Bienvenue !

Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mercredi 25 octobre 2017

Touche pas à mon porc !


Plus je deviens vieux, plus je deviens kon…


Je repasse par « Paris-sur-la-plage » un peu plus souvent depuis mon « exil-londonien » : Un coup d’Eurostar et c’est réglé.
Plus facile que de venir de Venezia.
Et j’ai bien repéré le hashtag de folie « #balancetonporc » et ses dizaines de milliers de tweets, qui accusent – le plus souvent sans les nommer – tel ou tel harceleur.


Vous ne savez pas quoi ? Bé au début, j’ai cru que c’était un « mot d’ordre » djihadiste…
C’est vous dire que je deviens vraiment un « gros-kon »…
Gros, même après avoir perdu pratiquement « un quart-de-tonne ».
Et que je me voyais déjà dans l’obligation « solidaire » de balancer par la fenêtre mes tranches de bacon sans même avoir pu les métaboliser après cuisson…
Kon, vous dis-je.


Bé oui, logique dans mon esprit de tordu : Le porc, c’est une viande haram, impure, interdite par le Coran, alors il fallait le balancer !
J’ai mis du temps à relier le « bidule » avec l’affaire Weinstein – une sorte de « gros-porc » Hollywoodien – accusé de divers comportements pas franchement folichons ni empreints de respect envers des actrices dit « du beau-sexe ».
(Il faut dire que l’autre, il est assez moche : Je n'ai aucune appétence).
Quand même la moitié de l’univers « homo-sapiens-sapiens », nos mères, grands-mères, nos filles et petites-filles, nos nièces et petites-nièces, nos cousines, nos moitiés et celles de nos frères et beaux-frères, nos maîtresses et même celles qui ne le seront jamais !
Que ça réveille même les consciences, libère la parole, modifie les comportements !
Qu’on vous a même annoncé une nouvelle loi contre les violences sexuelles et sexistes, (comme si celles qui n’existaient pas déjà, ne suffisaient pas puisque de toute façon personne ne sait s’en servir…).
Loi que nous souhaitons efficaces, et servies par des policiers et des magistrats efficients, pour une fois.
Mais permettez-moi de douter encore un peu : La « police-de-proximité » sera être censée le fer-de-lance du droit de nos femmes de vivre sans être harcelées, qu’une sur deux l’aurait déjà été.
(Je me demande qu’elle peut bien être la tête de l’autre moitié…)
Fabuleuse information…
Et sujet délicat entre bien d’autres.


Mais constatons d’abord qu’avec ce hashtag l’hystérie électronique aura encore frappé. L'avantage avec l’hystérie, c'est que ses crises passent vite, et que l’on peut ensuite la questionner calmement.
Notez que pour ma part, je reste marqué par « #JeSuisCharlie » : Le commencement d’un martyr renouvelé du peuple Gauloisien et plus généralement européen.


Constatons tout d’abord que son origine est une nouvelle fois située aux États-Unis. La société « Gauloisienne & friponne » ne s’est toujours pas aperçue à quel point elle vivait désormais sous l’empire et même sous l’emprise américaine.
Ça se constate pourtant jusque dans nos bourrages d’urnes (mais c’est un autre sujet).
Surtout notons que le plus tristement cocasse, c’est que ceux qui en sont les victimes sont ceux qui historiquement auront le plus vitupéré l’impérialisme politique et culturel américain : En deux mois historiques, deux crises hystériques, largement cornaquées par des histrions, auront importé sur les rives européennes des crises américaines.


Souvenez-vous qu’en septembre, les mauvais vents venus de Charlottesville auront conduit jusqu’à « Paris-sur-la-plage » de nouveaux talibans antiracistes pour détruire Colbert et Dugommier vouées aux pires crimes contre l’humanité et qu’en octobre les turpitudes de Monsieur Weinstein auront conduit les féministes les plus agressives à encourager la dénonciation massivement anonyme !
De la même manière que la guerre raciale américaine est devenue une réalité condamnable, le harcèlement, les violences faites aux femmes le sont pourtant tout autant et ce n’est pas moi qui irai m’y opposer, soyons sérieux.
C’est d’ailleurs leur instrumentalisation par des combattants autoproclamés déchaînés, quand ils ne sont pas pervers, qui autorisent tous ses excès à cette crise sans maîtrise.
On peut décrire aussi idéologiquement les acteurs de la poussée hystérique : Largement la « gôche-féministe ».
Ce n’est pas une critique, loin de là, mais bon, n’y-a-t’il pas plus urgent comme ces écarts de salaires entre hommes/femmes constatés jusque dans nos entreprises ?
Peut-être que non, après tout : Je ne sais pas…
Le « plafond de verre », ça ne leur allume pas autant le feu, alors que moi… passons !
Parce que le harcèlement, l’abus de faiblesse d’un sexe réputé « faible » est tout autant scandaleux.
Ni plus ni moins.


Rappelons aussi que pendant des années, tout esprit civique de coopération avec les autorités de police et de justice pour lutter contre le terrorisme était strictement proscrit au nom de la lutte contre la délation : L’interdiction puisait sa force d’intimidation dans la référence obligatoire à la sombre période de collaboration.
Aujourd'hui encore, la même famille politique qui encourage la délation électronique de masse combat tout projet de loi antiterroriste qui aurait comme effet prétendument barbare de conserver sur des fichiers le nom d’islamistes susceptibles de passer à l’acte homicide.
Le sort des femmes dans les pays appliquant la Charia ou le Wahhabisme – qui vient seulement pour l’un d’entre eux de permettre à « nos dames » de conduire un véhicule motorisé – c’est forcément moins important : Je vous laisse juge.


L’époque change radicalement : Mesdames « Cléclé-Haute-Tain » et « Schie-à-pas » adorent dénoncer tous les pourceaux et vous y encouragent.
En UK, ils ont un système, mis en place fin des années 90 qui va encore plus loin : Le « Name and fame » (Nom et réputation) fonctionne contre les pédophiles, mais aussi entre voisins, dans les milieux financiers, un peu partout, commuant parfois des délinquants – pas toujours coupables – en condamnés à vie !
Un « truc » assez fabuleux…
Surtout au pays de l’Habeas corpus.


Ce qui me navre, c’est aussi l’amnésie des contempteurs(trices) de cette religion des droits de l’homme (et de la femme) qui touche à la tartufferie : C’est ainsi que les « Insoumises » tiennent à défendre l’honneur des bars unisexes de Trappes et que la Secrétaire d’État qui traque volontiers le cochon en cravate n’a pas vu d’exactions sexistes rue de la Chapelle (et en rend responsables les trottoirs pas assez larges, ces cochons !). Pas plus d’antisémites dans les quartiers islamiques ou de racisme « ordinaire » dans « les beaux-quartiers ».
Ni les harcèlements plutôt sympathiques d’antan à la sortie de la station de métro Sébastopol où des bandes « d’afro-rastas » proposaient – au moins dans le temps – toutes sortes de cadeaux aux demoiselles esseulées qui en sortaient…
Ça ne retire rien à rien, mais je déteste ces discriminations.
Toutes les discriminations !
C’est la négation gratuite, intolérable et infondée du côté divin de l’Homme (et de la Femme).
Alors quant à balancer ma tranche de jambon, il y a une marge, pensez bien !
Je me suis donc ressaisi…


N’oubliez pas qu’en « Gauloisie-harceleuse » l’hyperactif « Dénis-Beau-pin » est issu du parti gauchisant des « écololos » et qu’on aura fermé les yeux sur son activisme sexuel pendant des années tout en y promouvant le féminisme le plus agressif.
La même famille politique qui chante actuellement les louanges de la dénonciation électronique célèbre théoriquement la liberté d'expression.
Je ne te vous raconte même pas le tristement célèbre « Déesse-Khâ » pris en flagrant délit d’éjaculation précoce sur une « pôvre-migrée » dans les suites de très chics hôtels new-yorkais : Blanchi de tout, même et jusqu’à Lille.
Et accueilli encore par de vifs applaudissements quand il a s’agit de rendre hommage à une sénatrice-soce prédécédée-précocement.


Toutefois que les femmes, massivement, décrivent leurs souffrances peut avoir un effet apaisant et obliger, qui sait, certains salopards à prendre conscience des souffrances qu’ils infligent ainsi gratuitement.
Et ça peut aller loin : On voit souvent des femmes dépressives, quand ce ne sont pas des « ados » qui sont poussées au suicide : Il faut aussi le dire, car ce n’est pas rien !
Même s’il y a aussi de la calomnie. Avec son cortège de couples brisés, de carrières gâchées et de vies piétinées. Car des patronymes ou des individus reconnaissables ont été donnés en pâture par des personnes anonymes ou sous pseudonymes. Et ici habite l’abject, maître de tous les racismes.
J’en veux pour preuve que même Joxe – que je ne porte pas dans mon cœur, soyez-en rassuré(e)s – se retrouve la cible d’accusations probablement infondées.
Où est la frontières entre les « fantasmes d’harcelées » et la « réalité-abominable » ?
Car la calomnie est aussi présente dans ce cortège de délations.
Est-il bon que des « innocents » puissent éprouver la peur ou la honte de se voir reprocher des fautes qu’ils n’ont pas commises ?
Si heureusement tous les hommes ne sont pas des harceleurs, toutes les femmes ne sont pas des victimes innocentes : Il y a des femmes menteuses. Il y a des femmes mythomanes. Il y a des maîtresses vengeresses. Il y a des maîtresses-chanteuses.


L’être humain est manifestement complexe et pluriel. Les rapports entre les hommes et les femmes peuvent être très laids, très douloureux, très injustes, ou encore magnifiques, sublimes ou très mystérieux.
Le monde de l’hystérie électronique, le monde du lynchage, le monde de la suspicion généralisée et organisée entre les hommes et les femmes, le monde du simplisme et des rôles distribués et stéréotypés, n’est pas un monde très humain.
C’est même un monde très bête.
À cette occasion je me souviens encore de ce maire de Toulouse traîné dans la boue médiatique pour des nèfles…


Et en me plongeant un peu plus dans « le problème du moment », je découvre le « #MeToo » où des hommes comptent agir pour lutter contre la culture du viol avec le hashtag « #HowIWillchange. »
Lundi 16 octobre, le journaliste et scénariste australien Benjamin Law a lancé le hashtag #HowIWillChange. Un moyen pour les hommes de s’engager publiquement contre la culture des violences sexuelles. « Guy, it’s our turn » a-t-il twisté – traduisez « Les gars, c’est notre tour ».
« Après les interminables histoires #MeToo de femmes victimes d’abus, d’agressions et de harcèlement, aujourd’hui nous disons #HowIWillChange. »
Créée par l’activiste Tarana Burke il y a 10 ans, la campagne « Me Too » a été récemment transformée en hashtag après que l’actrice Alyssa Milano l’a utilisée sur « Twister » pour encourager les autres femmes de partager leurs histoires de harcèlement sexuel et d’agression.
Très bien. Mais depuis, ledit hashtag est devenu viral. Des centaines de milliers de personnes – principalement des femmes, mais aussi des hommes – ont inondé les réseaux sociaux de leurs témoignages. Parmi elles, de nombreuses femmes ont commencé à demander aux hommes ce qu’ils allaient faire face à ce grand déballage de saloperie.
Avec le hashtag « #HowIWillChange », les internautes masculins peuvent donner des mesures individuelles concrètes. Comme par exemple signaler les hommes de son entourage coupables de harcèlement envers les femmes : Des experts ?


Et puis comme souvent, il y a un côté « farces et attrapes » avec « Kiki-Bout-de-thym » qui n’a pas pu s’empêcher de dire un mot sur la polémique. La désormais ex-conseillère départementale des Yvelines a regretté que l’on s’attaque ainsi à une composante de « l’identité française ».
J’adore…
La présidente d’honneur du Parti chrétien-démocrate (PCD), qui tenait samedi une conférence de presse à Rambouillet s’est fendue d’un avis tranché sur la polémique : « Je ne pense pas que cette espèce de torrent de révélations soit nécessaire ». Celle qui compare ces propos à « un dégueulis d’accusations » a estimé que le « climat du moment » était « insupportable » et risquait « d’abîmer profondément les relations entre les hommes et les femmes ».
Je veux voir, tiens !
Selon l’ancienne ministre du Logement de « Bling-Bling » dont on se souvient que son directeur sous-louait son HLM-chicos de fonction du boulevard Port-Royal, les faits reprochés par ces femmes ne sont rien de plus qu’une pincée de machisme héritée de la « grivoiserie », qui « fait partie de l’identité française », a-t-elle expliqué.
Et d’ajouter enfin : « Et j’aime bien la grivoiserie ».
Déjà, en 2016, quand 17 ministres s’étaient soulevées après des révélations de harcèlement sexuel, elle avait affirmé avoir « honte » de ses consœurs, « qui laissent entendre que les hommes sont des obsédés ».
Hé, mignonne, pour sûr qu’on ne pense qu’à ça !


Mais sauf exception-exceptionnelle, on sait tenir nos bites dans nos caleçons et nos mains dans nos poches.
Et heureusement encore : Sans ça ce ne serait que « boxon-perpétuel » à tous les coins de rue.
C’est qu’on a aussi des « exigences » en termes de choix (du moment, du partenaire, du lieu), pardi !
Et puis souvenez-vous de cette planche de Claire Bretécher où elle te me vous dessinait toute une page d’une « nana-moche-au-réveil », qui passe son temps et durant toute la page à se maquiller et se rendre sexy, pour finalement, et à la dernière case, se faire agresser par un mek au bureau et qui sort, à moitié dévêtue de force : « Mais qu’est-ce qui vous fait croire que je suis un objet sexuel ? »


Pour ma part, j’en reste « Gauloisien », parfois un peu grivois, grisé par tous ces charmes déployés par « mes femmes », mais avant d’aller au-delà, dans le langage ou l’attitude, je fais signer la « Convention de Libre Coïtage » désormais de réputation mondiale puisque ce post est parmi un des 10 plus lus de ce blog (sur 1.332 à ce jour).
À défaut de savoir-vivre, elle reste une protection « juridique » assez efficace contre le harcèlement dont je peux parfois être victime : Je vous le garantis, ça possède vraiment un effet dissuasif !


Pour le reste, il s’agit de savoir « mesure garder » et de déguster son bacon en toute tranquillité : Ces vaines « polémiques » finiront bien par se tasser et on pourra enfin aborder les « vrais-problèmes » cachés par ses « faux-nez », certes intolérables, avec une belle loi qui nous interdira de publier des « Histoires d’en rire » sur les blondes.
Ça tombe bien, je ne vous en mets presque jamais les vendredis.

8 commentaires:

  1. Et j’ajoute : « Touche pas à ma cochonne !... »

    C’est vrai quoi !...
    Faut leur demander leur avis, à ces Dames !...

    Bien à vous !...

    Haddock

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    1. La "Baronne", une cochonne ?
      Je ne lui dirai pas, mais heureusement qu'elle "aime ça"...
      Sans ça, vous auriez galopé dans les allées de vos 747 au lieu de les piloter.
      Je ne vous raconte pas la sécurité de vos passagers...

      Ceci dit, les miennes en redemandent, en général !

      Bien à vous !

      I-Cube

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    2. Ça l’a fait rire !...
      Ouf !...

      C’est sûr qu’avec toutes les hôtesses qui rêvent de partir avec un pilote, c’est un métier qui bouge beaucoup sur ce plan-là !...
      Pas facile à supporter un « Haddock »… en fait pas plus qu’une « Baronne » !…

      Bien à vous !...

      Haddock

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    3. Comme quoi, vous étiez fait pour vous rencontrer.
      Hasard ou destinée... ?

      Ca me fait pensé que j'ai pu lire un bouquin - cet été au chevet de ma "Môman" - dont je ne me souviens plus du titre, mais très marrant : Les aventures d'un couple morbihannais en vacances chez des amis tropézien.
      Avec des "OI" (observations instantanées) remarquables, comme par exemple, "Pourquoi cette plage est déserte ? Parce qu'elle est gratuite..."
      Et de décrire la population locale aux mœurs bizarres comme ces "Yachtmen" qui se promènent dans les criques avec des filles sublimes et nettement plus jeunes qu'eux : "Ah oui, des dentistes ! Ils sont tous dentistes, ça rapporte plus que pilote d'avion !".

      Faudra passer le mot à vos hôtesses de l'air !

      Bien à vous !

      I-Cube

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    4. Un dentiste mieux payé qu’un pilote de bus aérien ?...
      C’est en train de changer.

      Avec 630.000 pilotes à former en 20 ans, les compagnies qui n’ont pas su gérer leurs navigants vont avoir de sérieusement difficultés à passer les plannings.
      D’ailleurs, « Rit-Âne-Air » sera peut-être la première "major" à déposer le bilan si les pilotes continuent à la fuir : 50 démissions en une semaine.

      Les Chinois sont les plus gros demandeurs de pilotes formés.
      Les salaires oscillent entre 200.000 et 300.000 dollars, impôts payés, pour un captain A320 ou B737.

      La Chine est un pays « communiste-pragmatique » vraiment surprenant.

      Le record est un salaire de 80.000 dollars par mois pour un captain de Dreamliner expérimenté !...
      Les compagnies n’ont pas le choix : un avion qui ne vole pas est un gouffre financier et une terrible perte de recettes.

      Et cela va durer au moins deux décennnies.

      Et puis, elles sont mignonnes les hôtesses de l’air chinoises !...
      Pilote, un métier d’avenir !...

      Bien à vous !...

      Haddock

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    5. Faut pas non plus confondre "revenus-effectifs" et "signes extérieurs de richesse", au moins autant que le font volontiers les députés "Rêve-même-pas-en-Marche"...
      Ils viennent d'augmenter le tarif, d'ailleurs : J'en parlais récemment et ça n'a pas loupé.
      Comme quoi "ils" lisent ce blog !

      Maintenant, un dentiste "quatre-mains" (avec une assistante compétente), s'il ne fait pas 120 K€ à 2 fois plus par an en "net-net", c'est qu'il n'est "pas bon".
      Mais je ne vous raconte même pas combien ils sont accros à "l'optimisation fiscale" à même inventer des "trucs" qui n'existent pas (que s'en est pénible quand il faut aller les défendre par la suite...).
      Alors que les pilotes, ils ont droit à toutes les astuces qu'offre leur métier et elles sont nombreuses et parfaitement légales.

      Pour ma part, je considère qu'ils sont à l'égal d'un bon radiologue qui coûte quand même nettement moins cher qu'un pilote et son avion. Un IRM, c'est certes la peau du dos, mais ça crache mieux qu'un réacteur.
      Pour le reste, ce n'était qu'un livre parmi d'autres, qui m'a fait passer le temps...

      Quant aux charmes des hôtesses asiatiques, tout est une question de goût.
      Il faudra que j'essaye, peut-être à l'occasion...
      Le premier qui fait, il raconte à l'autre : Ca vous va ?

      Bien à vous !

      I-Cube

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  2. Je me suis faite lynchée sur des blogs féminins quand j’ai exprimé ma désapprobation argumentée au sujet de cette « noble et vertueuse » campagne anti porc (au passage anagramme de proc).
    Du reste, je m’insurge sur l’emploi de porc qui encore une fois est insultant pour cet animal qui n’a rien demandé, pas même de terminer en bacon (pauvre bête !)

    Je n’ai pas souvenir non plus que les viols de masse à Cologne ait entrainé une telle hystérie collective, ah ben oui, c’est vrai, il ne faut pas stig-ma-tiser l’étranger muslim.

    En tout cas, à part la condamnation de l’indigence des paroles, cette chanson serait censurée aujourd’hui : non mais quel gros pervers ! : https://www.youtube.com/watch?v=MVtzQHaLmUM&index=5&list=RDE8EOhsoVSiI

    En attendant le diable se marre :
    « JOHN MILTON : Je vais te dévoiler une petite info exclusive au sujet de Dieu. Dieu aime regarder, c'est un farceur. Réfléchis, il accorde à l'homme les instincts, il vous fait ce cadeau extraordinaire, et ensuite qu'est-ce qu'il s'empresse de faire ? Et ça, je peux te le jurer, pour son propre divertissement, sa propre distraction cosmique, personnelle. Il établit des règles en opposition. C'est d'un mauvais goût épouvantable. Regarde, mais surtout ne touche pas. Touche, mais surtout ne goûte pas. Goûte, n'avale surtout pas. Et pendant que vous êtes tous là à sautiller d'un pied sur l'autre, lui qu'est-ce qu'il fait ? Il se fend la pêche à s'en cogner son vieux cul de cinglé au plafond. C'est un refoulé, c'est un sadique, c'est un proprio qui habite même pas l'immeuble !"...

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    1. Chère "Comtesse-au-pied-dénudé",
      Tout est bon dans le cochon, figurez-vous !
      Ce qui serait insultant ce serait de traiter un humain du nom d'un animal : Il y a quand même quelques différences qui se détectent au premier regard, non ?
      Enfin passons.

      Vous ne m'étonnez pas de la réaction des furies ayatollesques (qui ne sont pas venues jusqu'ici pour le moment et j'en ai bien pesé le pour et le contre) qui font tout dans la surenchère pour faire buzz : Leur pôvre petit quart-d'heure de gloire...

      Alors qu'il y a une réelle souffrance qu'on oublie volontiers pour toutes celles qui n'ont pas pu "dépasser" l'agression.
      Et je ne cause même pas de cette amnésie collective quant aux viols de Cologne : On ne les a pas entendues trop hurler, alors qu'il s'agit d'un acte criminel, si je ne m'abuse.

      Ca va se tasser : Tant qu'on ne parle que de ça, on ne cause pas des millions qui changent de main en toute illégalité dans l'ombre, alors que meurent de faim tous les jours des gamins qui n'ont pas accès à l'eau-potable.
      Eux, ils crèvent dans la honte des silences des bonnes consciences : C'est loin, tout simplement et c'est tellement facile de détourner le regard.
      La preuve, tous ces "salauds" qui vous mettent une main aux fesses sans demander la permission préalable, personne ne les avaient jamais vus, jusque-là.

      Un monde d'hypocrisie peuplé de fats-impétueux.

      Franchement, j'ai dû me tromper de planète quand je suis né ici à cette époque-là.
      Passons, passons encore...

      Bien à vous !

      I-Cube

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