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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 8 janvier 2021

Vie de couple

Germaine demande à Jean-Marc :
 
« – Est-ce que tu m’aimes par amour ou par intérêt ?
– Ça doit être par amour parce que ça fait longtemps que tu ne m’intéresses plus… »
 
Germaine, nue devant son miroir, se regarde debout devant la glace.
Elle dit Jean-Marc, son époux :
« – Je me trouve horrible à regarder, grasse et ridée… J’ai besoin d’un compliment !
– Chérie, tu as une excellente vue. »
 
Germaine à son mari :
« – Chéri, dis-moi ce que tu préfères : Une femme jolie ou une femme intelligente ?
 – Ni l’une ni l’autre, chérie, tu sais bien que c’est toi que j’aime ! »
 
Histoire vraie.
Ça se passe en 1924, dans un petit pays d’Amérique du Sud.
Un condamné à mort s’étonne :
« – Commandante ! Pourquoi vos hommes s’apprêtent-ils à m’exécuter avec des arcs et des flèches alors que je suis condamné à être fusillé ?
– Parce que nous avons fait la fête hier soir, avec notre grand chef Diego, avec tous les officiers et que ce matin j’ai très mal à la tête. Je ne veux rien entendre… »
 
Le ministre téléphone au journaliste.
« – Martin, vous me décevez beaucoup. Vous me décevez.
– Ben voyons ? Pourquoi ? Je n’ai rien écrit sur…
– Voilà ! Hier, je vous fais une déclaration ultraconfidentielle, en vous faisant promettre le secret et, ce matin, je ne lis même pas une allusion dans votre journal. Vraiment, je suis très déçu… »
 
« – Comment dire en Anglais : Ma belle-mère devait venir souper à la maison et, à la dernière minute elle a annulé ?
– It’s a pleasure. »
 
Jean-Paul consulte un rebouteux car il a des boutons dans la bouche.
Le bonhomme lui dit :
« Maladie tropicale très rare. Un seul remède connu… du lait de femme, mais il faut boire au sein, car aussitôt que le lait prend l’air, il perd sa valeur curative.
Je connais justement une femme dont le mari pêche au large de Saint-Pierre- et Miquelon et qui allaite son bébé. Je suis certain qu’elle acceptera si vous lui offrez un bon prix. »
Après quelques hésitations la femme accepte et, le lendemain matin, Jean-Paul cogne à sa porte.
« – Bonjour madame, je viens pour mon traitement.
– Entrez Monsieur, si vous voulez passer dans la chambre pour plus de commodité. »
La femme s’installe et Jean-Paul commence à téter.
Après quelques minutes, la femme, dont le mari était absent depuis 4 mois, commence à se tortiller sur le lit et demande toute haletante et en sueur :
« – Vous… Vous ne voudriez pas prendre quelque chose en plus ?
– Ben » répond Jean-Paul, « j’aimerais bien des biscuits secs avec mon lait. »
 
Un astronaute rentre sur Terre après 12 jours passés dans l’Espace.
Sa femme se précipite vers lui pour l’embrasser quand soudain, la mine rongée par la jalousie, elle lui demande :
« Peux-tu m’expliquer ce que fait ce long cheveu vert sur ta combinaison ? »
 
Samedi soir.
Germaine et Jean-Marc rentre à la maison après une soirée passée au restaurant et au cinéma.
« – Jean-Marc, peux-tu reconduire la petite baby-sitter et la payer pour la soirée ? 
– Naturellement, ma biche ! »
En cours de route, Jean-Marc demande à la jeune fille combien il lui doit.
« – Ça sera 225 €.
– 225 € ? Non, mais qu’est-ce qui te prends ?
– Non, non, c’est bien ça. 25 € pour avoir gardé votre fils, et 200 € pour que je ne dise pas à votre femme ce qu’il m’a raconté à propos de vous et de la locataire du haut… »
 
Jean-Marc, Jean-Paul et Jean-Michel se retrouvent à l'enterrement de l'un de leurs amis communs, Jean-Alexandre.
Debout devant le défunt, ils se demandent chacun ce qu'ils voudraient que l'on dise d'eux s'ils étaient en ce moment à la place de leur ami, couché au fond d'un cercueil.
« – Moi » dit le premier, « j’aimerais entendre dire de moi que j’ai été un bon père de famille, toujours là pour mes enfants et un bon mari, qui a su subvenir aux besoins des siens.
– Moi », dit le second, « j’aimerais que l’on dise que j’ai été un excellent professeur et que j’ai su faire une différence dans la vie de mes étudiants.
– Moi », dit Jean-Marc en regardant le cercueil, « j’aimerais entendre dire : ‘‘Oh regardez ! Il bouge !’’ »
 
La vieille dame va avec son mari chez le médecin pour un examen annuel.
Le médecin demande au vieillard :
« Vous allez devoir me donner un échantillon de vos urines, de vos selles et de votre sperme. »
Le vieillard qui n’entend pas bien demande à sa femme :
« – Qu’est-ce qu’il a dit ?
– Il veut son slip. »
 
Jean-Marc et Jean-Paul attendent sur leur balcon que l’heure du couvre-feu arrive.
Ils sirotent chacun une bière et philosophe sous les étoiles (et les nuages).
« – Quelle est la plus belle chose qu’une belle-mère puisse faire ?
– Je sais : Qu’elle reste chez elle ! »
 
Chez le pharmacien, un jeune homme demande à la caissière :
« – Auriez-vous des petits manteaux ?
– Un instant, SVP… ».
Elle va voir son patron et lui demande si la pharmacie a des petits manteaux.
« Ah, il veut des préservatifs et ça le gêne un peu, sans doute. »
La caissière revient avec sa boîte de condoms.
« – C’est bien ce que vous désirez ?
– Oui, oui mademoiselle, c’est ça. Merci. Je vous dois combien ?
– Je termine à 9 heures, vous ne voudriez pas un petit collet de fourrure pour vos petits manteaux ? »
 
Jean-Jacques, un grand patron de choc, se couche sur le divan de sa psychanalyste :
« Écoutez Jean-Jacques, en cinq ans, nous avons identifié, et guéri, votre claustrophobie, votre cleptomanie, et votre schizophrénie.
Toute une route…
Mais ce n’est pas tout.
Maintenant, nous allons passer aux choses sérieuses.
Voyons rabaissez un peu votre jupe, et faites attention avec vos souliers à talons haut, vous allez saccager mon divan. »
 
Jean-Marc, un touriste, visitant un musée de science naturelle avant la fermeture administrative pour cause de Covid, interroge le guide :
« – Quel âge à ce crâne ?
– 6.004 ans, monsieur.
– Incroyable. Magnifique. Mais c’est extrêmement précis.
F-A-B-U-L-E-U-X, même !
Comment peut-on être si précis ?
– Pas compliqué. Quand j’ai commencé à travailler ici, il y a quatre ans, le gardien que je remplace m’a dit qu’il avait 6000 ans. »
 
La voisine de Jean-Marc, installé sur le balcon engueule son mari :
« T’es bien un imbécile ! Viens pas me dire que tu n’arrives pas à allumer le barbecue quand tu sors de trois ans de prison pour avoir incendié tout un club de sport ! »
 
Jean-Claude va chez le médecin…
« – Monsieur, j’ai rencontré une jeune femme, il y a quelques jours, et elle vient à la maison ce soir. Mais voilà, je n’ai plus vingt et je ne veux surtout pas la décevoir, pouvez-vous me prescrire du Viagra.
– Oui mais attention, ne le prenez que 10 minutes avant qu’elle arrive et revenez demain pour voir comment ça a marché. »
Le jour suivant le patient revient.
« – Ah ! Vous voilà ! Comment ça s’est donc passé ?
– Oh, docteur, je n’ai jamais eu autant de plaisir ! J’ai fait l’amour partout dans la maison, dans la chambre, sur la table de la cuisine, sur la télé. Ça a été merveilleux !
– Et la dame, a-t-elle été satisfaite ?
– Oublions ça. Elle n’est même pas venue ! »
 
Un ingénieur français du BTP travaille sur un gros projet en Arabie saoudite.
Il rencontre un des propriétaires.
Un cheik très puissant.
« – Alors Dupont, ça va ?
– Oui, pas mal. »
Le cheik s’informe sur les habitudes de vie de monsieur Dupont car, s’il connaît bien les Américains et les Japonais, il n’a jamais rencontré de français.
« – Vous savez, j’ai 200 femmes dans mon harem. Et vous ?
– Moi, je n’ai qu’une seule femme.
– Ah oui, une seule ! Vous êtes presque célibataire ! »
 
Ça se passe à l’école.
La maîtresse demande à ses élèves de CE1 :
« Vous allez me dessiner la chose la plus excitante d’après-vous. »
L’un des enfants dessine une espèce de zig-zag.
« Qu’est-ce c’est ? » demande la maîtresse.
« – Ça, c’est un éclair. Dans une tempête, j’ai vu un orage et c’est vraiment très excitant !
– C’est vrai c’est pas mal. »
Un autre petit gars dessine simplement un calendrier.
« Ah ! Mais je ne vois pas le rapport », dit la maîtresse.
« – Oui, c’est une feuille de calendrier qui représente un mois.
– Mais je ne comprends pas, il n’y a rien d’excitant là-dedans !
– C’est ce que vous pensez, maîtresse. Ma sœur, elle, en a déjà passé deux et tout le monde est très excité dans la maison ! »
 
Un peloton de soldats s’entraîne au tir, avant de partir en mission en Afghanistan.
Un des trouffions rate sa cible à tous coups.
Désastreux.
Pitoyable.
« – Sergent, sergent, est-ce que je vais partir quand même en mission ?
– Partir, pas de problème. Tu es du voyage. Revenir, ça, c’est pas certain… »
 
Ça se passe aux urgences.
« – Mon pauvre monsieur », dit l’urgentiste, « je ne vois qu’une façon d’expliquer votre paralysie du côté gauche : votre abus d’alcool.
– Je ne comprends pas, je suis droitier. »
 
Accourue au chevet d’un ivrogne qui est à l’agonie, l’infirmière s’indigne de le trouver avec une bouteille de gin à la main.
« – Non mais vous n’allez pas me dire que cette maudite bouteille est votre seule consolation.
– Oh non, mam’zelle », dit-il en clignant de l’œil, « j’en ai une autre sous la chaise. »
 
C’est en ex-URSS.
Deux généraux se rencontrent dans un gala.
Ils arborent tous deux une impressionnante collection de médailles.
Jaloux comme des poux, ils se lancent des regards venimeux.
« J’en ai plus que toi », dit Boris.
« Je ne pense pas dit Nikolaï. Je te propose même des compter, et de les comparer. »
À la fin, on constate que Boris en a deux de plus.
« – Que signifie la dernière médaille », demande Nikolaï, « je ne la connais pas.
– Celle-là, c’est la médaille pour celui qui a le plus grand nombre de médailles. »
 
Une dame en noir, très digne, s’adresse au gardien principal, au cimetière.
« – Pardon monsieur, je n’arrive pas à trouver la tombe de mon mari. C’est la première fois que je viens depuis l’enterrement, et j’étais trop émue pour me souvenir…
Il m’avait dit qu’il se retournerait dans sa tombe si je venais à le tromper.
– Son nom ?
– Martin, Jean-Marie Martin.
– Ah non. Je ne vois pas de Jean-Marie Martin ici.
– Mais voyons…
– Il y a bien un anonyme ici, et ici, nous l’appelons La Toupie. »
 
Solutions des contrepèteries de la semaine dernière :
 
« Quand Jean-Marc est saoul, il n’a plus de remords ! »
« Quel couillon, ce papi ! »
« Je vous avoue que j’aime franchement votre vagin… »
 
Celles proposées cette semaine à votre sagacité :
 
« Les scorpions attaquent pas mal… »
« Quand il m’en colle, ça ne sent pas toujours la ruse. »
« Le vent siffle dans la rue du quai… » (une classique)
 
Bon week-end à toutes et à tous !
 
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PS : N’oubliez pas mon « gardien » et « sa bibliothèque »

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