Et c’est la grosse inquiétude.
Moâ, ça me fait plutôt rire !
Bon d’accord, je suis un dinosaure du millénaire passé : J’avais appris à vivre sans la téléphonie mobile, à communiquer sans Internet, à trouver une adresse sans GPS (et même par temps de brouillard…), à taper à la machine à ruban et à me situer n’importe où sur le globe aux amers remarquables ou avec un sextant, les éphémérides et une boussole
Manifestement, plus l’humanité progresse, moins elle est capable de « bosser » en « mode dégradé ».
Ce qui lui promet un avenir radieux et prometteur… naturellement.
J’attends de voir le jour où tous ces « bidules » tomberont en panne…
Bref, parce que « McDo-Trompe » n’aura pas
arrêté de dékonner durant 4 ans le doigt au-dessus du « gros bouton »
nucléaire sur « Twister », « Fesses-bouc » et « Amstragram »,
tout d’un coup on lui coupe la chique, le porte-voix, le haut-parleur et tout
le monde s’offusque !
Rigolo…
Alors qu’on devrait ce réjouir d’une nouvelle qualité de silence trop tôt perdue…
C’est quand même incroyable : Ils auraient pu le faire bien avant, non ?
Il y a des CGU (conditions générales d’utilisation) à ces réseaux, décidées par le fournisseur d’accès, elles-mêmes « gratuites », mais appliquant globalement les lois décidées par la représentation élue et populaire. On y adhère sans réserve ou on passe par d’autres canaux de diffusion de sa « pensée-politique » et puis basta.
Avec, comme première incitation à ne pas les utiliser, tenant dans le mot « gratuit ».
Il y a toujours un coût a toute chose. Si tu ne payes rien, c’est que c’est toâ (et tes données personnelles) la marchandise.
Un business-model qui vaut à « Montagne-de-sucre » d’être aujourd’hui archi-milliardaire !
Et quelques autres également.
Pour ma pomme, à part « Gogol » qui supporte
ce blog, j’ai juste deux comptes, un chez « Fesses-Bouc » et l’autre
chez « Twister » pour relayer la parution de mes petits-posts quotidiens.
Mais ça ne sert pas à grand-chose, sauf à une demi-dizaine de robots de venir fureter les adresses de mes pages.
Et même si je sais bien que derrière les quasis 2.500 posts laissés sur les serveurs de « Gogol » depuis la première parution (et seulement plus de 430.000 visiteurs en plus de 2.400 jours pour plus d’un million cent-vingt mille pages-lues : Mieux et plus fort que le premier blog !), tout cela, je le sais bien, n’est que provisoire, bien éphémère et parfaitement superfétatoire.
Rien n’est jamais éternel et ce blog peut disparaître à n’importe quel moment sur simple décision unilatérale d’une quelconque « autorité » émanant ou non de chez un obscur cadre de chez « Alphabet » (la maison-Mère de « Gogol »).
Je serai contrarié, naturellement, mais je n’y pourrai rien : Je migrerai vers des ailleurs plus prometteurs.
Alors à quoi bon s’offusquer ?
« Ah oui, mais la liberté d’expression ! »
Euh… attend, je viens d’expliquer que celle-ci existait déjà, ainsi que sa sœur jumelle, la liberté d’opinion, bien avant l’apparition du premier « réseau ».
La retirer demain ne changera absolument rien.
L’application « Parler », un des réseaux issu de chez « Jeff-Bœuf-zos » (celui qui imprime mes livres), n’est plus téléchargeable… paraît-il.
Je ne savais même pas que ça existait…
Notez que je ne m’en portait probablement pas plus mal.
Une application prisée par la droâte radicale « ricaine » à ce qu’on m’en a dit avait disparu sur l’App Store et Google Play.
Et Amazon cessera également de l’héberger sur sa filiale de stockage de données en ligne (AWS).
Bé ils feront comme moâ : D’un serveur toulousain où était hébergé mon premier blog, racheté par des « teutons » qui m’ont imposé de la publicité, j’ai migré chez « Gogol ».
Et quand ils m’emmerderont eux aussi, j’irai sur les serveurs russes, chinois ou nord-coréens.
Peut-être en faisant un détour par le Canada, l’Islande ou la Zimbabwe, je ne sais pas encore…
Avec la censure d’Amazon, c’est carrément le « déni
de service » qui se pointe et dans un message, le Pédégé du site s’offusque
et aura dénoncé une décision qui vise à « supprimer complètement la liberté
d’expression sur Internet », au risque aussi de « tuer la concurrence
sur le marché » des réseaux sociaux.
Grosse rigolade de ma part : Ils ne se tireraient pas une balle dans les deux pieds, au contraire, pensez-bien !
Les « trompistes » crient à « La liberté d’expression (qui) se meurt et est contrôlée par des tout-puissants gauchistes » (entendre des oligarques de l’Amérique-profonde, les « boss » des GAFA), aura taclé le fils aîné du locataire de la Maison-Blanche (pour une poignée de jours encore), tout en invitant justement ses proches à s’inscrire sur son site Internet pour recevoir des nouvelles !
Ils auraient dû y penser plus tôt : Quand c’est « gratuit » tu es sommé de respecter les CGU, sans ça tu te payes sur ta tirelire tes propres serveurs…
Bloomberg affirme ainsi que « McDo » s’apprêterai
à prendre des mesures visant à « mettre au pas » les réseaux
sociaux l’ayant banni ce week-end (en Bourse, « Fesses-Bouc » chutait
de 2 % et « Twister » de 6 %).
Le bitcoin et les cryptomonnaies, dans son sillage, ont décroché.
Quant à « Musc » il aura perdu quelques « migniards » avec un « twist » malheureux : On entre bien dans une ère nouvelle…
Et les élus démocrates (majoritaires à la Chambre des Représentants) présentent un acte d’accusation pour « incitation à l’insurrection » à l’encontre de « McDo » (1ère étape avant l’ouverture officielle d’une procédure d’impeachment prévue pour cette semaine).
Que là c’est encore une ânerie : Je serai « Trompe », je démissionne sur-le-champ et par faire le tour du monde des terrains de golf laissant à « Penny », mon vice-président, juste le temps de me gracier…
C’est un « pote » ou non ?
Et le tour est joué ad vitam æternam !
Ne nous y trompons pas, la censure des réseaux sociaux
à l’égard de « McDo » et de la galaxie « fake news », n’est
pas uniquement dictée par les circonstances (ou la volonté des GAFAM de
s’attirer les bonnes grâces d’une administration démocrate qui a promis de
s’attaquer à leurs monopoles) : Elle marque seulement un changement
d’époque démocratique.
Normalement, nos démocraties sont construites sur deux principes essentiels.
La délibération et le vote publics de nos règles communes, à savoir nos lois, dans le cadre de notre Constitution, et la séparation des pouvoirs, qui en organisant leur contrôle et, le cas échéant leur empêchement réciproque, évite leur absolutisme.
Et ça marche, bon an mal an, en Occident, depuis plus de deux siècles.
Sauf que, qu’on le veuille ou non, le terrain de l’expression des opinions est à présent devenu « les réseaux sociaux ».
(Même plus la presse d’opinion qui n’existe plus…)
Or, ceux-ci ont non seulement une « Constitution » (leur CGU) qui est tout sauf démocratiquement construite et/ou votée, mais ils concentrent également le pouvoir « de faire la police », avec la surveillance pro-active de ce qui est publié, (par exemple les censures a priori de la nudité sur « Fesses-Bouc »…), et celui de faire la justice en recevant et instruisant les plaintes, et surtout en choisissant librement les condamnations !
Autrement dit, on est en plein exercice de la « privatisation du droit », d’une concentration des pouvoirs, jusqu’à leur confusion par amalgame.
Bienvenue en dictature électronique : C’est de la post-démocratie numérique !
Il faudra s’y faire.
Premiers exécutés : 70.000 comptes affiliés à la
mouvance « pro-McDo », QAnon suspendus définitivement depuis
vendredi, pour les empêcher de l’utiliser à des fins violentes, comme lors des
émeutes à Washington la semaine dernière.
Les « républiques arabes » lors de leurs printemps successifs, la Chine de « Xi-Ping-pong » et quelques autres bloquent carrément les émetteurs et les câbles : Plus radical !
Énoncé du verdict : « Ces comptes partageaient des contenus dangereux, associés à QAnon, à grande échelle. Ils étaient essentiellement consacrés à la propagation de ces théories du complot » aura expliqué « Twister ». Si le nombre de comptes évincés est élevé, c’est que de nombreux individus en possédaient plusieurs, précise le réseau.
Seconde victime collatérale : Les GAFA elles-mêmes !
Imaginez donc qu’un PDG « puisse débrancher le haut-parleur du président des États-Unis sans autre forme de contrôle et de contre-pouvoir fait plus qu’interpeller », juge « Titi-Breu-Thon » notre commissaire au Marché intérieur.
Et il souligne que les plateformes « ne pourront désormais plus se dérober à (leur) responsabilité » sur leurs contenus.
Une bien belle façon de « reprendre la main » !
En effet, s’ils peuvent le faire, pourquoi ne l’ont-ils pas fait jusque-là ?
En tout cas ils ne peuvent plus prétendre ne pas pouvoir le faire…
« Tout comme le 11 Septembre a marqué un
changement de paradigme pour les États-Unis, voire le monde, il y aura,
s’agissant des plateformes numériques dans notre démocratie, un avant et un
après le 8 janvier 2021 ».
Car des voix se lèvent, de tous les horizons politiques pour s’interroger sur la légitimité d’une entreprise privée pour décider de censurer la voix d’un président « ricain » (avec ses 90 millions de « suiveurs »), quels que soient les défauts de ce dernier…
En « Gauloisie-libre », plusieurs « sinistres » ont condamné les propos tenus par « McDo » sur les réseaux sociaux, mais ils ont regretté qu’une telle décision de supprimer son compte « Twisteur » revienne uniquement à la plateforme numérique. « Pruneau-LeMère », « sinistre de l’Économie » en exercice a ainsi estimé que « ce n’était pas aux géants du Web de réguler l’espace numérique ».
On aurait pu lui répliquer que ceux-là ne faisaient qu’appliquer la loi débattue et déjà votée qu’on leur imposait jusque-là presqu’à leur corps-défendant…
En fait il manque la décision d’un juge impartial dans cette affaire-là.
Qui n’aurait pas fait un pli, en témoigne justement le déclenchement de la procédure d’empêchement…
Tout cela est ubuesque, finalement…
Comme le personnage.
C’est le prince Harry et Meghan Markle qui finissent
par donner l’exemple : Ils en ont fini avec les médias sociaux !
Feraient-ils comme moâ qui vais directement sur Légifrance pour savoir l’officiel ?
Selon un nouveau rapport du Times of London, il est « très peu probable » que les Sussex reviennent un jour sur les plateformes de médias sociaux comme Twister, « Amstragram » et « Fesses-Bouc » en raison du barrage de « haine » qu’ils ont reçu pendant leur passage sur ces applications.
Non seulement Harry et Meghan prévoient de boycotter personnellement les médias sociaux, mais une source proche du couple a déclaré qu’ils n’ont pas non plus l’intention d’utiliser les médias sociaux pour promouvoir le travail de leur fondation à but non lucratif, Archewell.
Le couple s’était déjà exprimé par le passé sur les aspects négatifs des médias sociaux, la duchesse du Sussex évoquant l’expérience « presque insurmontable » du trolling en ligne.
Et oui, l’abus de liberté mène forcément à des libertés abusées !
Bref, le seul avantage de « Twisteur » c’était
de s’obliger à rester concis : S’exprimer en 280 caractères, c’est un
exercice « fort » (surtout pour moâ qui ne sais pas faire à moins de
2.000 mots).
YouTube, ça n’est pas du durable, sauf vos profils de visionnage (revendus par la suite comme chez tous les « réseaux »).
« Amstragram », je ne connais pas.
« Lind-kel », j’ai mais ça ne sert à rien.
« PrintCess », c’est à peine rigolo… parfois seulement !
Finalement, les télécoms auront atteint leur sommet de folie.
Il restera des « perles » comme « What-Zape », « Zoom-zoom », « Skip », mais mon téléphone portable, même s’il ne fait toujours pas la vaisselle (c’est le prochain que je m’offrirai) me suffit pour être joignable même au beau milieu de mon maquis (hors « zone blanche »).
En bref, on entre dans une nouvelle ère, différente de
celle qui s’est ouverte il y a 20 ans, avec un certain 11 septembre…
La seule chose que j’espère, c’est qu’elle sera ensoleillée : Mes vieux os supportent de plus en plus mal les fraîcheurs matinales !
Bon d’accord, je suis un dinosaure du millénaire passé : J’avais appris à vivre sans la téléphonie mobile, à communiquer sans Internet, à trouver une adresse sans GPS (et même par temps de brouillard…), à taper à la machine à ruban et à me situer n’importe où sur le globe aux amers remarquables ou avec un sextant, les éphémérides et une boussole
Manifestement, plus l’humanité progresse, moins elle est capable de « bosser » en « mode dégradé ».
Ce qui lui promet un avenir radieux et prometteur… naturellement.
J’attends de voir le jour où tous ces « bidules » tomberont en panne…
Rigolo…
Alors qu’on devrait ce réjouir d’une nouvelle qualité de silence trop tôt perdue…
C’est quand même incroyable : Ils auraient pu le faire bien avant, non ?
Il y a des CGU (conditions générales d’utilisation) à ces réseaux, décidées par le fournisseur d’accès, elles-mêmes « gratuites », mais appliquant globalement les lois décidées par la représentation élue et populaire. On y adhère sans réserve ou on passe par d’autres canaux de diffusion de sa « pensée-politique » et puis basta.
Avec, comme première incitation à ne pas les utiliser, tenant dans le mot « gratuit ».
Il y a toujours un coût a toute chose. Si tu ne payes rien, c’est que c’est toâ (et tes données personnelles) la marchandise.
Un business-model qui vaut à « Montagne-de-sucre » d’être aujourd’hui archi-milliardaire !
Et quelques autres également.
Mais ça ne sert pas à grand-chose, sauf à une demi-dizaine de robots de venir fureter les adresses de mes pages.
Et même si je sais bien que derrière les quasis 2.500 posts laissés sur les serveurs de « Gogol » depuis la première parution (et seulement plus de 430.000 visiteurs en plus de 2.400 jours pour plus d’un million cent-vingt mille pages-lues : Mieux et plus fort que le premier blog !), tout cela, je le sais bien, n’est que provisoire, bien éphémère et parfaitement superfétatoire.
Rien n’est jamais éternel et ce blog peut disparaître à n’importe quel moment sur simple décision unilatérale d’une quelconque « autorité » émanant ou non de chez un obscur cadre de chez « Alphabet » (la maison-Mère de « Gogol »).
Je serai contrarié, naturellement, mais je n’y pourrai rien : Je migrerai vers des ailleurs plus prometteurs.
Alors à quoi bon s’offusquer ?
Euh… attend, je viens d’expliquer que celle-ci existait déjà, ainsi que sa sœur jumelle, la liberté d’opinion, bien avant l’apparition du premier « réseau ».
La retirer demain ne changera absolument rien.
L’application « Parler », un des réseaux issu de chez « Jeff-Bœuf-zos » (celui qui imprime mes livres), n’est plus téléchargeable… paraît-il.
Je ne savais même pas que ça existait…
Notez que je ne m’en portait probablement pas plus mal.
Une application prisée par la droâte radicale « ricaine » à ce qu’on m’en a dit avait disparu sur l’App Store et Google Play.
Et Amazon cessera également de l’héberger sur sa filiale de stockage de données en ligne (AWS).
Bé ils feront comme moâ : D’un serveur toulousain où était hébergé mon premier blog, racheté par des « teutons » qui m’ont imposé de la publicité, j’ai migré chez « Gogol ».
Et quand ils m’emmerderont eux aussi, j’irai sur les serveurs russes, chinois ou nord-coréens.
Peut-être en faisant un détour par le Canada, l’Islande ou la Zimbabwe, je ne sais pas encore…
Grosse rigolade de ma part : Ils ne se tireraient pas une balle dans les deux pieds, au contraire, pensez-bien !
Les « trompistes » crient à « La liberté d’expression (qui) se meurt et est contrôlée par des tout-puissants gauchistes » (entendre des oligarques de l’Amérique-profonde, les « boss » des GAFA), aura taclé le fils aîné du locataire de la Maison-Blanche (pour une poignée de jours encore), tout en invitant justement ses proches à s’inscrire sur son site Internet pour recevoir des nouvelles !
Ils auraient dû y penser plus tôt : Quand c’est « gratuit » tu es sommé de respecter les CGU, sans ça tu te payes sur ta tirelire tes propres serveurs…
Le bitcoin et les cryptomonnaies, dans son sillage, ont décroché.
Quant à « Musc » il aura perdu quelques « migniards » avec un « twist » malheureux : On entre bien dans une ère nouvelle…
Et les élus démocrates (majoritaires à la Chambre des Représentants) présentent un acte d’accusation pour « incitation à l’insurrection » à l’encontre de « McDo » (1ère étape avant l’ouverture officielle d’une procédure d’impeachment prévue pour cette semaine).
Que là c’est encore une ânerie : Je serai « Trompe », je démissionne sur-le-champ et par faire le tour du monde des terrains de golf laissant à « Penny », mon vice-président, juste le temps de me gracier…
C’est un « pote » ou non ?
Et le tour est joué ad vitam æternam !
Normalement, nos démocraties sont construites sur deux principes essentiels.
La délibération et le vote publics de nos règles communes, à savoir nos lois, dans le cadre de notre Constitution, et la séparation des pouvoirs, qui en organisant leur contrôle et, le cas échéant leur empêchement réciproque, évite leur absolutisme.
Et ça marche, bon an mal an, en Occident, depuis plus de deux siècles.
Sauf que, qu’on le veuille ou non, le terrain de l’expression des opinions est à présent devenu « les réseaux sociaux ».
(Même plus la presse d’opinion qui n’existe plus…)
Or, ceux-ci ont non seulement une « Constitution » (leur CGU) qui est tout sauf démocratiquement construite et/ou votée, mais ils concentrent également le pouvoir « de faire la police », avec la surveillance pro-active de ce qui est publié, (par exemple les censures a priori de la nudité sur « Fesses-Bouc »…), et celui de faire la justice en recevant et instruisant les plaintes, et surtout en choisissant librement les condamnations !
Autrement dit, on est en plein exercice de la « privatisation du droit », d’une concentration des pouvoirs, jusqu’à leur confusion par amalgame.
Bienvenue en dictature électronique : C’est de la post-démocratie numérique !
Il faudra s’y faire.
Les « républiques arabes » lors de leurs printemps successifs, la Chine de « Xi-Ping-pong » et quelques autres bloquent carrément les émetteurs et les câbles : Plus radical !
Énoncé du verdict : « Ces comptes partageaient des contenus dangereux, associés à QAnon, à grande échelle. Ils étaient essentiellement consacrés à la propagation de ces théories du complot » aura expliqué « Twister ». Si le nombre de comptes évincés est élevé, c’est que de nombreux individus en possédaient plusieurs, précise le réseau.
Seconde victime collatérale : Les GAFA elles-mêmes !
Imaginez donc qu’un PDG « puisse débrancher le haut-parleur du président des États-Unis sans autre forme de contrôle et de contre-pouvoir fait plus qu’interpeller », juge « Titi-Breu-Thon » notre commissaire au Marché intérieur.
Et il souligne que les plateformes « ne pourront désormais plus se dérober à (leur) responsabilité » sur leurs contenus.
Une bien belle façon de « reprendre la main » !
En effet, s’ils peuvent le faire, pourquoi ne l’ont-ils pas fait jusque-là ?
En tout cas ils ne peuvent plus prétendre ne pas pouvoir le faire…
Car des voix se lèvent, de tous les horizons politiques pour s’interroger sur la légitimité d’une entreprise privée pour décider de censurer la voix d’un président « ricain » (avec ses 90 millions de « suiveurs »), quels que soient les défauts de ce dernier…
En « Gauloisie-libre », plusieurs « sinistres » ont condamné les propos tenus par « McDo » sur les réseaux sociaux, mais ils ont regretté qu’une telle décision de supprimer son compte « Twisteur » revienne uniquement à la plateforme numérique. « Pruneau-LeMère », « sinistre de l’Économie » en exercice a ainsi estimé que « ce n’était pas aux géants du Web de réguler l’espace numérique ».
On aurait pu lui répliquer que ceux-là ne faisaient qu’appliquer la loi débattue et déjà votée qu’on leur imposait jusque-là presqu’à leur corps-défendant…
En fait il manque la décision d’un juge impartial dans cette affaire-là.
Qui n’aurait pas fait un pli, en témoigne justement le déclenchement de la procédure d’empêchement…
Tout cela est ubuesque, finalement…
Comme le personnage.
Feraient-ils comme moâ qui vais directement sur Légifrance pour savoir l’officiel ?
Selon un nouveau rapport du Times of London, il est « très peu probable » que les Sussex reviennent un jour sur les plateformes de médias sociaux comme Twister, « Amstragram » et « Fesses-Bouc » en raison du barrage de « haine » qu’ils ont reçu pendant leur passage sur ces applications.
Non seulement Harry et Meghan prévoient de boycotter personnellement les médias sociaux, mais une source proche du couple a déclaré qu’ils n’ont pas non plus l’intention d’utiliser les médias sociaux pour promouvoir le travail de leur fondation à but non lucratif, Archewell.
Le couple s’était déjà exprimé par le passé sur les aspects négatifs des médias sociaux, la duchesse du Sussex évoquant l’expérience « presque insurmontable » du trolling en ligne.
Et oui, l’abus de liberté mène forcément à des libertés abusées !
YouTube, ça n’est pas du durable, sauf vos profils de visionnage (revendus par la suite comme chez tous les « réseaux »).
« Amstragram », je ne connais pas.
« Lind-kel », j’ai mais ça ne sert à rien.
« PrintCess », c’est à peine rigolo… parfois seulement !
Finalement, les télécoms auront atteint leur sommet de folie.
Il restera des « perles » comme « What-Zape », « Zoom-zoom », « Skip », mais mon téléphone portable, même s’il ne fait toujours pas la vaisselle (c’est le prochain que je m’offrirai) me suffit pour être joignable même au beau milieu de mon maquis (hors « zone blanche »).
La seule chose que j’espère, c’est qu’elle sera ensoleillée : Mes vieux os supportent de plus en plus mal les fraîcheurs matinales !
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire