Et diverses…
Un homme qui a des problèmes d’ouïe visite un médecin.
« – Mon cher monsieur…
Nous devons absolument vous greffer d’autres oreilles.
Malheureusement, nous n’avons que des oreilles de femmes en banque, mais ce n’est pas tellement grave.
– Pas de problème, pourvu que j’entende à nouveau.
– Il se peut que ça ne fonctionne pas à 100 % mais, s’il y a des corrections à faire, on les fera après. »
Une semaine après l’opération, notre greffé revient voir le médecin.
« – Effectivement, j’ai eu un problème avec ces oreilles-là !
– Ah ! Et quel est le problème ?
– Eh bien j’entends tout mais je ne comprends rien ! »
Une « revenue » :
Un type est au purgatoire et doit choisir entre le ciel et l’enfer.
Il demande une petite visite de cinq minutes pour aller voir l’enfer, car le paradis ne semble pas l’intéresser.
Rendu en enfer, il constate qu’il fait super beau, c’est le bord de la mer, avec plein de jolies filles, de la bonne musique et de la boisson qui coule à flots.
« Hey wow ! Mon choix est vite fait ! »
De retour de sa visite, il dit à St-Pierre qu’il veut absolument aller en enfer.
« – Tu es certain ?
– La question ne se pose même pas.
– Ok ! Bon voyage. »
À son arriver en enfer, il fait sombre et froid.
Une odeur nauséabonde lui fait lever le cœur.
Il reçoit une claque en plein visage….
« – Voyons ! Qu’est-ce qui se passe ?
– Bienvenue en enfer », lui répond Lucifer !
« – Mais voyons, je suis venu ici il y a cinq minutes et c’était super
chouette !
– Tu sauras mon petit gars qu’il y a une grosse différence
entre le tourisme et l’immigration ! »
Dans l’originale, Lucifer répondait qu’il était en campagne
électorale lors de la première visite…
Ce qui suit, ce sont des questions réellement posées à des témoins par des
procureurs, avocats, Présidents de tribunal durant des procès et, dans certains
cas, il y a la réponse donnée par des témoins futés.
À part les effets de la traduction, les phrases ont été prononcées exactement telles quelles.
Petit relevé réalisé pour vous par Jean-Marc :
Q : Quelle est le jour de votre anniversaire ?
R : Le 15 juillet.
Q : De quelle année ?
R : De chaque année…
Q : Dans quoi étiez-vous au moment de l’impact ?
R : Dans un sweat-shirt Gucci et des Reebok.
Q : Cette maladie, affecte-t-elle vraiment votre mémoire ?
R : Oui.
Q : Et de quelle manière cela affecte-t-il votre mémoire ?
R : J’ai oublié.
Q : Vous avez oublié.
Pouvez-vous nous donner un exemple de ce que vous avez oublié ?
Q : Quelle fut la première chose que votre mari vous a dite quand il s’est
réveillé ce matin-là ?
R : Il a dit ‘‘Où suis-je Cathy’’ ?
Q : Et pourquoi cela vous a-t-il mis en colère ?
R : Mon prénom est Isabelle.
Q : Et à quel endroit a eu lieu l’accident ?
R : Approximativement au kilomètre 385.
Q : Et où se trouve le kilomètre 385 ?
R : Probablement entre les kilomètres 384 et 386.
Q : Le plus jeune des fils, celui de 20 ans, quel âge a-t-il ?
Q : Étiez-vous présent quand votre photo a été prise ?
Q : Était-ce vous ou votre plus jeune frère qui fut tué durant la guerre ?
Q : Vous a-t-il tué ?
Q : À quelle distance étaient les véhicules au moment de la collision ?
Q : Vous étiez là jusqu’à ce que vous partiez, est-ce exact ?
Q : Combien de fois vous êtes-vous suicidé ?
Q : Elle avait trois enfants, vrai ?
R : Oui.
Q : Combien de garçons ?
R : Aucun.
Q : Il y avait des filles ?
Q : Docteur, combien d’autopsies avez-vous effectuées sur des morts ?
R : Maître, toutes mes autopsies ont été effectuées sur des morts.
Q : Toutes vos réponses doivent être orales. À quelle école êtes-vous allé
?
R : Orale.
Q : Vous souvenez-vous à quelle heure vous avez examiné le corps ?
R : L’autopsie a commencé vers 20 h 30.
Q : Et M. Raymond était mort à cette heure-là ?
R : Non, il était assis sur une chaise et se demandait pourquoi je faisais une autopsie.
Q : Docteur, avant de faire votre autopsie, avez-vous vérifié le pouls ?
R : Non.
Q : Avez-vous vérifié la pression sanguine ?
R : Non.
Q : Avez-vous vérifié s’il respirait ?
R : Non.
Q : Alors, il est possible que le patient ait été vivant quand vous avez commencé l’autopsie ?
R : Non.
Q : Comment pouvez-vous en être certain, Docteur ?
R : Parce que son cerveau était sur mon bureau dans un bocal.
Q : Mais le patient ne pouvait-il quand même pas être encore en vie ?
R : En y réfléchissant, oui : Il est possible qu’il ait été encore en vie et en train d’exercer le métier d’avocat quelque part.
Deux gamins âgés de 5 ou 6 ans…
La petite fille va aux toilettes et son ami la suit.
Il regarde la partie intime de la petite fille et reste perplexe.
Plusieurs questions lui passent par la tête, mais il en reste là.
Ensuite, le petit garçon va à son tour aux toilettes et la petite fille regarde le petit pénis de son ami.
Également, elle se pose de nombreuses questions.
Elle s’approche…
Horrifié, le petit gars lui crie :
« Arrête de regarder mon pénis !
Tu as cassé le tien, alors, tu ne viendras pas briser le
mien ! »
Jean-Marc et Jean-Paul, chacun devant une bière, devisent :
« – Qu’est-ce qui est pire qu’un sale macho misogyne ?
– Une bonne femme qui n’obéit pas quand son mari lui donne
un ordre ! »
Une religieuse d’antan, un jour pris de panique car elle engraissait trop
vite.
Elle se rend chez le médecin pour lui faire part de ses inquiétudes et apprendre quoi faire pour que ça cesse.
Après examen le médecin lui dit :
« – Vous êtes enceinte.
– C’est impossible vous vous trompez sûrement Docteur, je
suis au couvent et depuis toujours et je ne sors jamais.
– Avez-vous couché avec un homme.
– Non, mais non, jamais.
– Essayer de vous souvenir, il y a environ 6 ou 7 mois, vous n’avez pas eu de relation avec un homme.
– Non, non !
– Il s’est surement passé quelque chose ?
– Oh, oui… Il y a 6 mois, il y a eu un incendie au couvent et j’étais presqu’étouffée par la fumée, je ne pouvais plus marcher et un pompier m’a amenée dans une chambre chez des voisins et il m’a aidé un bon moment…
Et dire que pendant tout ce temps-là je pensais qu’il me faisait de la respiration artificielle ! »
Quatre religieuses meurent dans un accident de voiture.
Elles arrivent l’une derrière l’autre devant St-Pierre.
La première déclare :
« – St-Pierre, je m’accuse d’avoir avec la main gauche… heu… toucher l’organe génitale d’un homme.
– Bof, trempez votre main gauche dans le bénitier qui est à côté
de moi et entrez au paradis.
– Moi, St-Pierre, j’ai touché de mes deux mains un organe d’homme.
– Trempez vos deux mains dans le bénitier et entrez au paradis. »
C’est alors que la dernière sœur, devançant la troisième se précipite vers
St-Pierre en s’écriant :
« St-Pierre je vais devoir boire une gorgée du bénitier. Est-ce que je peux le faire avant que sœur Emmanuelle-du-Saint-Esprit doive mettre les fesses dedans ? »
C’est un sprinter olympique américain bourré de stéroïdes qui rentre chez
lui avec une tomate de 4 kilos dans les mains.
Sa mère le gronde et lui dit alors :
« Combien de fois t’ai-je dit de ne pas aller faire pipi dans le jardin ? »
Jean-Marc et Jean-Paul, devant une autre bière…
« – Sais-tu pourquoi Dieu a-t-il créé l’homme ?
