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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

samedi 2 janvier 2021

À propos de 2021,

Dans les premiers jours d’une année nouvelle…
 
… j’ai coutume (depuis quelques années seulement) de vous donner des prévisions « mathématiques ». C’est assez facile, il suffit de se pencher sur un calendrier et de compter les jours.
Comme la plupart des évolutions restent assez linéaires (enfin, à plus ou moins 5 % d’écarts près et aux effets des politiques économiques, monétaires, financières et sociales… mais pour 2 points de PIB seulement), on pouvait faire des prospectives pas trop fausses.
 
Ainsi, 2021 comptera indubitablement 365 jours (contre 366 l’année passée, – 0,27 %), 12 lunes nouvelles, 1 seul vendredi 13 (en août) et 52 week-ends, ainsi que seulement 8 jours fériés additionnels en « Gauloisie-laïque » pour se terminer un vendredi.
Soit 253 jours « ouvrables » auxquels il faut bien retrancher 25 jours de congés payés et rajouter le 14 juillet qui tombe un mercredi (l’Assomption tombant un dimanche, il faut le « neutraliser » pour ne pas compter deux fois comme « jour de repos »).
Soit un total de 229 jours « ouvrés ».
Comme 2020 (même si je me suis trompé l’année dernière dans mes calculs…).
Sauf que 2020 aura vu 55 jours de « fermeture » pour une grosse partie des « activités non-essentielles » (les « essentielles » devant bosser coûte-que-coûte même en cas d’attaque nucléaire…) et encore un second confinement qui n’aura pas empêché de « télétravailler ».
55 jours, c’est 15 % du calendrier, rien de moins…
Ce qui naturellement fausse totalement toutes « prévisions économiques » !
 
C’est d’ailleurs assez drôle, puisque c’est globalement à peu près le montant de l’argent « venu de nulle part » qui aura été injecté tant bien que mal en « plans de relance et de soutien » pour éviter que tout ne s’écroule au pays…
Résultat de ce « chaos » improvisé mais relativement bien maîtrisé (il n’y a pas eu de casse sociale gigantesque comme on pouvait le redouter, même si elle va éclore en 2021 : Seulement 34.400 chômeurs de plus en novembre dernier), plus aucun indicateur économique n’est valable !
On a cassé, broyé, éparpillé les thermomètres, aucune comparaison possible avec l’exercice 2019 et aucune ne sera possible en 2021… ni même en 2022 d’ailleurs.
Alors faire des prévisions « à peu près correctes », ça relève de la tambouille de cantinier qui accommode les restes !
Aussi, j’y renonce.
 
Il y a eu de vraies et profondes « ruptures » pour cause de « Conard-virus ».
S’il était imprévisible, en revanche il était connu.
Comme est désormais connue la variante britannique du même « Conard-virus » en plus de son avatar en Afrique-du-Sud, globalement à la même époque de l’année, à l’orée de l’hiver, avec un mois de décalage.
Mais bonne nouvelle : La grippe saisonnière aura disparu à deux reprises !
Et comme personne n’a su évaluer l’évolution de la première pandémie, je vous fiche mon ticket que personne ne saura prédire l’évolution future de la seconde.
 
Certes, nous avons plusieurs vaccins que nous n’avions pas l’année dernière.
Mais on ne sait pas grand-chose de leurs effets sur les malades, sur les personnes saines, sur celles qui sont contaminées ou qui vont l’être.
Probablement qu’ils vont nous aider à acquérir une « immunité collective » plus rapidement jusqu’à ce que le virus évolue une nouvelle fois de façon spontanée.
Si je me rappelle bien, le MERS, le SARS-Cov-1, d’il y a quelques années de ça, sont de même nature que le « Conard-virus » à quelques « mots près », venus tout droit du VIH, et ça n’a pas permis à la science d’anticiper une crise sanitaire majeure…
Fort tout de même, non ?
On peut donc « anticiper » que ce sera globalement la même sauce pour les suivants…
 
D’autant qu’il semble que tous les « tués » du « Conard-virus » soient morts d’une hyper-réaction immunitaire de leur propre organisme, par ailleurs malmenés par des comorbidités diverses et variées.
Or, comme un vaccin sert à stimuler ces mêmes mécanismes immunitaires…
C’est un peu comme mettre un turbo sur un moteur de deudeuche qui n’en peut plus d’avoir fait le tour de la planète plusieurs dizaines de fois…
Mais soyons optimistes : S’il y a tant de « contaminés », c’est que tous ces gens, pour la plupart « asymptomatiques » sont peut-être contagieux mais ne développent pas de syndrome respiratoire aigu pour autant (et heureusement). Ils ne tomberont jamais malade du « Conard-virus » !
Une forme comme une autre d’immunité collective.
Et forcément, plus on teste, plus on va en trouver et ce n’est pas pour autant qu’ils contaminent des « blancs-becs » puisqu’on les met en quarantaine.
Le tout c’est « d’encadrer » les « super-contaminateurs » capables de former des clusters intenses en postillonnant à gogo jusque dans votre verre.
Le fameux facteur « K » (on y reviendra…).
Pour l’heure, le mieux sera de les « masquer », à défaut de pouvoir les pré-détecter (et avant de les bâillonner) : Les masques vont devenir la norme (comme chez les nippons, mais contre la pollution chez eux…) pour quelques années encore, bleu pour les garçons, rose pour les filles, noir ou blanc pour les non-genrés… ou les endeuillés et les puceaux !
D’ailleurs les tests aux « anticorps » démontrent bien que la plupart d’entre-nous avons un organisme qui réagit comme lors d’une simple « grippette ».
Après, c’est une question de « charge virale » plus ou moins intense…
 
Bref, je ne suis toujours pas médecin, mais il me semble que le plus dur est passé, nonobstant les « reconfinements » divers décidés ici ou là.
C’est pratique les confinements : Tu « télébosses » et tu ne te mets pas en contact avec des malades qui s’ignorent devant la machine-à-café.
Que de temps gagné en palabres inutiles qui n’ont plus lieu d’être !
Parce que bavarder devant ton écran et ta webcam, c’est assez pénible : On coupe court…
En plus, quand tu sors masqué, personne ne te reconnais. Et si tu ôtes ton masque, tout le monde te regarde comme un criminel endurci qui n’aurait pas sa permission de sortie en poche…
Pas devant ton écran : Lui, il s’en contre-cogne les puces…
 
Ce qui compte le plus à mon sens, c’est le nombre de décès.
Mais là encore, les plus fragiles n’encombrent plus les hôpitaux pour cause de passage anticipé par la morgue, que forcément il va en rester moins pour nos carabins, à la fin de la fin…
Il paraît qu’on a déjà du mal à trouver des malades pour faire des essais stade III des nouveaux vaccins, c’est dire…
En revanche, les « bobos pas soignés » qui auront mal évalué, là, ça aura fait mal aux statistiques.
Mais comme on ne compte plus… on n’en sait rien. Et il vaut mieux.
Donc, on navigue en plein brouillard même sur le plan sanitaire : Impossible de faire des prévisions jusque sur cette question-là !
 
Et ce qui m’inquiète, c’est que personne n’aura mis au point une molécule « qui soigne ».
Comme disait l’autre « tu restes chez toi, tu prends du doliprane et tu ne fais le 15 que si tu étouffes ».
Autrement dit, un médicament, ce n’est même pas la peine puisque ça se soigne tout seul…
« Tu en meurs ou tu en restes idiot », aurait dit mon Père (celui qui me fait « frémir » quand je l’évoque). Et de rajouter immédiatement : « Je sais. Je l’ai eu et je n’en suis pas mort ! »
Son sens de l’humour à lui (qui me manque tant…)
Alors qu’en fait on soigne bien avec un cocktail constitué de vitamines, éventuellement d’un anti-virus, de zinc et de l’antibiotique azithromycine.
À condition de ne pas laisser trainer la toux : Ça épuise et empêche de dormir.
 
En revanche on pourrait tirer des plans sur la comète dans bien d’autres domaines.
Par exemple, sur le plan « politique », quelle image nos « sachants » auront-ils donner d’eux-mêmes ?
Tombés de leur « Olympe » où ils se plaisaient à nous donner des leçons de « bon sens », ils auront démontré leur incapacité à anticiper, mais aussi leur grande fatuité à imposer des mesures qu’on n’avait pas vues depuis le Moyen-âge !
D’ailleurs ils persistent à vouloir réglementer les détails de nos vies…
Sur le plan des politiques économiques ? On s’est enfoncé comme jamais, tout comme les « poncif-dogmatiques » présentés comme « incontournables » il y a moins d’un an (les déficits, la dette, les minimums sociaux, etc…), défoncés avec joyeuseté : Ce qui n’était pas possible « avant » sera devenu « nécessité indiscutable » dès le lendemain, comme par miracle…
Je veux dire : Ils vont avoir du mal pour la suite !
Notamment pour les « réformes » jugées indispensables et urgentes… alors que ces urgences-là ont été mises de côté durant plus d’un an : Tu parles « d’urgences » !
 
On aura surtout gâché la vie de tout le monde, les actifs comme les inactifs, tremblants de peur à se confiner dans leur cuisine (le jour de Noël) encore et encore et celle de nos ados « interdits » de tout ou presque à qui on aura volé leur insouciance naturelle : Je sais, j’ai été jeune… il y a longtemps !
Je serai eux, il y en aurait des paires de baffes à distribuer…
Bé non, même pas : On leur pique nos « libertés-chéries » et ils ne râlent même pas confinés derrière leur Game Boy avec joie !
Ils ne sauront jamais ce qu’ils ont perdu et ne seront pas près de réclamer leur dû garanti par les institutions.
Devenus des moutons tondus…
C’est probablement le plus extraordinaire !
 
Comment faire des « prévisions raisonnables » dans ces conditions ?
Le monde a tellement changé que je ne le reconnais plus quand j’ôte mon masque (la buée sur mes binocles…) pour en fumer une…
Je dois devenir « vieux », parce que je n’envisage même plus de faire des projets, « soumis » comme tout le monde à des diktats imprévisibles.
À la limite, tout ce que j’espère encore c’est que je puisse me fournir en « liqueurs fortes » et qu’on me laisse divaguer pour la saison estivale jusqu’au bord des eaux-claires de ma « Corsica-Bella-Tchi-Tchi ».
Mais même là-bas, il n’est pas certain qu’on me laissera approcher de « mes » mouillages le long de la Scandola : Ils ont perdu le label européen des parcs naturels protégés pour cause d’intense trafic touristique…
Il faut dire que c’est beau à en couper le souffle.
Même quand on connaît tout de ce paysage jusque sur le bout des drisses !
 
Il y a pourtant du boulot : Il faudrait devenir encore plus « résilient ».
Déjà une distinction nouvelle en plus de « neutre en carbone », « circulaire » ou « solidaire », c’est « essentiel/non-essentiel ».
Qu’est-ce qui l’est, qu’est qui ne l’est pas et devient superfétatoire, ce dont on peut se passer ?
Clairement, se distraire, voyager, entretenir des amitiés (particulières ou non d’ailleurs), c’est devenu inutile…
Mais tout est imbriqué : Faire des bébés obligent à avoir des contacts. Est-ce « essentiel » ou non pour l’espèce ?
Découvrir des lieux, des gens, des œuvres d’art, des créations, assister à des spectacles, s’enrichir, se « culturer » est-ce « essentiel » ou non ? Car ça oblige à se bouger…
Se « culturer », quand on voit comment aura pu être organisé la « transmission du savoir » dans nos ékoles, collèges, lycées et universités, on a du mal à comprendre que si tout est dans la relation entre « sachants et apprenants », la machine, l’internet, les Zoom et autres téléconférences, tout comme l’e-learning ne dope en rien la curiosité humaine, hélas.
Au point qu’on délèguera toujours plus à l’IA et ses robots…
Et j’en passe : On ne formera que des crétins incapables de chasser du gibier ou de cultiver un carré de patates dans les jardins !
 
