Car ils y vont vraiment très loin !
Parmi les questions : « Êtes-vous enceinte ? »
Heureusement, il en plaisante en rajoutant ex-post : « À 75 ans, c’est peu probable… »
Attend, il est toubib-soignant-diplômé, ce gars-là ?
Vraiment ?
Ils ont du souci à se faire à la fac de médecine…
Et puis attends, le mek qui aurait écrit ça, les meks qui l’auraient relu, ils passaient par la caisse le soir même avec leur solde de tout compte à la main !
Non mais…
Peut-on avoir confiance dans ces gars-là au juste ?
Ils annoncent une flopée de vaccinations obligatoires dans les semaines à venir, se défendant de ne pas aller assez vite parce qu’ils ne veulent pas « faire peur ».
Objectif : La vaccination de tout le monde, adulte, avant l’été.
Qui cette année commence curieusement le 21 juin. 172ème jour de l’année.
Or, globalement, mettons qu’il n’y ait que 40 millions de résidents (les 2/3 en ne comptant pas les « djeuns » exemptés de « piquouze » pour cause de jeunesse) ce qui laisse 164 jours si on commençait dès le 8 janvier au matin.
Une simple règle de trois donne un rythme moyen de 243.900 vaccinations quotidiennes…
1,7 million par semaine en comptant les dimanches.
Or, non seulement nous n’aurons que quelques centaines de milliers de doses par mois dans les mois qui arrivent, mais en plus il faut 2 doses par citoyens « élus » pour que ce soit efficace !
En bref, l’année prochaine, nous y serons encore et personne ne le leur a expliqué.
Et après, on doit leur faire confiance et approuver avec un large sourire ?
C’est dramatique, oui.
Ils sont surtout bons pour faire des additions et quelques soustractions (surtout dans les soustractions de vos avoirs, là ils s’y entendent) mais dès qu’il y a une multiplication à faire (ce n’est pourtant jamais qu’une succession d’additions qui se répète), ils sont perdus.
Même avec des machines…
Alors, une division (l’inverse d’une multiplication), c’est « ensemble vide » : Personne pour leur expliquer qu’à raison d’une piqûre toutes les 5 minutes, même avec des journées de 10 heures, il faudrait plus de 2.000 personnes « piqueurs » pour assurer sans mollir le rythme des 243 milles piqûres durant le semestre à venir.
Deux régiments entiers plus « l’intendance » – la bouffe, les cafés chauds, la literie, les questionnaires, les bouses, masques, gants, la gestion des dosettes et des seringues mono-usages à détruire comme autant de déchets « cliniques »– qui va avec, soit entre 4 à 5.000 personnes dédiées (hors RTT).
Ce qui ne fera jamais que 6.775 « piquousés » par jour et par centre.
Juste pour mieux en rire, quand une cantine prépare 1.200 repas/jour, ils sont déjà une vingtaine et bossent 7 heures par jour pour un seul service, voire deux si les locaux sont exigus…
Et je ne dis pas les « abords » quand on sait qu’un parking de 10.000 places est vite saturé aux heures de pointe d’un hypermarché.
Et quand il faut recevoir des électeurs pour une seule journée de vote, il faut 65.000 bureaux de vote avec leurs isoloirs, 2 à 4 personnes à l’accueil, au moins un président et deux assesseurs.
Quant à dépouiller, une cinquantaine de personnes sont censées compter en fin de soirée…
Que ça en mobilise, du monde jusqu’à pas d’heure.
Pour seulement 800 à 1.000 par bureau de vote, pas plus…
Mais on nous annonce déjà plus de 100.000 vaccinés.
À ce rythme-là, en 400 jours on aura fait le tour du problème.
Soit à peu près à Pâques 2022…
Pas avant l’été 2021 !
7, pas plus.
C’est un peu comme si on demandait aux « sachants » de Chicago comment déployer un corps d’armée.
Ou une escadre de la flotte, tellement nos militaires sont incompétents…
Naturellement.
Ça me fait penser au dernier prix Goncourt et son fameux « protocole 42 ».
Le truc qu’on utilise seulement quand on n’a pas prévu l’imprévisible…
Magnifique, l’idée (il méritait vraiment son Goncourt, celui-là !)
Les meks étaient partis pour 50.000 m² couverts à 10 KF le mètre, HT.
Évidemment, mon patron n’avait pas l’argent, ni même le premier sou. Et ça le paniquait totalement qu’il en a fait un ulcère…
Il imaginait mal les préparateurs partir le matin avec le sandwich dans la poche pour finir leur préparation de commande jusqu’en fait de journée : « Et encore, vous ne prenez pas en compte la pause pipi où le type pose sa machine en bout d’allée pour aller en griller une et revenir ensuite… »
Je lui ai fait « un truc » super-compétitif, moâ, son juriste-fiscaliste-maison, plus jeune DAF d’une société cotée pendant quelques années (pas beaucoup : on vieillit vite même dans ce milieu) avec un architecte et son unique adjointe à 25.000 m² pour 2.000 F/m² qui est longtemps resté un « exemple » qu’on venait visiter de loin.
