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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mardi 5 janvier 2021

Les libertés ne sont plus un droit mais une concession

La légitimation par le « Conard-virus »
 
Et ce n’est pas un hasard…
On constate tous que nous nous habituons à ce que l’air de la liberté se raréfie et que l’édifice de l’État de droit conçu pour la garantir s’effrite de plus en plus fortement.
Et si ce n’est pas une surprise de la part des gouvernants, c’en est une de la part des citoyens avachis !
« La demande de sécurité relève de l’évidence et n’est pas illégitime. C’est la réponse des États qui est surprenante, en ce qu’elle échoue toujours, la diminution des libertés n’entraînant aucun bénéfice en ce qui concerne la sûreté ».
Qu’il s’agisse de la loi anticasseurs du 10 avril 2019, de la loi organisant la répression des fausses nouvelles en période électorale ou de la loi visant les discours de haine sur internet, le constat d’inversion des valeurs est le même un peu partout, « les libertés ne sont plus un droit mais une concession du pouvoir ».
Et seulement ça…
Si ce n’est pas un hasard, c’est qu’il permet un contrôle social toujours plus rigoureux, exercé conjointement par acteurs publics et privés.
Ce n’est plus une coïncidence, mais une quasi-nécessité.
 
La liberté a un prix. Le refuser, c’est en faire peu de cas. L’accepter, c’est rester fidèle à cette idée que la contradiction, fille aînée de l’inquiétude ontologique, est le plus sûr aiguillon pour bâtir, siècle après siècle, une société meilleure.
C’est un dogme irréfutable depuis l’antiquité…
Le citoyen seul a toujours eu qualité pour juger de l’emploi qu’il fait de sa liberté. L’État n’a pas à s’arroger le rôle de tuteur de celui-ci, supposé défaillant dans son intelligence et donc dans ses choix. Aucune loi ne peut légitimement le lui conférer.
Or, « cette société du paternalisme étatique a pour conséquence que la liberté d’autrui ne nous concerne plus ».
L’idéal des libertés est remplacé par le culte des droits : « Au tourniquet des droits, chacun attend son tour ». Au lieu de garantir les droits naturels, l’État n’a désormais d’autre fonction que de garantir « les désirs de chacun » et de châtier l’autre.
Le résultat est magnifique : « Nous avons réussi le prodige d’asservir le citoyen en diminuant dans le même temps l’efficacité de l’État, sans améliorer pour autant la qualité de la représentation : c’est à la fois Kafka et Oblomov, le sapeur Camembert et Courteline, les chambres au sens propre introuvables et le cabinet noir » en dit un observateur avisé.
À défaut de « liberté », « nous devrions préférer la simple licence, la pulvérisation de l’idée de liberté que l’ordre social nous promet : la dictature de l’opinion commune »…
Sauf que, c’est encore plus retors que ça…
 
Qu’est-ce que nous aura finalement appris l’année 2020 ?
C’est aussi l’année qui a été choisie par l’élite hautement financiarisée pour annoncer haut et fort l’avènement du « Nouveau Monde » qu’elle aura méticuleusement peaufiné.
C’est aussi la date de lancement de l’indispensable révolution sociétale qui modifie l’ensemble des comportements de l’humanité, afin que celle-ci soit synchrone avec les règles du « Monde d’après ».
Réfléchissez : Alors que tout le monde s’attendait peu ou prou à un effondrement monétaire, à des faillites d’États en cascades il y a encore peu, à un écroulement du système bancaire, à des explosions sociales difficilement contenue avec les « Gilets-jaunes », etc., c’est par une intrusion invisible que nous devons mettre un terme à nos vies « d’avant ».
Un virus est arrivé et tout – hormis la bourse – semble s’être arrêté !
 
Ce virus véhicule une espèce d’alliance mondiale autour d’une cause commune qui nous dépasse. Et à y regarder de plus près, nous avons eu l’occasion de constater la totale impuissance et inconsistance de nos dirigeants politiques : Ils ont été dessaisis de la gestion de leur population par injonction d’organismes supranationaux, eux-mêmes financés par des tiers privés.
Le chaos auquel nous avons assisté est un retour de l’information qui nous dit que les autorités du « monde d’avant » ont été comme mises « hors service ».
Au plan local, nous avons vu émerger des « techno-scientifiques » redoutablement efficaces, dont les activités sont financées par les mêmes investisseurs qui financent le niveau supranational.
Et ils ont été absolument résolus pour censurer toute opinion divergente grâce à la puissance publique mise à leur service…
Je ne vous ferai pas l’affront de vous remémorer les « revirements » de positions sanitaires qui ont conduit à deux confinements et un couvre-feu perpétuel…
 
C’est comme si le « néolibéralisme » a pu financiariser, comprenez « endetter », tout ce que la terre comptait comme activités économiques, sociétales, politiques, médicales, scientifiques, etc. !
Cette phase a été soutenue par un droit international de circonstance, constitué de contrats, appelés « Accords », qui invitait des entités privées, commerciales ou pas, à cogouverner la planète à côté de gouvernements consentants.
Une « politique » en réalité introduite par le président Truman dans son « Fair Deal », relayée par Bilderberg et le Forum de Davos depuis des décennies.
Truman, c’est les années 40 (vous n’étiez pas nés, moâ non plus, mais moâ je me souviens encore…), d’autant que Yalta persiste et assure la paix, hors les territoires justement « pas concernés » par lesdits accords…
 
Jusque-là, l’opération aura duré aussi longtemps que les élites privées avaient encore quelque chose à récupérer des États et du contribuable. Il en va autrement depuis quelques mois.
Il y a tout lieu de croire sue l’« Après-Conard-virus » est et sera une affaire 100 % privée et 100 % un gros business de la planète financière : Les « politiques » ne sont finalement plus que les exécutants de décisions qui ne sont pas celles « d’élus du peuple », mais celles d’une technostructure aux allures techno-sanitaires. Désormais, les vaccinateurs entrent dans votre intimité injectent leur produit, même à une personne de 91 ans gravement malade et repartent sans avoir jugé utile de s’adresser au médecin concerné…
De manière générale, la gestion des établissements pour personnes âgées a été sous-traitée aux financiers depuis un long moment… C’est plus facile !
Bref, avec des États exsangues, il ne faut pas s’étonner de voir les créanciers conquérants faire la chasse à la dépense. Et tant pis pour la part de l’humanité qui présente un bilan déficitaire.
Oui, il faut réfléchir dorénavant aux individus, non plus en tant qu’êtres humains, mais en tant que centres de coûts et de profits.
 
En plus, pour parfaire son modèle, la nouvelle élite a réussi à connecter de manière plus ou moins performante tous les foyers de la planète. Elle sait tout de chacun d’entre nous. Tout dans les moindres détails. Et pour y parvenir, les États ont vendu ce qui leur restait de bijoux de familles (parcs immobiliers par exemple) pour refaire les autoroutes, rues, ruelles et impasses.
Le domaine public a été trafiqué de manière à y installer l’équipement nécessaire pour que les gens puissent vivre sans devoir quitter leur domicile.
Par exemple, avez-vous remarqué la facilité avec laquelle des dizaines de millions d’individus ont pu se mettre au télétravail sans incidents techniques ?
« Planifié » depuis très longtemps ou simple coïncidence ?
 
Dotée de satellites les plus sophistiqués pour couvrir les régions les plus reculées, la même technologie a permis de réaliser un rêve des « globalistes », mettre l’humanité sous surveillance. Et ça a marché.
Du coup, pour « votre bien », et pour votre santé, vous êtes tracé en permanence. Et par souci écologique, même la Constitution pourra servir à alimenter les feux de cheminée.
Du coup, toute la façon de travailler doit changer.
En principe, la notion de « bureau » devrait être supprimée au profit du télétravail.
De même que le concept d’aller « faire ses courses » et remplacé par les livraisons à domicile, conséquence de la digitalisation et de l’uberisation de l’économie. Même Elon Musk a prévu de vous doter d’un implant au cerveau d’ici 2030 et prédit que « le langage humain pourrait être remisé au rang d’accessoire dans un délai de cinq ans ».
Comprenez bien que le port du masque est là pour durer, et que les retrouvailles pour des fêtes de famille parfaitement inutiles ne sont pas près de reprendre.
Ou alors, en « trichant » comme l’on fait ces jeunes « raveurs » ici ou là…
 
C’est vrai à la fin, à quoi cela sert-il de sortir de chez soi, de perdre son temps à bavasser inutilement avec une caissière, alors que vous pourriez produire pendant ce temps ?
Sortir vous distraire pas loin de chez vous, c’est déjà inutile : Vous avez tant de talents télévisuels à portée de télécommande.
Quant à visiter les merveilles que réserve la Nature ou simplement des peuples sis loin de chez vous, là encore c’est sacrilège : D’autres le font à votre place !
Et n’oublions pas le « souci écologique » de cette nouvelle élite : Elle ne veut juste pas que vous gaspilliez de carburant.
On vous répète depuis des années : Ça réchauffe la planète qui va finir par vous tuer en pollutions abominables !
La grosse obligation écologique, c’est que vous adhériez. Car même si on rase les forêts, écosystèmes inclus, le « monde d’après » veut créer de très grandes smart cities qui vont vous offrir des logements 100 % monitorés high-tech.
Les compteurs intelligents d’eau et d’électricité, l’éclairage, le recyclage de l’air vicié, et j’en passe seront autant d’apports pour la bonne santé de la planète !
 
Constatez que 2020 aura permis aussi de lancer la campagne de vaccination planétaire !
Lancer seulement…
Big-pharma aura démarré le programme de développement de vaccins contre le « Conard-virus » dès le 26 janvier 2020. Ils nous ont tous promis qu’avant la fin de 2020, nous aurions le vaccin et un début de la vaccination.
Les Russes ont été les premiers…
Reconnaissons qu’ils ont été parfaits dans leur timing : En quelques mois, tout a été préparé, paqueté, et envoyé aux 4 coins du monde, avec une compassion particulière pour les homes de personnes âgées : Les cobayes à faible espérance de vie, tout trouvés puisqu’on les a sous la main réunis dans leurs ghettos de « d’ultra-seniors »…
 
On pourra dire qu’il n’est techniquement pas possible de démarrer un processus d’identification d’un virus inconnu jusqu’à la livraison de millions de fioles particulières remplies de produits dont la technologie est archi-nouvelle… On vous répondra qu’ils ont travaillé jour et nuit puisqu’ils l’ont fait !
Et d’ailleurs, n’insistez pas trop à démontrer la chose : Vous seriez traités de « complotistes ».
C’est une époque formidable : Avec les vaccins à ARN modifié, on touche au Graal de la « nouvelle humanité ».
C’est un pas de géant d’un point de vue scientifique qui « chauffait » depuis deux décennies, depuis le jour où on a appris à couper et coller des brins d’ADN au sein de nos cellules.
La manipulation biologique va faire aboutir des « chimères » nouvelles : Et quoi de mieux que d’en faire un vaccin pour faire accepter l’idée ?
Cela signifie qu’à plus ou moins brève échéance, et grâce à la vaccination obligatoire des enfants, et de la pandémie « conard-virale », que l’on nous promet de plus en plus comme très durable, une partie de la population aura été vaccinée avec des produits qui modifieront l’humanité au plan génétique.
La technique de modification génétique est devenue définitive.
Et sera présentée comme salvatrice pour l’humanité…
 
Savez-vous que les fruits et légumes OGM sont stériles et qu’il faut repasser par le producteur de semences pour se réapprovisionner, contrairement aux produits naturels qui offrent les semences gratuitement ?
Depuis que l’on peut breveter les semences et « le vivant », c’est de l’or en barre qui s’annonce.
Mais qu’en sera-t-il pour la reproduction humaine ?
Rappelons que nos visionnaires de génie ont inventé la panoplie pour une parfaite reproduction par la technologie avec les FIV, la PMA, le futur utérus artificiel, les mères porteuses, les bébés « augmentés », etc.
Sommes-nous en train de déraper vers un génocide planétaire, non seulement parce que le vaccin « anti-Conard-virus » pourrait liquider un nombre incalculable de personnes âgées et/ou fragiles, mais aussi parce que l’hypothèse de stérilisation de l’humanité par les vaccins ne peut plus être écartée ?
 
Rappelons que le « crime contre l’humanité » se définit comme « tendant à la destruction totale ou partielle d’un groupe national, ethnique, racial ou religieux ; sont qualifiés de génocide les atteintes volontaires à la vie, à l’intégrité physique ou psychique, la soumission à des conditions d’existence mettant en péril la vie du groupe, les entraves aux naissances et les transferts forcés d’enfants qui visent à un tel but. »
On y arrive, peu ou prou.
Non seulement c’est assez courant dans l’Histoire des civilisations passées (et même actuelles), mais demain, ça sera présenté comme d’un progrès…
Et parce que votre liberté de « penser » est désormais de plus en plus contrainte, tous les jours (pour votre bien… collectif et individuel !), elle est seulement « consentie par les États », non seulement vous direz « MERCI », mais en plus la multitude en demandera toujours plus !
Quitte à se faire rançonner au passage…
 
Elle n’est pas plus belle la vie sur la « petite-planète-bleue » ?

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