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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mardi 26 janvier 2021

Vous savez… on marche vraiment sur la tête !

Et il ne s’agit pas de politique, mais de « société »
 
Comme tout le monde, je suis « choqué » par l’épisode d’« Orange mécanique » qui s’est déroulé, le 15 janvier dernier, dans le quartier Beaugrenelle du 15ème  parigot, la rive-gôche de la « Kapitale des Lumières » quoi…
Un jeune adolescent de 15 ans prénommé Yuriy a été sauvagement agressé à coups de barre de fer et de marteau par un groupe d’une dizaine de jeunes, vraisemblablement en provenance d’un quartier de Vanves.
Probablement une histoire de « bandes rivales », même si on n’en sait rien encore.
Car les raisons de ce déchaînement de violence sont, à ce jour, encore ignorées et devront être établies par les policiers de la 3ème DPJ chargés de l’enquête.
Une scène démente.
Qui aura fait réagir tout ce que mon pays (celui que j’aime tant et me le rend si mal…) connaît de « spécialistes », d’élus et de « professionnels » en tous genres.
Tous ces « donneurs de leçons » qui devraient pourtant ne pas s’étonner des conséquences de leurs démissions depuis tant d’années mais persistent encore une fois à se désoler !
Ils ne se souviennent déjà plus du massacre par des « fafs » de Clément Méric, de « Sciences-Pô » à Saint-Lazare… on en était au début d’une campagne électorale antérieure.
Et puis il y en a eu tant d’autres avant et après…
Passons.
Même le « sinistre de l’intérieur » en exercice y est allé de son petit message sur les réseaux sociaux dénonçant, à juste titre il est vrai, « une attaque d’une sauvagerie inouïe ».
Et ouais, le même qui parlait « d’ensauvagement » il y a quelques semaines dans un communiqué qui avait fait débat…
 
Sur fond de chiffres officiels rapportant une nette augmentation de la délinquance en 2019, en particulier des infractions concernant les violences contre les personnes (+ 8 %). On ne connaît pas encore les chiffres 2020, mais je vous fiche mon ticket (de cinéma confiné) que malgré les épisodes de confinement et de couvre-feu, ils ne seront pas meilleurs.
Car ça fait des années et des années que des faits similaires se produisent sans que nos gouvernements successifs aient pris la moindre initiative ayant produit le moindre effet efficace sur ces phénomènes criminels.
On pleure sur les femmes battues (mais quelle idée que de battre une femme ? Avec douceur et des pétales de roses, encore…) devenues « féminicides » (comme si on avait besoin d’un nouveau mot pour qualifier [surqualifier ou sous-qualifier ?] ce qui reste un crime).
Et comme tout crime, il reste odieux et inexcusable.
(Vous connaissez ma position : Ce n’est de toute façon jamais « pardonnable ». Le « Pardon », c’est de la compétence exclusive de Dieu et de ses prêtres… comme je ne suis pas curé, je ne pardonne jamais rien. J’oublie seulement et seulement parfois…)
 
Ce qui reste pourtant curieux, c’est que les remèdes au mal qui touche notre société sont pourtant connus depuis des lustres : Application pleine et entière de la loi pénale commune et retour à l’enfermement forcé pour les infractions les plus graves.
Renforcement des moyens humains et matériels pour nos forces de l’ordre et nos juges.
Construction d’au moins 40.000 nouvelles places de prison.
Et peut-être même, réformer en profondeur de l’ordonnance de 1945 relative aux mineurs délinquants.
Il faudrait, en effet, abaisser l’âge de la majorité pénale fixée à 16 ans et pouvoir exclure de l’excuse de minorité les délinquants plus jeunes dès lors qu’ils sont les plus endurcis.
Car c’est tout de même invraisemblable : Nos « politiques » ne voient aucun inconvénient à abaisser l’âge du consentement sexuel à 13 ans et on verrait mal pourquoi la même capacité de discernement serait refusée aux mineurs délinquants de 16 ans !
Une incohérence de plus de nos merveilleux « sachants »…
 
13 ans !
Ça a été adopté par le Sénat jeudi dernier, le 21 janvier, où l’on fixe l’âge en dessous duquel un enfant serait susceptible de ne pas être consentant à un acte sexuel avec un adulte !
13 ans, serait l’âge où le gamin serait assez « adulte » pour consentir de façon éclairée à un acte sexuel ; 12 ans et 12 mois non-révolus, non !
Dans quel monde-vit-on ?
Notez que le texte a un aspect positif : Il prévoit également d’allonger le délai de prescription pour non-dénonciation de violences sexuelles sur un mineur.
Ça c’est bien : Mettre une présomption irréfragable (qui ne supporte pas la preuve contraire), ça s’appelle mettre des « lignes jaunes ».
Sauf qu’au-delà, tout semble permis.
Au regard des délais entre les actes subis et leur dénonciation, la victime bénéficiera d’un délai de dix ans (jusqu’à 28 ans) pour porter plainte après sa majorité en cas de délit, et à vingt ans en cas de crime sexuel (38 ans).
Mais comment peut-on vivre « en silence » 20 ans durant comme d’une victime qu’on n’écoute pas ?
Je reste bien encore « démoli » par l’assassinat de mon « Papa-à-moâ-même » (celui qui quand je l’évoque me fait encore frémir…) presque 40 ans plus tard…
 
Et de nous raconter qu’il s’agit d’une avancée majeure, comme un « socle sociétal », que de pénaliser l’interdit de l’acte sexuel entre un majeur et un mineur de moins de 13 ans !
La législation, à ce jour, apparentait ces actes à des délits et non à des crimes sexuels, ce qui sera le cas avec cette nouvelle loi. Alors, certes, passer du délit au crime est symboliquement fort et on ne peut qu’applaudir.
Mais c’était déjà la cas quand l’adulte coupable avait un « ascendant d’autorité » sur le mineur.
Cependant, comment concevoir que cet âge ne corresponde pas à celui de la majorité sexuelle, fixée à 15 ans ?
Encore une incohérence de nos sublimes « sachants »…
En effet, cette loi, présentée sous le jour du progrès dans la protection contre les prédateurs sexuels, n’est rien d’autre qu’une régression au regard du seuil actuel de la majorité sexuelle et pourrait s’apparenter à un affaiblissement du droit des mineurs de 13 à 15 ans.
Et de toute façon, ils ne sont pénalement responsables qu’à 16 ans révolus…
Je vous le dis, on marche sur la tête !
 
Souvenez-vous de vos 14 ans. Auriez-vous été en mesure de consentir à un acte sexuel avec un adulte ? Qu’auriez-vous fait si la loi elle-même ne pouvait pas vous protéger contre les prédateurs sexuels ?
Auriez-vous pu démontrer que vous n’étiez pas consentants, et ce, même si, par peur, sous l’effet d’un abus de pouvoir, vous aviez cédé à de telles avances ?
Personnellement, les crimes de chair, l’atteinte à sa caouane, ça devrait être comme en « Ritalie » : Imprescriptible au même titre que les crimes contre l’humanité.
Qu’elle soit unique ou méthodique, l’horreur du crime ne change pas l’essence même de tels agissements… « impardonnables ».
 
D’ailleurs depuis l’affaire « Medzezev » dénoncé à travers le livre d’une de ses victimes (« Consentement » qu’il vous faut lire car sont terrifiantes les blessures laissées pour assouvir la passion maladive de la « chair-fraîche » d’un « prédateur-sexuel-détraqué »), les langues se délient.
La « Gôche-Bobo » se délectait dans les salons « littéraires avancés & de progrès » depuis « La mauvaise vie » du neveu de « Mythe-errant » de toutes ces crapuleries insensées étalées comme d’une victoire du « Il est interdit d’interdire » issu de Mai 68 contre la morale bourgeoise.
« Konne-Benne-dite » fustigeait les critiques « bourgeoises » quand il rapportait se faire « toucher » les roubignoles par des gamins en crèche, souvenez-vous…
Quel retour de flamme de cette dernière !
Elle avait du bon, finalement, la « morale bourgeoise » que de chercher à protéger les plus fragiles.
 
C’est d’ailleurs devenu une exigence des mêmes qui sont devenus « vieux », à la santé fragile, qu’on vaccine en priorité contre le « Conard-virus » tellement ils sont chancelant du neurone et qu’on en enferme, confine, couvre-feu sans états d’âmes leurs petit-enfants qui n’ont pas demandé à avoir des grands-parents pareils, privés de tout, d’études, de voyages, de distractions, de rencontres qu’ils en deviennent cinglés.
Parce que les premiers n’ont jamais voulu assez cotiser pour se payer un système de soins capables de les accueillir.
Il y a encore peu, on causait d’inventer l’assurance-sociale-dépendance, tellement ces soixante-huitards-là se sont épargnés d’avoir payé à la hauteur qui échoit désormais sur les générations suivantes…
On marche sur la tête, vous dis-je…
 
La démonstration est faite avec l’affaire « Du-Âme-mêle ».
Là encore, le bouquin est terrifiant de ces familles « progressistes-soces » adulées des médias de l’époque, qui parviennent à force d’entre-soi à occuper des fonctions « éclairantes » avec le « pognon des autres », tels des phares autoproclamés de l’humanité, qui font des gosses ici et là, dans une « décontraction libertine » et échangiste vaudevillesque en toute bonne conscience d’une vie finalement « incestueuse » et jusqu’à l’inceste-pédophile sur leur propre progéniture.
Comme si un gamin n’était jamais qu’un sex-toy de plus à portée de main et soumis à la volonté de sa parentèle de bon aloi…
Encore… ce qui reste effarant, terrifiant, c’est le silence, l’omerta, qui entoure ces crimes qui tombent dans l’oubli.
Or, même les secrets de famille les mieux gardés finissent par se savoir, dix, vingt ou trente ans après avoir été vécus.
 
Il semble absolument nécessaire d’intégrer à l’étude des crimes sexuels et de l’âge du consentement légal la dimension de la vulnérabilité et des mécanismes d’emprise, mais également celle des spécificités du stress post-traumatique.
Invitée de « C Politique » sur « Transe 5 », la porte-la-parole de Génération Écologie et vous avez combien je peux me méfier de toute cette « mouvance-bobo-post-écololo » (et autre « Gratte-la-Tune-Berg ») postapocalyptique, a livré un témoignage bouleversant sur l’inceste qu’elle a subi de la part de son père.
Son père : Mais quelle horreur…
Encore un à qui il manque une case.
« Moi, il m’a fallu des années pour me dire : ‘‘en fait, ce n’est pas mon père. C’est mon géniteur, mais ce n’est pas mon père’’. Devenir père, ça se mérite ».
Oui, ça se mérite et les services sociaux n’étaient pas là pour en prendre la mesure pour elle.
Un constat qu’elle a fait en devenant maman. « Je me sacrifierai pour mes enfants. Mais moi j’ai grandi dans une famille où on ne se sacrifie pas pour les enfants. C’est tout l’inverse. Ce sont les enfants qui doivent se sacrifier pour les parents ».
Le pire, car il y a « un pire », deux ans après son procès, elle regrette encore que sa famille n’ait pas fait un seul geste envers elle, la victime.
Effarant d’inhumanité, les « progressistes » !
 
« J’ai grandi avec des oncles, des tantes, des cousins, des cousines… Je n’ai reçu aucun coup de fil. Aucun coup de fil de personne ».
Les salauds ! Elle n’avait pourtant pas la peste : Ce n’est pas contagieux…
La porte-la-parole de Génération Écologie rappelle que les parents doivent aussi « la protection et la sécurité » à leurs enfants. Sans ça on ne les fait pas : Ce ne sont décidément pas des jouets !
Ce que les siens n’ont pas su lui apporter.
Des souvenirs douloureux qu’elle évoque les larmes aux yeux : « Il a fallu faire le deuil. Pendant longtemps je me suis sentie vraiment seule, sans famille, et ça c’est le plus violent.
Je crois que c’est ça qui est le plus difficile ».
Une fois ce deuil terminé elle évoque « une grande libération ».
On peut la comprendre.
 
Je suis très triste pour toutes ces victimes-là.
Je suis ravi, avec le recul, du mouvement « #MeToo » (auquel je n’avais d’abord rien compris, bien entendu, puisque je n’ai jamais qu’un seul neurone en état de marche, celui du « nerf-honteux »).
Je suis père de ma « nichée » également et je plains le mek qui aurait pu toucher à l’un de ses cheveux, quitte à passer le reste de mes jours (comptés) à l’ombre.
Heureusement pour lui, il ne s’est jamais présenté : Je sais pouvoir être un sauvage en furie.
Non seulement l’hystérie est passée, comme prévu, mais il aura changé notre monde : Désormais on marie légalement tous les « LGBTQ+IAAP », ils peuvent même divorcer et se reproduire comme ils l’entendent voire adopter des « pitchounes » pas à eux mais qui, espérons-le, pourront devenir des citoyens adultes pleins et entiers.
Du moment que tous ces gens-là fabriquent leur « bonheur-quotidien » sans avoir à abîmer autrui dans sa chair et son esprit à leur « trouer le kul », figurez-vous que j’en serai très heureux !
Mais que le chemin pour y parvenir est tortueux…

 

En attendant, on assiste bien à la faillite morale, intellectuelle, politique, et même philosophique de toute cette fange qui ne parvient pas à s’assumer et reste revendicative de leurs propres travers en accusant tous les autres, « normaux », de les sacrifier voire seulement de les « discriminer ».

Or, je leur accorde le droit d’être eux-mêmes (je suis bien moâ-même) et d’assumer, bien naturellement, mais à condition de ne pas imposer à d’autres leurs points de vue qui ne valent décidément pas plus, pas mieux que celui de n’importe qui qui respecte autrui, sa vie et son devenir.

Qu’il ait 13 ans ou deux, trois ou quatre fois plus : La vie est assez pénible comme ça pour devoir respirer le même air (contaminé) que ceux-là qui marchent sur la tête !

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