(J’avais été voir ce qui se faisait de lieux à Helsinki, en UK et même à Bugey…).
C’est dire le boxon à venir…
Souvenez-vous : Pas assez de masque, donc masques interdits avant de devenir obligatoires quelques mois après.
Le coup des « respirateurs » qui manquaient dans les services de réanimation…
Déjà, si on a le meilleur système de soin du monde -que le monde entier nous envie), tout d’un coup on se rend compte qu’on ne sait pas faire face à une épidémie un peu « chargée ».
« Stop-Covid », l’application à télécharger qui « bugue » lamentablement avant de commencer à… ne servir à rien. Logique : Pas de possibilité de traçage tellement les « cas contacts » même asymptomatiques sont nombreux.
Les tests : Encore un autre flop qui aura saturé la filière des labos en deux temps trois mouvements.
C’est tout juste si ça commence seulement à fonctionner avec les nouveaux tests pris sur le vif.
Et puis le nombre de décès imputé au « Conard-virus ».
On en est à plus de 67.000 et on va vers les 70.000 tranquillement même si le variant britannique restait endigué.
Or, chose curieuse, d’après « Lyne-sait-tout » (l’institut statistique national) on n’a jamais eu que 42.000 décès supplémentaires par rapport aux années « normales ».
C’est vrai qu’aux moments des pics, les pompes-funèbres n’ont jamais autant travaillé : + 80 % d’activité au plus fort de la crise.
Le « Conard-virus » tuait (et continue à le faire), puisqu’on ne sait pas le soigner correctement.
Il faut dire qu’on aura interdit d’office les traitements qui ont soigné tant de Chinois…
Pour favoriser le « REM-désir-même-pas-en-rêve » qui aura finalement été interdit tellement il est dangereux.
40.000 décès, mais toutefois 20 fois plus de guérisons « spontanées »…
Ou d’asymptomatiques…
Moâ, je m’inquiète : Dans le lot, on a perdu 15.000 décès sur un an !
Peut-être moins si on considère que durant les périodes de confinement, on se tuait moins sur les routes, que les crimes de sang ont été réduits et que personne n’est tombé à bord de son 737 Max déréglé…
Mais un jour, il faudra quand même qu’on m’explique.
Quoiqu’il y ait pire.
Mais là ça vient du Royaume-Uni.
Et heureusement qu’ils sont brexités, parce que ça aurait pu être repris intégralement « dans le texte » par la Commission de l’UE et donc déroulé sans fard ni filtre par nos « sachants ».
Figurez-vous qu’ils vont jusqu’à vous expliquer comment « baiser » désormais…
« Choisissez des positions qui ne sont pas face à face pendant les rapports. » !
Bé oui, ils ont été les premiers à se rendre compte que pour assurer la pérennité de l’espèce sans se contaminer, il fallait renoncer à la position du missionnaire ou de « l’autochtone » à la « petite-cuillère », aux « ciseaux » ou à la « bougie ardente » de face et passer à la « levrette » où tourner le dos…
Parce qu’il est vrai que pour maintenir une distance de sécurité d’un mètre cinquante, il faut être drôlement outillé !
Ce qui n’est même pas le cas des « pornos-stars »…
Si, si, c’est vrai !
L’article, intitulé « Sex and Covid : What are the rules in lockdown », détaille les « nouvelles directives sur les rapports sexuels », suite à la déclaration de leur Premier ministre à eux, le
L’article indique que « se rencontrer pour avoir des relations sexuelles n’est plus possible » selon les nouvelles règles, mais il offre des recommandations sur la manière dont les couples peuvent avoir des relations sexuelles protégées du « Conard-virus ».
D’ici qu’on en fasse un décret et que l’on convoque un officier de police judiciaire ou un huissier qui vérifiera la « bonne position » pour coïter seulement en sa présence, il n’y a pas loin, à mon sens !
Fini le « baiser-mouillé » : Une nouvelle ère s’ouvre enfin pour les romantiques !
« Votre meilleur partenaire sexuel pendant la « pandémie » de Covid-19, c’est vous-même », ajoute l’article, qui encourage les gens à « se masturber, à utiliser des sex toys ou à avoir des relations sexuelles par téléphone ou en ligne », plutôt que de le pratiquer dans la vraie vie…
Je te demande un peu où on va, là !
La police a également demandé le pouvoir de forcer les gens à entrer chez eux s’ils soupçonnent quelqu’un d’avoir un comportement contraire aux règles de confinement.
Toutes ces règles, qui sont introduites sous un gouvernement conservateur, ont été soutenues avec véhémence par leur « gôche » à eux, qui, au cours des décennies passées, aurait normalement été horrifiée par le fait que l’État dicte littéralement avec qui vous êtes autorisé à avoir des relations sexuelles !
Une nouvelle ère, vous dis-je…
Parce que je ne sais pas bien en quoi un sex-toy sera utile pour la préservation de l’espèce, naturellement.
Bref, ils ne sont pas mieux outre-Manche que chez nous.
C’est pitoyable, finalement.
Et il faudrait en plus leur faire confiance ?
Je te demande un peu…
Je préfère vous prévenir, on ne sait jamais…
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire