« L’assaut » du Capitole
On savait que « McDo-Trompe » était un « déjanté »
enflé par son ego « hors normes ».
Ça fait des années qu’il nous en fait la démonstration ahurissante. Et ça
pouvait être très drôle pris au premier degré s’il n’avait pas accédé – en
trichant vous rappelle-je, puisqu’il a été minoritaire en voix en 2016 et que
des fraudes avaient été relevées à l’époque (sans même vouloir parler des
« ingérences russes »), y compris à l’occasion des primaires
Républicaines – presque par hasard, au « plus gros bouton »
(nucléaire du monde) et l’armada des troupes US stationnées ou « en
activité » à peu près partout sur le globe.
Je lui ai toujours dit qu’il ne gagnerait le scrutin de 2020 que si, et seulement si, il déclenchait un conflit régional armé majeur.
Il ne m’a pas écouté et aura reconnu sa défaite définitive jeudi dernier.
Ce scemu gonfiatu di scimità aura cru qu’avec sa
« secte », il pouvait renverser le cours de l’histoire.
Résultat croquignolesque, il aura réussi à se mettre tout le monde à dos.
Sauf chez les « autocrates » de la planète qui rigolent sous cape…
Même chez ses partisans qu’il aura laissés en rase campagne alors que « le putsch » avait bien démarré ainsi que ses adversaires qui finiront par le traduire en justice.
Il aura été tenté par la « guerre civile », ce qui est une large konnerie : La dernière sise aux USA aura laissé quelques souvenirs tellement douloureux… qu’il n’a pas osé.
Ils n’allaient quand même pas refaire une guerre de sécession rien que pour ses beaux yeux et sa houppette, tout de même !
Mais pour son départ, il nous aura offert des scènes inimaginables à
Washington, ses partisans ayant envahi mercredi soir le Capitole, temple de la
démocratie américaine, interrompant la session qui devait confirmer la victoire
de son concurrent.
Qui sème le vent, récolte la tempête ! En soufflant une fois de trop sur les braises de la colère de ceux qui l’ont porté au pouvoir, il aura fini par déclencher une force plus grande que lui.
Un ouragan.
Une avalanche.
Une lame de fond qui aura ébranlé ce sanctuaire parlementaire-là.
(Hérité de la Constitution Corse de Paoli…)
Rien, pourtant, au début de cette journée du 6 janvier, ne laissait
présager de l’ampleur des événements qui allaient suivre.
Certes il n’a eu de cesse, ces dernières années et derniers jours, d’attiser régulièrement le brasier avec des discours belliqueux et des appels à la révolution, mais imaginait-il seulement que ses électeurs passeraient à l’acte avec bonne conscience ?
La veille, ils étaient arrivés depuis tout le pays, par les aéroports, par la route ou par les bus.
Les hôtels de la ville affichaient tous complets…
Sur les trottoirs, les « pro-Trompe », flanqués de leurs plus belles parures à l’effigie du président, profitaient d’un repas à emporter (confinement oblige), verre à la main.
Le lendemain, rassemblée sur la pelouse située entre la Maison Blanche et l’obélisque du Washington Monument, la foule compacte était calme – et ce malgré les premiers résultats des élections en Géorgie, proclamant la victoire des démocrates jusqu’au Sénat qui basculait.
Ils avaient afflué dès le petit matin pour attendre le discours de leur idole avant de se diriger vers le Capitole, bouclé par un cordon de sécurité qui s’avérera largement insuffisant.
Le siège du parlement américain va durer plusieurs heures, et c’est petit
à petit que les manifestants avancent. C’est petit à petit, aussi, que certains
se transforment en vandales, en casseurs, en « terroristes » tentant un « coup
d’État », selon les mots employés sur les réseaux sociaux.
Cette foule, elle se compose de vieux, de jeunes, d’hommes, de femmes et même d’enfants. Ils pourront dire qu’ils y étaient… plus tard.
Et qui s’improvisent en insurgés d’un soir.
Faisant fi des gaz lacrymogènes et des sprays au poivre qui éparpillent les premières lignes, la masse progresse.
Malgré des sommations et des tentatives de désencerclement, les forces de police échouent à repousser le flot continu de la meute des manifestants : Raz-de-marée à la Gandhi dans sa guerre du sel.
Le cortège s’est divisé et a rapidement encerclé le siège du Parlement.
Toutes les sorties sont cernées et les personnes à l’intérieur prises au piège par cette marée humaine charriant, pancartes, drapeaux et casquettes rouges.
Les grands escaliers qui permettent d’accéder aux terrasses supérieures du côté Ouest tombent alors aux mains des « pro-Trompe ».
De l’autre côté, le gigantesque terre-plein du Capitole Ground est envahi.
Les manifestants sont devant les murs de l’aile qui héberge le Sénat et de
celle qui abrite la Chambre des Représentants.
Des fenêtres sont d’abord fracturées, puis les portes cèdent. Les forces de l’ordre, retranchées dans le Capitole, tentent d’empêcher les intrusions. Les plus belliqueux parviennent à envahir le Capitole. « Ils ont pris le bureau de Nancy Pelosi (la présidente de la chambre basse du Congrès et bête noire des Républicains « pro-Trompe) », s'exclame, galvanisé, un manifestant !
Ils ne peuvent plus reculer et ne se refusent plus rien.
De leur côté, médusés par tant de violence ou paralysés par des ordres qui tardent à arriver, les policiers, qui au départ tentaient de garder les casseurs hors du Capitole se contentent de les circonscrire hors des bureaux et des endroits sensibles.
La mise en place du couvre-feu se fait dans l’urgence.
Finalement, c’est l’arrivée de la Garde Nationale appelée en renfort par
le vice-Président (encore en exercice) qui mettra un terme à l’occupation à l’intérieur
du bâtiment.
À l’extérieur, le message vidéo de « McDo-Trompe » demandant aux gens de rentrer chez eux se répand comme une traînée de poudre.
Mais rien à faire : Déchaînés, beaucoup s’affranchissent des consignes de leur leader et décident de rester pour tenter de forcer une autre entrée encore à découvert.
La nuit tombe, les derniers résistants se dispersent dans les rues d’une ville désormais déserte. Plus loin, des voitures de polices sillonnent de gigantesques artères vides plongées dans le silence.
Les Sénateurs, eux, ont réinvesti leur Chambre pour poursuivre la certification des votes des grands électeurs de l’élection de novembre dernier.
Résultat de cet épisode tragi-comique, 5 personnes sont mortes…
Merci pour elles, « McDo »…
Le chef de la majorité républicaine au Sénat, Mitch McConnell, a ouvert la séance en annonçant que le Sénat « ne se laissera pas intimider par des voyous, des foules ou des menaces ».
« Nous ne céderons pas à l’anarchie ou à l’intimidation. Nous sommes de retour à nos postes », a-t-il déclaré.
Fin de la tentative de renverser l’histoire…
« Nous sommes réunis aujourd’hui à cause de l’ego blessé d’un homme
égoïste et de la colère de ses partisans, qu’il a délibérément désinformés ces
deux derniers mois et qu’il a incités à agir ce matin même. Ce qui s’est passé
ici aujourd’hui est une insurrection, provoquée par le président des États-Unis
», a déclaré Mitt Romney, sénateur républicain de l’Utah, connu pour ses
positions indépendantes vis-à-vis du président sortant.
« Ceux qui choisissent de continuer à soutenir ses dangereuses machinations en s’opposant aux résultats d’une élection légitime et démocratique, seront à jamais considérés comme complices d’une attaque sans précédent contre notre démocratie !
On se souviendra d’eux pour leur rôle dans cet épisode
honteux de l’histoire américaine. Ce sera leur legs », a-t-il prévenu, mettant en garde
les sénateurs qui avaient suivi « McDo » et refusé de reconnaître la
victoire de son adversaire.
En effet, les événements de la journée semblaient avoir fait hésiter
certains sénateurs à continuer à contester les résultats. Au lieu de treize,
ils n’étaient plus que six sénateurs à participer à la fronde parlementaire.
Ted Cruz, sénateur du Texas, et Josh Hawley, sénateur du Missouri, les deux instigateurs du mouvement, se sont opposés aux résultats de l’Arizona et de la Pennsylvanie, mais n’ont pas objecté à ceux du Michigan et de la Géorgie.
Les votes du Sénat et de la Chambre ont, comme prévu, rejetés leur motion.
Mais des élus républicains ont attaqué Cruz et Hawley, en les accusant d’avoir favorisé les violences en alimentant les espoirs de « McDo » de voir le Congrès retourner en sa faveur les résultats de l’élection présidentielle.
Hérétique.
D'autres alliés de « Trompe », comme le sénateur Lindsey Graham, se sont désolidarisés du président sortant : « J’aurais voulu que Joe Biden perde, mais il a gagné. C’est fini… Il est le président légitime des États-Unis. Joe Biden et Kamala Harris sont légalement élus et deviendront le président et le vice-président des États-Unis le 20 janvier ».
Je suis ravi pour Kamala, figurez-vous.
Le compte « Twister » du président a été suspendu pour une durée
de douze heures, renouvelable, privant le président de son moyen de
communication favori. Les sources citées à l’intérieur de la Maison-Blanche par
les médias américains décrivaient un président isolé, furieux contre le rôle
joué par son vice-président qui a refusé de s’opposer à la certification de la
victoire de Joe Biden.
Des parlementaires démocrates ont de nouveau appelé à démettre « Trompe ». Ils auraient évoqué la possibilité proposée par le 25ème amendement, qui permet au Vice-président, avec l’accord d’une majorité du cabinet, de destituer le président s’il n’est plus en état d’assurer ses fonctions.
L’a-t-il jamais été ?
D’autant que des rumeurs de démission d’un certain nombre de membres de l’administration
circulaient aussi, après que Stéphanie Grisham, ancienne porte-parole du
président, devenue directrice de cabinet de « Melania Trompée », a
annoncé son départ soudain de ses fonctions…
Lâché, comme ses partisans, en rase campagne…
Tout cela part en cacahouète : Pouvait-il en aller autrement ?
Assez pour se poser quelques questions.
« Trompe » ressort comme vraiment un incompétent notoire :
Il s’est fait promener par « Kim-tout-fou » durant quatre ans, il a
laissé Pékin mettre en place le plus grand accord commercial sur la rive Ouest
du Pacifique au dépend du reste de l’océan, il aura hérissé à plusieurs
reprises ses alliés otanesques et laisser « Poux-Tine » faire sa loi
sur la rive orientale de la méditerranée.
Et aura permis à l’Iran d’enrichir toujours plus d’uranium…
Un allié « si peu sûr », finalement.
Il était meilleur dans les élections de Miss Monde.
Et puis le final : Il ne sait pas préparer un coup d’État…
Nul le gars !
Mon « cousin » (celui qui dort dans son septuple cercueil entouré de ses maréchaux aux Invalides) savait mieux y faire : Comme quoi, si le talent n’attend pas le nombre des années, quand on ne l’a pas à la naissance, ça ne s’apprend pas par la suite…
Passons : On se souviendra de « McDo » comme le plus « has been » des « has been » !
Comment aurait pu s’y prendre un autre « populiste » ?
Réclamer des bulletins supplémentaires à un responsable ?
Bé non : Il aurait dû « tricher » beaucoup plus en amont.
Mais à la limite, peu importe : Il faudra que le Congrès se pose la question de réformer leur mode de scrutin avant la prochaine échéance, parce que là, ça débloque à plein tube, le mode des « pères fondateurs ».
Totalement inadapté.
Mais la grande leçon c’est qu’on ne peut décidément pas gouverner, voire
présider, dans le mensonge d’un monde déconnecté des réalités.
Or, c’est justement ce que font la plupart des dirigeants politique de ce bas-monde.
Ça ne fonctionne, provisoirement à peu près bien, que quand on peut s’appuyer d’une main de fer sur des forces de « puissances publiques » qui n’ont pas d’état d’âme à l’égard des populations.
Bref, un coup-d’État, ça se fait avec des armes, de préférence celles de la troupe, sûre de son devoir légitime envers les institutions et leur chef.
Nos « communards » s’en souviennent encore.
Les Bonaparte aussi.
« McDo-Trompe » aurait pu réussir s’il avait emballé quelques généraux de la Garde ou seulement du Pentagone, pas avec des enfants dans « la manif’ finale ».
Invraisemblable…
Un amateur.
Il aurait pu s’inspirer de son grand copain « Poux-Tine » ou de « Xi-Ping-Pong », voire du maître que reste « Kim-Tout-Fou ».
Ne vous en faites pas, ceux-là savaient déjà, mais ils sont confortés dans
la leçon reçue de Washington.
Mais les nôtres, ceux qui chauffent à ne pas savoir s’ils ne seront pas obligés de faire des choses terrible tellement « imprévisibles » qu’elles sont déjà envisagées ?
« McDo » n’aura pas suffisamment anticipé, alors que c’était si facile…
Je lui ai toujours dit qu’il ne gagnerait le scrutin de 2020 que si, et seulement si, il déclenchait un conflit régional armé majeur.
Il ne m’a pas écouté et aura reconnu sa défaite définitive jeudi dernier.
Résultat croquignolesque, il aura réussi à se mettre tout le monde à dos.
Sauf chez les « autocrates » de la planète qui rigolent sous cape…
Même chez ses partisans qu’il aura laissés en rase campagne alors que « le putsch » avait bien démarré ainsi que ses adversaires qui finiront par le traduire en justice.
Il aura été tenté par la « guerre civile », ce qui est une large konnerie : La dernière sise aux USA aura laissé quelques souvenirs tellement douloureux… qu’il n’a pas osé.
Ils n’allaient quand même pas refaire une guerre de sécession rien que pour ses beaux yeux et sa houppette, tout de même !
Qui sème le vent, récolte la tempête ! En soufflant une fois de trop sur les braises de la colère de ceux qui l’ont porté au pouvoir, il aura fini par déclencher une force plus grande que lui.
Un ouragan.
Une avalanche.
Une lame de fond qui aura ébranlé ce sanctuaire parlementaire-là.
(Hérité de la Constitution Corse de Paoli…)
Certes il n’a eu de cesse, ces dernières années et derniers jours, d’attiser régulièrement le brasier avec des discours belliqueux et des appels à la révolution, mais imaginait-il seulement que ses électeurs passeraient à l’acte avec bonne conscience ?
La veille, ils étaient arrivés depuis tout le pays, par les aéroports, par la route ou par les bus.
Les hôtels de la ville affichaient tous complets…
Sur les trottoirs, les « pro-Trompe », flanqués de leurs plus belles parures à l’effigie du président, profitaient d’un repas à emporter (confinement oblige), verre à la main.
Le lendemain, rassemblée sur la pelouse située entre la Maison Blanche et l’obélisque du Washington Monument, la foule compacte était calme – et ce malgré les premiers résultats des élections en Géorgie, proclamant la victoire des démocrates jusqu’au Sénat qui basculait.
Ils avaient afflué dès le petit matin pour attendre le discours de leur idole avant de se diriger vers le Capitole, bouclé par un cordon de sécurité qui s’avérera largement insuffisant.
Cette foule, elle se compose de vieux, de jeunes, d’hommes, de femmes et même d’enfants. Ils pourront dire qu’ils y étaient… plus tard.
Et qui s’improvisent en insurgés d’un soir.
Faisant fi des gaz lacrymogènes et des sprays au poivre qui éparpillent les premières lignes, la masse progresse.
Malgré des sommations et des tentatives de désencerclement, les forces de police échouent à repousser le flot continu de la meute des manifestants : Raz-de-marée à la Gandhi dans sa guerre du sel.
Le cortège s’est divisé et a rapidement encerclé le siège du Parlement.
Toutes les sorties sont cernées et les personnes à l’intérieur prises au piège par cette marée humaine charriant, pancartes, drapeaux et casquettes rouges.
Les grands escaliers qui permettent d’accéder aux terrasses supérieures du côté Ouest tombent alors aux mains des « pro-Trompe ».
De l’autre côté, le gigantesque terre-plein du Capitole Ground est envahi.
Des fenêtres sont d’abord fracturées, puis les portes cèdent. Les forces de l’ordre, retranchées dans le Capitole, tentent d’empêcher les intrusions. Les plus belliqueux parviennent à envahir le Capitole. « Ils ont pris le bureau de Nancy Pelosi (la présidente de la chambre basse du Congrès et bête noire des Républicains « pro-Trompe) », s'exclame, galvanisé, un manifestant !
Ils ne peuvent plus reculer et ne se refusent plus rien.
De leur côté, médusés par tant de violence ou paralysés par des ordres qui tardent à arriver, les policiers, qui au départ tentaient de garder les casseurs hors du Capitole se contentent de les circonscrire hors des bureaux et des endroits sensibles.
La mise en place du couvre-feu se fait dans l’urgence.
À l’extérieur, le message vidéo de « McDo-Trompe » demandant aux gens de rentrer chez eux se répand comme une traînée de poudre.
Mais rien à faire : Déchaînés, beaucoup s’affranchissent des consignes de leur leader et décident de rester pour tenter de forcer une autre entrée encore à découvert.
La nuit tombe, les derniers résistants se dispersent dans les rues d’une ville désormais déserte. Plus loin, des voitures de polices sillonnent de gigantesques artères vides plongées dans le silence.
Les Sénateurs, eux, ont réinvesti leur Chambre pour poursuivre la certification des votes des grands électeurs de l’élection de novembre dernier.
Résultat de cet épisode tragi-comique, 5 personnes sont mortes…
Merci pour elles, « McDo »…
Le chef de la majorité républicaine au Sénat, Mitch McConnell, a ouvert la séance en annonçant que le Sénat « ne se laissera pas intimider par des voyous, des foules ou des menaces ».
« Nous ne céderons pas à l’anarchie ou à l’intimidation. Nous sommes de retour à nos postes », a-t-il déclaré.
Fin de la tentative de renverser l’histoire…
« Ceux qui choisissent de continuer à soutenir ses dangereuses machinations en s’opposant aux résultats d’une élection légitime et démocratique, seront à jamais considérés comme complices d’une attaque sans précédent contre notre démocratie !
Ted Cruz, sénateur du Texas, et Josh Hawley, sénateur du Missouri, les deux instigateurs du mouvement, se sont opposés aux résultats de l’Arizona et de la Pennsylvanie, mais n’ont pas objecté à ceux du Michigan et de la Géorgie.
Les votes du Sénat et de la Chambre ont, comme prévu, rejetés leur motion.
Mais des élus républicains ont attaqué Cruz et Hawley, en les accusant d’avoir favorisé les violences en alimentant les espoirs de « McDo » de voir le Congrès retourner en sa faveur les résultats de l’élection présidentielle.
Hérétique.
D'autres alliés de « Trompe », comme le sénateur Lindsey Graham, se sont désolidarisés du président sortant : « J’aurais voulu que Joe Biden perde, mais il a gagné. C’est fini… Il est le président légitime des États-Unis. Joe Biden et Kamala Harris sont légalement élus et deviendront le président et le vice-président des États-Unis le 20 janvier ».
Je suis ravi pour Kamala, figurez-vous.
Des parlementaires démocrates ont de nouveau appelé à démettre « Trompe ». Ils auraient évoqué la possibilité proposée par le 25ème amendement, qui permet au Vice-président, avec l’accord d’une majorité du cabinet, de destituer le président s’il n’est plus en état d’assurer ses fonctions.
L’a-t-il jamais été ?
Lâché, comme ses partisans, en rase campagne…
Tout cela part en cacahouète : Pouvait-il en aller autrement ?
Assez pour se poser quelques questions.
Et aura permis à l’Iran d’enrichir toujours plus d’uranium…
Un allié « si peu sûr », finalement.
Il était meilleur dans les élections de Miss Monde.
Et puis le final : Il ne sait pas préparer un coup d’État…
Nul le gars !
Mon « cousin » (celui qui dort dans son septuple cercueil entouré de ses maréchaux aux Invalides) savait mieux y faire : Comme quoi, si le talent n’attend pas le nombre des années, quand on ne l’a pas à la naissance, ça ne s’apprend pas par la suite…
Passons : On se souviendra de « McDo » comme le plus « has been » des « has been » !
Réclamer des bulletins supplémentaires à un responsable ?
Bé non : Il aurait dû « tricher » beaucoup plus en amont.
Mais à la limite, peu importe : Il faudra que le Congrès se pose la question de réformer leur mode de scrutin avant la prochaine échéance, parce que là, ça débloque à plein tube, le mode des « pères fondateurs ».
Totalement inadapté.
Or, c’est justement ce que font la plupart des dirigeants politique de ce bas-monde.
Ça ne fonctionne, provisoirement à peu près bien, que quand on peut s’appuyer d’une main de fer sur des forces de « puissances publiques » qui n’ont pas d’état d’âme à l’égard des populations.
Bref, un coup-d’État, ça se fait avec des armes, de préférence celles de la troupe, sûre de son devoir légitime envers les institutions et leur chef.
Nos « communards » s’en souviennent encore.
Les Bonaparte aussi.
« McDo-Trompe » aurait pu réussir s’il avait emballé quelques généraux de la Garde ou seulement du Pentagone, pas avec des enfants dans « la manif’ finale ».
Invraisemblable…
Un amateur.
Il aurait pu s’inspirer de son grand copain « Poux-Tine » ou de « Xi-Ping-Pong », voire du maître que reste « Kim-Tout-Fou ».
Mais les nôtres, ceux qui chauffent à ne pas savoir s’ils ne seront pas obligés de faire des choses terrible tellement « imprévisibles » qu’elles sont déjà envisagées ?
« McDo » n’aura pas suffisamment anticipé, alors que c’était si facile…
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