En revanche, ce qui devient essentiel c’est de faire bouffer tout le monde et de soigner les moins bien-portants.
Les habiller, les chausser ? Même pas…
Les chauffer, leur laisser accès à leurs réseaux habituels et à l’eau de ville, si, afin qu’ils se sentent un peu « libres », mais pas plus !
De toute façon, ça ne sert à rien puisque ce sont des nigauds sans aucune imagination entraînée à manipuler des concepts nouveaux (cf. paragraphe précédent).
Au moins ça permet de les avertir des nouvelles restrictions décidées par les « dieux de l’Olympe » sous le commandement de « Jupiter ».
 
Rendre la justice ? Les robots feront ça mieux que quiconque dans quelques temps.
Assurer l’ordre public, bien sûr, la sécurité des frontières, naturellement : Ils ne vont pas abandonner les outils de leur potestas !
Et les éboueurs, vous y avez pensé ? C’est devenu une activité « essentielle » qu’on n’a même pas pensé à applaudir à 20 heures tous les soirs !
Marseille se paye une grève des leurs depuis quelques jours, que les rats pullulent dans les rues : Magique.
Et puis les chauffeurs-routiers, ceux qui livrent la becquetance, même pas « essentiels », mais indispensables !
Qu’en plus, désormais ils disposent d’un réseau routier hyperdense pour eux tout seuls.
Qu’on se demande s’il n’est pas surdimensionné pour l’usage que les usagers seront interdits d’en faire…
Tout ce pognon qui aurait pu servir à loger les SDF…
Enfin, passons.
Je ne vous dis même pas les pilotes d’avion en surnombre pour des avions qui ne servent plus à rien que d’être cannibalisés, leurs aéroports gigantesques, les ports, les industries de soutien, mais on aura toujours besoin de mécano pour réparer ce qui tombe en panne jusque dans les entrepôts d’éclatement et de stockage…
 
À la marge, il faut penser aux pompiers, aux urgentistes, aux plombiers, aux ascensoristes, aux électriciens, mais pas forcément aux bétonneurs…
Car tout le reste, tout le reste, c’est du « non-essentiel », même la presse écrite (les livres, je ne vous en parle même pas), même un banquier qui encaisse vos virements et honore vos prélèvements : Ce sont ses robots qui font le boulot. Il y a juste un mek (« développeur ») derrière son clavier qui vérifie que le système n’est pas hacké et que les liaisons sont bien établies.
 
Les moteurs habituels du « progrès » se sont mis en « arrêt maladie » et la face de la planète s’en est presque mieux portée.
Fabuleuse révélation : C’est possible !
Et c’est avec ça qu’il va vous falloir avancer dans les décennies à venir !
Moâ, je n’y serai plus.
« Blinder », dupliquer ce qui existe, le reste n’aura bientôt plus de nécessité…
Peut-être qu’on finira même par ne plus voter : Une élection municipale suspendue durant plusieurs mois dans plus de 3.800 communes n’aura rien changé à la vie desdits territoires (urbains pour la plupart). Pas un iota !
De toute façon, les « élus jupitériens » ne nous représentent plus : Ils adoubent tout ce qu’on leur présente.
 
Et qui donc le leur « présente » ? Même pas « Jupiter » soi-même ou son gouvernement, mais des comités de « scientifiques ». Les « politiques » ne font que le relai de la communication, dont on aura vu toutes les affreuses limites, sans « vision d’ensemble ».
De toute façon, nos amis Belges nous avaient fait la démonstration qu’on peut se passer de gouvernement pendant plus de 18 mois, les Ibériques et autres Catalans aussi et Israël est capable de passer – inutilement – quatre fois aux urnes en deux ans, que ça ne change rien…
 
En bref, il va falloir s’adapter à des « normes » nouvelles du monde « post-Conard-virus », et forcément iconoclastes : C’est que je vous souhaite pour la nouvelle année, y parvenir à moindre dégâts !
Et refaire et réaliser tous vos projets… si possible…
Même les plus dingues.
Plus la paix, la santé et verra bien qui vivra.
 
Bon courage à toutes et tous pour 2021 !
 
I3

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