C’est plus qu’une hypothèse.
Et ce n’est pas les (f)Ummistes qui l’affirment :
Ils n’ont jamais rien dit des civilisations aliènes, à part, un peu, de la
leur.
Quoiqu’ils aient toujours affirmé qu’ils ne racontaient pas que des vérités à leurs « contacts » humains qu’ils caviardent de mensonges éhontés.
Vous savez c’est le « Je suis crétois ; les crétois sont tous des menteurs ; je suis donc un menteur » qui ne dit jamais que des carabistouilles…
Trois affirmations dont on ne sait pas si elles sont justes ou fausses !
Dans la même phrase, c’est un peu beaucoup trop.
Déjà je « décroche » quand il y a deux négations dans la même phrase, style « je ne suis pas intelligent parce que je ne suis pas laid », ça veut dire quoi au juste ?
Que tu es laid et kon, ou ni beau ni kon ?
Mystère et boule de gomme…
Je vous rapporte les conclusions de « chercheurs
qui cherchent » mais ne trouvent pas, publiées sur « arXiv »,
avant de peut-être être repris par le Lancet ou Nature (après relecture par un
comité Théodule ad hoc quelconque qui laisse passer des konneries sur les
dérivés de la nivaquine).
On part d’un constat toujours haletant : L’univers dévoile peu à peu ses mystères et c’est plein d’étoiles !
Si.
Mais on ne sait toujours pas si des extraterrestres peuplent actuellement la Voie lactée.
On ne comprend pas même si parfois en reçoit quelques signaux d’espérance de « signatures technologiques » émises du fin fond de notre galaxie.
Ni pourquoi, s’ils existent, les aliènes ne se manifestent pas ?
Certains nous racontent que si : Notre
planète est visitée par un nombre considérable d’Objet Volant Non Identifiés.
Que même en « Gauloisie-interplanétaire », cela fait des décennies que l’impôt « Gauloisien » finance une mini-brigade de gendarmerie qui enquête sur ces sujets.
Les « (f)Ummistes » sont même « aidés » à comprendre ces phénomènes par les habitants de la planète Ummo eux-mêmes. J’étais en contact avec quelques-uns (bien silencieux en ce moment) ; Jean-Claude Bourret (l’ex-journaliste) se faisait encore l’écho de ces investigations jusqu’à ce que « Fesses-bouc » lui ait censuré un billet sur le docteur « Rat-Out » ; et Jean-Pierre Petit, le physicien marseillais, attribue certaines de ses découvertes fondamentales aux lettres « Ummos » (Maintenant, ils n’écrivent plus, ils « twistent » : Il faut être de son temps…)
Naturellement, il y a la théorie colportée
par les Kameulfs (de qui je recevais la « Gazette galactique », mais
je ne reçois plus rien en ce moment…) qui affirmait que la planète Terre et son
système solaire sont interdits aux divagations spatiales aliènes par la
communauté galactique parce qu’il y vit une espèce particulièrement dangereuse
pour être très férocement belliqueuse…
En plus, en ce moment, elle est infectée de virus multiples et parfois mortels…
Et puis il y a l’explication de « Charlotte »
(je ne sais plus dans quel opus de ses « enquêtes » : Ils sont à
la réécriture et ça traine) : Les OVNIs et autres UFOs sont indéniablement
présents dans notre environnement.
Mais ils ne sont pas ce qu’on croit qu’ils sont… (Une affirmation pour une négation… Compréhensible !).
Pour ma part, j’aurai bien admis qu’il s’agit de programmes militaires archi-secrets qu’on masque volontiers derrière cette fable-là, mais ce n’est même pas ça.
Ou pas seulement.
Son explication c’est que notre civilisation a tellement avancé sur le plan scientifique et technologique, qu’après avoir réussi à « figer » la flèche du temps, ce qui permet de faire des voyages interstellaires dans une vie d’homme et de revenir, l’homo sapiens-sapiens aura réussi à voyager sur ladite flèche.
Du futur vers le passé, uniquement.
C’est assez logique : On ne peut pas
voyager du présent vers le futur, puisqu’il n’existe pas encore pour le moment
présent.
Alors que le passé existe et est même précisément répertorié dans ses quatre dimensions (les trois de l’espace et la quatrième temporelle), ce qui est plus facile…
Mais, dans le passé, pas au-delà de la naissance de notre univers : Rien n’existait, en tout cas même pas la flèche du temps…
En revanche, notre présent devient « passé » dès qu’il passe et ce quel que soit l’époque. Aussi, un « objet » du futur éloigné peut-il venir fureter son passé, notre présent par exemple, et se positionner ensuite dans n’importe quel autre intervalle de « passé » entre son présent et la naissance de l’univers : Il voyage sur plusieurs segments de son passé, quitte à faire faire des bonds dans le futur à des personnes présentes « abduquées » pour l’occasion…
Et là, tout ces phénomènes parascientifiques peuvent trouver leur explication rationnelle.
Notamment que le futur de notre civilisation protège son passé et des invasions d’aliènes, pour qu’elle puisse aboutir, ce qui est confirmé sans le dire par les Kameulfs.
Ceci dit, revenons à notre sujet :
Pourquoi nous n’avons pas de « contact » avec les autres
civilisations extraterrestre ?
Pour les raisons ci-dessus indiquées, mais apparaît récemment une nouvelle hypothèse bien dans l’air du temps.
Pour les scientifiques de la NASA Jet Propulsion Laboratory et du California Institut of Technologie, il s’agit encore d’autre chose.
Ils ont à la fois déterminé dans le temps et l’espace la probable apogée des vies intelligentes dans la Voie lactée, ainsi que les facteurs ayant vraisemblablement entraîné leur chute.
Les « collapsologues » auront encore frappé.
Si maintenant ils contaminent les cerveaux les plus brillants du moment, on n’est décidément pas sorti de l’auberge !
Pour ce faire, ils ont toutefois mis à jour,
en utilisant l’astronomie moderne et la modélisation statistique, une des célèbres
équations de l’astronome Frank Drake, datant de 1961.
Ces scientifiques-là ont ainsi déterminé que l’émergence probable de la vie dans notre galaxie culminait à environ 13.000 années-lumière du centre galactique et 8 milliards d’années après la formation de la galaxie, explique Space.com.
La Terre, qui est à environ 25.000 années-lumière du centre galactique, est ainsi très éloignée de l’endroit où culmine l’émergence de la vie, mais également très en retard sur le moment propice, étant donné que la civilisation humaine est apparue près de 13,5 milliards d’années après la formation de la Voie lactée.
Quasiment dans la dernière seconde de son existence, pour faire un parallèle quotidien…
Ainsi, les civilisations dans notre galaxie
auraient atteint leur apogée il y a plus de 5 milliards d’années.
La question est : Que sont-elles devenues ? Sont-elles toujours présentes aujourd’hui ?
Les scientifiques de l’étude en doutent, naturellement.
Et pour cause, de multiples facteurs auraient probablement entraîné leur chute.
D’abord, on ne les repère pas…
Ensuite, parmi les facteurs ayant possiblement entraîné la disparition de ces civilisations extraterrestres, on trouve, en plus de leur distance vis-à-vis des supernovas explosives, leur faculté à s’autodétruire.
Comme nous, quoi…
L’étude, qui s’appuie sur les théories d’autres
chercheurs, montre que le progrès scientifique et technologique d’une
civilisation conduirait inévitablement et irrémédiablement à sa destruction,
que ce soit, par exemple, à cause du changement climatique et des guerres.
Notez qu’il n’y a qu’à regarder l’état supposé de notre planète aujourd’hui pour commencer à comprendre (et tenter de la fuir)…
Ainsi, pour les scientifiques de cette étude,
la majorité des civilisations beaucoup plus âgées que la nôtre ont déjà dû s’autodétruire
et seules de jeunes civilisations peupleraient actuellement notre galaxie.
Mais elles ne sont pas encore assez « mûres » pour se signaler.
Après tout, la découverte de la « radioconduction » par Édouard Branly n’est pas si vieille en ce qui nous concerne.
Quant à tous les autres composants de la physique fondamentale, leur découverte sont encore plus récentes…
Alors, qu’entre le moment où les philosophes grecs regardaient les étoiles et l’état de nos connaissances d’aujourd’hui, il ne s’est passé qu’un « court instant » depuis l’invention de l’espèce humaine, celle qui enterrait ses morts (sauf chez les indous)…
Autrement dit, ils ne sont pas très
optimistes : Soit notre soleil s’est allumé trop tard pour voir passer les
signaux des civilisations les plus avancées de cette époque-là, soit nous
aurons disparu avant même de nous faire connaître !
Et il y en a qui sont payés pour raconter leurs balivernes sur le mode « scientifique »…
Car soyons logiques : En 13,5 milliards d’années, il n’y a pas eu qu’une seule vague de civilisations « avancées », même si leur espérance de vie est courte (à l’échelle du cosmos), pas qu’une seule qui aura pu éclore et progresser, mais bien toute une ribambelle.
La preuve, nous en serions une !
Quant à savoir si elles parviennent à s’autodétruire, c’est soit le signe d’une intelligence supérieure qui se rend compte tout d’un coup de l’immense fatuité du vivant face à son créateur et décide de se suicider (ou de se déliter) ;
Soit c’est qu’elle n’est pas si intelligente que ça pour n’avoir pas pensé sa survie d’espèce « unique ».
Je vous le dis, c’est dans l’air du temps :
On va nous resservir rapidement le « réchauffement global » et le destin
de la planète Vénus carbonisée au CO2.
Franchement c’est stupide à un point étonnant : Et pourquoi ne serions pas des survivants d’espèces aliènes qui auraient essaimées pour survivre (vous savez, l’hypothèse de Thorgal, l’enfant des étoiles…).
Au moins, c’est plus rigolo…
Le drame avec ces « chercheurs-là », c’est que ça reste vraiment très surfait que de dépenser le pognon du contribuable à chercher à regarder toujours plus loin et rechercher les moyens d’aller : On ferait mieux de vacciner tout le monde contre tout (sauf qu’on passerait pour d’affreux despotes illuminés à obliger les gens à ne pas tomber malade) ou à nourrir le plus grand nombre…
Parce qu’on crève encore de faim et de froid sur mes trottoirs parigots…
Mais bon, ce que j’en dis, n’est-ce pas…
Bonne fin de week-end à toutes et tous !
I3
Quoiqu’ils aient toujours affirmé qu’ils ne racontaient pas que des vérités à leurs « contacts » humains qu’ils caviardent de mensonges éhontés.
Vous savez c’est le « Je suis crétois ; les crétois sont tous des menteurs ; je suis donc un menteur » qui ne dit jamais que des carabistouilles…
Trois affirmations dont on ne sait pas si elles sont justes ou fausses !
Dans la même phrase, c’est un peu beaucoup trop.
Déjà je « décroche » quand il y a deux négations dans la même phrase, style « je ne suis pas intelligent parce que je ne suis pas laid », ça veut dire quoi au juste ?
Que tu es laid et kon, ou ni beau ni kon ?
Mystère et boule de gomme…
On part d’un constat toujours haletant : L’univers dévoile peu à peu ses mystères et c’est plein d’étoiles !
Si.
Mais on ne sait toujours pas si des extraterrestres peuplent actuellement la Voie lactée.
On ne comprend pas même si parfois en reçoit quelques signaux d’espérance de « signatures technologiques » émises du fin fond de notre galaxie.
Ni pourquoi, s’ils existent, les aliènes ne se manifestent pas ?
Que même en « Gauloisie-interplanétaire », cela fait des décennies que l’impôt « Gauloisien » finance une mini-brigade de gendarmerie qui enquête sur ces sujets.
Les « (f)Ummistes » sont même « aidés » à comprendre ces phénomènes par les habitants de la planète Ummo eux-mêmes. J’étais en contact avec quelques-uns (bien silencieux en ce moment) ; Jean-Claude Bourret (l’ex-journaliste) se faisait encore l’écho de ces investigations jusqu’à ce que « Fesses-bouc » lui ait censuré un billet sur le docteur « Rat-Out » ; et Jean-Pierre Petit, le physicien marseillais, attribue certaines de ses découvertes fondamentales aux lettres « Ummos » (Maintenant, ils n’écrivent plus, ils « twistent » : Il faut être de son temps…)
En plus, en ce moment, elle est infectée de virus multiples et parfois mortels…
Mais ils ne sont pas ce qu’on croit qu’ils sont… (Une affirmation pour une négation… Compréhensible !).
Pour ma part, j’aurai bien admis qu’il s’agit de programmes militaires archi-secrets qu’on masque volontiers derrière cette fable-là, mais ce n’est même pas ça.
Ou pas seulement.
Son explication c’est que notre civilisation a tellement avancé sur le plan scientifique et technologique, qu’après avoir réussi à « figer » la flèche du temps, ce qui permet de faire des voyages interstellaires dans une vie d’homme et de revenir, l’homo sapiens-sapiens aura réussi à voyager sur ladite flèche.
Du futur vers le passé, uniquement.
Alors que le passé existe et est même précisément répertorié dans ses quatre dimensions (les trois de l’espace et la quatrième temporelle), ce qui est plus facile…
Mais, dans le passé, pas au-delà de la naissance de notre univers : Rien n’existait, en tout cas même pas la flèche du temps…
En revanche, notre présent devient « passé » dès qu’il passe et ce quel que soit l’époque. Aussi, un « objet » du futur éloigné peut-il venir fureter son passé, notre présent par exemple, et se positionner ensuite dans n’importe quel autre intervalle de « passé » entre son présent et la naissance de l’univers : Il voyage sur plusieurs segments de son passé, quitte à faire faire des bonds dans le futur à des personnes présentes « abduquées » pour l’occasion…
Et là, tout ces phénomènes parascientifiques peuvent trouver leur explication rationnelle.
Notamment que le futur de notre civilisation protège son passé et des invasions d’aliènes, pour qu’elle puisse aboutir, ce qui est confirmé sans le dire par les Kameulfs.
Pour les raisons ci-dessus indiquées, mais apparaît récemment une nouvelle hypothèse bien dans l’air du temps.
Pour les scientifiques de la NASA Jet Propulsion Laboratory et du California Institut of Technologie, il s’agit encore d’autre chose.
Ils ont à la fois déterminé dans le temps et l’espace la probable apogée des vies intelligentes dans la Voie lactée, ainsi que les facteurs ayant vraisemblablement entraîné leur chute.
Les « collapsologues » auront encore frappé.
Si maintenant ils contaminent les cerveaux les plus brillants du moment, on n’est décidément pas sorti de l’auberge !
Ces scientifiques-là ont ainsi déterminé que l’émergence probable de la vie dans notre galaxie culminait à environ 13.000 années-lumière du centre galactique et 8 milliards d’années après la formation de la galaxie, explique Space.com.
La Terre, qui est à environ 25.000 années-lumière du centre galactique, est ainsi très éloignée de l’endroit où culmine l’émergence de la vie, mais également très en retard sur le moment propice, étant donné que la civilisation humaine est apparue près de 13,5 milliards d’années après la formation de la Voie lactée.
Quasiment dans la dernière seconde de son existence, pour faire un parallèle quotidien…
La question est : Que sont-elles devenues ? Sont-elles toujours présentes aujourd’hui ?
Les scientifiques de l’étude en doutent, naturellement.
Et pour cause, de multiples facteurs auraient probablement entraîné leur chute.
D’abord, on ne les repère pas…
Ensuite, parmi les facteurs ayant possiblement entraîné la disparition de ces civilisations extraterrestres, on trouve, en plus de leur distance vis-à-vis des supernovas explosives, leur faculté à s’autodétruire.
Comme nous, quoi…
Notez qu’il n’y a qu’à regarder l’état supposé de notre planète aujourd’hui pour commencer à comprendre (et tenter de la fuir)…
Mais elles ne sont pas encore assez « mûres » pour se signaler.
Après tout, la découverte de la « radioconduction » par Édouard Branly n’est pas si vieille en ce qui nous concerne.
Quant à tous les autres composants de la physique fondamentale, leur découverte sont encore plus récentes…
Alors, qu’entre le moment où les philosophes grecs regardaient les étoiles et l’état de nos connaissances d’aujourd’hui, il ne s’est passé qu’un « court instant » depuis l’invention de l’espèce humaine, celle qui enterrait ses morts (sauf chez les indous)…
Et il y en a qui sont payés pour raconter leurs balivernes sur le mode « scientifique »…
Car soyons logiques : En 13,5 milliards d’années, il n’y a pas eu qu’une seule vague de civilisations « avancées », même si leur espérance de vie est courte (à l’échelle du cosmos), pas qu’une seule qui aura pu éclore et progresser, mais bien toute une ribambelle.
La preuve, nous en serions une !
Quant à savoir si elles parviennent à s’autodétruire, c’est soit le signe d’une intelligence supérieure qui se rend compte tout d’un coup de l’immense fatuité du vivant face à son créateur et décide de se suicider (ou de se déliter) ;
Soit c’est qu’elle n’est pas si intelligente que ça pour n’avoir pas pensé sa survie d’espèce « unique ».
Franchement c’est stupide à un point étonnant : Et pourquoi ne serions pas des survivants d’espèces aliènes qui auraient essaimées pour survivre (vous savez, l’hypothèse de Thorgal, l’enfant des étoiles…).
Au moins, c’est plus rigolo…
Le drame avec ces « chercheurs-là », c’est que ça reste vraiment très surfait que de dépenser le pognon du contribuable à chercher à regarder toujours plus loin et rechercher les moyens d’aller : On ferait mieux de vacciner tout le monde contre tout (sauf qu’on passerait pour d’affreux despotes illuminés à obliger les gens à ne pas tomber malade) ou à nourrir le plus grand nombre…
Parce qu’on crève encore de faim et de froid sur mes trottoirs parigots…
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