– Bé non, pas vraiment…
– Parce qu’un vibromasseur ne sait pas tondre le gazon ! »
« – Je ne comprends pas », dit le juge à un vagabond, « cette
bonne vieille dame vous a donné un gâteau, et pour la remercier, vous avez
lancé une pierre dans sa fenêtre.
– Ce n’était pas une pierre, mais le gâteau ! »
La veuve d’un banquier demande au curé combien ça lui coûterait pour qu’il
prononce l’oraison funèbre du défunt
« – Vous voulez quoi comme oraison ?
– Quelque chose de bien.
– Je vous recommande mon discours à 1.000 €. Dans dix ans, ceux qui l’auront entendu citeront encore votre mari comme un être extraordinaire.
– Quand même, c’est un peu cher.
– Alors prenez mon discours à 500 €. Je dirais que c’était un bon et brave homme.
– Sincèrement, je trouve ça un peu cher…
– Bon, alors ça sera celui à 50 €.
Seulement, à ce prix-là, je serai forcé de dire toute la vérité… »
La fiancée questionne son promis :
« – Alors ! As-tu vraiment demandé ma main à papa ?
– Je lui ai passé un coup de fil.
– Et alors ?
– Ben il m’a dit : « Oui, oui tu peux l’épouser… »
– C’est tout ?
– Non. Non. Avant de raccrocher, il m’a dit : « Au fait qui est à l’appareil ? Jean-Paul, Jean-Jacques, ou Jean-Michel ? »
Solutions des contrepèteries de la semaine dernière :
« Titre de thèse : La rotation du doigt. »
Jean-Marc drague : « Mademoiselle, je vous emboîterai bien le con avec patience ! »
« Spectaculaire vue de nos membres ! »
Celles proposées cette semaine à votre sagacité :
Une classique :
« L’aspirant habite Javel… »
« La noire me fuit ! »
Injonction : « Ne laisse pas décider ce bandit ! »
Bon week-end à toutes et à tous !
I3
PS : N’oubliez pas mon « gardien » et « sa bibliothèque »
« – Mon cher monsieur…
Malheureusement, nous n’avons que des oreilles de femmes en banque, mais ce n’est pas tellement grave.
– Pas de problème, pourvu que j’entende à nouveau.
– Il se peut que ça ne fonctionne pas à 100 % mais, s’il y a des corrections à faire, on les fera après. »
« – Effectivement, j’ai eu un problème avec ces oreilles-là !
– Eh bien j’entends tout mais je ne comprends rien ! »
Un type est au purgatoire et doit choisir entre le ciel et l’enfer.
Il demande une petite visite de cinq minutes pour aller voir l’enfer, car le paradis ne semble pas l’intéresser.
Rendu en enfer, il constate qu’il fait super beau, c’est le bord de la mer, avec plein de jolies filles, de la bonne musique et de la boisson qui coule à flots.
« Hey wow ! Mon choix est vite fait ! »
De retour de sa visite, il dit à St-Pierre qu’il veut absolument aller en enfer.
« – Tu es certain ?
– Ok ! Bon voyage. »
Une odeur nauséabonde lui fait lever le cœur.
Il reçoit une claque en plein visage….
« – Voyons ! Qu’est-ce qui se passe ?
À part les effets de la traduction, les phrases ont été prononcées exactement telles quelles.
Petit relevé réalisé pour vous par Jean-Marc :
R : Le 15 juillet.
Q : De quelle année ?
R : De chaque année…
R : Dans un sweat-shirt Gucci et des Reebok.
R : Oui.
Q : Et de quelle manière cela affecte-t-il votre mémoire ?
R : J’ai oublié.
Q : Vous avez oublié.
Pouvez-vous nous donner un exemple de ce que vous avez oublié ?
R : Il a dit ‘‘Où suis-je Cathy’’ ?
Q : Et pourquoi cela vous a-t-il mis en colère ?
R : Mon prénom est Isabelle.
R : Approximativement au kilomètre 385.
Q : Et où se trouve le kilomètre 385 ?
R : Probablement entre les kilomètres 384 et 386.
R : Oui.
Q : Combien de garçons ?
R : Aucun.
Q : Il y avait des filles ?
R : Maître, toutes mes autopsies ont été effectuées sur des morts.
R : Orale.
R : L’autopsie a commencé vers 20 h 30.
Q : Et M. Raymond était mort à cette heure-là ?
R : Non, il était assis sur une chaise et se demandait pourquoi je faisais une autopsie.
R : Non.
Q : Avez-vous vérifié la pression sanguine ?
R : Non.
Q : Avez-vous vérifié s’il respirait ?
R : Non.
Q : Alors, il est possible que le patient ait été vivant quand vous avez commencé l’autopsie ?
R : Non.
Q : Comment pouvez-vous en être certain, Docteur ?
R : Parce que son cerveau était sur mon bureau dans un bocal.
Q : Mais le patient ne pouvait-il quand même pas être encore en vie ?
R : En y réfléchissant, oui : Il est possible qu’il ait été encore en vie et en train d’exercer le métier d’avocat quelque part.
La petite fille va aux toilettes et son ami la suit.
Il regarde la partie intime de la petite fille et reste perplexe.
Plusieurs questions lui passent par la tête, mais il en reste là.
Ensuite, le petit garçon va à son tour aux toilettes et la petite fille regarde le petit pénis de son ami.
Également, elle se pose de nombreuses questions.
Elle s’approche…
Horrifié, le petit gars lui crie :
« Arrête de regarder mon pénis !
Elle se rend chez le médecin pour lui faire part de ses inquiétudes et apprendre quoi faire pour que ça cesse.
Après examen le médecin lui dit :
« – Vous êtes enceinte.
– Avez-vous couché avec un homme.
– Non, mais non, jamais.
– Essayer de vous souvenir, il y a environ 6 ou 7 mois, vous n’avez pas eu de relation avec un homme.
– Non, non !
– Il s’est surement passé quelque chose ?
– Oh, oui… Il y a 6 mois, il y a eu un incendie au couvent et j’étais presqu’étouffée par la fumée, je ne pouvais plus marcher et un pompier m’a amenée dans une chambre chez des voisins et il m’a aidé un bon moment…
Et dire que pendant tout ce temps-là je pensais qu’il me faisait de la respiration artificielle ! »
Elles arrivent l’une derrière l’autre devant St-Pierre.
La première déclare :
« – St-Pierre, je m’accuse d’avoir avec la main gauche… heu… toucher l’organe génitale d’un homme.
– Moi, St-Pierre, j’ai touché de mes deux mains un organe d’homme.
– Trempez vos deux mains dans le bénitier et entrez au paradis. »
« St-Pierre je vais devoir boire une gorgée du bénitier. Est-ce que je peux le faire avant que sœur Emmanuelle-du-Saint-Esprit doive mettre les fesses dedans ? »
Sa mère le gronde et lui dit alors :
« Combien de fois t’ai-je dit de ne pas aller faire pipi dans le jardin ? »
– Parce qu’un vibromasseur ne sait pas tondre le gazon ! »
« – Vous voulez quoi comme oraison ?
– Je vous recommande mon discours à 1.000 €. Dans dix ans, ceux qui l’auront entendu citeront encore votre mari comme un être extraordinaire.
– Quand même, c’est un peu cher.
– Alors prenez mon discours à 500 €. Je dirais que c’était un bon et brave homme.
– Sincèrement, je trouve ça un peu cher…
– Bon, alors ça sera celui à 50 €.
Seulement, à ce prix-là, je serai forcé de dire toute la vérité… »
« – Alors ! As-tu vraiment demandé ma main à papa ?
– Et alors ?
– Ben il m’a dit : « Oui, oui tu peux l’épouser… »
– C’est tout ?
– Non. Non. Avant de raccrocher, il m’a dit : « Au fait qui est à l’appareil ? Jean-Paul, Jean-Jacques, ou Jean-Michel ? »
« Titre de thèse : La rotation du doigt. »
Jean-Marc drague : « Mademoiselle, je vous emboîterai bien le con avec patience ! »
Celles proposées cette semaine à votre sagacité :
« L’aspirant habite Javel… »
« La noire me fuit ! »
Injonction : « Ne laisse pas décider ce bandit ! »
Bon week-end à toutes et à tous !
I3
PS : N’oubliez pas mon « gardien » et « sa bibliothèque »
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire