Crise sanitaire…

C’est Jean-Marc…
 
…hospitalisé depuis un mois, qui sort de l’hôpital et avant de s’en aller, passe par le bureau de la comptabilité.
La caissière lui remet une copie de la facture des soins reçus.
Étonné à la vue de l’énorme montant inscrit au bas de la facture, il se tourne vers la caissière et lui dit :
« Maintenant je comprends pour pourquoi tout le monde portait des masques autour de la table d’opération ».
 
Qu’a dit Dieu après avoir créé l’homme ?
« Je peux sûrement faire mieux ! »
 
Pourquoi Jésus ne peut pas mettre de suppositoire ?
« Parce que les voies du Seigneur sont impénétrables ! »
 
Jésus, pour faire son malin, marche sur les eaux du Lac Tibériade.
Pierre est à ses côtés et nage pour traverser le lac.
Arrivant près de Jésus, il lui dit :
« Eh Jésus ! tu ne sais pas ce que tu manques … elle est vachement bonne. »
 
Quels sont les trois faits prouvant que Jésus était Juif ?
– Il a habité jusqu’à trente ans avec sa mère.
– Il était persuadé que sa mère était vierge
– Sa mère le prenait pour Dieu !!
 
Savez-vous pourquoi il n’y a pas de femme au paradis ?
« Parce que ça serait l’enfer ! »
 
Pourquoi n’a-t-on pas noyé Jésus au lieu de le crucifier ?
« Tu te vois avec un aquarium au-dessus de ta porte toi ? »
 
Un gars revient d’un safari en Afrique équatoriale.
« – Alors, demande un copain, bonne chasse ?
– Oui, chaque jour un éléphant et une douzaine de Panous-Panous.
– Qu’est-ce que c’est que ça, des Panous-Panous ?
– Je ne sais pas très bien. Ils étaient tout petits, tout noirs et quand j’arrivais près de l’éléphant, au moment où je commençais à tirer, ils criaient « Pas nous ! Pas nous ! »
C’est une revenue…
 
Un insulaire est en bisbille depuis les vingt dernières années avec son seul voisin.
Un jour, en bêchant son jardin, il trouve une bouteille, il la prend, enlève la boue avec ses mains, la débouche et un génie en sort.
« – Tu m’as délivré de ma prison où j’étais depuis près de 500 ans et pour te récompenser, tu peux faire trois souhaits que je t’accorderai et parce que tu es en bisbille avec ton voisin depuis une très longue période je vais lui en accorder le double.
– Génie, j’ai une très vieille maison, j’aimerais en avoir une très grande avec 3 étages, une piscine, bien meublée et avec les accessoires électroniques et ménagers les plus récents.
– Très bien, je t’accorde le premier souhait et le double pour ton voisin.
– Génie, pour mon deuxième souhait, je veux avoir sur chaque étage une très jolie femme qui me sera toute dévouée.
– Très bien, je t’accorde le deuxième souhait et le double pour ton voisin.
Quel est ton dernier et troisième souhait ?
– Génie, après mûres réflexions, je voudrais que tu m’enlèves un testicule… »
 
Deux élèves discutent dans la cour de l’école :
« – À quelle heure te réveilles-tu le matin ?
– Oh, environ une heure après le début des cours ! »
 
Jean-Marc dit à sa femme…
« – J’ai une bonne et une mauvaise nouvelle.
La première, je te quitte.
– Ah  » dit la femme, « Et la mauvaise ? »

 
Jean-Marc et Jean-Paul sur leur balcon de confinement.
« – Quel est ton type de femme, toi ?
– Celles qui disent oui. »
 
Un homme en très mauvais état se présente St-Pierre, après une mort apparemment violente.
Celui-ci demande :
« – Mais qu’est ce qui s’est passé ?
– J’étais guide de safari, en Afrique, et j’accompagnais un groupe de francophones, six belges et un français.
En traversant un pont de lianes au-dessus d’une rivière infestée de crocodiles, un coup de vent nous a fait basculer.
On a tous réussi à se retenir aux cordages.
Nous étions suspendus en l’air et comme le pont menaçait de lâcher à cause du poids et de nos acrobaties, il fallait que quelqu’un se sacrifie.
Comme j’étais leur guide, me voilà. »
Dix minutes plus tard, St-Pierre voit débarquer un troupeau de belges dans le même état que l’homme qu’il vient de conduire au Paradis…
« – Mais ce brave homme qui s’est sacrifié, a-t-il donc fait ça pour rien ?
– Bah, c’est à cause de ce maudit français qui nous accompagnait » raconte un des belges. « Quand notre guide s’est laissé tomber, il a dit : Un homme aussi courageux, il mériterait qu’on l’applaudisse… »
 
Le nouveau vicaire arrive dans une paroisse.
Le premier dimanche, le curé lui dit :
« – Moi, je vais faire les annonces et te présenter aux paroissiens et toi tu vas faire le sermon.
Sur quel sujet veux-tu développer ton sermon ?
– La multiplication des pains.
– C’est parfait ! »
Après les présentations d’usages le vicaire monte en chair et commence son sermon.
« Mes biens chers frères, vous savez que le Christ a fait de grandes choses lors de son passage sur terre.
Aujourd’hui nous parlerons de la multiplication des pains.
Vous savez tous que Jésus réunissait des gens pour les instruire.
Un jour, il y avait une foule qui l’écoutait depuis longtemps et n’avait pas mangé et Jésus fit un miracle et il a nourri 5 personnes avec 5.000 pains et 2.000 poissons. »
Jean-Marc rit alors à gorge déployée sur un banc au fond de l’église.
Le vicaire l’a bien remarqué mais termine tout de même son sermon.
Après la messe le vieux curé lui dit :
« – Tu as fait une erreur dans ton sermon, tu as dit que le Christ avait nourri 5 personnes avec 5.000 pains et 2.000 poissons.
– C’est vrai, je vais corriger cela dimanche prochain. »
Le dimanche suivant le vicaire remonte en chair et dit :
« Mes biens chers frères dimanches derniers j’étais un peu ému, nouveau parmi vous et j’ai dit que Jésus avait nourri 5 personnes avec 5.000 pains et 2.000 poissons.
C’est bien entendu le contraire : Jésus a nourri 5.000 personnes avec 5 pains et 2 poissons. »
Et Jean-Marc de se torde de rire !
Le vicaire se fâche et dit, en le pointant du doigt…
« – Toi ! Serais-tu capable toi d’en faire autant ?
– Oui, curé ! Avec les restes de dimanche dernier ! »
 
Jean-Marc et Jean-Paul devisent devant une bière
« – Tu connais l’histoire du lit vertical ?
– Non. C’est quoi cette ânerie ?
– C’est une histoire à dormir debout. »
C’est une très vieille, celle-là…
 
« – Tu sauras, mon fils, qu’il n’y a pas que l’argent dans la vie.
– Exact, papa ! Il y a aussi les cartes de crédit, les chèques, les chèques de voyages, etc. »
 
« Le monde est rempli de gens qui veulent…
Ceux qui veulent travailler et ceux qui veulent laisser travailler les autres… »
 
L’argent ne fait pas le bonheur…
« Oui, peut-être, mais ça nous aide à le chercher un peu partout dans les plus beaux endroits. »
 
« Un bon voisin, c’est celui qui laisse pousser son gazon aussi haut que le tien. »
 
Jean-Marc est assis depuis mal longtemps dans une taverne clandestine et après avoir consommé plusieurs bières, il est évidemment un peu ivre.
Il appelle bruyamment le garçon :
« – Garçon, garçon !
– Oui monsieur ?
– Ton horloge tourne très vite.
– Monsieur … ce n’est pas l’horloge, c’est le ventilateur… »
 
 
Jean-Marc se confie à Jean-Paul, chacun devant une chope de bière en plein couvre-feu, assis sur leur balcon respectif.
« – Lorsque j’avais 14 ans, tout ce que je désirais, c’était d’avoir une blonde avec une forte poitrine.
Lorsque j’ai eu 16 ans, j’ai rencontré une fille avec une superbe poitrine mais il n’y avait pas de passion.
J’ai alors décidé de me trouver une copine passionnée.
Au collège, j’ai eu l’occasion de rencontrer une fille passionnée, mais elle avait trop d’émotions, tout était URGENT, elle était la reine de l'art dramatique, elle pleurait tout le temps et menaçait de se suicider.
J’ai alors opté pour une fille plus stable.
J’ai par la suite trouvé une fille stable mais elle était ennuyante.
Elle était totalement prévisible et jamais elle s’existait à propos de rien.
La vie est devenue tellement monotone que j’ai décidé de trouver une fille plus excitante.
J’ai finalement trouvé une fille très excitante, à un tel point que je ne pouvais plus la suivre.
Elle me bousculait d’une chose à l’autre, ne s’arrêtant jamais sur rien.
Elle était de tout plaisir au début et très énergétique mais trop frivole.
Elle courtisait tous les hommes sous son passage.
Elle m’a rendu aussi souvent misérable qu’heureux.
J’ai alors décidé de chercher une femme avec un peu plus d’ambition.
J’ai finalement trouvé une femme intelligente et ambitieuse, avec les deux pieds bien plantés sur terre et je l’ai épousé.
Elle était tellement ambitieuse qu’elle a divorcé et est parti avec tous mes biens et avoirs.
Maintenant, tout ce que je cherche, c’est une femme avec une forte poitrine.
– Et ta femme, Germaine ?
– Oh, Germaine, elle ne divorce pas… »
 
Solutions des contrepèteries de la semaine dernière :
 
« Lubriques érections ! »
« Le chef de l’État compte sur son membre pour le repeuplement ! »
« Mais baisez-vous donc en tas ! »
 
Celles proposées cette semaine à votre sagacité :
 
« Mets ta casquette ! »
« Ah, tricher avec ce couple d’idiot… »
« Poux-tine refuse désormais de baiser les mains des Soviets »
 
 
Bon week-end à toutes et à tous !
 
I³
 
PS : N’oubliez pas la bibliothèque de « mon gardien » :
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