Commencée… je ne sais plus quand !
Normalement, il est prévu de les
retrouver dans un recueil broché en vente dans les meilleures librairies
francophones, mais je n’ai le temps de rien en ce moment…
Une très célèbre actrice passait
récemment à la télévision.
L’animatrice lui demande :
« – Qu’emporteriez-vous pour lire si vous deviez passer un an sur une île déserte ?
– Un beau gars, tendre et viril, avec
une histoire d’amour tatouée sur les bras. »
(Ça vaut celle qui aura répondu : « Ma
chemise de nuit ? Chanel N° 5… »
Ou encore cette autre : « Mes boucles d’oreille préférée ? Mes genoux… »)
Jean-Marc et Jean-Paul s’installent
à une terrasse de café (entre deux confinements) où ils demeurent ainsi en
silence pendant une quinzaine de minutes.
Soudain l’un d’eux se met à bailler.
« Tiens », Jean-Marc, « profite donc que tu as la bouche ouverte pour appeler de garçon. »
(C’est une « revenue » des aventures de Dumè, version « pinzutu »)
Jean-Jacques demande à la libraire de
lui conseiller un bon livre sur le jardinage, car il n’y connaît rien.
« – Je viens d’acheter une maison en banlieue… alors vous comprenez, je dois m’y mettre.
– Je vois, prenez celui-ci. Quand vous
l’aurez lu, votre travail sera à moitié fait ! Il est très bon.
– À moitié fait ? Dans ce cas, j’en achète deux ! »
(Ça, c’est « une revenue »
des « histoires
Kameulf », version « planète Terre »)
« – Moi », dit Jean-Marc,
« je relis toujours les vieilles lettres.
– Et pourquoi donc ? » demande
Jean-Paul.
« Pas obligé de répondre. »
« Il y a deux hommes en moi »
disait Jean-Marc à son épouse.
Et Germaine de lui répondre du tac-au-tac :
« J’aimerais tellement connaître l’autre… »
« C’est l’enfer au bureau »
dit un fonctionnaire.
« – Qu’est-ce qui se passe ?
– Plus moyen de dormir…
– Mais voyons ?
– Depuis quelques semaines Jean-Marc ronfle tellement fort qu’on ne peut plus dormir ! »
Le garçon sert deux bières à Jean-Marc
au « Click & collect » local :
« – Pourquoi veux-tu toujours que je te serve deux bières d’un coup ?
– Ma femme dit que lorsque je bois je
deviens un autre homme.
Et cet autre homme a soif, lui aussi. »
Et on termine par le recueil « des
combles ».
Certains sont des « revenus », mais pas tous :
Quel est celui un électricien ?
C’est de faire du 220 sur l’autoroute quand c’est limité à 110.
Quel est celui d’un chien ?
C’est d’être aux abois.
Et celui de la femme d’un pompier ?
C’est d’être une allumeuse qui en plus, a le feu au cul.
Le comble pour un fantôme ?
Faire du mauvais esprit !
Le comble pour un ordinateur ?
Manquer de mémoire…
Le comble du mathématicien ?
Se coucher avec une inconnue et se réveiller avec un problème !
Le comble de l’avarice ?
Un gars qui ne se masturbe jamais parce que ça vient de sa poche !
Le comble de l’innocence ?
Une nonne qui travaille dans une usine de préservatifs et qui pense fabriquer des sacs de couchage pour les souris.
Le comble de la propreté ?
Essuyer un refus.
Le comble du photographe ?
Poser une question.
Le comble de l’habilité pour un barbier ?
Raser les murs.
Le comble de la réussite pour un sourcier ?
Découvrir une source de revenus.
Le comble de l’habilité pour un chasseur ?
Poursuivre une idée, chasser un mauvais souvenir, tirer une conclusion.
Le comble de l’habilité pour un distillateur ?
Extraire l’essence de la rose des vents.
Le comble du dévouement ?
Être membre d’un Club Optimiste.
Le comble pour un nain ?
Se laisser dire qu’il est mal élevé !
Le comble pour un journaliste ?
Être à l’article de la mort.
Le comble pour un Écossais ?
Filer à l’anglaise.
Le comble pour un électricien ?
Ne pas être au courant et avoir des ampoules aux mains.
Le comble de la politesse ?
S’asseoir sur son cul et lui demander pardon !
Le comble pour un coq ?
Avoir la chair de poule…
Le comble pour un agneau ?
Avoir une faim de loup.
Le comble pour un petit pois ?
D’être chiche.
Le comble pour une souris ?
Avoir un chat dans la gorge.
Le comble de l’optimisme ?
Rentrer dans un restaurant et compter sur la perle qu’on trouvera dans une huître pour payer la note.
« – Quel est le comble de
l’aviateur ?
– C’est d’avoir les
oreilles décollées. »
« – Quel est le comble d’un
avion ?
– Avoir un antivol. »
« – Quel est le comble pour un
banquier ?
– C’est d’avoir un lit en
portefeuille ».
« – Quel est le comble pour une
brosse à cheveux ?
– C’est d’être de mauvais
poil. »
« – Quel est le comble d’une
clé ?
– Être mise à la porte. »
« – Quel est le comble pour un
cordonnier ?
– Avoir les dents qui se
déchaussent. »
« – Quel est le comble pour un
coureur cycliste ?
– Être mis au régime sans selle. »
« – Quel est le comble de la
distraction ?
– Avoir perdu ses
lunettes et les mettre pour les chercher. »
Et quelques « rappels » :
« – Quel est le comble du
chauve ?
– Avoir un cheveu sur la
langue… »
« – Quel est le comble pour un
chien ?
– Donner sa langue au
chat. »
« – Quel est le comble d’un coq
?
– C’est d’avoir la chair
de poule. »
« – Quel est le comble pour un
crayon ?
– Avoir mauvaise
mine ! »
« – Quel est le comble du curé ?
– Rentrer dans une
pâtisserie pour manger une religieuse. »
« – Quel est le comble de
l’économie ?
– Ne pas regarder à
travers ses lunettes de peur de les user. »
« – Quel est le comble pour un éléphant
?
– Être sans défense. »
« – Quel est le comble pour un
facteur ?
– C’est d’être timbré. »
« – Quel est le comble de la
gourmandise ?
– Parler le plus
rapidement possible pour manger ses mots. »
« – Quel est le comble de l’arboriculteur
?
– Consoler un saule
pleureur… »
« – Quel est le comble du loup ?
– Être doux comme un
agneau… et jouer à saute-moutons. »
« – Quel est le comble du
magicien ?
– Oublier sa baguette
chez le boulanger. »
« – Quel est le comble du
marchand de légumes ?
– Raconter des salades. »
« – Quel est le comble du
médecin ?
– C’est d’examiner un
crayon pour voir s’il a bonne mine. »
« – Quel est le comble d’un
ordinateur ?
– Avoir des puces ! »
« – Quel est le comble de la
patience ?
– Trier des petits pois
avec des gants de boxe… »
« – Quel est le comble du
pilote de ligne ?
– S’arrêter sur le mur du
son pour faire pipi ! »
« – Quel est le comble de la
sécheresse ?
– C’est quand une vache
donne du lait en poudre. »
« – Quel est le comble pour un
serrurier ?
– C’est d’être sous les
verrous. »
« – Quel est le comble pour une
taupe ?
– C’est de se creuser la
tête. »
« – Quel est le comble pour un
vampire ?
– C’est de perdre son
sang-froid. »
Et puis encore :
« – Quel est le comble d’un
imprimeur ?
– Avoir un bon caractère pour faire une
bonne impression ! »
« – Sais-tu quel est le comble
du comble ?
– Non. C’est quoi ?
– C’est quand un muet dit à un sourd qu’un aveugle les espionne… »
« – Connais-tu le comble de la
prudence ?
– Non, c’est quoi ?
– Garder sa ceinture de sécurité bouclée au ciné-drive. »
« – À ton avis, quel est le
comble de la compétition ?
– Je ne sais pas…
– Un gars qui pisse à côté d’une cascade vertigineuse. »
« – Tu connais le comble de la
paresse ?
– Faire la sieste avant d’aller
dormir ?
– Non, ça c’est Corse !
– C’est quoi alors ?
– Une vieille femme qui ne fait pas son âge ! »
Le comble de l’honnêteté ?
« Être surveillant dans un bain public sans jamais en prendre un seul. »
Sans rancune aucune…
La semaine prochaine, si Dieu le veut bien, on entame la saison 8 !
Solutions des contrepèteries de la
semaine dernière :
« Les morpions attaquent Pascal »
« Quand il m’encule, ça ne sent pas toujours la rose.»
« Le vit s’enfle dans la raie du cul… » (c’était une « classique »)
Celles proposées cette semaine à votre sagacité :
« Ah la verve d’Hergé ! »
« Hélas, ma femme secoue toujours les mites de mes habits ! »
« Jean-Marc l’avait conçu. »
Bon week-end à toutes et
à tous !
I3
PS : N’oubliez pas mon
« gardien » et « sa bibliothèque »
L’animatrice lui demande :
« – Qu’emporteriez-vous pour lire si vous deviez passer un an sur une île déserte ?
Ou encore cette autre : « Mes boucles d’oreille préférée ? Mes genoux… »)
« Tiens », Jean-Marc, « profite donc que tu as la bouche ouverte pour appeler de garçon. »
(C’est une « revenue » des aventures de Dumè, version « pinzutu »)
« – Je viens d’acheter une maison en banlieue… alors vous comprenez, je dois m’y mettre.
– À moitié fait ? Dans ce cas, j’en achète deux ! »
Et Germaine de lui répondre du tac-au-tac :
« J’aimerais tellement connaître l’autre… »
« – Qu’est-ce qui se passe ?
– Mais voyons ?
– Depuis quelques semaines Jean-Marc ronfle tellement fort qu’on ne peut plus dormir ! »
« – Pourquoi veux-tu toujours que je te serve deux bières d’un coup ?
Et cet autre homme a soif, lui aussi. »
Certains sont des « revenus », mais pas tous :
C’est de faire du 220 sur l’autoroute quand c’est limité à 110.
C’est d’être aux abois.
C’est d’être une allumeuse qui en plus, a le feu au cul.
Faire du mauvais esprit !
Manquer de mémoire…
Se coucher avec une inconnue et se réveiller avec un problème !
Un gars qui ne se masturbe jamais parce que ça vient de sa poche !
Une nonne qui travaille dans une usine de préservatifs et qui pense fabriquer des sacs de couchage pour les souris.
Essuyer un refus.
Poser une question.
Raser les murs.
Découvrir une source de revenus.
Poursuivre une idée, chasser un mauvais souvenir, tirer une conclusion.
Extraire l’essence de la rose des vents.
Être membre d’un Club Optimiste.
Se laisser dire qu’il est mal élevé !
Être à l’article de la mort.
Filer à l’anglaise.
Ne pas être au courant et avoir des ampoules aux mains.
S’asseoir sur son cul et lui demander pardon !
Avoir la chair de poule…
Avoir une faim de loup.
D’être chiche.
Avoir un chat dans la gorge.
Rentrer dans un restaurant et compter sur la perle qu’on trouvera dans une huître pour payer la note.
– C’est quand un muet dit à un sourd qu’un aveugle les espionne… »
– Garder sa ceinture de sécurité bouclée au ciné-drive. »
– Un gars qui pisse à côté d’une cascade vertigineuse. »
– Non, ça c’est Corse !
– C’est quoi alors ?
– Une vieille femme qui ne fait pas son âge ! »
« Être surveillant dans un bain public sans jamais en prendre un seul. »
La semaine prochaine, si Dieu le veut bien, on entame la saison 8 !
« Les morpions attaquent Pascal »
« Quand il m’encule, ça ne sent pas toujours la rose.»
« Le vit s’enfle dans la raie du cul… » (c’était une « classique »)
Celles proposées cette semaine à votre sagacité :
« Hélas, ma femme secoue toujours les mites de mes habits ! »
« Jean-Marc l’avait conçu. »
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