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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

lundi 7 septembre 2020

Je les trouve exceptionnels

Je rentre enfin,
 
Après des tribulations estivales pour le moins éreintantes – pas moins de 5.000 km parcourus, sur des routes pour le moins tordues et souvent mal entretenues – parfois dans des circonstances épuisantes, telles que je ne suis pas bien sûr de remettre le couvert avant longtemps…
Et pourtant j’en avais rêvé de ces vacances au soleil, entre terre et mer avec « ma nichée »…
Après la période de confinement elle-même anxiogène et stressante, c’était pourtant bien venu…
Mais non, je rentre et sans vouloir être « complotiste », je n’en reviens pas de toutes ces mesures contraignantes et elles-mêmes anxiogènes qui déferlent sur l’occiput en vagues serrées.
 
Enfin quoi, la planète tourne suffisamment de travers comme ça : Sainte-Sophie qui redevient une mosquée, les turcs qui font des ronds dans l’eau surarmés autour d’un pseudo champ gazier sous l’œil vigilant de la communauté internationale, le Liban qui se mange entre les dents son « AZF » avec un gros trou de 43 mètres de profondeur au cœur du port de leur capitale, rien que ça, c’est soufflant !
Un sous-marin qui crament tout seul sur cale sèche et ce n’est pas un cas isolé d’incendie « spontané », les bourses qui persistent à rester aveugles à ne pas vouloir encaisser leurs pertes, l’économie virtuelle prenant le dessus malgré un dollar qui s’enfonce, nos « autorités » nationales qui vous explique désormais comment faire ci ou faire ça (distanciation sociale oblige, sauf dans les transports en commun, au « Puy-des-fous », dans les classes scolaires) vous infantilisant toujours plus profondément jusque dans vos locaux de labeur et surtout tous ces meks qui portent bien un masque, mais sur le menton !
 
J’en ai même croisé qui m’engueulent vertement parce que je fume ma pipe dans la rue, forcément sans masque (comme quand je mange ou je bois…).
On m’a même forcé à dormir par terre sur un ferry archibondé avec un masque sur la tronche !
Que j’aurai bien vu de me faire débarquer en pleine mer si je n’avais pas obtempéré…
Des fous !
 
C’est vrai qu’il faut rester attentifs, car « le virus circule toujours »…
Il va falloir s’y faire : Pire que la petite-vérole s’abattant sur le « bas-clergé ».
Nous ne risquons pas de l’oublier, les slogans officiels nous le répètent à satiété, avec les consignes infantilisantes qui les accompagnent : « lavez-vous les mains », comme à la maternelle.
Le danger, la protection des personnes fragiles… Que les personnes fragiles se protègent, bien entendu.
Qu’il faille les protéger, c’est entendu.
Est-ce une raison pour maintenir tout un pays dans la psychose et dans la peur ?
 
Les journaux publient à la chaîne : Recrudescence de l’épidémie ici ou là : deux cas en réanimation dans la Loire, des « clusters » en « Île-de-Gauloisie », en PACA.
Que cherche-t-on vraiment à faire ?
À tuer toute vie sociale ?
À transformer la population en zombies dociles, qui ne se déplaceront que si on leur donne la permission préalable ?
Qui y trouve son compte ?
Pourquoi n’entendons-nous jamais les voix discordantes, celles qui donnent des informations pertinentes et mesurées, sans entretenir le délire alarmiste des médias et des réseaux sociaux ?
 
À croire que, l’épidémie ne reprend pas, et pour maintenir la pression on en est réduit, faute de pouvoir assener quotidiennement le nombre des morts, qui est infime, de parler des « clusters » – pourquoi « clusters » et non « cas d’infection » ?
C’est en effet étonnant : Souvenez-vous en Mars, Avril et Mai, on vous donnait, dans le plus grand des cafouillages, le nombre de contaminés détectés à l’hôpital, forcément hospitalisés, puisqu’au démarrage, on avait oublié les Epad, les cas en réanimations et les décès.
Aujourd’hui, maintenant qu’on réalise des centaines de milliers de tests par semaine, on ne vous donne plus que les contaminations : Il faut chercher longtemps pour trouver « une boutique » de journaleux qui reprend les chiffres de l’ARS…
Qui ne sont pas très « réjouissifs », faut-il reconnaître…
Pour vous effrayer davantage ?
 
J’ai lu quelque part les propos d’un pontife médiatique qui disait que nous vivons « une stabilité dangereuse », propos qui n’auraient pas déparé dans la bouche du docteur Knock : « Vous vous portez bien ? C’est très inquiétant ! Tout bien portant est un malade qui s’ignore ! ».
Qui a intérêt à vous faire peur ?
L’État, qui peut assouvir sa passion habituelle pour le jacobinisme répressif ?
Le masque partout pour tout le monde.
Un journaliste « rital », il y a quelques semaines, avait écrit un éditorial qui s’intitulait Dalla mascherine alla museruola : Du masque à la muselière.
Les « Ritaux » ont toutes les raisons de le dire, puisque le ministère de Giuseppe Conte, sans légitimité démocratique, reposant sur une alliance improbable gialla-rossa a mis, à la faveur de la crise, le parlement hors-jeu depuis six mois et gouverne uniquement par décrets du Premier Ministre, l’équivalent de nos ordonnances …
 
Alors que, faut-il rappeler, par une prolongation extraordinaire de la session parlementaire, sans vrai débat et toutes affaires cessantes, a été votée la loi de bioéthique qui n’est globalement ni bio ni éthique, mais dangereuse pour les plus faibles, ouvrant la porte à de nouvelles dérives qui ne manqueront pas d’arriver.
La « Jupitérie » assume ce progrès pour l’espèce humaine…
Qui en a parlé ?
C’était probablement plus important de dénombrer les « clusters », n’est-ce pas ?
Et le tour est joué … C’est le principe du cliquet : une fois que l’on a franchi un cran, on ne revient plus en arrière, et on prépare le cran suivant.
La loi PACS ? Souvenez-vous, on nous avait juré que c’était pour ne pas avoir à toucher au mariage.
Ce cran-là franchi, le « mariage pour tous » est arrivé – oui, mais cette fois on a promis qu’on n’irait pas plus loin, qu’il n’était pas question d’aller à la PMA, à la GPA …
Et une loi, au Parlement en plein été et en pleine crise, et le cran est passé.
C’est quoi, le prochain ?
Le tri sélectif avant la naissance ?
Les bébés proposés sur catalogue ?
C’est fort drôle, finalement…
 
Car vous connaissez l’histoire de la grenouille bouillie : Si vous jetez la grenouille dans l’eau bouillante, elle saute aussitôt de la casserole. Alors il faut la mettre dans l’eau légèrement tiède, pour qu’elle s’y trouve bien, et faire monter la température tout doucement.
Et quand la grenouille s’en aperçoit, elle est trop molle pour réagir et finit complètement cuite !
 
En réalité, nous nous laissons gagner par la peur, par l’hésitation, par la « servitude volontaire », pour reprendre l’expression consacrée.
Préférons-nous nous laisser bercer par la providence d’État et le ministère du bien-être, qui nous garantira de tout, et qui nous permettra même d’aller au cinéma ou au théâtre si nous suivons bien les consignes, et si nous portons bien notre masque, comme en 1790 il fallait porter une cocarde tricolore à son chapeau pour montrer qu’on était bon patriote ?
Nous voulons une vie sans risque, nous aurons une vie sans risque.
Au détriment de ce qui fait notre diversité et notre richesse d’âme…
C’est comme ça et ça avance bien vite.
 
À se demander s’il ne nous faut pas la dose quotidienne pour rester « bien sage », éviter les rassemblements autour des ronds-points et les cortèges fumants de rage sur les boulevards.
Alors allons-y : 36.685 cas ont été recensés en « Gauloisie-supérieure » au cours de la semaine du 24 août contre 27.826 la semaine précédente.
Presque tous les indicateurs sont à la hausse.
Les « Teutons », les Belges et quelques autres ont bien raison de nous interdire de franchir leurs frontières.
Une progression « exponentielle » comme au début de la pandémie.
 
