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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

jeudi 10 septembre 2020

Les farces du moment…

Vous avez peut-être remarqué que…
 
Ça « pagaille » fermement et depuis un moment chez nos « élites » : La deuxième vague du « Conard-virus » arrive (on va y revenir) mais rien n’aura été préparé pour l’en empêcher cet été… C’était l’été et l’urgence c’était de préparer le fameux plan de « relance de 100 milliards ».
Un plan qui ne relancera rien du tout, sauf la dépense publique : Ce n’est pas eux qui payeront, alors pourquoi se gêner ?
Une farce : Comme ce « plan de dépenses » va s’étaler sur plusieurs années, ce n’est même pas un « choc », mais la continuation, avec une légère accélération (+ 2,5 %/an), de la mise sous perfusion – entendre « nationalisation-rampante » – totale et globale de l’activité du pays et de ses habitants : Et vous serez priés de dire « merci » en sortant !
Ce n’est ni plus ni moins que la conséquence de l’« Agenda 2030 » de l’Onu pour un développement durable…
 
La farce, c’est également les élections américaines qui en devient toujours plus comique.
C’est aussi le déferlement de violence et de coups tordus au Moyen-Orient (on a assassiné un général russe, les représailles ont été saignantes dans le silence des chaleurs estivales…), en Méditerranée-orientale et la « bataille navale » turque contre ses alliés de l’Otan jusqu’au large de la Lybie, ces patrouilleurs aériens occidentaux qui « tutoient » les frontières russes, le déchaînement en Biélorussie.
L’empoisonnement de l’opposant à « Poux-Tine » au Novichok…
La farce, là, c’est que le tsar-russe, non content de faire le ménage dans sa constitution pour assurer son règne, ne s’est pas encore rendu compte que « son poison » soi-disant redoutable, ne fonctionne pas aussi bien que ça depuis l’affaire Skripal : Il devrait faire revoir la formule !
 
La farce c’est aussi les folles rumeurs venues de Corée du Nord, c’est la démission d’Abe au Japon après des années d’échec des « Abenomic », son programme économique pour sortir son pays de la « déflation ».
Mais attendez, le monde entier est devenu « déflationniste » malgré les centaines, les milliers de milliards déversés dans les réseaux bancaires… qui se retrouvent uniquement dans les scores de bourse ainsi soutenus artificiellement qui pompent tout au détriment des « sans-dents » (qui « puent la clope et le diesel »).
La farce c’est que justement, on attend, on prévoit mais on n’anticipe pas la date du 15 octobre, jour où entreprises « zombies » Gauloisiennes pourront ouvrir leur procédure de faillite.
On a déjà détruit 750.000 emplois hexagonaux, on parie seulement sur un taux de chômage de 9 % au pays, mais non, les vraies destructions n’ont même pas encore commencé !
Une grosse farce parmi toute celles que j’oublie de répertorier : Ils n’ont plus la main, ça ne fait plus de doute et, en plus, ça se voit !
 
Et puis il y a la farce du « clown-BoJo ».
Déjà difficiles, les négociations entre Londres et Bruxelles sur l’après-Brexit ont repris ce mardi dans une atmosphère encore assombrie : Le gouvernement britannique a reconnu vouloir revenir, en violation du droit international, sur ses engagements pris à la sortie de l’Union européenne.
Il s’agit de réviser certaines parties de l’accord encadrant la sortie de l’UE fin janvier dernier. Remontés, les négociateurs européens ont rappelé à Londres ses obligations et mis en garde sur un coup porté à la « confiance », qui affecterait les négociations en cours.
 
Interrogé par les députés sur les révisions que le gouvernement compte introduire mercredi, le secrétaire d’État pour l’Irlande du Nord, Brandon Lewis, a reconnu que « cela viole le droit international d’une manière très spécifique et limitée ».
Le gouvernement compte retoucher pour le « clarifier » le protocole prévoyant des arrangements douaniers pour l’Ulster.
Ce texte vise à garantir l’absence de frontière physique entre l’Irlande du Nord et la République d’Irlande, membre de l’UE, et à éviter la résurgence de tensions dans cette région, ensanglantée par trois décennies de guerre-civile jusqu’à la signature de l’accord de paix du Vendredi saint en 1998.
Cette révision viserait à s’assurer que les « personnes et les entreprises d’Irlande du Nord aient un accès sans entraves à l’ensemble du marché britannique », a-t-il été expliqué.
Un revirement qui a pour le moins « agacé », y compris sur le sol britannique, jusqu’à l’ancienne Première ministre « Théière-Mais », qui avait démissionné après avoir buté sur la question de l’Irlande du Nord dans les négociations sur le Brexit.
 
Devant les députés, elle a demandé à Brandon Lewis comment le gouvernement pouvait rassurer ses futurs partenaires internationaux sur le fait qu’il tiendrait ses engagements.
Selon le Financial Times, le directeur des services juridiques du gouvernement britannique, Jonathan Jones, a démissionné en raison de cette révision.
Comment, effectivement, faire confiance à un gouvernement qui déchire ses traités ?
Notez qu’un traité, c’est fait pour être déchiré (comme les lois à être contournées) : L’Histoire en est plein.
 
Il n’empêche le négociateur britannique persiste dans la farce et a appelé l’UE à « faire preuve de plus de réalisme sur le statut de pays indépendant » du Royaume-Uni.
Or, les négociations butent notamment sur la pêche et les conditions de concurrence équitable.
« BoJo » a averti de son côté que faute de compromis d’ici au sommet européen du 15 octobre, il se satisferait d’un « no deal » malgré les risques de dégâts économiques en période de crise historique provoquée par la pandémie en cours.
Il a même estimé lundi que cela représenterait « une bonne issue » permettant au Royaume-Uni de « prospérer » car il aurait « la liberté de conclure des accords commerciaux avec tous les pays du monde ».
Mais pas avec les 500 millions d’européens juste à sa portée…
Sauf que je ne vois pas bien « le monde entier » négocier des accords commerciaux avec Londres si ceux-ci peuvent être « déchirés » quelques mois après signature…
D’autant, ce n’est plus une farce mais une blague, car il veut avec l’UE un accord à l’identique de celui consenti à l’Australie : Là où ça reste fort drôle, c’est que cet accord n’existe pas, les négociations en cours n’ayant pas abouti !
D’autant que « si le Royaume-Uni, en quittant l’Union européenne, (…) le fait d’une façon qui viole l’Accord du Vendredi Saint, il n’y aura pas d’accord de libre-échange entre les États-Unis et le Royaume-Uni », a prévenu de son côté un membre du congrès américain sur la BBC ce même mardi.
 
Alors « deal or not deal », les paris sont ouverts, mais il est probable qu’il n’y en aura pas, mais seulement des accords de principes, déjà signés et appliqués, en matière de sécurité et d’échanges de renseignement et autres protocoles permettant aux avions de survoler l’espace aérien britannique, par exemple.
Le reste, ma foi, ça se fera au fil du temps, au coup par coup en fonction des nécessités.
Déjà, il faudrait régler le problème des palettes et des fongicides qu’elles baladent d’un côté et de l’autre de la Manche…
Une farce, je vous dis !
 
L’autre « méga-farce », j’y reviens, c’est l’arrivée de la « deuxième vague » de « Conard-virus ».
Marseille est depuis quelques jours le nouvel épicentre de la pandémie en « Gauloisie-virulente ». Les Bouches-du-Rhône sont en alerte rouge écarlate !
La situation va bientôt échapper à tout contrôle, il n’y a presque plus de place en réanimation !
« Entre « 65 et 67 » lits de réanimation sont occupés sur les 70 consacrés aux malades du « Conard-virus » dans les Bouches-du-Rhône, selon l’AP-HM.
 
En fait, la principale information que l’on découvre en écoutant l’interview du président de la commission d’établissement de l’Assistance Publique et des Hôpitaux de Marseille (en quelque sorte le porte-parole des médecins du département) est que s’il ne reste bientôt plus de places en réanimation dans les hôpitaux de Marseille et des environs, c’est pour une simple et bonne raison : il n’y en a jamais eu !
Une farce ?
 
L’hôpital public, fierté de la République, chef-d’œuvre de la planification administrative, pièce maîtresse des talents issus des plus grandes écoles, étendard du service public, porte-drapeau du meilleur service de santé au monde et que le monde entier nous envie, serait-il juste une immense farce ?
Le département qui comprend la seconde plus grande ville du pays et qui, avec plus de deux millions d’habitants, est le troisième département le plus peuplé de « Gauloisie-maladive », dispose en tout et pour tout de 200 lits de réanimation dont 70 ont été réservés aux malades du « Conard-virus ».
C’est-à-dire qu’il ne faut pas qu’il y ait plus qu’un cas gravement atteint du « Conard-virus » pour 30.000 habitants, sinon…
 
Des chiffres obscènes, inacceptables, incompréhensibles. Le pays a le deuxième budget au monde en termes de dépense de santé. Le Gauloisien-de-base se saigne aux quatre-veines depuis des années pour le financer ce système.
La compétitivité des entreprises en souffre terriblement. Le poids des services publics, celui-ci et tous les autres, est une, sinon la raison principale de la désindustrialisation du pays, du chômage, de la dette et des impôts galopants, de la misère de millions de personnes.
Et on manquerait de lit ?
Une farce, non ?
 
En « Teutonie » il y a un lit de soins intensifs ou de réanimation pour 4.000 personnes. La santé y coûte pourtant 20 % moins cher : Cherchez l’erreur !
Le gouvernement, le ministre, les ARS… ont eu tout l’été pour anticiper le risque. Et quatre mois plus tard, avec 348 patients hospitalisés et 63 en réanimation et soins intensifs dans les Bouches-du-Rhône, le système est au bord de l’explosion !
Laissez-moâ en rire…
On comprend mieux maintenant la panique des autorités et les mesures autoritaires comme le port du masque obligatoire.
Ce n’est même pas une question d’altruisme, de civisme ou même de principes.
Inutile de sortir les arguments moraux, la réalité est bien plus prosaïque que cela : Si vous tombez malade et que vous n’êtes pas le seul, il n’y aura juste pas de place pour vous soigner !
Grosse farce de « l’Énârchie » définitivement incompétente…
La seule solution au mois de mars était de vider les hôpitaux et de consacrer toutes les places disponibles pour soigner les malades contaminés.
 
On comprend mieux les hôpitaux de campagne, les TGV sanitaires. On comprend mieux pourquoi tous les services hospitaliers ont fermé leurs portes. Laisser les malades (tous les malades) chez eux était la seule option pour gérer le flux une fois débordées les faibles capacités sanitaires.
On comprend mieux ce qu’il s’est passé dans les EHPADs.
Heureusement, l’épidémie s’est arrêtée et le massacre n’a pas eu lieu.
Enfin, pas trop.
On comprend mieux pourquoi on nous a décrit le « Conard-virus » comme la peste noire.
On comprend mieux la peur panique de la « seconde vague ».
On comprend mieux le discours liberticide des divers médecins.
On comprend clairement pourquoi il ne faut pas compter sur l’hôpital public : Il n’y a pas d’hôpital public !
Il y a bien des budgets, des murs et des fonctionnaires, mais il n’y a pas de lits.
 
Si on a confiné la population, ce n’est pas par choix stratégique ou même par décision politique : C’est qu’il n’y avait pas d’autre solution, que notre système de santé ne permettait malheureusement aucune autre option !
Une farce de plus…
À la lumière de ce constat irréfutable, on comprend mieux pourquoi une maladie dont environ 95 % des patients sont asymptomatiques ou déclarent des formes peu sévères, (ratio entre le nombre de cas positifs et le nombre d’hospitalisations) et qui a un taux de létalité inférieur à 0,5% (et probablement bien inférieur) a pu provoquer un tel capharnaüm.
 
Dans toutes les économies planifiées (type gallo-soviétique), la gestion de la pénurie conduit inexorablement à davantage de pénurie, l’optimisation de l’organisation conduit inexorablement à la sclérose jusqu’à la thrombose, la gestion sans aucune logique économique conduit infailliblement à la faillite.
La planification finit toujours par coûter tellement cher qu’il n’y a très vite plus d’argent pour l’activité elle-même car tout est engouffré dans la légion de planificateurs.
 
La farce apparaît crument : Si on a mis toute la population en résidence surveillée pendant deux mois, provoqué une crise économique d’une ampleur sans égal, endetté encore plus les générations futures… s’il y a un conseil de défense une fois par semaine à l’Élysée et que l’État pique une crise de nerfs à chaque visage découvert, ce n’est pas seulement par panique, par surréaction, par incompétence, ni pour camoufler un agenda secret : C’est tout simplement parce que notre système de santé conçu selon les bonnes vieilles recettes ayant conduit à l’effondrement de toutes les économies planifiées, de l’URSS à Cuba en passant par la Corée du Nord, n’était en aucun cas capable de gérer la crise.
 
La seule question est de savoir combien de temps il faudra pour que les mécontentements innombrables se rassemblent autour de cette conclusion.
On va en avoir un aperçu, modeste, avec la « mobilisation » des « Gilets-jaunes » ce samedi. Mais il sera partiel et incomplet…
Si les services publics sont un champ de ruines, c’est simplement parce que la gestion collectiviste des activités économiques conduit toujours à la catastrophe.
La vérité est là, sous vos yeux et elle est pitoyable telle une cruelle farce.
Et on « nationalise » de façon rampante encore plus profondément avec le « plan de dépenses » annoncé depuis des semaines et détaillé seulement il y a une dizaine de jours, le temps des arbitrages « à affiner ».
 
Personnellement, je m’interroge : Comment une « société libérale », qui implique la liberté de tous et de chacun peut en arriver à de pareils gâchis ?
Certes, tout le monde n’est pas Suédois ou Suisse, loin de là, mais tout de même…
La lutte contre le « Conard-virus » est en train d’être perdue par « Monsieur déconfinement » (devenu « Premier-sinistre »), « Casse-tête » le bien surnommé.
Il y a plusieurs réponses à cette question : Liberté veut d’abord dire « responsabilité » (principe posé par le Code civil napoléonien, issu d’une longue pratique pluriséculaire des juges et jurisconsultes d’un autre millénaire).
Or, chez nous, tout le monde organise « l’irresponsabilité », du sommet de l’État jusqu’aux individus devenus « libres » de faire chier ses contemporains !
Je vous raconterai un autre fois ces touristes roulant sur les routes Corses pied sur le frein, même en montée, parce qu’ils aperçoivent un tournant dans leur champ visuel…
Si tu ne sais pas rouler, tu ne roules pas, point-barre, et tu restes chez toâ : Tu n’es pas libre de créer des embouteillages sur les routes étroites et sinueuses en te foutant du sort d’autrui…
 
Le principe d’égalité dévoyé. Il n’y a jamais eu de « droit à »… être aussi beau, aussi intelligent que le plus beau et le plus intelligent, mais seulement une égalité des droits devant la seule loi commune acceptée par tous (enfin… pas partout non plus !).
Et quand on est né « kon-sous-le-képi », il n’y aucune raison que tout le monde soit obligé d’être aussi kon que le plus kon…
Et pourtant, c’est la farce des démocraties qui instaurent le « droit à la différence » et même la « discrimination positive » au nom de ce principe ainsi détourné.
Et après on s’étonne qu’il faille « materner » le citoyen lambda, pour être certain qu’aucun n’échappe aux mesures décidées dans le désordre et l’impréparation.
 
Voilà pourquoi on vous joue « la farce » du contaminateur et qu’on hurle au catastrophisme de la « seconde vague » en vous menaçant de vous reconfiner, mis en garde-à-vue jusqu’aux fêtes et même au-delà, puisque la loi « d’urgence sanitaire » particulièrement liberticide aura été reconduite avant de rentrer, demain, dans le droit commun, comme celle de « l’état d’urgence » de « Tagada-à-la-fraise-des-bois » à la suite des attentats de « #JeSuisCharlie » (dont on vous rappelle, comme d’une piqûre bienvenue, à coup de témoignages des parties civiles au procès qui s’est enfin ouvert sur le sujet, combien c’était l’horreur …)
Que de farces, mais que de farces !

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