Germaine demande à Jean-Marc :
« – Est-ce que tu m’aimes par
amour ou par intérêt ?
– Ça doit être par amour parce que ça
fait longtemps que tu ne m’intéresses plus… »
Germaine, nue devant son miroir, se
regarde debout devant la glace.
Elle dit Jean-Marc, son époux :
« – Je me trouve horrible à regarder, grasse et ridée… J’ai besoin d’un compliment !
– Chérie, tu as une excellente vue. »
Germaine à son mari :
« – Chéri, dis-moi ce que tu préfères : Une femme jolie ou une femme intelligente ?
– Ni l’une ni l’autre, chérie, tu sais bien que
c’est toi que j’aime ! »
Elle dit Jean-Marc, son époux :
« – Je me trouve horrible à regarder, grasse et ridée… J’ai besoin d’un compliment !
« – Chéri, dis-moi ce que tu préfères : Une femme jolie ou une femme intelligente ?
Ça se passe en 1924, dans un petit pays d’Amérique du Sud.
Un condamné à mort s’étonne :
« – Commandante ! Pourquoi vos hommes s’apprêtent-ils à m’exécuter avec des arcs et des flèches alors que je suis condamné à être fusillé ?
« – Martin, vous me décevez beaucoup. Vous me décevez.
– Voilà ! Hier, je vous fais une déclaration ultraconfidentielle, en vous faisant promettre le secret et, ce matin, je ne lis même pas une allusion dans votre journal. Vraiment, je suis très déçu… »
Le bonhomme lui dit :
« Maladie tropicale très rare. Un seul remède connu… du lait de femme, mais il faut boire au sein, car aussitôt que le lait prend l’air, il perd sa valeur curative.
« – Bonjour madame, je viens pour mon traitement.
Après quelques minutes, la femme, dont le mari était absent depuis 4 mois, commence à se tortiller sur le lit et demande toute haletante et en sueur :
« – Vous… Vous ne voudriez pas prendre quelque chose en plus ?
Sa femme se précipite vers lui pour l’embrasser quand soudain, la mine rongée par la jalousie, elle lui demande :
« Peux-tu m’expliquer ce que fait ce long cheveu vert sur ta combinaison ? »
Germaine et Jean-Marc rentre à la maison après une soirée passée au restaurant et au cinéma.
« – Jean-Marc, peux-tu reconduire la petite baby-sitter et la payer pour la soirée ?
« – Ça sera 225 €.
– Non, non, c’est bien ça. 25 € pour avoir gardé votre fils, et 200 € pour que je ne dise pas à votre femme ce qu’il m’a raconté à propos de vous et de la locataire du haut… »
« – Moi » dit le premier, « j’aimerais entendre dire de moi que j’ai été un bon père de famille, toujours là pour mes enfants et un bon mari, qui a su subvenir aux besoins des siens.
Le médecin demande au vieillard :
« Vous allez devoir me donner un échantillon de vos urines, de vos selles et de votre sperme. »
Le vieillard qui n’entend pas bien demande à sa femme :
« – Qu’est-ce qu’il a dit ?
« – Quelle est la plus belle chose qu’une belle-mère puisse faire ?
« – Auriez-vous des petits manteaux ?
« Ah, il veut des préservatifs et ça le gêne un peu, sans doute. »
La caissière revient avec sa boîte de condoms.
« – C’est bien ce que vous désirez ?
– Je termine à 9 heures, vous ne voudriez pas un petit collet de fourrure pour vos petits manteaux ? »
« Écoutez Jean-Jacques, en cinq ans, nous avons identifié, et guéri, votre claustrophobie, votre cleptomanie, et votre schizophrénie.
Mais ce n’est pas tout.
Maintenant, nous allons passer aux choses sérieuses.
Voyons rabaissez un peu votre jupe, et faites attention avec vos souliers à talons haut, vous allez saccager mon divan. »
– Incroyable. Magnifique. Mais c’est extrêmement précis.
F-A-B-U-L-E-U-X, même !
Comment peut-on être si précis ?
– Pas compliqué. Quand j’ai commencé à travailler ici, il y a quatre ans, le gardien que je remplace m’a dit qu’il avait 6000 ans. »
« T’es bien un imbécile ! Viens pas me dire que tu n’arrives pas à allumer le barbecue quand tu sors de trois ans de prison pour avoir incendié tout un club de sport ! »
« – Monsieur, j’ai rencontré une jeune femme, il y a quelques jours, et elle vient à la maison ce soir. Mais voilà, je n’ai plus vingt et je ne veux surtout pas la décevoir, pouvez-vous me prescrire du Viagra.
« – Ah ! Vous voilà ! Comment ça s’est donc passé ?
– Et la dame, a-t-elle été satisfaite ?
– Oublions ça. Elle n’est même pas venue ! »
Il rencontre un des propriétaires.
Un cheik très puissant.
« – Alors Dupont, ça va ?
« – Vous savez, j’ai 200 femmes dans mon harem. Et vous ?
– Ah oui, une seule ! Vous êtes presque célibataire ! »
La maîtresse demande à ses élèves de CE1 :
« Vous allez me dessiner la chose la plus excitante d’après-vous. »
L’un des enfants dessine une espèce de zig-zag.
« Qu’est-ce c’est ? » demande la maîtresse.
« – Ça, c’est un éclair. Dans une tempête, j’ai vu un orage et c’est vraiment très excitant !
« Ah ! Mais je ne vois pas le rapport », dit la maîtresse.
« – Oui, c’est une feuille de calendrier qui représente un mois.
– C’est ce que vous pensez, maîtresse. Ma sœur, elle, en a déjà passé deux et tout le monde est très excité dans la maison ! »
Un des trouffions rate sa cible à tous coups.
Désastreux.
Pitoyable.
« – Sergent, sergent, est-ce que je vais partir quand même en mission ?
« – Mon pauvre monsieur », dit l’urgentiste, « je ne vois qu’une façon d’expliquer votre paralysie du côté gauche : votre abus d’alcool.
« – Non mais vous n’allez pas me dire que cette maudite bouteille est votre seule consolation.
Deux généraux se rencontrent dans un gala.
Ils arborent tous deux une impressionnante collection de médailles.
Jaloux comme des poux, ils se lancent des regards venimeux.
« J’en ai plus que toi », dit Boris.
« Je ne pense pas dit Nikolaï. Je te propose même des compter, et de les comparer. »
À la fin, on constate que Boris en a deux de plus.
« – Que signifie la dernière médaille », demande Nikolaï, « je ne la connais pas.
« – Pardon monsieur, je n’arrive pas à trouver la tombe de mon mari. C’est la première fois que je viens depuis l’enterrement, et j’étais trop émue pour me souvenir…
– Son nom ?
– Martin, Jean-Marie Martin.
– Ah non. Je ne vois pas de Jean-Marie Martin ici.
– Mais voyons…
– Il y a bien un anonyme ici, et ici, nous l’appelons La Toupie. »
« Quand Jean-Marc est saoul, il n’a plus de remords ! »
« Quel couillon, ce papi ! »
« Je vous avoue que j’aime franchement votre vagin… »
Celles proposées cette semaine à votre sagacité :
« Quand il m’en colle, ça ne sent pas toujours la ruse. »
« Le vent siffle dans la rue du quai… » (une classique)
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