Et les deux sont d’accord sur tout…
J’adore !
Parce qu’avec celui-là, qui tourne enfin la page « McDo-Trompe » (qui bien que déjà déchu va devoir subir une procédure d’impeachment pour être destitué… le charme discret de la démocratie « ricaine »), ça va décoiffer.
Mais probablement pas comme tout le monde l’anticipe.
D’abord, il aura téléphoné à « BoJo », l’angliche qui se débat avec son propre variant du « Conard-virus » et les « cagades » engendrées par son « Brexit » à peine préparé dans l’urgence (en plus des volontés de sécession écossaise qui veulent adhérer à l’UE sans même savoir si l’UE veut des écrevisses écossaises qui pourrissent sur les quais… et je ne parle même pas du saumon…).
Et là également, ils sont tombés d’accord sur tout.
Je rigole ou plutôt, ils nous font rigoler…
Passons !
Car à peine installé, le nouveau « ricain »
aura promulguer ses premiers diktats et lancé ses purges : Le « spoil-system »
en vigueur à chaque « tournantes ».
Souvenez-vous, lors de son discours d’investiture, il avait pourtant bien fait appel à l’unité nationale.
En citant Saint Augustin et en invitant à la prière pour les morts de la pandémie.
« C’est un nouveau départ », avait-il clamé, en demandant que les clivages politiques n’empêchent pas l’entente et le travail en commun.
Toutefois, il a aussi soutenu qu’il fallait se rassembler autour d’un point de vue, le sien, porteur d’une vérité unique !
Pas d’ambiguïté donc, c’est bien un « papiste ».
Et les « huguenots-hérétiques » qui ne sont pas d’accord avec les démocrates « progressistes » ont forcément tort !
Ça commence bien, n’est-ce pas ?
Ces inquiétants propos ont été rapidement mis en
pratique avec les 17 décrets et ordres exécutifs signés juste après son
discours.
À peine installé dans son bureau ovale, il remplace le buste de Churchill par celui du latino Cesar Chávez, leader syndicaliste qui a milité pour les droits des travailleurs agricoles.
Et il fait ôter le gros bouton rouge posé sur le bureau de son prédécesseur qui faisait ainsi croire qu’il pouvait déclencher un conflit nucléaire à ses visiteurs si on le contrariait : Il lui servait à commander un soda à la coke…
« Trompe » un clown ?
Il lui manquait le « nez-rouge », mais pour le reste, je vous laisse juge…
Et puis, derrière « l’effacement » des
décisions « Great-America again », en réalité, plusieurs mesures,
beaucoup moins anecdotiques, peuvent paraître pour le moins très suspectes.
On peut d’ores et déjà s’inquiéter : Si les ordres du nouveau locataire vont pratiquement tous à l’encontre des décisions prises par son prédécesseur, l’Amérique retrouve les Accords de « Paris-sur-la-plage » et l’OMS, cet organisme international précédemment controversé.
Il signe aussi l’arrêt de la construction du mur à la frontière mexicaine, supprime les mesures contre l’immigration illégale ainsi que celles qui concernent les voyageurs en provenance de plusieurs pays musulmans considérés « à risque ».
Mais il ferme tout de même les frontières pour cause de pandémie.
Il ne le sait peut-être pas, mais son propre variant du « Conard-virus », le californien, est déjà sur place et n’a pas reçu de visa de l’immigration.
Et puis sa politique « progressiste » s’est immédiatement
manifestée avec l’annulation de la Commission 1776 mise en place par « Trompe ».
Cette commission venait de rappeler les principes fondateurs de la nation américaine et de la révolution, en réaction aux délires révisionnistes du Projet 1619 du New-York Times pour lequel la raison principale de la Révolution américaine était la préservation de l’esclavage !
Ils ont leur Black Matters à gérer comme nous nos « No-Go-Zones »…
Sur le plan économique aussi, ses premières décisions
n’ont strictement rien à voir avec la recherche d’une « réconciliation
nationale ». Il signe ainsi la révocation du permis de construire de l’oléoduc
Keystone XL conçu afin de raccourcir l’acheminement du pétrole entre l’Alberta vers
le Golfe du Mexique, là où sont les raffineries.
Cela représentait des investissements de l’ordre des dizaines de millions de dollars et plusieurs milliers d’emplois détruits. Ce n’est pas grave : On fera avec des camions et des wagons citernes.
De même il n’a pas attendu longtemps pour commencer
les purges au sein de l’administration.
Il a demandé par exemple la révocation de Peter Robb qui était à la tête du National Labor Relations Board, une agence indépendante dont le conseiller général est confirmé par le Sénat.
Aucun n’avait jusque-là été démis de ses fonctions.
L’objectif de « Baille-den » est évident : Il veut faire passer rapidement des mesures en faveur des syndicats pour contenter l’aile (très) gôchisante des Démocrates.
Et presque tout le monde approuve ces décisions.
Par ailleurs, il soutient avoir hérité d’une économie
en faillite avec le pire marché de l’emploi jamais connu à l’époque moderne en
Amérique. C’est tout de même très exagéré : Le taux de chômage est à 6,7 %
et l’économie s’est enfin remise à créer des emplois dès le mois de juin
dernier.
Rappelons qu’il aura été Vice-Président durant huit ans : Jamais, durant cette période, il n’a fait descendre le taux de chômage à 3,5 %, tel qu’il était en février 2020, juste avant la pandémie…
Pendant quatre ans, les médias et les démocrates ont brandi chaque acte de l’administration « Trompe » pour le présenter soit comme une infraction à la loi soit comme une énorme faute professionnelle, voire les deux.
Les premières mesures du nouveau président, bien loin de tout apaisement, n’ont déclenché qu’une approbation générale, frôlant même l’extase pour certains journalistes ou spécialistes.
Étonnant…
Dans la réalité, désormais la plupart des citoyens non-américains
qui se sont rendus en Grande-Bretagne, au Brésil, en Irlande et dans une grande
partie de l’Europe n’auront plus le droit de rentrer aux États-Unis. Une
décision imposée par le président seulement quatre jours après sa prise de
fonction !
Bien sûr, cette interdiction concernera également les voyageurs qui se sont récemment rendus en Afrique du Sud et tout le monde comprend que la raison c’est l’apparition de nouveaux variants du coronavirus plus transmissibles.
Ça vous fait rire ?
Oui, moâ aussi : « Jupiter » n’aura même pas eu cette idée-là à l’occasion de la première vague, pas plus que l’actuelle.
Mais comme il est « d’accord sur tout », peut-être qu’on y viendra aussi en « Gauloisie-sanitaire »…
Espérons qu’on n’atteindra pas les 25,1 millions de contaminés ni les plus de 419.000 décès comme aux USA pour en arriver là…
Avec un bilan américain attendu de « 600.000 décès », « Baille-Den » aura durci les règles de port du masque et ordonné la mise en quarantaine des personnes se rendant aux États-Unis par avion.
Maintenant, ils ne peuvent même plus y atterrir.
Pourtant, au cours de ses derniers jours au pouvoir, « McDo »
avait annoncé que l’interdiction d’entrer aux États-Unis pour les voyageurs en
provenance d’une grande partie de l’Europe et du Brésil serait levée, mais
l’administration suivante aura déclaré qu’elle annulerait immédiatement cet
ordre qui devait entrer en vigueur le 26 janvier.
« Trompe » avait annoncé le 31 janvier 2020 une interdiction initiale des voyageurs non américains entrant en provenance de Chine pour arrêter la propagation du coronavirus.
Souvenez-vous, l’interdiction avait été étendue aux pays européens le 14 mars.
Par ailleurs et de façon assez logique, et dans la
ligne de la politique de « McDo-Trompe », le nouveau président
américain signe un décret pour inciter le gouvernement fédéral à acheter
davantage de biens et services auprès d’entreprises estampillées américaines.
Et il va durcir les règles dans le but d’éviter une dépendance vis-à-vis d’autres pays pour du matériel essentiel.
Là, forcément, il est d’accord avec « Jupiter » qui veut une « souveraineté-stratégique » pour l’UE…
« Buy american », on dirait du Georges Marchais (ex-patron du PCF) « pur sucre » quand il voulait nous obliger à « acheter Gauloisien » (même si c’était de la crotte).
Ça va probablement « crisper » certains partenaires commerciaux comme le Canada et l’UE.
La loi existante, le « Buy American Act » date
de 1933, et oblige déjà le gouvernement à passer des contrats avec des
entreprises américaines lorsque cela est possible, même s’il existe de
nombreuses exceptions et opportunités de dérogation, ce que dénoncent depuis
longtemps nombre de petites et moyennes entreprises.
Certains produits sont ainsi estampillés « Made in USA » bien qu’une majeure partie de leurs composants viennent d’ailleurs.
Je sens qu’on va en venir peu ou prou à ma CSPM dans les prochaines années.
J’aurai peut-être dû déposer un brevet…
Ce nouveau décret vise à relancer la production
nationale et à préserver les emplois industriels en augmentant « les
investissements dans les industries manufacturières et dans les travailleurs
afin de reconstruire mieux ».
Après quatre années d’une politique commerciale protectionniste, l’heure n’est donc pas à la libéralisation tous azimuts !
Mais c’est d’une autre nature que d’avoir fait des droits de douane l’unique arme contre les importations, avec des résultats pour le moins très inégaux : Les droits de douane, ce sont les « ricains » qui les payent…
L’achat « pro domo » des administrations (les impôts des mêmes « ricains »), c’est toute de même plus intelligent : Le pognon retourne aux « ricains »…
Et 600 milliards de dollars de dépenses fédérales, ce n’est pas rien.
Washington met en avant les pénuries provoquées par le
Covid-19, qui ont montré les faiblesses du système, et explique vouloir éviter
d’être « mis dans une position où nous dépendons de pays qui ne
partagent pas nos intérêts pour livrer des matériaux essentiels ».
Mais le nouveau président « reste déterminé à travailler avec les partenaires et alliés (des États-Unis) pour moderniser les règles du commerce international (…) afin que tous les pays puissent utiliser l’argent versé par les contribuables pour encourager les investissements dans leurs propres pays ».
Une manière à peine voilée de s’attaquer à la Chine dont les produits inondent le monde entier.
Dans la même veine, il a signé un décret dans lequel,
au nom de la lutte contre les discriminations, il nie les différences entre les
genres et préconise que les enfants soient éclairés contre les « stéréotypes
sexuels ».
Pourquoi pas ?
C’est ainsi que dans le domaine du sport, par exemple, il n’y aura plus de différences ou séparation hommes/femmes.
Ce qui rend furieuses les compétitrices « ricaines » que de voir débarquer des « transgenres » dans leurs disciplines sportives… où on le sait bien, la musculature fait la différence.
Et il réintroduit la discrimination positive des années « Au-Bas-Mât », source de nombreuses tensions et inégalités dans le secteur de l’éducation et sur le marché du travail.
Probablement une « bonne chose », mais dont on sait toutes les limites.
Moâ, j’attends de la Loi « Gauloisienne » qu’elle impose désormais 50 % de kouillus dans les conseils d’administration : Le « taquet » était d’au moins 40 % de « poulies-fendues »aux charmes incandescents : Elles sont presque 60 %…
Cette « prise de guerre du lobby » LGBTQ+
est, bien entendu, un cataclysme pour les sportives. En effet, cela va violer
et fausser la valeur absolue, le point d’équilibre sur lequel repose tout
l’intérêt des compétitions et l’essence même des règlements qui codifient
chaque discipline : L’équité sportive !
Mais c’est plus généralement un glissement, un déclassement pour les femmes dans leur ensemble, et un retour à l’obscurantisme.
Si, dans l’entreprise, cela implique que les candidats aux postes doivent être choisis pour leurs qualités et non pour leur sexe, transposé au sport, cela nécessite en revanche que les femmes soient protégées et n’aient pas à affronter de concurrentes dotées d’un patrimoine génétique masculin, avec les avantages physiques et biologiques que cela induit.
Nos deux derniers « sinistres des Sports » sont deux anciennes championnes qui n’auraient sans doute pas connu telle destinée si elles avaient été, pendant leurs carrières, battues et éclipsées par des adversaires aux avantages indus.
Cette nouvelle mesure contre-nature (au sens propre du
terme) renie donc aux femmes le droit d’exceller et de s’inscrire au côté des
hommes dans la légende du sport, de bâtir un palmarès, d’accéder à la
notoriété, en leur promettant dorénavant un rôle de simples concurrentes, de
subalternes, tandis que les transgenres – qui vont se ruer sur le sport féminin
– vont confisquer les podiums, les titres et les records du monde…
Que dire des conséquences sur la sécurité et la santé des participantes lorsqu’il s’agira d’opposer une femme et un transgenre dans le cadre de sports de contact et de combat (rugby, judo, lutte, boxe, etc.) ?
Ce cadeau fait aux femmes, le jour même de la
cérémonie d’investiture au cours de laquelle « Karambar-Harissa » affichait
sans retenue des vêtements de couleur violette, symbole du militantisme
féministe, c’est assez drôle, finalement…
Dans ce paradoxe, il me semble que finalement, comme tous les autres courants néo-marxistes, c’est l’aveu que le féminisme moderne n’est pas un combat pour la libération, la protection ou la sublimation de nos « douces-femmes », mais simplement une nouvelle forme d’aliénation et de régression.
Je vous le dis, avec « Baille-Den », on va rigoler un bon moment…
Parce qu’avec celui-là, qui tourne enfin la page « McDo-Trompe » (qui bien que déjà déchu va devoir subir une procédure d’impeachment pour être destitué… le charme discret de la démocratie « ricaine »), ça va décoiffer.
Mais probablement pas comme tout le monde l’anticipe.
D’abord, il aura téléphoné à « BoJo », l’angliche qui se débat avec son propre variant du « Conard-virus » et les « cagades » engendrées par son « Brexit » à peine préparé dans l’urgence (en plus des volontés de sécession écossaise qui veulent adhérer à l’UE sans même savoir si l’UE veut des écrevisses écossaises qui pourrissent sur les quais… et je ne parle même pas du saumon…).
Et là également, ils sont tombés d’accord sur tout.
Je rigole ou plutôt, ils nous font rigoler…
Passons !
Souvenez-vous, lors de son discours d’investiture, il avait pourtant bien fait appel à l’unité nationale.
En citant Saint Augustin et en invitant à la prière pour les morts de la pandémie.
« C’est un nouveau départ », avait-il clamé, en demandant que les clivages politiques n’empêchent pas l’entente et le travail en commun.
Toutefois, il a aussi soutenu qu’il fallait se rassembler autour d’un point de vue, le sien, porteur d’une vérité unique !
Pas d’ambiguïté donc, c’est bien un « papiste ».
Et les « huguenots-hérétiques » qui ne sont pas d’accord avec les démocrates « progressistes » ont forcément tort !
Ça commence bien, n’est-ce pas ?
À peine installé dans son bureau ovale, il remplace le buste de Churchill par celui du latino Cesar Chávez, leader syndicaliste qui a milité pour les droits des travailleurs agricoles.
Et il fait ôter le gros bouton rouge posé sur le bureau de son prédécesseur qui faisait ainsi croire qu’il pouvait déclencher un conflit nucléaire à ses visiteurs si on le contrariait : Il lui servait à commander un soda à la coke…
« Trompe » un clown ?
Il lui manquait le « nez-rouge », mais pour le reste, je vous laisse juge…
On peut d’ores et déjà s’inquiéter : Si les ordres du nouveau locataire vont pratiquement tous à l’encontre des décisions prises par son prédécesseur, l’Amérique retrouve les Accords de « Paris-sur-la-plage » et l’OMS, cet organisme international précédemment controversé.
Il signe aussi l’arrêt de la construction du mur à la frontière mexicaine, supprime les mesures contre l’immigration illégale ainsi que celles qui concernent les voyageurs en provenance de plusieurs pays musulmans considérés « à risque ».
Mais il ferme tout de même les frontières pour cause de pandémie.
Il ne le sait peut-être pas, mais son propre variant du « Conard-virus », le californien, est déjà sur place et n’a pas reçu de visa de l’immigration.
Cette commission venait de rappeler les principes fondateurs de la nation américaine et de la révolution, en réaction aux délires révisionnistes du Projet 1619 du New-York Times pour lequel la raison principale de la Révolution américaine était la préservation de l’esclavage !
Ils ont leur Black Matters à gérer comme nous nos « No-Go-Zones »…
Cela représentait des investissements de l’ordre des dizaines de millions de dollars et plusieurs milliers d’emplois détruits. Ce n’est pas grave : On fera avec des camions et des wagons citernes.
Il a demandé par exemple la révocation de Peter Robb qui était à la tête du National Labor Relations Board, une agence indépendante dont le conseiller général est confirmé par le Sénat.
Aucun n’avait jusque-là été démis de ses fonctions.
L’objectif de « Baille-den » est évident : Il veut faire passer rapidement des mesures en faveur des syndicats pour contenter l’aile (très) gôchisante des Démocrates.
Et presque tout le monde approuve ces décisions.
Rappelons qu’il aura été Vice-Président durant huit ans : Jamais, durant cette période, il n’a fait descendre le taux de chômage à 3,5 %, tel qu’il était en février 2020, juste avant la pandémie…
Pendant quatre ans, les médias et les démocrates ont brandi chaque acte de l’administration « Trompe » pour le présenter soit comme une infraction à la loi soit comme une énorme faute professionnelle, voire les deux.
Les premières mesures du nouveau président, bien loin de tout apaisement, n’ont déclenché qu’une approbation générale, frôlant même l’extase pour certains journalistes ou spécialistes.
Étonnant…
Bien sûr, cette interdiction concernera également les voyageurs qui se sont récemment rendus en Afrique du Sud et tout le monde comprend que la raison c’est l’apparition de nouveaux variants du coronavirus plus transmissibles.
Ça vous fait rire ?
Oui, moâ aussi : « Jupiter » n’aura même pas eu cette idée-là à l’occasion de la première vague, pas plus que l’actuelle.
Mais comme il est « d’accord sur tout », peut-être qu’on y viendra aussi en « Gauloisie-sanitaire »…
Espérons qu’on n’atteindra pas les 25,1 millions de contaminés ni les plus de 419.000 décès comme aux USA pour en arriver là…
Avec un bilan américain attendu de « 600.000 décès », « Baille-Den » aura durci les règles de port du masque et ordonné la mise en quarantaine des personnes se rendant aux États-Unis par avion.
Maintenant, ils ne peuvent même plus y atterrir.
« Trompe » avait annoncé le 31 janvier 2020 une interdiction initiale des voyageurs non américains entrant en provenance de Chine pour arrêter la propagation du coronavirus.
Souvenez-vous, l’interdiction avait été étendue aux pays européens le 14 mars.
Et il va durcir les règles dans le but d’éviter une dépendance vis-à-vis d’autres pays pour du matériel essentiel.
Là, forcément, il est d’accord avec « Jupiter » qui veut une « souveraineté-stratégique » pour l’UE…
« Buy american », on dirait du Georges Marchais (ex-patron du PCF) « pur sucre » quand il voulait nous obliger à « acheter Gauloisien » (même si c’était de la crotte).
Ça va probablement « crisper » certains partenaires commerciaux comme le Canada et l’UE.
Certains produits sont ainsi estampillés « Made in USA » bien qu’une majeure partie de leurs composants viennent d’ailleurs.
Je sens qu’on va en venir peu ou prou à ma CSPM dans les prochaines années.
J’aurai peut-être dû déposer un brevet…
Après quatre années d’une politique commerciale protectionniste, l’heure n’est donc pas à la libéralisation tous azimuts !
Mais c’est d’une autre nature que d’avoir fait des droits de douane l’unique arme contre les importations, avec des résultats pour le moins très inégaux : Les droits de douane, ce sont les « ricains » qui les payent…
L’achat « pro domo » des administrations (les impôts des mêmes « ricains »), c’est toute de même plus intelligent : Le pognon retourne aux « ricains »…
Et 600 milliards de dollars de dépenses fédérales, ce n’est pas rien.
Mais le nouveau président « reste déterminé à travailler avec les partenaires et alliés (des États-Unis) pour moderniser les règles du commerce international (…) afin que tous les pays puissent utiliser l’argent versé par les contribuables pour encourager les investissements dans leurs propres pays ».
Une manière à peine voilée de s’attaquer à la Chine dont les produits inondent le monde entier.
Pourquoi pas ?
C’est ainsi que dans le domaine du sport, par exemple, il n’y aura plus de différences ou séparation hommes/femmes.
Ce qui rend furieuses les compétitrices « ricaines » que de voir débarquer des « transgenres » dans leurs disciplines sportives… où on le sait bien, la musculature fait la différence.
Et il réintroduit la discrimination positive des années « Au-Bas-Mât », source de nombreuses tensions et inégalités dans le secteur de l’éducation et sur le marché du travail.
Probablement une « bonne chose », mais dont on sait toutes les limites.
Moâ, j’attends de la Loi « Gauloisienne » qu’elle impose désormais 50 % de kouillus dans les conseils d’administration : Le « taquet » était d’au moins 40 % de « poulies-fendues »
Mais c’est plus généralement un glissement, un déclassement pour les femmes dans leur ensemble, et un retour à l’obscurantisme.
Si, dans l’entreprise, cela implique que les candidats aux postes doivent être choisis pour leurs qualités et non pour leur sexe, transposé au sport, cela nécessite en revanche que les femmes soient protégées et n’aient pas à affronter de concurrentes dotées d’un patrimoine génétique masculin, avec les avantages physiques et biologiques que cela induit.
Nos deux derniers « sinistres des Sports » sont deux anciennes championnes qui n’auraient sans doute pas connu telle destinée si elles avaient été, pendant leurs carrières, battues et éclipsées par des adversaires aux avantages indus.
Que dire des conséquences sur la sécurité et la santé des participantes lorsqu’il s’agira d’opposer une femme et un transgenre dans le cadre de sports de contact et de combat (rugby, judo, lutte, boxe, etc.) ?
Dans ce paradoxe, il me semble que finalement, comme tous les autres courants néo-marxistes, c’est l’aveu que le féminisme moderne n’est pas un combat pour la libération, la protection ou la sublimation de nos « douces-femmes », mais simplement une nouvelle forme d’aliénation et de régression.
Je vous le dis, avec « Baille-Den », on va rigoler un bon moment…
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