La devinette de Jean-Marc
« – Il a un trou dans la tête.
Il a un cerne autour du col.
Il a deux gosses à sa charge.
Son plus proche voisin est un trou du cul.
Il travaille au noir.
Il paye seulement en liquide.
Et il s’évanouit après son travail.
À ton avis c’est qui ?
– Je ne sais pas moi » répond Jean-Paul. « Peut-être Jean-Gérard.
– Eh non ! C’est ton pénis ! »
Et comme Jean-Paul ne s’en laisse plus compter, même devant la bière de 16
heures, il lui rétorque (après avoir réfléchi) :
« – Ouais, peut-être mais tu ne connais pas les dix qualités d’un pénis.
– Lesquelles ? » lui demande Jean-Marc.
« Simple : Il a le sens de la famille, la preuve : il est
toujours prêt.
C’est un être intelligent : Il a la tête plus grosse que le
corps.
C’est un individu plein de vaillance : Il se lève toujours debout quand on a besoin de lui.
C’est un dur de dur.
Il a un grand cœur : Il donne toujours du plaisir à sa partenaire.
Il peut travailler dans n’importe quelle position, aussi bien de jour que de nuit.
Plein de courage, il n’a pas peur d’aller au fond des choses.
Côté médical : Il a toujours une crème anti-gerçure à la portée de la main.
Il a la peau douce comme celle d’un bébé.
Et il a un côté pratique pour ces dames : Il peut servir de jouet ou comme outil à leur bonheur ! »
Un jeune couple reçoit à souper le patron du mari.
Avant de passer à table, le patron, indiscret, s’adresse au jeune fils…
« – Sais-tu ce qu’on mange ce soir ?
– Du porc !
– Ah oui ? Et comment le sais-tu ?
– Ben j’ai entendu maman, ce matin, qui disait ‘‘Aussi bien avoir le gros porc pour dîner ce soir plutôt que la semaine prochaine’’ ! »
Un vieux Capitaine, ayant navigué sur toutes les mers du monde, se levait
le matin, prenait la clé de son coffre, soulevait tous les documents qu’il y
avait à l’intérieur, puis lisait un petit bout de papier.
Puis, il refermait le coffre et commençait sa journée de navigation.
Plusieurs années ont passé et la maladie est venue chercher le capitaine.
Après l’enterrement, les membres d’équipage se sont regardés et à la course, se rendent au coffre du capitaine.
L’un d’eux, ouvre le coffre, soulève tous les documents, puis s’écria à haute voix ce qui était inscrit sur le petit bout de papier :
« Bâbord à gauche, Tribord à droite »
Quelques petites annonces recueillies avec patience par Jean-Marc
pour vous :
« Femme qui a donné naissance à des triplets, cherche les deux
autres papas pour les féliciter ».
« Perdu, près du Métro Cambronne, billet de 20 €.
Valeur symbolique. Récompense. »
« Lot de livres scolaires usagés et en mauvais état.
Conviendrait à un décrocheur. »
Jean-Marc met au défi Jean-Paul de nommer six jours de la semaine ne finissant pas
par « di »
« Oh, simple : Avant-hier, hier, aujourd’hui, demain, après-demain
et dimanche »
(Comme quoi…)
« Les pas drôles s’envolent, les aigris restent… c’est bien
connu ! »
Jean-Marc se fait philosophe dès le quatrième Picon-bière :
« Il n’y a que 2 choses qu’un enfant partagera volontiers : Les
maladies contagieuses et l’âge de sa mère… »
« L’humour c’est de savoir que tout, absolument tout est drôle dès
l’instant que c’est aux autres que cela arrive… »
« L’avantage d’être célibataire, c’est que lorsqu’on se trouve
devant une jolie femme, on n’a pas à se chagriner d’en avoir une laide chez
soi. »
« Tous les chemins mènent au rhum. »
« Abstenez-vous de raconter à votre femme les infamies que vous
ont faites les précédentes.
Ce n’est pas la peine de lui donner des idées. »
« Plus il y a de fous, moins il y a de riz. »
« Il faut travailler dur pour pouvoir se payer les nombreux
appareils destinés à économiser les efforts de l’homme. »
« Plus je connais les femmes, et plus j’aime ma main. »
« Il en est de l’amour comme de l’audition, avec l’âge la
fréquence diminue. »
« Tu sais, il n’y a pas de fumée sans indien. »
« La vie ?
Une course contre la mort…
Mais le meilleur ne gagne pas ! »
« Curieux finalement : Quand on dit d’une femme qu’elle est
assez jolie, c’est qu’elle ne l’est justement pas assez. »
« Gourdin du matin, pipi sans les mains… »
« Dans le célibat, on s’ennuie.
Dans le mariage, on a des ennuis. »
« Ce que femme veut, elle le met sur ta carte de crédit. »
« La vérité sort de la couche des enfants… »
« Chassez le naturiste, il revient au bungalow ! »
« Qui persévère n’aura plus mal au ventre. »
« Qui paye ses dettes augmente ses chances de rester en vie. »
« L’habit te cache le moine. »
« Quand on voit sur l’autoroute ‘‘Vos impôts font du chemin’’ ça
veut dire : On a payé le voyage à Brégançon au Président. »
« Une femme convenable est une femme qui ne convient pas ! »
« Un aveugle qui prédit l’avenir est un voyant non-voyant. »
« Le travail est un trésor.
Le travail des autres, cela va de soi… »
« Ma femme n’a pas de prix et je sais ce qu’il m’en coûte ! »
« Le médecin se fait payer, qu’il ait tué la maladie ou le malade… »
« Si l’argent ne faisait pas le bonheur, il y a longtemps que des
malheureux l’auraient rendu ! »
« Si vous voulez que vos rêves se réalisent, surtout ne dormez pas ! »
« L’homme a créé Dieu.
Le contraire reste à prouver. »
(S. Gainsbourg)
« L’avenir n’est plus ce qu’il était… »
« On ne peut pas faire l’amour avec toutes les femmes mais il faut
quand même faire un effort. »
« Trop à l’est, il y a l’ouest. »
« La politique est l’art de se servir des hommes en leur faisant
croire qu’on les sert. »
« À la fin de la partie, le roi et le pion retournent dans la même
boîte. »
« Ceux qui médisent derrière mon dos, mon cul les contemple. »
(Francis Picabia)
« Traiter son prochain de con n’est pas un outrage mais un
diagnostic. »
(Frédéric Dard)
Et puis après quelques « Picon-bière », supplémentaire, Jean-Marc
rentre et bricole un peu pour contenter Germaine qui râle à cause du retard
pris :
« – Je me demande bien ce que tu ferais si je n’étais pas là pour tout faire dans la maison.
– C’est simple je me remarierais.
– Comment ça ?
– Il me faudrait quelqu’un pour te remplacer.
– Ça veut dire qu’un autre serait à ma place pour ranger la vaisselle et mettre la table ?
– Oui.
– Ça veut dire qu’un autre serait à ma place pour passer la tondeuse l’été ?
– Oui.
– Ça veut dire qu’un autre serait à ma place pour passer la déneigeuse l’hiver ?
– Oui.
– Ça veut dire qu’un autre serait à ma place pour conduire mon auto ?
– Oui.
– Ça veut dire qu’un autre serait à ma place pour utiliser mes clubs de golf ?
– Non !
– Comment ça ?
– Il est gaucher… »
Dictionnaire du langage de la femme (pour vous les gars, pour que vous
puissiez mieux comprendre les femmes)
Oui = non
Non = oui
Peut-être = non
Je suis désolée = tu vas le regretter
J’aurais besoin = je veux
C’est ta décision = la bonne décision à prendre est évidente
Fais ce que tu veux = tu vas payer pour ça plus tard
Je voudrais te parler = Je veux me plaindre
D’accord, vas-y = je ne veux pas que tu le fasses
Je ne suis pas fâchée = ben sûr que j’suis fâchée, imbécile !
T’es viril = ta barbe est trop longue et puis tu transpires trop.
Sois romantique, éteins les lumières = j’me trouve grosse, j’veux pas que tu me vois.
Cette cuisine n’est pas très pratique = je veux une nouvelle maison.
Je voudrais de nouveaux rideaux = et un nouveau tapis et des meubles et repeindre.
J’ai entendu un bruit = j’ai vu que tu étais presque endormi.
M’aimes-tu ? = j’ai quelque chose à te demander qui va coûter cher.
M’aimes-tu beaucoup ? = j’ai fait quelque chose que tu ne vas pas aimer.
Je suis prête dans une minute = enlèves tes souliers, assis-toi et regarde la télé.
Il faut que tu apprennes à communiquer = il faut que tu apprennes à être d’accord avec ce que je dis.
Dictionnaire du langage de l’homme (pour vous les filles, pour que vous
puissiez mieux comprendre les hommes)
Oui = oui
Non = non
J’ai faim = j’ai faim
Je suis fatigué = je suis fatigué
Veux-tu aller au cinéma ? = je voudrais baiser après
Veux-tu aller souper au resto ? = je voudrais baiser après
Veux-tu danser avec moi ? = je voudrais baiser après
Belle robe = beau décolleté, je voudrais baiser
T’as l’air tendue, je vais te faire un massage = je voudrais baiser après
Qu’est-ce que t’as ? = j’imagine qu’on ne baisera pas ce soir
Ouain, c’est nul à la télé = veux-tu baiser ?
Je t’aime = veux-tu baiser ?
Moi aussi, je t’aime = bon, je l’ai dit. T’es-tu contente ? Est-ce qu’on peut baiser, là ?
Ça te va bien ta nouvelle coupe de cheveux = j’aimais mieux avant
Il faut qu’on se parle = je vais te montrer que je suis capable d’être un homme attentif. On pourrait peut-être baiser après ?
Veux-tu m’épouser ? = je veux que ce soit illégal pour toi de baiser avec d’autres
Je trouve que cette veste et cette jupe ne vont pas très bien ensemble = je suis gai.
(Évidemment, ce dictionnaire© a été écrit, conçu et rédigé par Jean-Marc®).
Solutions des contrepèteries de la
semaine dernière :
« Ah la verge d’Hervé ! »
« Hélas, ma femme secoue toujours les bites de mes amis ! »
« Jean-Marc lavait son cul. »
Celles proposées cette semaine à votre sagacité :
« Je m’en vais au Loire. »
« Les mutins passaient la berge du grand ravin. »
« Le petit léopard est fatigué d’avoir trottiné… »
Bon week-end à toutes et à tous !
I3
Il a deux gosses à sa charge.
Son plus proche voisin est un trou du cul.
Il travaille au noir.
Il paye seulement en liquide.
Et il s’évanouit après son travail.
À ton avis c’est qui ?
– Je ne sais pas moi » répond Jean-Paul. « Peut-être Jean-Gérard.
« – Ouais, peut-être mais tu ne connais pas les dix qualités d’un pénis.
C’est un individu plein de vaillance : Il se lève toujours debout quand on a besoin de lui.
C’est un dur de dur.
Il a un grand cœur : Il donne toujours du plaisir à sa partenaire.
Il peut travailler dans n’importe quelle position, aussi bien de jour que de nuit.
Plein de courage, il n’a pas peur d’aller au fond des choses.
Côté médical : Il a toujours une crème anti-gerçure à la portée de la main.
Il a la peau douce comme celle d’un bébé.
Et il a un côté pratique pour ces dames : Il peut servir de jouet ou comme outil à leur bonheur ! »
Avant de passer à table, le patron, indiscret, s’adresse au jeune fils…
« – Sais-tu ce qu’on mange ce soir ?
– Ah oui ? Et comment le sais-tu ?
– Ben j’ai entendu maman, ce matin, qui disait ‘‘Aussi bien avoir le gros porc pour dîner ce soir plutôt que la semaine prochaine’’ ! »
Puis, il refermait le coffre et commençait sa journée de navigation.
Plusieurs années ont passé et la maladie est venue chercher le capitaine.
Après l’enterrement, les membres d’équipage se sont regardés et à la course, se rendent au coffre du capitaine.
L’un d’eux, ouvre le coffre, soulève tous les documents, puis s’écria à haute voix ce qui était inscrit sur le petit bout de papier :
« Bâbord à gauche, Tribord à droite »
(Comme quoi…)
Mais le meilleur ne gagne pas ! »
(Francis Picabia)
(Frédéric Dard)
« – Je me demande bien ce que tu ferais si je n’étais pas là pour tout faire dans la maison.
– Comment ça ?
– Il me faudrait quelqu’un pour te remplacer.
– Ça veut dire qu’un autre serait à ma place pour ranger la vaisselle et mettre la table ?
– Oui.
– Ça veut dire qu’un autre serait à ma place pour passer la tondeuse l’été ?
– Oui.
– Ça veut dire qu’un autre serait à ma place pour passer la déneigeuse l’hiver ?
– Oui.
– Ça veut dire qu’un autre serait à ma place pour conduire mon auto ?
– Oui.
– Ça veut dire qu’un autre serait à ma place pour utiliser mes clubs de golf ?
– Non !
– Comment ça ?
– Il est gaucher… »
Oui = non
Non = oui
Peut-être = non
Je suis désolée = tu vas le regretter
J’aurais besoin = je veux
C’est ta décision = la bonne décision à prendre est évidente
Fais ce que tu veux = tu vas payer pour ça plus tard
Je voudrais te parler = Je veux me plaindre
D’accord, vas-y = je ne veux pas que tu le fasses
Je ne suis pas fâchée = ben sûr que j’suis fâchée, imbécile !
T’es viril = ta barbe est trop longue et puis tu transpires trop.
Sois romantique, éteins les lumières = j’me trouve grosse, j’veux pas que tu me vois.
Cette cuisine n’est pas très pratique = je veux une nouvelle maison.
Je voudrais de nouveaux rideaux = et un nouveau tapis et des meubles et repeindre.
J’ai entendu un bruit = j’ai vu que tu étais presque endormi.
M’aimes-tu ? = j’ai quelque chose à te demander qui va coûter cher.
M’aimes-tu beaucoup ? = j’ai fait quelque chose que tu ne vas pas aimer.
Je suis prête dans une minute = enlèves tes souliers, assis-toi et regarde la télé.
Il faut que tu apprennes à communiquer = il faut que tu apprennes à être d’accord avec ce que je dis.
Oui = oui
Non = non
J’ai faim = j’ai faim
Je suis fatigué = je suis fatigué
Veux-tu aller au cinéma ? = je voudrais baiser après
Veux-tu aller souper au resto ? = je voudrais baiser après
Veux-tu danser avec moi ? = je voudrais baiser après
Belle robe = beau décolleté, je voudrais baiser
T’as l’air tendue, je vais te faire un massage = je voudrais baiser après
Qu’est-ce que t’as ? = j’imagine qu’on ne baisera pas ce soir
Ouain, c’est nul à la télé = veux-tu baiser ?
Je t’aime = veux-tu baiser ?
Moi aussi, je t’aime = bon, je l’ai dit. T’es-tu contente ? Est-ce qu’on peut baiser, là ?
Ça te va bien ta nouvelle coupe de cheveux = j’aimais mieux avant
Il faut qu’on se parle = je vais te montrer que je suis capable d’être un homme attentif. On pourrait peut-être baiser après ?
Veux-tu m’épouser ? = je veux que ce soit illégal pour toi de baiser avec d’autres
Je trouve que cette veste et cette jupe ne vont pas très bien ensemble = je suis gai.
(Évidemment, ce dictionnaire© a été écrit, conçu et rédigé par Jean-Marc®).
« Ah la verge d’Hervé ! »
« Hélas, ma femme secoue toujours les bites de mes amis ! »
« Jean-Marc lavait son cul. »
Celles proposées cette semaine à votre sagacité :
« Je m’en vais au Loire. »
« Les mutins passaient la berge du grand ravin. »
« Le petit léopard est fatigué d’avoir trottiné… »
Bon week-end à toutes et à tous !
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