Jean-Marc et Jean-Paul, sur leur balcon respectif.
Passé 18 heures, chacun reste sagement confiné à domicile.
Mais les jours rallongent.
Et parfois il ne fait pas si froid que ça…
Jean-Marc et Jean-Paul, avachis devant une énième bière :
« – Mon ami Jean-Paul !
– Quoi ?
– N’oublie jamais que 40 % des accidents sur la route sont provoqués par des buveurs d’alcool.
– Je sais !
– Oui mais ça veut dire que 60 % des accidents sont provoqués par des buveurs d’eau. C’est tout de même énorme ! »
Jean-Paul fait une confidence à Jean-Marc.
« – Tu sais… Chaque année, à la même date, j’ai un petit pincement au cœur.
– Et pourquoi donc ?
– Cette année cela va faire dix ans que j’ai perdu ma première femme.
– …
– Je n’oublierai jamais cette partie de poker… »
Depuis plusieurs années, un couple de leurs voisins fait chambre à part.
Une nuit, le mari est réveillé par des cris d’effroi de son épouse.
Il se précipite dans sa chambre juste le temps de voir un homme s’échapper par la fenêtre.
« – Que s’est-il passé ?
– Un type s’est introduit ici et m’a violée à deux reprises !
– Comment à deux reprises ?
Mais pourquoi n’as-tu pas crié tout de suite ?
– Parce que je croyais que c’était toi !
C’est quand il a voulu recommencer que j’ai compris. »
C’est peut-être une « revenue »…
Jean-Marc cogne violemment à la porte du sex-shop.
« C’est un scandale ! C’est un scandale. Retirez ça ! Vous
entendez, enlevez-moi ça ! »
Voulant éviter un scandale, le gérant sort.
« – Mais enlever quoi ?
– La buée. On n’y voit rien ! »
Ça c’est une vraie « revenue » !
Jean-Marc et Jean-Paul, devant une nouvelle bière :
« As-tu remarqué que … que lorsque les gens vous disent : « Je
veux partager ça avec toi », il ne s’agit jamais d’argent ? »
Autre remarque :
« Les français se masturbent plus souvent qu’ils ne se lavent les dents car ils n’ont pas toujours une brosse à dents sous la main. »
On y reviendra dimanche dans la catégorie, « La science en marche »
Un vieux Monsieur et sa dame, un peu Alzheimer tous les deux, sont assis
dans un parc.
La dame dit à son vieux :
« – Irais-tu me chercher une crème glacé molle pour le casse-croûte ?
– Bien sûr, ma vieille.
– Écris-le sur un papier, tu ne t’en rappelleras pas.
– Non, non, je vais le retenir.
– Ah ! Fais-la donc saucer dans le chocolat, écris-le, car tu ne t’en rappelleras pas.
– Non, non je vais être capable.
– Oh ! Mais donc mettre des éclats d’amende sur le dessus, mais là, écris ma commande car tu vas tout oublier.
– Non, je vais m’en rappeler. »
Le vieux s’éloigne et revient quelques minutes plus tard.
Il s’assoit à côté de sa vieille et il commence à manger.
Tout à coup la vieille lui dit :
« Je ne t’avais pas demandé des frites avec mes hot-dogs ? »
Jean-Pascal a rendez-vous chez le médecin.
La consultation terminée, il sort du bureau, puis se ravise et entre à nouveau.
« – Vous avez dit Vierge ou Poisson docteur ?
– Non, j’ai dit cancer… »
Le même rencontre un copain, Jean-Richard, qu’il n’a pas vu depuis un bout
de temps.
« – Eh ! Comment tu vas ? Es-tu encore sur le chômage ?
– Non, j’ai trouvé un job, comme assistant briqueteur. Je
dois charger un panier de briques, monter une échelle de 4 étages, vider le panier,
redescendre avec le panier, le recharger, remonter le panier pour le décharger,
etc.
Et ça, toute la journée.
– Oui, ça doit être épuisant ce travail-là ?
– Ha bien pour ça, je ne le sais pas : Je commence lundi seulement. »
Après avoir connu cinq mises à pied successives en l’espace de quatre
mois, Jean-Roger est engagé dans un entrepôt comme conducteur de chariot
élévateur.
Il travaille depuis quelques jours à peine quand il perd le contrôle de l’engin qui va s’écraser au bas d’un quai de chargement.
Son patron évalue les dégâts et lui déclare qu’il va devoir retenir 10 % de son salaire mensuel pour payer les réparations.
« Et ça va coûter combien, au total ? » demande Jean-Roger.
« – Dans les 4.500 €
– Super ! » fait l’autre soulagé. « Je l’ai enfin, ma sécurité
d’emploi ! »
Un voyageur de commerce qui vendait des longs sous-vêtements, des
combinaisons, arrive chez un vieux cultivateur.
« – Monsieur, vous devriez essayer mes sous-vêtements d’hiver vous verrez comment c’est confortable.
– Je n’ai jamais porté de sous-vêtements de toute ma vie et
je ne sais vraiment pas à quoi ça peut servir.
– Je vais vous donner deux raisons qui vous convaincront d’en acheter.
Premièrement, c’est beaucoup plus chaud et deuxièmement c’est beaucoup plus propre. »
À force d’arguments, l’agriculteur se laisse convaincre et achète un
ensemble de combinaisons à grandes manches et à grandes jambes et les enfile.
Il monte sur son tracteur.
Au cours de la journée, alors qu’il est au bout de son champ, il lui prend une forte envie.
Comme d’habitude, il baisse ses sa combinaison de travail mais il oublie qu’il porte des sous-vêtements.
Il fait ses besoins, remonte son « bleu de chauffe » et, en se retournant, constate qu’il n’y a rien sur le sol.
Il se dit à lui-même : « C’est vrai que c’est plus propre. »
Il monte sur son tracteur et, au moment où il s’assied, il constate que c’est chaud : « Tiens », se dit-il, « c’est vrai que c’est chaud ».
Germaine, confinée sur le balcon d’à-côté, en grande discussion avec Marie-Chantal,
chacune devant une tasse de thé fumant.
« – Savez-vous, très chère, pourquoi tous les hommes donnent-ils un prénom à leur pénis ?
– Bien sûr, très chère : Pour être intimes avec celui
qui décide pour eux ! »
Un cultivateur, ulcéré de se faire voler des melons toutes les nuits par
des enfants du village décide de prendre les grands moyens…
Et le voilà qui plante plusieurs pancartes dans son champ où il a écrit : « Attention ! Un de ces melons a été injecté avec du cyanure. Mortel »
Le lendemain matin, alors qu’il patrouille son champ, il constate avec joie que personne n’a touché à ses melons.
Par contre, sur son chemin de retour, il tombe sur une pancarte qui n’est pas de lui et qui est à côté de la sienne. Il s’approche… pour lire…
« Maintenant, deux melons sont injectés au cyanure » !
Une cougar de 55 ans se fait draguer par un jeune minet qu’elle emmène
chez elle.
Elle lui demande si ça pourrait le brancher de faire l’amour avec la mère et la fille.
« – C’est mon plus grand fantasme !
– Parfait… Maman, tu peux sortir ! »
Une vieille dame vient de se coucher et voit son mari se diriger vers la
salle de bain. Elle lui dit :
« – Viens te coucher, Jean-Jacques.
– Non, je vais me laver les dents d’abord.
– Bon… Tu peux laver les miennes aussi ! »
Jean-Marc et Jean-Paul
« – Sais-tu Quelle est la différence entre un mari et un amant ?
– Oui ! Environ une heure »
Dans un bar.
Jean-Marc drague.
Il parle à une fille.
« – Ah si je pouvais te voir nue, je pourrais mourir heureux !
– Et moi, si je te voyais dans toute ta splendide nudité, je
crèverais de rire. »
Le fils de Jean-Marc dit à son professeur de mathématique qui tente
d’expliquer à ses élèves que le langage des chiffres est universel, quelle que
soit la langue employée :
« – Ma mère ne croit plus aux mathématiques.
– Ah oui, comment ça ?
– Elle ne comprend pas comment elle a pu engraisser de 5 kilos en mangeant une boîte de chocolat de 2 kilos… »
Jean-Marc croise une jeune-fille depuis un bon bout de temps.
« – Je ferais n’importe quoi pour toi.
– Ok. Vide ton compte de banque ! »
Le même avec une autre :
« – J’irais au bout du monde avec toi.
– Vas-y, j’irai te rejoindre… »
Cela se passait dans un cloître durant la guerre de 39-45.
Le bruit courait qu’il y avait des soldats allemands qui entraient dans les couvents et violaient les sœurs.
Alors la supérieure rassemble toutes
les sœurs de la communauté pour les avertir du
danger.
Il lui vient l’idée de leur demander ce qu’elles feraient pour se défendre
au cas où les allemands forceraient les portes du cloître ?
La première dit :
« Je me sauverais dans la cave et je fermerais la porte à clef. »
La seconde dit :
« Je me jetterais par la fenêtre et j’irais me cacher dans le cabanon. »
La troisième dit :
« Moi, ma mère, je relèverais ma robe jusqu’à la ceinture et je baisserais les culottes de l’allemand jusqu’aux genoux. »
La supérieure répondit scandalisée :
« – Je ne vous pensais pas aussi perverse que cela.
– Mais non, vous n’avez rien compris ! On peut courir
beaucoup plus vite la jupe relevée que les culottes aux genoux. »
Une petite dernière (revenue et enrichie), pour la route ?
Paul et Virginie s’aiment d’amour fou.
Ils sont en lune de miel depuis deux mois.
Un soir, sur la plage, en regardant le coucher de soleil, ils parlent de l’intensité de leur amour.
« – Paul ?
– Oui.
– Est-ce que tu crois en la réincarnation.
– Je ne le sais pas. Et toi ?
– Oui. »
Ils s’embrassent passionnément,
roulent dans le sable, et il la pénètre.
« – Paul…
– Oui.
– Si jamais je meurs avant toi, je reviendrai de voir.
– Promis ?
– Oui, oui. Je te le jure. Toi aussi.
– Oui, je te le jure.
– OK. Faisons un pacte. Le premier qui meurt vient voir l’autre exactement 30 jours après sa mort. À la même heure.
– D’accord. »
Et ils refont l’amour…
Trois mois plus tard, Paul meurt dans un terrible accident de voiture.
Virginie est inconsolable.
Après les funérailles, elle se remémore leur serment.
Et elle commence à compter les jours en secret.
Le trentième jour arrive.
À 14 heures, l’heure même de l’accident, elle concentre toute sa pensée sur le souvenir de Paul…
Et puis, elle entend un murmure, une voix…
« – Virginie
– Paul ! C’est toi ?
– Oui.
– Ah Paul. Paul. Mon amour. Mon trésor. Où es-tu ? Que fais-tu ?
– Je suis dans un autre monde.
– Comment ça se passe ?
– Bien, le matin, je me lève au lever du soleil, je prends un bon déjeuner végétarien puis je fais l’amour jusqu’à midi.
– Hein ?
– Oui, et dans l’après-midi, après une sieste d’une heure ou deux, on recommence sous le chaud soleil. Après le repas du soir, c’est encore la même chose, jusqu’au coucher du soleil. »
Virginie tremble de tous son corps.
« – Mais où es-tu ? Avec qui es-tu ?
– Bien, je suis un lapin dans un élevage Normand ».
Solutions des contrepèteries de la semaine dernière :
« J’avais la bite en spirale… »
« La foire me nuit ! »
Injonction : « Ne laisse pas débander ceci dit ! »
Celles proposées cette semaine à votre sagacité :
« Rubriques élections ! »
« Le chef de l’État compte sur son peuple pour le remembrement ! »
« Mais taisez-vous donc en bas ! »
Bon week-end à toutes et à tous !
I3
PS : N’oubliez pas mon « gardien » et « sa bibliothèque »
Mais les jours rallongent.
Et parfois il ne fait pas si froid que ça…
– N’oublie jamais que 40 % des accidents sur la route sont provoqués par des buveurs d’alcool.
– Je sais !
– Oui mais ça veut dire que 60 % des accidents sont provoqués par des buveurs d’eau. C’est tout de même énorme ! »
« – Tu sais… Chaque année, à la même date, j’ai un petit pincement au cœur.
– Cette année cela va faire dix ans que j’ai perdu ma première femme.
– …
Une nuit, le mari est réveillé par des cris d’effroi de son épouse.
Il se précipite dans sa chambre juste le temps de voir un homme s’échapper par la fenêtre.
« – Que s’est-il passé ?
– Comment à deux reprises ?
Mais pourquoi n’as-tu pas crié tout de suite ?
– Parce que je croyais que c’était toi !
C’est quand il a voulu recommencer que j’ai compris. »
Voulant éviter un scandale, le gérant sort.
« – Mais enlever quoi ?
« Les français se masturbent plus souvent qu’ils ne se lavent les dents car ils n’ont pas toujours une brosse à dents sous la main. »
On y reviendra dimanche dans la catégorie, « La science en marche »
La dame dit à son vieux :
« – Irais-tu me chercher une crème glacé molle pour le casse-croûte ?
– Écris-le sur un papier, tu ne t’en rappelleras pas.
– Non, non, je vais le retenir.
– Ah ! Fais-la donc saucer dans le chocolat, écris-le, car tu ne t’en rappelleras pas.
– Non, non je vais être capable.
– Oh ! Mais donc mettre des éclats d’amende sur le dessus, mais là, écris ma commande car tu vas tout oublier.
– Non, je vais m’en rappeler. »
Il s’assoit à côté de sa vieille et il commence à manger.
Tout à coup la vieille lui dit :
« Je ne t’avais pas demandé des frites avec mes hot-dogs ? »
La consultation terminée, il sort du bureau, puis se ravise et entre à nouveau.
« – Vous avez dit Vierge ou Poisson docteur ?
« – Eh ! Comment tu vas ? Es-tu encore sur le chômage ?
Et ça, toute la journée.
– Oui, ça doit être épuisant ce travail-là ?
– Ha bien pour ça, je ne le sais pas : Je commence lundi seulement. »
Il travaille depuis quelques jours à peine quand il perd le contrôle de l’engin qui va s’écraser au bas d’un quai de chargement.
Son patron évalue les dégâts et lui déclare qu’il va devoir retenir 10 % de son salaire mensuel pour payer les réparations.
« Et ça va coûter combien, au total ? » demande Jean-Roger.
« – Dans les 4.500 €
« – Monsieur, vous devriez essayer mes sous-vêtements d’hiver vous verrez comment c’est confortable.
– Je vais vous donner deux raisons qui vous convaincront d’en acheter.
Premièrement, c’est beaucoup plus chaud et deuxièmement c’est beaucoup plus propre. »
Il monte sur son tracteur.
Au cours de la journée, alors qu’il est au bout de son champ, il lui prend une forte envie.
Comme d’habitude, il baisse ses sa combinaison de travail mais il oublie qu’il porte des sous-vêtements.
Il fait ses besoins, remonte son « bleu de chauffe » et, en se retournant, constate qu’il n’y a rien sur le sol.
Il se dit à lui-même : « C’est vrai que c’est plus propre. »
Il monte sur son tracteur et, au moment où il s’assied, il constate que c’est chaud : « Tiens », se dit-il, « c’est vrai que c’est chaud ».
« – Savez-vous, très chère, pourquoi tous les hommes donnent-ils un prénom à leur pénis ?
Et le voilà qui plante plusieurs pancartes dans son champ où il a écrit : « Attention ! Un de ces melons a été injecté avec du cyanure. Mortel »
Le lendemain matin, alors qu’il patrouille son champ, il constate avec joie que personne n’a touché à ses melons.
Par contre, sur son chemin de retour, il tombe sur une pancarte qui n’est pas de lui et qui est à côté de la sienne. Il s’approche… pour lire…
« Maintenant, deux melons sont injectés au cyanure » !
Elle lui demande si ça pourrait le brancher de faire l’amour avec la mère et la fille.
« – C’est mon plus grand fantasme !
« – Viens te coucher, Jean-Jacques.
– Bon… Tu peux laver les miennes aussi ! »
Jean-Marc drague.
« – Ah si je pouvais te voir nue, je pourrais mourir heureux !
« – Ma mère ne croit plus aux mathématiques.
– Elle ne comprend pas comment elle a pu engraisser de 5 kilos en mangeant une boîte de chocolat de 2 kilos… »
« – J’irais au bout du monde avec toi.
Le bruit courait qu’il y avait des soldats allemands qui entraient dans les couvents et violaient les sœurs.
La première dit :
« Je me sauverais dans la cave et je fermerais la porte à clef. »
La seconde dit :
« Je me jetterais par la fenêtre et j’irais me cacher dans le cabanon. »
La troisième dit :
« Moi, ma mère, je relèverais ma robe jusqu’à la ceinture et je baisserais les culottes de l’allemand jusqu’aux genoux. »
La supérieure répondit scandalisée :
« – Je ne vous pensais pas aussi perverse que cela.
Paul et Virginie s’aiment d’amour fou.
Ils sont en lune de miel depuis deux mois.
Un soir, sur la plage, en regardant le coucher de soleil, ils parlent de l’intensité de leur amour.
« – Paul ?
– Est-ce que tu crois en la réincarnation.
– Je ne le sais pas. Et toi ?
– Oui. »
« – Paul…
– Si jamais je meurs avant toi, je reviendrai de voir.
– Promis ?
– Oui, oui. Je te le jure. Toi aussi.
– Oui, je te le jure.
– OK. Faisons un pacte. Le premier qui meurt vient voir l’autre exactement 30 jours après sa mort. À la même heure.
– D’accord. »
Trois mois plus tard, Paul meurt dans un terrible accident de voiture.
Virginie est inconsolable.
Après les funérailles, elle se remémore leur serment.
Et elle commence à compter les jours en secret.
Le trentième jour arrive.
À 14 heures, l’heure même de l’accident, elle concentre toute sa pensée sur le souvenir de Paul…
Et puis, elle entend un murmure, une voix…
« – Virginie
– Oui.
– Ah Paul. Paul. Mon amour. Mon trésor. Où es-tu ? Que fais-tu ?
– Je suis dans un autre monde.
– Comment ça se passe ?
– Bien, le matin, je me lève au lever du soleil, je prends un bon déjeuner végétarien puis je fais l’amour jusqu’à midi.
– Hein ?
– Oui, et dans l’après-midi, après une sieste d’une heure ou deux, on recommence sous le chaud soleil. Après le repas du soir, c’est encore la même chose, jusqu’au coucher du soleil. »
« – Mais où es-tu ? Avec qui es-tu ?
« J’avais la bite en spirale… »
« La foire me nuit ! »
Injonction : « Ne laisse pas débander ceci dit ! »
Celles proposées cette semaine à votre sagacité :
« Le chef de l’État compte sur son peuple pour le remembrement ! »
« Mais taisez-vous donc en bas ! »
Bon week-end à toutes et à tous !
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PS : N’oubliez pas mon « gardien » et « sa bibliothèque »
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