Vous avez peut-être remarqué que…
Ça « pagaille » fermement et depuis un
moment chez nos « élites » : La deuxième vague du « Conard-virus »
arrive (on va y revenir) mais rien n’aura été préparé pour l’en empêcher cet
été… C’était l’été et l’urgence c’était de préparer le fameux plan de « relance
de 100 milliards ».
Un plan qui ne relancera rien du tout, sauf la dépense
publique : Ce n’est pas eux qui payeront, alors pourquoi se gêner ?
Une farce : Comme ce « plan de dépenses »
va s’étaler sur plusieurs années, ce n’est même pas un « choc », mais
la continuation, avec une légère accélération (+ 2,5 %/an), de la mise sous
perfusion – entendre « nationalisation-rampante » – totale et globale
de l’activité du pays et de ses habitants : Et vous serez priés de dire « merci »
en sortant !
Ce n’est ni plus ni moins que la conséquence de l’« Agenda 2030 » de l’Onu pour un
développement durable…
La farce, c’est également les élections américaines
qui en devient toujours plus comique.
C’est aussi le déferlement de violence et de coups tordus
au Moyen-Orient (on a assassiné un général russe, les représailles ont été
saignantes dans le silence des chaleurs estivales…), en Méditerranée-orientale
et la « bataille navale » turque contre ses alliés de l’Otan jusqu’au
large de la Lybie, ces patrouilleurs aériens occidentaux qui « tutoient »
les frontières russes, le déchaînement en Biélorussie.
L’empoisonnement de l’opposant à « Poux-Tine »
au Novichok…
La farce, là, c’est que le tsar-russe, non content de
faire le ménage dans sa constitution pour assurer son règne, ne s’est pas
encore rendu compte que « son poison » soi-disant redoutable, ne
fonctionne pas aussi bien que ça depuis l’affaire Skripal : Il devrait
faire revoir la formule !
La farce c’est aussi les folles rumeurs venues de
Corée du Nord, c’est la démission d’Abe au Japon après des années d’échec des « Abenomic »,
son programme économique pour sortir son pays de la « déflation ».
Mais attendez, le monde entier est devenu « déflationniste »
malgré les centaines, les milliers de milliards déversés dans les réseaux
bancaires… qui se retrouvent uniquement dans les scores de bourse ainsi soutenus
artificiellement qui pompent tout au détriment des « sans-dents » (qui
« puent la clope et le diesel »).
La farce c’est que justement, on attend, on prévoit
mais on n’anticipe pas la date du 15 octobre, jour où entreprises « zombies »
Gauloisiennes pourront ouvrir leur procédure de faillite.
On a déjà détruit 750.000 emplois hexagonaux, on parie
seulement sur un taux de chômage de 9 % au pays, mais non, les vraies
destructions n’ont même pas encore commencé !
Une grosse farce parmi toute celles que j’oublie de
répertorier : Ils n’ont plus la main, ça ne fait plus de doute et, en
plus, ça se voit !
Et puis il y a la farce du « clown-BoJo ».
Déjà difficiles, les négociations entre Londres et
Bruxelles sur l’après-Brexit ont repris ce mardi dans une atmosphère encore
assombrie : Le gouvernement britannique a reconnu vouloir revenir, en violation
du droit international, sur ses engagements pris à la sortie de l’Union
européenne.
Il s’agit de réviser certaines parties de l’accord
encadrant la sortie de l’UE fin janvier dernier. Remontés, les négociateurs
européens ont rappelé à Londres ses obligations et mis en garde sur un coup
porté à la « confiance », qui affecterait les négociations en cours.
Interrogé par les députés sur les révisions que le
gouvernement compte introduire mercredi, le secrétaire d’État pour l’Irlande du
Nord, Brandon Lewis, a reconnu que « cela viole le droit international
d’une manière très spécifique et limitée ».
Le gouvernement compte retoucher pour le « clarifier »
le protocole prévoyant des arrangements douaniers pour l’Ulster.
Ce texte vise à garantir l’absence de frontière
physique entre l’Irlande du Nord et la République d’Irlande, membre de l’UE, et
à éviter la résurgence de tensions dans cette région, ensanglantée par trois
décennies de guerre-civile jusqu’à la signature de l’accord de paix du Vendredi
saint en 1998.
Cette révision viserait à s’assurer que les « personnes
et les entreprises d’Irlande du Nord aient un accès sans entraves à l’ensemble
du marché britannique », a-t-il été expliqué.
Un revirement qui a pour le moins « agacé »,
y compris sur le sol britannique, jusqu’à l’ancienne Première ministre « Théière-Mais »,
qui avait démissionné après avoir buté sur la question de l’Irlande du Nord
dans les négociations sur le Brexit.
Devant les députés, elle a demandé à Brandon Lewis
comment le gouvernement pouvait rassurer ses futurs partenaires internationaux
sur le fait qu’il tiendrait ses engagements.
Selon le Financial Times, le directeur des services
juridiques du gouvernement britannique, Jonathan Jones, a démissionné en raison
de cette révision.
Comment, effectivement, faire confiance à un gouvernement
qui déchire ses traités ?
Notez qu’un traité, c’est fait pour être déchiré (comme
les lois à être contournées) : L’Histoire en est plein.
Il n’empêche le négociateur britannique persiste dans
la farce et a appelé l’UE à « faire preuve de plus de réalisme sur le
statut de pays indépendant » du Royaume-Uni.
Or, les négociations butent notamment sur la pêche et
les conditions de concurrence équitable.
« BoJo » a averti de son côté que faute de compromis
d’ici au sommet européen du 15 octobre, il se satisferait d’un « no deal »
malgré les risques de dégâts économiques en période de crise historique
provoquée par la pandémie en cours.
Il a même estimé lundi que cela représenterait « une
bonne issue » permettant au Royaume-Uni de « prospérer » car il
aurait « la liberté de conclure des accords commerciaux avec tous les
pays du monde ».
Mais pas avec les 500 millions d’européens juste à sa
portée…
Sauf que je ne vois pas bien « le monde entier »
négocier des accords commerciaux avec Londres si ceux-ci peuvent être « déchirés »
quelques mois après signature…
D’autant, ce n’est plus une farce mais une blague, car
il veut avec l’UE un accord à l’identique de celui consenti à l’Australie :
Là où ça reste fort drôle, c’est que cet accord n’existe pas, les négociations
en cours n’ayant pas abouti !
D’autant que « si le Royaume-Uni, en quittant
l’Union européenne, (…) le fait d’une façon qui viole l’Accord du
Vendredi Saint, il n’y aura pas d’accord de libre-échange entre les États-Unis
et le Royaume-Uni », a prévenu de son côté un membre du congrès
américain sur la BBC ce même mardi.
Alors « deal or not deal », les paris sont
ouverts, mais il est probable qu’il n’y en aura pas, mais seulement des accords
de principes, déjà signés et appliqués, en matière de sécurité et d’échanges de
renseignement et autres protocoles permettant aux avions de survoler l’espace
aérien britannique, par exemple.
Le reste, ma foi, ça se fera au fil du temps, au coup
par coup en fonction des nécessités.
Déjà, il faudrait régler le problème des palettes et
des fongicides qu’elles baladent d’un côté et de l’autre de la Manche…
Une farce, je vous dis !
L’autre « méga-farce », j’y reviens, c’est l’arrivée
de la « deuxième vague » de « Conard-virus ».
Marseille est depuis quelques jours le nouvel
épicentre de la pandémie en « Gauloisie-virulente ». Les
Bouches-du-Rhône sont en alerte rouge écarlate !
La situation va bientôt échapper à tout contrôle, il
n’y a presque plus de place en réanimation !
« Entre « 65 et 67 » lits de
réanimation sont occupés sur les 70 consacrés aux malades du « Conard-virus »
dans les Bouches-du-Rhône, selon l’AP-HM.
En fait, la principale information que l’on découvre
en écoutant l’interview du président de la commission d’établissement de
l’Assistance Publique et des Hôpitaux de Marseille (en quelque sorte le
porte-parole des médecins du département) est que s’il ne reste bientôt plus de
places en réanimation dans les hôpitaux de Marseille et des environs, c’est
pour une simple et bonne raison : il n’y en a jamais eu !
Une farce ?
L’hôpital public, fierté de la République,
chef-d’œuvre de la planification administrative, pièce maîtresse des talents
issus des plus grandes écoles, étendard du service public, porte-drapeau du
meilleur service de santé au monde et que le monde entier nous envie, serait-il
juste une immense farce ?
Le département qui comprend la seconde plus grande ville
du pays et qui, avec plus de deux millions d’habitants, est le troisième
département le plus peuplé de « Gauloisie-maladive », dispose en tout
et pour tout de 200 lits de réanimation dont 70 ont été réservés aux malades du
« Conard-virus ».
C’est-à-dire qu’il ne faut pas qu’il y ait plus qu’un
cas gravement atteint du « Conard-virus » pour 30.000 habitants,
sinon…
Des chiffres obscènes, inacceptables, incompréhensibles.
Le pays a le deuxième budget au monde en termes de dépense de santé. Le
Gauloisien-de-base se saigne aux quatre-veines depuis des années pour le
financer ce système.
La compétitivité des entreprises en souffre terriblement.
Le poids des services publics, celui-ci et tous les autres, est une, sinon la
raison principale de la désindustrialisation du pays, du chômage, de la dette
et des impôts galopants, de la misère de millions de personnes.
Et on manquerait de lit ?
Une farce, non ?
En « Teutonie » il y a un lit de soins
intensifs ou de réanimation pour 4.000 personnes. La santé y coûte pourtant 20
% moins cher : Cherchez l’erreur !
Le gouvernement, le ministre, les ARS… ont eu tout
l’été pour anticiper le risque. Et quatre mois plus tard, avec 348 patients hospitalisés
et 63 en réanimation et soins intensifs dans les Bouches-du-Rhône, le système
est au bord de l’explosion !
Laissez-moâ en rire…
On comprend mieux maintenant la panique des autorités
et les mesures autoritaires comme le port du masque obligatoire.
Ce n’est même pas une question d’altruisme, de civisme
ou même de principes.
Inutile de sortir les arguments moraux, la réalité est
bien plus prosaïque que cela : Si vous tombez malade et que vous n’êtes pas le
seul, il n’y aura juste pas de place pour vous soigner !
Grosse farce de « l’Énârchie »
définitivement incompétente…
La seule solution au mois de mars était de vider les
hôpitaux et de consacrer toutes les places disponibles pour soigner les malades
contaminés.
On comprend mieux les hôpitaux de campagne, les TGV
sanitaires. On comprend mieux pourquoi tous les services hospitaliers ont fermé
leurs portes. Laisser les malades (tous les malades) chez eux était la seule
option pour gérer le flux une fois débordées les faibles capacités sanitaires.
On comprend mieux ce qu’il s’est passé dans les EHPADs.
Heureusement, l’épidémie s’est arrêtée et le massacre
n’a pas eu lieu.
Enfin, pas trop.
On comprend mieux pourquoi on nous a décrit le « Conard-virus »
comme la peste noire.
On comprend mieux la peur panique de la « seconde
vague ».
On comprend mieux le discours liberticide des divers
médecins.
On comprend clairement pourquoi il ne faut pas compter
sur l’hôpital public : Il n’y a pas d’hôpital public !
Il y a bien des budgets, des murs et des
fonctionnaires, mais il n’y a pas de lits.
Si on a confiné la population, ce n’est pas par choix
stratégique ou même par décision politique : C’est qu’il n’y avait pas d’autre
solution, que notre système de santé ne permettait malheureusement aucune autre
option !
Une farce de plus…
À la lumière de ce constat irréfutable, on comprend
mieux pourquoi une maladie dont environ 95 % des patients sont asymptomatiques
ou déclarent des formes peu sévères, (ratio entre le nombre de cas positifs et
le nombre d’hospitalisations) et qui a un taux de létalité inférieur à 0,5% (et
probablement bien inférieur) a pu provoquer un tel capharnaüm.
Dans toutes les économies planifiées (type gallo-soviétique),
la gestion de la pénurie conduit inexorablement à davantage de pénurie,
l’optimisation de l’organisation conduit inexorablement à la sclérose jusqu’à
la thrombose, la gestion sans aucune logique économique conduit infailliblement
à la faillite.
La planification finit toujours par coûter tellement
cher qu’il n’y a très vite plus d’argent pour l’activité elle-même car tout est
engouffré dans la légion de planificateurs.
La farce apparaît crument : Si on a mis toute la
population en résidence surveillée pendant deux mois, provoqué une crise
économique d’une ampleur sans égal, endetté encore plus les générations
futures… s’il y a un conseil de défense une fois par semaine à l’Élysée et que
l’État pique une crise de nerfs à chaque visage découvert, ce n’est pas
seulement par panique, par surréaction, par incompétence, ni pour camoufler un
agenda secret : C’est tout simplement parce que notre système de santé conçu
selon les bonnes vieilles recettes ayant conduit à l’effondrement de toutes les
économies planifiées, de l’URSS à Cuba en passant par la Corée du Nord, n’était
en aucun cas capable de gérer la crise.
La seule question est de savoir combien de temps il
faudra pour que les mécontentements innombrables se rassemblent autour de cette
conclusion.
On va en avoir un aperçu, modeste, avec la « mobilisation »
des « Gilets-jaunes » ce samedi. Mais il sera partiel et incomplet…
Si les services publics sont un champ de ruines, c’est
simplement parce que la gestion collectiviste des activités économiques conduit
toujours à la catastrophe.
La vérité est là, sous vos yeux et elle est pitoyable
telle une cruelle farce.
Et on « nationalise » de façon rampante encore
plus profondément avec le « plan de dépenses » annoncé depuis des
semaines et détaillé seulement il y a une dizaine de jours, le temps des
arbitrages « à affiner ».
Personnellement, je m’interroge : Comment une « société
libérale », qui implique la liberté de tous et de chacun peut en arriver à
de pareils gâchis ?
Certes, tout le monde n’est pas Suédois ou Suisse, loin
de là, mais tout de même…
La lutte contre le « Conard-virus » est en
train d’être perdue par « Monsieur déconfinement » (devenu « Premier-sinistre »),
« Casse-tête » le bien surnommé.
Il y a plusieurs réponses à cette question : Liberté
veut d’abord dire « responsabilité » (principe posé par le Code civil
napoléonien, issu d’une longue pratique pluriséculaire des juges et jurisconsultes
d’un autre millénaire).
Or, chez nous, tout le monde organise « l’irresponsabilité »,
du sommet de l’État jusqu’aux individus devenus « libres » de faire
chier ses contemporains !
Je vous raconterai un autre fois ces touristes roulant
sur les routes Corses pied sur le frein, même en montée, parce qu’ils
aperçoivent un tournant dans leur champ visuel…
Si tu ne sais pas rouler, tu ne roules pas, point-barre,
et tu restes chez toâ : Tu n’es pas libre de créer des embouteillages sur
les routes étroites et sinueuses en te foutant du sort d’autrui…
Le principe d’égalité dévoyé. Il n’y a jamais eu de « droit
à »… être aussi beau, aussi intelligent que le plus beau et le plus
intelligent, mais seulement une égalité des droits devant la seule loi commune
acceptée par tous (enfin… pas partout non plus !).
Et quand on est né « kon-sous-le-képi », il
n’y aucune raison que tout le monde soit obligé d’être aussi kon que le plus
kon…
Et pourtant, c’est la farce des démocraties qui
instaurent le « droit à la différence » et même la « discrimination
positive » au nom de ce principe ainsi détourné.
Et après on s’étonne qu’il faille « materner »
le citoyen lambda, pour être certain qu’aucun n’échappe aux mesures décidées
dans le désordre et l’impréparation.
Voilà pourquoi on vous joue « la farce » du
contaminateur et qu’on hurle au catastrophisme de la « seconde vague »
en vous menaçant de vous reconfiner, mis en garde-à-vue jusqu’aux fêtes et même
au-delà, puisque la loi « d’urgence sanitaire » particulièrement
liberticide aura été reconduite avant de rentrer, demain, dans le droit commun,
comme celle de « l’état d’urgence » de « Tagada-à-la-fraise-des-bois »
à la suite des attentats de « #JeSuisCharlie »
(dont on vous rappelle, comme d’une piqûre bienvenue, à coup de témoignages des
parties civiles au procès qui s’est enfin ouvert sur le sujet, combien c’était
l’horreur …)
Que de farces, mais que de farces !
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire