Il préfère les prisons russes !
Au moins, dans les geôles de « Poux-Tine », il a droit à une
alimentation saine et équilibrée, des livres à la bibliothèque, un toit et un
cachot chauffé, des draps propres et un pyjama rayé, il est à l’abri des balles
perdues et sera soigné comme il convient s’il s’empoisonne volontairement.
Le luxe pour un opposant qui dénonce endémique la corruption qui ruine son pays !
C’est que le bonhomme était activement recherché depuis fin décembre par le FSIN, le service en charge des prisons en Russie, qui estime qu’il a violé les conditions d’une peine avec sursis dont il a écopé en 2014.
Les services pénitentiaires avaient menacé dès jeudi de l’arrêter s’il rentrait en Russie : Ils lui reprochent de ne pas s’être présenté auprès d’eux deux fois par mois, comme l’exigent les conditions d’une peine de cinq ans de prison avec sursis pour détournements de fonds le visant.
A-t-on idée de s’exiler en Teutonnie pour un « long séjour » réparateur de 5 mois quand on doit pointer tous les 15 jours au commissariat du coin pour être fiché « récidiviste » ?
Car notez que depuis fin décembre, il est aussi visé par une nouvelle enquête
pour fraude, soupçonné d’avoir dépensé pour son usage personnel 356 millions de
roubles (3,9 millions d’euros) de dons.
Et on dit de lui qu’il lutte contre la corruption alors qu’il est soupçonné d’abus de bien social ?
Pas bien malin, finalement… pour un supposé escroc.
Le mek monte dans son avion qui doit atterrir à l’aéroport Vnoukovo de
Moscou. Mais l’avion le transportant a été dérouté en vol et à la dernière
minute vers celui de Cheremetievo.
Comme ça, il ne sera pas accueilli par les journalistes occidentaux et ses supporters inféodés.
En montant à bord, Alexeï s’était dit « très heureux » de rentrer et avait assuré « n’avoir rien à craindre en Russie ».
« Je suis certain que tout
va bien se passer. On va m’arrêter ? Ce n’est pas possible, je suis innocent », avait-il lancé.
Optimiste, le bonhomme…
Tant que ce n’est pas prouvé, en Russie, on est présumé coupable.
« Ici, c’est chez moi. Je n’ai pas peur (…) car je sais que j’ai raison et que les affaires criminelles lancées contre moi sont montées de toutes pièces. Je n’ai peur de rien et je vous appelle à n’avoir peur de rien », a-t-il déclaré peu avant son arrestation.
Et alors qu’il s’apprêtait à donner son passeport pour le contrôle à la
frontière, aux côtés de son épouse Ioulia, il aura été approché par plusieurs
policiers en uniforme qui l’ont emmené.
« Il restera en détention jusqu’à la décision du tribunal » sur son cas, a indiqué le FSIN, sans préciser à quelle date elle pourrait avoir lieu.
Bienvenue en dictature « post-bolchévique », kamarade !
À l’aéroport Vnoukovo où devait initialement se poser l’avion, la plupart
de ses alliés venus l’accueillir ont été interpellés par la police – dont
Lioubov Sobol, une autre figure montante de l’opposition russe – avant d’être
relâchés quelques heures plus tard.
Un petit détour au mitard, juste pour le fun…
Selon l’ONG spécialisée OVD-Info, 65 personnes au total ont été interpellées dimanche à Moscou et à Saint-Pétersbourg en lien avec le retour de Navalny.
Pourquoi Saint-Pétersbourg, la Venise du Nord ?
Ils auraient voulu le faire atterrir là-bas à plus d’une heure de vol où pressentaient-ils un détournement d’avion ?
Curieux tout de même…
Rappelez-vous : Navalny était subitement tombé dans le coma en août
dernier, alors qu’il revenait d’une tournée électorale en Sibérie, pendant que
l’Arménie se fait flinguer ses soldats comme des mouches dans le Haut-Karabagh
par des drones.
Il fait un malaise dans son avion et n’a été sauvé que par le réflexe-professionnel du pilote qui aura trouvé un aéroport de dégagement pour l’hospitaliser à Omsk.
À Omsk, l’équipe des toubibs le stabilise et il avait finalement été évacué vers un hôpital berlinois, sous 48 heures et sous la pression de ses proches…
Mais que craignaient-ils donc ?
Depuis, trois laboratoires européens ont conclu que l’opposant avait été
empoisonné par un agent innervant de type Novitchok, développé à l’époque soviétique à des
fins militaires, conclusion confirmée plus tard par l’Organisation pour
l’interdiction des armes chimiques (OIAC) malgré les dénégations de Moscou.
C’est que les appareils d’analyse occidentaux sont nettement plus pointus
que ceux dont disposent les Russes qui pensaient qu’après 48 heures, soit le
bonhomme est déjà mort, soit toute trace de poison aura été éliminé…
Ils auraient dû se méfier, parce que depuis Skripal (l’ex-agent-double du GRU réfugié en UK et aujourd’hui sans adresse connue), on sait que ce produit peut ne pas tuer !
Même avec des doses de cheval…
Là, la dose aurait été dispersée par des « lourdingues » sur ses vêtements alors que ses supporters, qui avaient fouillé son logement, soupçonnaient sa bouteille d’eau…
Naturellement lui, remis de ses émotions, accuse les services spéciaux russes (FSB) d’avoir tenté de l’assassiner sur l’ordre direct du président russe « Vlad-Poux-Tine ».
Naturellement, c’est complètement faux : « Poux-Tine » a seulement des copains qui lui veulent que du bien et pensaient (à tort) lui rendre service en vue de prochaines échéances électorales.
Des « lourdingues » vous dis-je.
D’ailleurs, en retour d’ascenseur, les autorités russes ont
systématiquement refusé d’ouvrir une enquête : Elle n’a aucune raison
d’être, bien entendu…
Et Moscou a confirmé dimanche dernier avoir reçu des documents au sujet de M. Navalny de la part de la « Teutonnie », mais assuré qu’ils « ne comportaient essentiellement rien » de ce que la Russie voulait.
Eux veulent des preuves directes les incriminant, or les traces de
Novitchok n’en sont pas puisque la Russie n’a officiellement plus d’arme
chimique et/ou biologique depuis des décennies pour avoir détruit tous ses
stocks.
Au contraire, ça aurait tendance à les exonérer puisque, si c’est un poison violent, il ne peut venir que des USA, voire de Grande-Bretagne qu’ils soupçonnent d’en avoir conservé, notamment dans les labos militaires situés à proximité de Salisbury… la ville où vivait Skripal, justement.
Aux fins d’études et de recherche, naturellement…
C’est un peu comme le « Conard-virus » : Il aura été introduit à Wuhan par des militaires US venus participer aux Jeux-Olympiques interarmées du mois d’octobre 2019.
Tout le monde sait cela, alors même que ce virus aurait été synthétisé par des labos militaires américains voire canadiens : Une commande spéciale, bien dans les objectifs de « McDo-Trompe », n’est-ce pas…
Et puis il faut bien comprendre que Navalny est largement ignoré des
médias nationaux chez lui, non représenté au Parlement et inéligible, même s’il
reste la principale voix de l’opposition russe, en partie grâce à sa chaîne
YouTube aux 4,8 millions d’abonnés et son organisation, le Fonds de lutte
contre la corruption (FBK), dénonçant la corruption des élites.
Autrement dit, il s’est probablement fait de l’auto-publicité pour atteindre enfin un certain niveau de notoriété, c’est la logique « officielle » à retenir…
Car malgré les perquisitions, les pressions et les condamnations à de courtes détentions le visant régulièrement, lui ou ses alliés, il a réussi à organiser plusieurs manifestations très suivies ces dernières années, et des revers embarrassants pour le pouvoir lors de scrutins locaux.
Mais sa notoriété reste toutefois limitée en dehors des grandes agglomérations.
Un sondage du centre indépendant Levada en septembre dernier révélait ainsi que seulement 20 % des Russes approuvaient ses actions.
Pas de quoi inquiéter le Maître du Kremlin, loin de là !
Le seul « emmerdement » des « bœufs-lourdingues » du FSIN
(le service en charge des prisons en Russie), ce sont les réactions
internationales.
Déjà que la Russie n’a pas bonne presse depuis les événements de la Place Maïdan et le « soutien » au syrien « Blabla-Char-El-Assad », il est évidemment contre-productif d’en rajouter pour des peccadilles sans importance.
D’ailleurs, les gars, ils en profitent pour en rajouter : La « Gauloisie-intrépide » a appelé dimanche à la « libération immédiate » de l’opposant russe.
Non mais de quoi je me mêle ?
« La France a pris connaissance avec une très forte préoccupation de l’arrestation en Russie de M. Alexeï Navalny. Elle suit, avec ses partenaires européens, sa situation avec la plus grande vigilance et appelle à sa libération immédiate », a indiqué le ministère des « Affaires étranges-airs » dans un communiqué.
Ont-ils accueilli l’espion ricain qui aura fuité ses wiki-fuites ?
« Les États-Unis condamnent fermement la décision de la Russie d’arrêter Alexeï Navalny », a déclaré le chef de la diplomatie américaine « Mike Pompe-à-eau » encore en poste dans un communiqué, estimant « que sa détention est la dernière d’une série de tentatives pour faire taire Navalny et d’autres personnalités de l’opposition et voix indépendantes qui critiquent les autorités russes ».
Faire taire… quelle ironie alors qu’un accident de la circulation est si
vite organisé !
Et puis le futur conseiller à la sécurité nationale du nouveau président élu américain, Jake Sullivan, a également appelé à la libération de l’opposant et à « tenir responsables » les auteurs de son empoisonnement en août.
Le président du Conseil européen Charles Michel a jugé de son côté « inacceptable » l’interpellation de M. Navalny, exigeant sa libération « immédiate ».
La Lituanie a appelé à adopter de nouvelles sanctions contre
Moscou et la Pologne à une « réponse rapide et sans équivoque au niveau de l’UE ».
Lesquelles, grand Dieu, puisque toutes ont déjà été appliquées ?
Ah, ces despotes éclairés qui dirigent le monde occidental de façon si disparates, ils n’ont pas encore compris que « Poux-Tine » et « Xi-Ping-pong » sont maîtres chez eux et qu’ils ont encore des leçons à leur donner…
D’ailleurs la porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères
Maria Zakharova, bien dans « la ligne », a rétorqué via « fesses-Boucs »,
demandant aux responsables étrangers de « respecter le droit
international » et de « se mêler de leurs propres
problèmes ».
C’est vrai que « Poux-Tine » est un saint en matière de « droit
international ».
Même si l’ONG Amnesty International s’est immédiatement élevée contre cette arrestation, estimant que celle-ci faisait d’Alexeï Navalny un « prisonnier de conscience » victime d’une « campagne implacable » des autorités russes visant à « le faire taire ».
Ceux-là devraient savoir qu’on ne fait pas prisonnier une conscience.
Au mieux on l’empêche seulement de s’exprimer.
Bref, rien que du « très naturel ».
Le jeune (44 ans) leader d’opposition n’aurait pas dû revenir : On ne change pas la nature d’une dictature-démocratique & populaire en deux coups de cuillère à pot et il le savait forcément.
Sauf qu’il n’a pas d’avenir (politique) en exil à l’étranger comme ses collègues Biélorusses réfugiés en Lituanie : Tout le monde ne s’appelle pas Vlad-Illich-Oulianov. Mais ce dernier passait son temps libre à comploter à Saint-Germain-des-Prés, Paris, pas en « Teutonnie ».
Bref c’est de toute façon un choix personnel qui est bien significatif de quelques « ambitions cachées ».
Oui, parce que dans tous régimes « autoritaires », on commence par la case prison avant d’accéder au pouvoir, comme Nelson Mandela en Afrique du Sud.
Il n’y a qu’en Occident qu’on fait « politique » avant de finir en prison (ou sur l’échafaud…).
Moâ j’y vois un nouvel épisode « difficile » : D’ici qu’on apprenne que le bonhomme ait fait un « malaise cardiaque » à son arrivée dans sa nouvelle prison, il n’y a pas loin.
Probablement que non (et je le lui souhaite), mais ce n’est pas comme ça qu’on renverse un régime : Navalny aurait encore à en apprendre de « Bobo-El-Tsine », me semble-t-il…
Et puis il « Vlad-Poux-Tine » pourrait s’inspirer de ce qu’on
fait de mieux actuellement pour museler ses opposants en « démocratie-avancée ».
On te vous sort un virus nouveau un peu bricolé de derrière les fagots, on masque tout le monde (quand on en a à disposition) avant de les bâillonner (c’est pour les habituer) et on les enferme chez eux.
Tous ceux qui sortent, même pour manifester, on leur envoie des camions de CRS et Gendarmes-mobiles, on traque les survivants jusqu’à tard le soir pour cause de couvre-le-feu imposé dès qu’il fait un peu nuit et on leur ferme le clapet (et les comptoirs de bar où les pires rumeurs se propagent sans contrôle) en leur faisant croire qu’on a trouvé le vaccin magique qui va leur rendre leurs « Libertés Chéries ».
Peu importe si finalement le vaccin fonctionne que couci-couça et ne prolonge l’espérance de vie que de l’ordre de 3 ans (oui parce qu’on a tellement confiance qu’on commence par les plus fragiles) et qu’il faudra des mois et des mois pour que chacun ait sa dose de dope…
Peut-être même plusieurs années, parce que bon, l’intendance elle ne suit pas non plus.
D’ici là, on recommencera avec un autre « connard-virus » et on reporte sine die les élections à venir : Un plan tellement plus simple que celui de se comporter en ours des Carpates à empoisonner ou fusiller ceux dont la tronche ne vous revient pas !
Finalement, ce sont des méthodes de bandits-Corses qui vous rendent définitivement infréquentable à ne pas pouvoir intégrer l’UE avant une bonne génération au moins, ce qui est bien dommage de mon point de vue…
Le luxe pour un opposant qui dénonce endémique la corruption qui ruine son pays !
C’est que le bonhomme était activement recherché depuis fin décembre par le FSIN, le service en charge des prisons en Russie, qui estime qu’il a violé les conditions d’une peine avec sursis dont il a écopé en 2014.
Les services pénitentiaires avaient menacé dès jeudi de l’arrêter s’il rentrait en Russie : Ils lui reprochent de ne pas s’être présenté auprès d’eux deux fois par mois, comme l’exigent les conditions d’une peine de cinq ans de prison avec sursis pour détournements de fonds le visant.
A-t-on idée de s’exiler en Teutonnie pour un « long séjour » réparateur de 5 mois quand on doit pointer tous les 15 jours au commissariat du coin pour être fiché « récidiviste » ?
Et on dit de lui qu’il lutte contre la corruption alors qu’il est soupçonné d’abus de bien social ?
Pas bien malin, finalement… pour un supposé escroc.
Comme ça, il ne sera pas accueilli par les journalistes occidentaux et ses supporters inféodés.
En montant à bord, Alexeï s’était dit « très heureux » de rentrer et avait assuré « n’avoir rien à craindre en Russie ».
Tant que ce n’est pas prouvé, en Russie, on est présumé coupable.
« Il restera en détention jusqu’à la décision du tribunal » sur son cas, a indiqué le FSIN, sans préciser à quelle date elle pourrait avoir lieu.
Un petit détour au mitard, juste pour le fun…
Selon l’ONG spécialisée OVD-Info, 65 personnes au total ont été interpellées dimanche à Moscou et à Saint-Pétersbourg en lien avec le retour de Navalny.
Pourquoi Saint-Pétersbourg, la Venise du Nord ?
Ils auraient voulu le faire atterrir là-bas à plus d’une heure de vol où pressentaient-ils un détournement d’avion ?
Curieux tout de même…
Il fait un malaise dans son avion et n’a été sauvé que par le réflexe-professionnel du pilote qui aura trouvé un aéroport de dégagement pour l’hospitaliser à Omsk.
À Omsk, l’équipe des toubibs le stabilise et il avait finalement été évacué vers un hôpital berlinois, sous 48 heures et sous la pression de ses proches…
Mais que craignaient-ils donc ?
Ils auraient dû se méfier, parce que depuis Skripal (l’ex-agent-double du GRU réfugié en UK et aujourd’hui sans adresse connue), on sait que ce produit peut ne pas tuer !
Même avec des doses de cheval…
Là, la dose aurait été dispersée par des « lourdingues » sur ses vêtements alors que ses supporters, qui avaient fouillé son logement, soupçonnaient sa bouteille d’eau…
Naturellement lui, remis de ses émotions, accuse les services spéciaux russes (FSB) d’avoir tenté de l’assassiner sur l’ordre direct du président russe « Vlad-Poux-Tine ».
Naturellement, c’est complètement faux : « Poux-Tine » a seulement des copains qui lui veulent que du bien et pensaient (à tort) lui rendre service en vue de prochaines échéances électorales.
Des « lourdingues » vous dis-je.
Et Moscou a confirmé dimanche dernier avoir reçu des documents au sujet de M. Navalny de la part de la « Teutonnie », mais assuré qu’ils « ne comportaient essentiellement rien » de ce que la Russie voulait.
Au contraire, ça aurait tendance à les exonérer puisque, si c’est un poison violent, il ne peut venir que des USA, voire de Grande-Bretagne qu’ils soupçonnent d’en avoir conservé, notamment dans les labos militaires situés à proximité de Salisbury… la ville où vivait Skripal, justement.
Aux fins d’études et de recherche, naturellement…
C’est un peu comme le « Conard-virus » : Il aura été introduit à Wuhan par des militaires US venus participer aux Jeux-Olympiques interarmées du mois d’octobre 2019.
Tout le monde sait cela, alors même que ce virus aurait été synthétisé par des labos militaires américains voire canadiens : Une commande spéciale, bien dans les objectifs de « McDo-Trompe », n’est-ce pas…
Autrement dit, il s’est probablement fait de l’auto-publicité pour atteindre enfin un certain niveau de notoriété, c’est la logique « officielle » à retenir…
Car malgré les perquisitions, les pressions et les condamnations à de courtes détentions le visant régulièrement, lui ou ses alliés, il a réussi à organiser plusieurs manifestations très suivies ces dernières années, et des revers embarrassants pour le pouvoir lors de scrutins locaux.
Mais sa notoriété reste toutefois limitée en dehors des grandes agglomérations.
Un sondage du centre indépendant Levada en septembre dernier révélait ainsi que seulement 20 % des Russes approuvaient ses actions.
Déjà que la Russie n’a pas bonne presse depuis les événements de la Place Maïdan et le « soutien » au syrien « Blabla-Char-El-Assad », il est évidemment contre-productif d’en rajouter pour des peccadilles sans importance.
D’ailleurs, les gars, ils en profitent pour en rajouter : La « Gauloisie-intrépide » a appelé dimanche à la « libération immédiate » de l’opposant russe.
« La France a pris connaissance avec une très forte préoccupation de l’arrestation en Russie de M. Alexeï Navalny. Elle suit, avec ses partenaires européens, sa situation avec la plus grande vigilance et appelle à sa libération immédiate », a indiqué le ministère des « Affaires étranges-airs » dans un communiqué.
« Les États-Unis condamnent fermement la décision de la Russie d’arrêter Alexeï Navalny », a déclaré le chef de la diplomatie américaine « Mike Pompe-à-eau » encore en poste dans un communiqué, estimant « que sa détention est la dernière d’une série de tentatives pour faire taire Navalny et d’autres personnalités de l’opposition et voix indépendantes qui critiquent les autorités russes ».
Et puis le futur conseiller à la sécurité nationale du nouveau président élu américain, Jake Sullivan, a également appelé à la libération de l’opposant et à « tenir responsables » les auteurs de son empoisonnement en août.
Ah, ces despotes éclairés qui dirigent le monde occidental de façon si disparates, ils n’ont pas encore compris que « Poux-Tine » et « Xi-Ping-pong » sont maîtres chez eux et qu’ils ont encore des leçons à leur donner…
Même si l’ONG Amnesty International s’est immédiatement élevée contre cette arrestation, estimant que celle-ci faisait d’Alexeï Navalny un « prisonnier de conscience » victime d’une « campagne implacable » des autorités russes visant à « le faire taire ».
Au mieux on l’empêche seulement de s’exprimer.
Le jeune (44 ans) leader d’opposition n’aurait pas dû revenir : On ne change pas la nature d’une dictature-démocratique & populaire en deux coups de cuillère à pot et il le savait forcément.
Sauf qu’il n’a pas d’avenir (politique) en exil à l’étranger comme ses collègues Biélorusses réfugiés en Lituanie : Tout le monde ne s’appelle pas Vlad-Illich-Oulianov. Mais ce dernier passait son temps libre à comploter à Saint-Germain-des-Prés, Paris, pas en « Teutonnie ».
Bref c’est de toute façon un choix personnel qui est bien significatif de quelques « ambitions cachées ».
Oui, parce que dans tous régimes « autoritaires », on commence par la case prison avant d’accéder au pouvoir, comme Nelson Mandela en Afrique du Sud.
Il n’y a qu’en Occident qu’on fait « politique » avant de finir en prison (ou sur l’échafaud…).
Moâ j’y vois un nouvel épisode « difficile » : D’ici qu’on apprenne que le bonhomme ait fait un « malaise cardiaque » à son arrivée dans sa nouvelle prison, il n’y a pas loin.
Probablement que non (et je le lui souhaite), mais ce n’est pas comme ça qu’on renverse un régime : Navalny aurait encore à en apprendre de « Bobo-El-Tsine », me semble-t-il…
On te vous sort un virus nouveau un peu bricolé de derrière les fagots, on masque tout le monde (quand on en a à disposition) avant de les bâillonner (c’est pour les habituer) et on les enferme chez eux.
Tous ceux qui sortent, même pour manifester, on leur envoie des camions de CRS et Gendarmes-mobiles, on traque les survivants jusqu’à tard le soir pour cause de couvre-le-feu imposé dès qu’il fait un peu nuit et on leur ferme le clapet (et les comptoirs de bar où les pires rumeurs se propagent sans contrôle) en leur faisant croire qu’on a trouvé le vaccin magique qui va leur rendre leurs « Libertés Chéries ».
Peu importe si finalement le vaccin fonctionne que couci-couça et ne prolonge l’espérance de vie que de l’ordre de 3 ans (oui parce qu’on a tellement confiance qu’on commence par les plus fragiles) et qu’il faudra des mois et des mois pour que chacun ait sa dose de dope…
Peut-être même plusieurs années, parce que bon, l’intendance elle ne suit pas non plus.
D’ici là, on recommencera avec un autre « connard-virus » et on reporte sine die les élections à venir : Un plan tellement plus simple que celui de se comporter en ours des Carpates à empoisonner ou fusiller ceux dont la tronche ne vous revient pas !
Finalement, ce sont des méthodes de bandits-Corses qui vous rendent définitivement infréquentable à ne pas pouvoir intégrer l’UE avant une bonne génération au moins, ce qui est bien dommage de mon point de vue…
Inacceptable. Alors que chez nous, c’est tellement plus « policé »…
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