Les rumeurs sur son évolution également
Et celles de ce début de la semaine (outre les konneries
qui tournent autour de ces sujets et décisions parfois ubuesques qui nous
désolent les uns et les autres), établies sur des données statistiques
médicales (et épidémiologiques) prévoit que ce virus finira par être endémique
pour se finir comme d’un simple rhume.
Une « grippette » pour reprendre la formule de « McDo-Trompe »…
C’est une bonne nouvelle… quoique.
En 2020, le « Conard-virus » s’est toutefois
révélé totalement imprévisible.
Vaccination, mutations, traitements et évolution de l’épidémie : Qu’aura-t-on appris de la science qui pourrait permettre de prédire 2021 ?
Probablement encore plusieurs vagues de contaminations à venir.
Il serait peut-être temps de mettre le pognon nécessaire pour adapter nos systèmes d’hospitaliers, les mettre à niveau, pour assumer « les cas graves ».
Ça nous évitera la déroute de l’économie de loisir et les reconfinements successifs aux impacts néfastes sur le rachis de quelques-uns…
Des chercheurs ont établi un scénario plus que probable
d’évolution de la Covid-19 : Au fur et à mesure des réinfections, le système
immunitaire s’adapte en effet et provoque des formes de moins en moins graves
de la maladie, comme c’est le cas pour le rhume.
« Le virus est avec nous pour toujours », a prévenu l’OMS en novembre 2020, laissant peu d’espoir sur un retour à la normale dans un avenir proche.
Alors que le nombre de morts a dépassé les deux millions et que l’on atteint les 100 millions de cas, une nouvelle étude parue dans le journal Science suggère elle aussi que l’épidémie de « Conard-virus » pourrait ne jamais se terminer.
Mais une fois que suffisamment d’adultes auront été immunisés (par le vaccin ou la maladie), elle deviendra une maladie aussi bénigne qu’un simple rhume, qui circulera à des niveaux relativement bas.
« Le temps qu’il faudra pour atteindre ce stade dépend de la vitesse à laquelle on aura atteint cette immunité de groupe.
Plus vite une majorité de gens aura été infectée ou
vaccinée, plus vite nous atteindrons ce stade endémique », explique une
« chercheuse » post-doctorante de l’université d’Emory à Atlanta et
principale auteure de l’étude et de son équipe.
Effectivement, ces « chercheurs-là » ont
comparé le SARS-CoV-2 avec les six autres coronavirus affectant l’Homme (les
quatre virus de la grippe, le SARS et le MERS).
Selon eux, le nouveau « Conard-virus » se comporte comme ceux à l’origine du rhume.
Ce dernier infecte généralement les enfants à l’âge de 3 à 5 ans pour la première fois, âge auquel la maladie est moins sévère que chez l’adulte.
Ensuite, les infections se répètent régulièrement jusqu’à ce que le système immunitaire soit suffisamment fort pour que l’infection ne provoque que des symptômes bénins.
En d’autres termes, le virus continue de circuler, mais il n’entraîne plus de morts !
C'est un peu la même chose avec le vaccin : Même si celui-ci n’évite hélas pas la transmission, il permet de limiter le nombre de cas graves.
« Nous parvenons à contenir les épidémies comme la grippe parce que nous avons mis en place une stratégie de vaccination… »
Et cette vision des choses est partagée par beaucoup de scientifiques.
« Nos systèmes de santé vont devoir s’adapter pour tenir sur le long terme, car la Covid va être une maladie supplémentaire à prendre en charge.
Les effets du coronavirus vont se ressentir pour les
décennies à venir »,
atteste un chercheur à l’unité d’épidémiologie des maladies émergentes à l’Institut
Pasteur, qui fait lui aussi une analogie avec la grippe.
« Nous vivons avec cette maladie saisonnière
et elle n’est plus traitée comme une maladie d’importance primordiale, même si
elle fait toujours beaucoup de morts.
Nous parvenons à contenir les épidémies parce que nous
avons mis en place une stratégie de vaccination et qu’il y a des structures de
surveillance à l’échelle internationale. »
Il existe toutefois des exceptions à ce scénario
relativement optimiste.
Le MERS, par exemple, ne suit pas ce modèle car il entraîne une forte létalité chez les enfants.
Dans ce cas, une vaccination précoce serait indispensable comme pour la rougeole.
Sauf que la rougeole, c’est « une fois ». Pour les vaccins actuels contre le « Conard-virus », ce serait plusieurs fois… comme pour les grippes saisonnières.
Voire « pour toujours » quand on a commencé à se faire vacciner.
Et qu’adviendrait-il également si le virus mutait ?
Cela ne changerait pas grand-chose, selon la post-doctorante d’Atlanta et ses collègues : « Des réinfections fréquentes (avec différentes souches) renforcent l’immunité contre d’autres coronavirus », écrivent-ils.
Cela pourrait néanmoins être moins vrai avec l’immunité procurée par le vaccin, dans la mesure où ce dernier comporte un nombre réduit d’épitopes.
En attendant cette phase endémique du virus, qui
pourrait prendre « plusieurs décennies » à arriver, le « Conard-virus »
a malheureusement encore le temps de faire bien des dégâts.
Mais on a bien tous survécu à la grippe espagnole…
Pour l’heure, le vaccin est donc notre seul espoir de parvenir en l’enrayer plus rapidement.
Comme ça « m… » aux entournures, on n’est pas sorti d’affaire !
D’autant que je ne suis pas certain (mais je ne suis ni toubib ni « chercheur ») qu’un vaccin puisse avoir un effet sur la « tempête immunitaire » qui aura tué les premiers malades, cette réponse surdimensionnée des organismes fragiles ou maltraités par d’autres pathologies (et leurs traitements).
En fait, il faudrait « perfectionner » les protocoles curatifs au-delà du « Doliprane-tisane » : On n’a toujours aucun traitement antiviral efficace.
Juste des trithérapies contre le Sida.
En bref, il est probable qu’il faudra encore longtemps
se contenter de « gestes-barrières », du masque, de la
distanciation-sociale, du savonnage des paluches pour se protéger efficacement.
Et finit les bécots volés ou mutuellement et ardemment désirés autour d’un comptoir de bar ou au cinéma !
Ce qui me rappelle les « années Sida » : Il te fallait presque un certificat de séronégativité ou un carton de capotes pour envisager « de conclure » aavec une nouvelle « conquête »…
Quant à nos activités économiques, elles sont en
profondes mutations : Il faudra s’y faire de gré ou de force.
Désolé, mais c’était prévu, même par « Bill-Des-Portes », comme quelque chose d’inéluctable.
Même si d’autres en profitent opportunément pour promouvoir leur « Grand reset ».
Encore une affreuse utopie malthusienne…
Comme disait le poète : « Mourir pour des idées, d’accord, mais de mort len-en-ente ».
Que ceux-là s’y pressent donc en priorité : Ça nous fera des vacances !
Bon courage tout de même pour boucler ce week-end à
toutes et à tous !
I3
Une « grippette » pour reprendre la formule de « McDo-Trompe »…
C’est une bonne nouvelle… quoique.
Vaccination, mutations, traitements et évolution de l’épidémie : Qu’aura-t-on appris de la science qui pourrait permettre de prédire 2021 ?
Probablement encore plusieurs vagues de contaminations à venir.
Il serait peut-être temps de mettre le pognon nécessaire pour adapter nos systèmes d’hospitaliers, les mettre à niveau, pour assumer « les cas graves ».
Ça nous évitera la déroute de l’économie de loisir et les reconfinements successifs aux impacts néfastes sur le rachis de quelques-uns…
« Le virus est avec nous pour toujours », a prévenu l’OMS en novembre 2020, laissant peu d’espoir sur un retour à la normale dans un avenir proche.
Alors que le nombre de morts a dépassé les deux millions et que l’on atteint les 100 millions de cas, une nouvelle étude parue dans le journal Science suggère elle aussi que l’épidémie de « Conard-virus » pourrait ne jamais se terminer.
Mais une fois que suffisamment d’adultes auront été immunisés (par le vaccin ou la maladie), elle deviendra une maladie aussi bénigne qu’un simple rhume, qui circulera à des niveaux relativement bas.
« Le temps qu’il faudra pour atteindre ce stade dépend de la vitesse à laquelle on aura atteint cette immunité de groupe.
Selon eux, le nouveau « Conard-virus » se comporte comme ceux à l’origine du rhume.
Ce dernier infecte généralement les enfants à l’âge de 3 à 5 ans pour la première fois, âge auquel la maladie est moins sévère que chez l’adulte.
Ensuite, les infections se répètent régulièrement jusqu’à ce que le système immunitaire soit suffisamment fort pour que l’infection ne provoque que des symptômes bénins.
En d’autres termes, le virus continue de circuler, mais il n’entraîne plus de morts !
C'est un peu la même chose avec le vaccin : Même si celui-ci n’évite hélas pas la transmission, il permet de limiter le nombre de cas graves.
« Nous parvenons à contenir les épidémies comme la grippe parce que nous avons mis en place une stratégie de vaccination… »
Et cette vision des choses est partagée par beaucoup de scientifiques.
« Nos systèmes de santé vont devoir s’adapter pour tenir sur le long terme, car la Covid va être une maladie supplémentaire à prendre en charge.
Le MERS, par exemple, ne suit pas ce modèle car il entraîne une forte létalité chez les enfants.
Dans ce cas, une vaccination précoce serait indispensable comme pour la rougeole.
Sauf que la rougeole, c’est « une fois ». Pour les vaccins actuels contre le « Conard-virus », ce serait plusieurs fois… comme pour les grippes saisonnières.
Voire « pour toujours » quand on a commencé à se faire vacciner.
Cela ne changerait pas grand-chose, selon la post-doctorante d’Atlanta et ses collègues : « Des réinfections fréquentes (avec différentes souches) renforcent l’immunité contre d’autres coronavirus », écrivent-ils.
Cela pourrait néanmoins être moins vrai avec l’immunité procurée par le vaccin, dans la mesure où ce dernier comporte un nombre réduit d’épitopes.
Mais on a bien tous survécu à la grippe espagnole…
Pour l’heure, le vaccin est donc notre seul espoir de parvenir en l’enrayer plus rapidement.
Comme ça « m… » aux entournures, on n’est pas sorti d’affaire !
D’autant que je ne suis pas certain (mais je ne suis ni toubib ni « chercheur ») qu’un vaccin puisse avoir un effet sur la « tempête immunitaire » qui aura tué les premiers malades, cette réponse surdimensionnée des organismes fragiles ou maltraités par d’autres pathologies (et leurs traitements).
En fait, il faudrait « perfectionner » les protocoles curatifs au-delà du « Doliprane-tisane » : On n’a toujours aucun traitement antiviral efficace.
Juste des trithérapies contre le Sida.
Et finit les bécots volés ou mutuellement et ardemment désirés autour d’un comptoir de bar ou au cinéma !
Ce qui me rappelle les « années Sida » : Il te fallait presque un certificat de séronégativité ou un carton de capotes pour envisager « de conclure » aavec une nouvelle « conquête »…
Désolé, mais c’était prévu, même par « Bill-Des-Portes », comme quelque chose d’inéluctable.
Même si d’autres en profitent opportunément pour promouvoir leur « Grand reset ».
Encore une affreuse utopie malthusienne…
Comme disait le poète : « Mourir pour des idées, d’accord, mais de mort len-en-ente ».
Que ceux-là s’y pressent donc en priorité : Ça nous fera des vacances !
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire