, celui du public… signant ainsi leur attestation autodélivrée d’avoir atteint leur niveau d’incompétence.
Vous êtes sûrs qu’après ça la CGT et autres syndicats voudront poursuivre la « défense du service public » et non pas l’enterrer ?
C’est juste une question idiote, reconnais-je…
Si on comprend que le haut de la pyramide du pouvoir était au courant assez tôt et avait compris, malgré tout l’importance d’agir, malheureusement, le Mammouth étatique, faute d’avoir été dégraissé, même aiguillonné par la « sinistre de la bonne santé » (ex-future-mairesse de « Paris-sur-la-plage » en remplacement de « Gris-veaux-la-turlute »), n’avait pas jugé bon de s’inquiéter.
Et lorsqu’il s’est agi de se bouger le kul et les fesses qui vont avec, son inertie naturelle de pachyderme obèse l’en a durablement empêché : Aucune agitation ministérielle n’aura abouti à quoique ce soit !
Toutefois, ce qui y est décrit reste corroboré à la fois par les éléments de presse de l’époque, la mémoire collective et les expériences personnelles de tout un chacun.
Un fait, aussi cuisant soit-il, ne peut être qualifié de partisan : Ça reste un fait, pas une opinion.
Ce qu’on apprend donc entre les lignes, c’est que finalement même la réalité devient partisane quand elle démontre sans le moindre doute possible que les équipes au pouvoir ont été dramatiquement nulles, jusqu’au tragique tant leur incompétence a coûté du temps et donc des vies par l’absence de certaines mesures simples, comme la protection des aînés prisonniers dans leurs maisons de retraite étant ce qui saute aux yeux dans le rapport.
La dissolution de la mission d’enquête et la placardisation rapide de son rapport est donc logique.
Mais quelle logique, au fait ?
J’en rigole encore : Quand ils jouent les « autistes », ils ne font que maquiller leur « trisomie » native.
Mais elle suinte par tous les pores de leur vernis.
Inutile que j’en rigole pour vous l’avoir suffisamment expliqué tout au long de ces dernières années.
En leur reconnaissant toutefois que ce ne sont ni les premiers (quoiqu’à ce niveau-là… ils mettent la barre assez haute) ni probablement les derniers.
Ce serait de Salut public !
Car en réalité, ces éléments ne dépendent pas de la politique d’un gouvernement même s’il s’agit de clowns diplômés de la « grande ékole des Ânes » et pourraient à eux seuls pousser à de puissantes réformes nécessaires si ses ministres savaient s’élever un tout petit-peu au-dessus de leur condition d’improvisateurs permanents.
Ce serait bien logique, n’est-ce pas ?
Au mieux, comme « Buse-One » ou « Hue-L’eau », on ne gâche pas son talent (et son temps) à rester parmi eux – puisque ça ne sert à rien – au pire, on essaye de réfléchir à la condition de ministre.
Or, comme ça ne les effleure même pas, ils ont préféré jeter le bain et le bébé avec l’eau du bain de ce rapport, au lieu d’espérer en tirer profit pour tracer une voie de sortie de l’ornière dans laquelle ce pays est plongé depuis tant d’années.
Mais non…
Fonctionnaire qui fonctionne, c’est vraiment un métier d’avenir : Non seulement ils ne sont jamais responsables, ils ont la carrière assurée en toutes circonstances, ils sont au chaud, ils sont nourris correctement, mais ils ne seront surtout jamais ni attaqués, ni remis en cause.
À se demander si ce n’est pas le principal message à retenir… pour calmer leurs syndicats.
Et celui qui laisse supposer l’inverse, il est enterré vivant !
Oui mais alors, à quoi sert un Parlement, au juste, si même quand il tente d’enquêter honnêtement sur des « bavures » (si tant est qu’on puisse rester « honnête » en toutes circonstances…) ?
Il sera probablement enterré lui aussi, tôt ou tard.
Ce n’est pas grand-chose sur 7,5 milliards d’individus (à peine sensible), mais je reste persuadé que ce n’était qu’un essai, probablement juste une opportunité (et non pas un « coup monté » à l’avance) offerte par la Chine, comme une façon de rôder les comportements des uns et des autres.
Pour mieux en détecter les limites, plus d’en faire l’inventaire des conséquences…
Et surtout l’occasion de prendre des décisions ineptes au regard de nos institutions (qu’ils sont censés protéger quoiqu’il en coûte…, ils ont été élus pour ça aussi !).
De ce point de vue-là, c’est plutôt une grande réussite.
Mais là encore, personne ne vous le dira et surtout pas le rapport parlementaire qui sera passé à côté.
Peut-être quelques historiens vous le diront, mais bien plus tard…
On sera alors tous morts « en bonne santé » à ce moment-là !
Quelques-uns auront témoigner qu’ils n’étaient pas dupes…
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