Première constat : Le nombre de résultats positifs croît plus rapidement que le nombre de tests (y’a pas à dire), qui ont été au nombre de 856.404 durant la semaine du 24 au 30 août, proche de l’objectif du million de dépistages hebdomadaires voulus par le gouvernement.
Le taux de positivité de ces tests passe ainsi de 3,8 à 4,3 % en l’espace d’une semaine alors que le délai entre le début des signes et la réalisation du test augmente et s’élève désormais à 3,8 jours, car on ne teste toujours que des « prétendus » symptomatiques…
Et ce alors que « un recours rapide au diagnostic pour les personnes symptomatiques est essentiel afin de permettre de réaliser rapidement le contact tracing ainsi que l’isolement des cas de Covid-19 et de leurs contacts à risque » nous dit-on.
Moâ, je note que parmi les testés 95,7 % ne sont pas vérolés… Les symptômes sont un leurre.
Par ailleurs, 19 départements ont par ailleurs franchi cette semaine-là le seuil d’alerte avec un taux d’incidence (le nombre de personnes infectées en sept jours pour 100.000 habitants, soit 0,007 infecté par jour = la catastrophe sanitaire…) fixé par l’autorité de façon parfaitement arbitraire supérieur à 50.
On n’en fait pas autant pour les chauffards alcoolisés sur les routes de Navarre…
 
Une hausse de la circulation du virus donc, qui s’observe pour l’ensemble des classes d’âge et notamment chez les enfants et les personnes les plus âgées : + 44 % chez les 0-14 ans (mais ils sont partis de rien) et + 36 % chez les plus de 75 ans en une semaine.
Reste que, selon l’ARS, le virus circule bien plus auprès des jeunes adultes : La semaine dernière, le taux d'incidence était de 101 chez les 15-44 ans contre 18 chez les 75 ans et plus.
Allez comprendre ces imprudents qui contaminent !
Quoiqu’on ne nous dise plus non plus quel est le taux de contamination qui ne doit pas être si alarment que ça et probablement inférieur au fameux seuil de 0,6.
 
Les hospitalisations augmentent elles aussi : 1.337 nouvelles personnes ont été prises en charge à l'hôpital au cours de la semaine du 24 au 30 août contre 1.084 la semaine précédente.
Le nombre de patients en réanimation est également en hausse avec 210 nouvelles admissions en soins intensifs contre 174 la semaine précédente.
Mais on est content car le nombre de morts liés au « Conard-virus » dans les hôpitaux et dans les établissements médicaux sociaux se stabilise (109 contre 112 pour la semaine du 17 au 23 août).
Loin, très loin de l’hécatombe du mois d’Avril.
 
L’organisme précise par ailleurs que le nombre de clusters identifiés tend à se stabiliser entre les deux semaines : 175 foyers de contamination pour la dernière semaine du mois d’août contre 199 au cours de la précédente.
Parallèlement à ce point épidémiologique, on nous a annoncé jeudi dernier avoir enregistré pour la deuxième journée consécutive plus de 7.000 cas supplémentaires au cours des dernières 24 heures, signe là encore de la poursuite de la propagation de l’épidémie progresse.
Assez pour vous tenir en laisse jusqu’aux fêtes de fin d’année ?
 
Je suppose que oui puisqu’il y a tant d’exonérations du port du masque.
De toute façon, « Si-bête-la-Diarrhée » nous avait affirmé droit dans les yeux que ça ne servait à rien, tout juste à faire rentrer des amendes dans l’escarcelle de ce cher, très cher « Trésor Pue-blique ».
Et puis comme on distribue de l’argent « gratuit » à tout va – et vous dites encore « merci » sans vous rendre compte que c’est « votre pognon » – vous êtes joyeux (ça se voit dans votre regard qui n’est pas encore voilé) d’obtempérer, il n’y a pas de raison de se gêner.
D’ailleurs, ils ne se gênent même pas : La distanciation sociale n’y suffit plus, mais on vous l’impose tout de même, sauf en boîte de nuit… Justement les jeunes et les jeunes adultes, au moins encore un temps…
 
Bref, tout va bien : Vous êtes « sous contrôle » encore un temps et c’est ce qu’ils voulaient.
Du pain béni pour la « démocrature » que cette « grippette » (qui aura tout de même fait plus de 800.000 morts jusque-là, même si on nous raconte – une étdue scientifique – par ailleurs que seul 6 % de ce chiffre est à lui attribuer uniquement !)
Vous concluez que ce que vous voulez, naturellement, du moment que vous obéissez.
Moâ, je trouve ça finalement absolument exceptionnel !

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