Bienvenue !

Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

jeudi 14 janvier 2021

La « folie dogmatique écololo » à l’épreuve des faits

Ce 8 janvier, elle a failli nous plonger dans le noir !
 
Bé oui, il n’y a pas eu que les « Tromperies » de « McDo » à se mettre sous notre macula ébahie et traumatisée.
Figurez-vous qu’on ne vous l’a pas dit, mais ce vendredi-là, le réseau électrique européen (les « nationaux » sont tous interconnectés) a failli s’effondrer.
En général ça se traduit par un « black-out » total de tout ce qui « branché », un arrêt de toutes les machines qui fonctionnent à l’électricité, sauf vos véhicules hybrides (qui rechargent leur batterie avec du bon pétrole bien raffiné).
Ascenseurs, ordinateurs, fours (pas au gaz), pompes diverses et fort nombreuses jusque sur votre chaudière-vapeur, épurations, réseaux 2, 3, 4G, mais pas la téléphonie filaire (qui disposent d’imposantes batteries en 12 ou 24 volts pour éviter de vous électrocuter le conduit auditif).
Et quand ça se prolonge la nuit, si votre frigo et votre congélateur font grève, 9 mois plus tard les maternités sont débordées…
 
En fait, on avait été averti d’un pic de consommation la veille, tellement il faisait froid.
Pas en « Gauloisie-septentrionale », mais en Ibérie-hispanique.
On nous avait donc demandé de nous geler les miches dans la matinée et avait averti les « gros consommateurs » énergétiques et industriels qu’ils seraient probablement délestés dans la matinée.
Ils s’en foutent : On les a obligés à s’équiper de générateurs assez puissants pour prendre le relai sur leurs sites.
Je sais, c’est un des abonnements « écrêtés » qu’on vous oblige à signer dans certaines entreprises, même celles qui font du froid.
J’ai installé comme ça une « boutique » avec deux gros générateurs pour mettre en sécurité 240.000 m3 des produits surgelés.
Pourquoi ? Parce qu’Edf ne voulait pas devoir payer de la marchandise décongelée.
Et pourquoi deux ? Parce que l’un pourrait tomber en panne !
Si les deux ne démarrent pas, ce sera de votre faute que de ne les avoir pas entretenus !
Et bien entendu, « on entretenait ».
Assez régulièrement d’autant que quand on les faisait tourner, ça faisait tourner le compteur à l’envers et qu’en plus ça coûtait moins cher au KW/h produit que celui du réseau national (auquel on est également obligé de s’abonner : Monopole de la distribution oblige).
Une de ces petites « Gauloiseries » que nous imposent les lois et règlements de ce pays qui font tout son charme…
 
Bé la baisse de tension n’a pas eu lieu comme prévu par nos brillants ingénieurs.
Vous pouvez voir la courbe de la production de cette journée-là : Un « truc intéressant où on découvre que le « mix-écololo » est une grande et belle arnaque pour imberbes boutonneux et farceurs !
Et autres « trisomiques-autistes »…
Pensez donc, les Teslas d’avenir du « Élan-Musc » roulent en réalité à 70 % à l’énergie nucléaire !
Le soleil, les « bioénergies » et l’éolien, ce n’est même pas « quantité négligeable ».
Vérifiez donc…
 
Donc on repère assez aisément que notre électricien tricolore exportait du courant toute la matinée, mais que de 14 à 15 heures il a dû en importer !
C’est à ce moment-là qu’on aura pu constater une baisse brutale de tension sur le réseau électrique européen, qui reste encore aujourd’hui inexpliquée.
Ce qui a nécessité en début d’après-midi à des mesures d’urgence pour éviter un black-out (une coupure de courant généralisée).
Pour en conclure assez logiquement que cet incident illustre la fragilité grandissante des réseaux électriques : Ils sont aujourd’hui inadaptés à des productions renouvelables toujours plus importantes qui sont intermittentes et aléatoires…
 
C’est en réalité un incident majeur qui sera passé relativement inaperçu.
Si le réseau électrique interconnecté européen a failli sauter et priver soudain plusieurs pays d’électricité, cela met en lumière les faiblesses de réseaux électriques inadaptés à l’augmentation de la part de productions renouvelables intermittentes qu’il est par définition impossible de mobiliser en cas d’urgence !
Et cela est particulièrement sensible en hiver quand la demande d’électricité est en général plus forte et l’ensoleillement réduit.
La chute brutale de tension aurait été localisée au Sud-est du réseau européen (Entso-E).
Entso-E en fait état dans un communiqué laconique…
 
Pour éviter un black-out total (une coupure de courant généralisée), les systèmes automatisés et les responsables de la gestion des réseaux ont isolé le Sud-ouest de l’Europe du reste du réseau, coupé l’alimentation de certains sites industriels gros consommateurs et activé les réserves de production disponibles.
RTE, le Réseau de transport d’électricité en « Gauloisie-électrique », a ainsi coupé l’alimentation de 16 grands sites industriels sur le territoire national ce qui a permis de réduire la consommation de 1.300 MW.
Et cela n’a rien à voir, c’est une coïncidence, avec la demande formulée la veille par RTE aux « Gauloisiens-covidés » de réduire leur consommation le 8 janvier dans la matinée.
RTE précise par ailleurs dans un communiqué que le gestionnaire du réseau de transport d’électricité italien, Terna, a lui aussi le 8 janvier à partir de 14 heures, « activé son mécanisme d’interruptibilité, permettant de diminuer la consommation d’environ 400 MW en Italie. L’ensemble de ces actions a permis de rééquilibrer la fréquence électrique européenne ».
 
Réduire la consommation industrielle et activer dans l’urgence des sources de production d’électricité pilotables (fossiles, hydroélectrique voire nucléaire…) a permis d’éviter un black-out dont les conséquences économiques, sociales et en termes de sécurité auraient été lourdes.
On imagine les conséquences de l’arrêt des trains et des métros, des ascenseurs, des éclairages, des systèmes de communications, des systèmes de chauffage, des feux aux carrefours…
Dans ces « folles » conditions, ni l’éolien, ni le solaire ne sont capables de soutenir le réseau !
Ils sont même dans une certaine mesure à l’origine du problème quand ils remplacent des moyens de production dits pilotables : « Ils ne disposent ni de réserves de puissance ni de régulation de fréquence. Seuls des moyens de production pilotables et rapidement mobilisables peuvent éviter la catastrophe : hydraulique de barrage et gaz pour l’essentiel », écrit un journaliste.
CQFD…
 
Cet incident illustre parfaitement les craintes exprimées depuis plusieurs mois par l’Agence Internationale de l’Energie (AIE) sur la fragilité grandissante des réseaux électriques dont les économies et les populations sont pourtant de plus en plus dépendantes.
L’AIE résume cette problématique de la façon suivante : La transition énergétique passe par une augmentation rapide de la consommation et de la production d’électricité et le développement des renouvelables.
« S’ils sont indispensables, leur production intermittente et aléatoire, par nature, (ils) représentent aujourd’hui un danger pour les réseaux électriques ».
Ces derniers doivent absolument se moderniser et devenir plus robustes en additionnant les sources de production, en étant plus flexibles et en se renforçant face aux cyber-attaques et aux catastrophes naturelles.
 
Toujours selon l’AIE, la part de l’électricité dans la consommation finale d’énergie dans le monde est appelée à augmenter de façon continue.
Elle est passée de 15% en 2000 à 20 % aujourd’hui et devrait représenter au moins 24 % d’ici 2040.
Assez loin du mix « 50/50 » voulu par « Tagada-à-la-fraise-des-bois » quand il faisait « capitaine de pédalo » dans le civil.
Dans son rapport publié à la fin de l’année dernière et intitulé « Power Systems in Transition, Challenges and opportunities ahead for electricity security », l’Agence souligne l’incapacité des réseaux électriques tels qu’ils existent aujourd’hui à accompagner ces changements.
 
D’en conclure qu’il va nous falloir encore plus de centrales nucléaires dans un avenir proche, là où on persiste à les fermer.
Oui, parce qu’on n’a aucune honte à marcher sur la tête dans ce pays qui est le mien (que j’aime tant et qui me le rend si mal…)
Imaginez donc un peu qu’on puisse claquer « un pognon de dingue » en couvrant le territoire de bornes de recharge tout-partout afin d’assurer « les mobilités » constitutionnelles de se déplacer à sa guise…
Il faudrait doubler le parc des centrales.
Or, les sites pouvant accueillir de grosses installations sont comptées (et déjà saturées) : Il faudra bientôt les immerger au large de nos côtes.
Juste une question de refroidissement : L’énergie électrique produite n’est jamais que l’exploitation technique d’un différentiel de masse calorique, de température.
Pas de refroidissement, pas de différentiel exploitable.
Votre bagnole à 4 roues fonctionne sur le même principe.
Et les énergies « renouvelables » ne pouvant au mieux que fournir quelques pourcents, impossible d’imaginer que ce sera le « futur-radieux » promis par nos « écololos-décérébrés ».
C’est comme ça.
Même la géothermie s’est vu imputer les derniers tremblements de Terre en Alsace…
Quant à la force « marémotrice »… N’en parlons même pas : C’est tout juste si ça peut éclairer quelques phares à marée montante au large de Saint-Malo !
 
Alors, « décarboner-décarboner » à tout prix, c’est bien joli (même si on n’a pas le premier rond pour le faire), mais la seule solution restera de fabriquer assez de courant pour électrolyser de l’eau pour fournir de l’hydrogène aux pompes à essence sur les autoroutes et autres voies de circulation.
Au moins, on fera l’économie d’un accroissement de lignes à très haute tension.
Et, cerise sur le gâteau, ça ne pourra se faire qu’avec des micros-centrales enterrées en attendant les centrales du futur qui sont encore dans les cartons depuis… les années 60 !
À savoir les centrales « soft » au thorium.
Elles ont l’avantage d’être « pilotables » et inoffensives puisqu’elles brûlent des neutrons qu’elles font naître elles-mêmes avec un banal petit accélérateur de proton comme on en trouve dans certains labos biologiques.
Quand ça s’emballe, on lui coupe le courant et ça s’arrête tout seul !
General Electric bosse d’ailleurs là-dessus depuis quelques années.
Nos « X » et « Pistons », pas du tout encore (aux dernières nouvelles)…
 
Notez que ça fait des années que j’en parle, mais tout le monde préfère la filière « militaire » à enrichissement (de l’uranium et du plutonium) qui coûte une blinde et un bras.
Le problème de la filière militaire c’est que si on la maîtrise à peu près bien (hors les russes et les nippons), elle aboutit forcément à fabriquer des transuraniens qu’il est assez facile de transformer en munitions dévastatrices !
À la portée d’un physicien terroriste amateur quelconque qui sait se documenter.
J’en ai même fait un roman : « Parcours olympiques ».
Vous n’avez qu’à l’acheter, puisque j’y décrit des techniques d’enrichissement bien connues et pour le moins « artisanales »…
 
C’était l’ultime signal d’alarme de nos « fragilités » qui aura été immédiatement enterré par les autorités axées sur la lutte contre un virus qui mute et persiste à faire des morts.
Dans quel monde d’autistes vivons-nous au juste ?

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire