La semaine passée en aura été le témoin
Ça a commencé très fort avec le pape « François 1er »
qui ne s’interdit pas d’affirmer que le plaisir est un don divin…
Décidément, ça récupère tout, même le plaisir sexuel
(la curie étant naturellement l’épicentre mondial reconnu des orgasmes
consentis) et le culinaire (la pitance doit être excellente à la cantine papale…) !
Manifestement, il ne sait pas ce que c’est et il oublie
« l’émotion » que procure une toile, un concert (enfin quelques « phrases
musicales » seulement), un monument, mes « Montagnes-Corses »,
un parfum (de maquis), une liqueur de cédrat (et quelques autres).
Il en aura oublié l’amour (et quelques autres qualités
propres à l’Homme déjà récupérées par le canon évangélique) et le pendant du
plaisir, à savoir la douleur, la souffrance.
Là, c’est l’œuvre du diable, en oubliant que le Diable
est aussi une création divine dans le dogme épiscopal…
Peu importe, moâ j’avais appris ce qui me semblait
être logique, c’est que le plaisir nait de la satisfaction d’un désir, d’un
besoin.
Les épicuriens nous expliquaient déjà il y a 24
siècles de ça que le sage (en véritable ascète) doit satisfaire ses besoins
nécessaires et indispensables et de bannir tous les autres pour retrouver sa
liberté, et les stoïciens de se libérer toute sorte de désirs inutiles ou superflus et ne pas avoir
peur de la souffrance.
Des leçons oubliées, parce que ça n’a rien de divin, c’est
tout juste de la « mécanique ».
Et les uns comme les autres pensaient que l’esprit, le
mental, avec un peu d’exercice et quelques « contraintes » pouvait
dépasser les contingences de la chair.
Perso, je n’en sais rien : Je survis seulement encore
un peu avec toutes mes blessures et mes douleurs.
Elles finiront bien par avoir le dessus…
Plus tard, j’ai appris de la bouche du Maire de Lyon
que le vélo « c’est archi-polluant » !
Il faudrait qu’il vienne l’expliquer à « Sœur-Âne »
à « Paris-sur-la-plage » : Un coup de TGV (nucléaire) et ça sera
réglé.
Parce que quand je vois les délires des « parcours »
« Covid-vélo » dans les rues de la « kapitale sur-Seine »,
je me dis qu’ils ont dû se torturer le neurone pour des nèfles à croiser et
recroiser les chaussées en principe réservées aux bus et autre « 4 roues
à moteur ».
J’ai même eu droit à un mek immatriculé chez les « Ch’ti »
qui s’arrête à mon niveau et m’affirme que les trottoirs sont réservés aux
piétons et les chaussées aux voitures…
Obligé de lui répondre : « Ah non, pas à
Paris ! C’est comme ça : Le piéton a priorité partout ! C’est même
marqué dans votre code de la route ! »
(Sauf les quais des ports, les autoroutes et les pistes d’aérodrome,
naturellement… et partout où c’est interdit).
Et qu’en plus les courses à vélo (autour du pays), c’est
sexiste…
Je ne vois pas en quoi, mais admettons : De toute
façon il faut être cinglé pour tourner en boucle autour du pays et nos dames ne
se risqueraient pas à se ridiculiser de la sorte…
Plus au Sud, chez les « négriers-bordelais »,
on ne veut plus d’arbre-mort !
Avouez que ça va être sympa et extrêmement écolologiste
que d’imposer les palettes en plastique (ou en acier, ou en verre) tout
bouffeur de carbone, des cagettes, cageots et cartons de la même matière, de
cramer du bois vert (parce que vivant) pour se chauffer (quel martyr pour les
feuillus et épineux que de mourir incendié !), de se contenter de tables
et sièges en béton et de graver les arrêtés municipaux locaux sur des pierres
au lieu d’écrire et éditer sur des feuilles de papier… de « bois-mort » !
On savait que les « écololos » surnageaient
dans les utopies, mais là on se demande jusqu’où ils vont aller…
Et puis ce qui fait l’actualité, ça reste le « Conard-virus » :
On est bien rentré dans la seconde vague !
Même pas une douzaine de dizaine de décédés quotidien,
loin, très loin des milliers des mois de mars et avril, mais Israël se reconfine
majestueusement pour les fêtes juives (un exemple à suivre pour les vôtres de
fin d’année, soyez-en sûrs !), Pékin vaccine à tour de bras et chez nous
on compte les « contaminés » découverts avec les « tests-naseaux ».
5 % et quelques, pas plus : Comme une grippe
saisonnière, mais celle-là vous colle la fièvre, alors que là, on n’est sûr de
rien.
Les Grecs sont moins kons : Ils testent la salive
en quelques minutes et ça procure tout de même moins de faux positifs.
Passons…
Passons, parce qu’en fait, on a un virus drôlement
intelligeant : Il sait lire les décrets ministériels et décide de ne plus
être contagieux passé 7 jours. Jusque-là, il persistait à le rester 2 semaines
d’affilée.
Mais conscient de ses devoirs envers l’Autorité de « Casse-tête »,
le virus est tout d’un coup devenu moins virulent : Que n’y avons-nous pas
pensé avant !
Intelligent, ce virus, car il a aussi compris où était
les frontières et n’explose vraiment qu’à l’intérieur des nôtres.
Au moins comme le nuage de Tchernobyl, mais là, la
frontière était marquée par le Rhin…
Là, en dépit d’une large ouverture de celles-ci aux
autres pays européens, aucun des pays voisins n’affiche un tel taux de nouveaux
cas et de cas actifs : C’est ce que l’on pourrait appeler « l’exception gauloisienne
».
240.000 cas actifs chez nous, en Belgique 62.000,
Italie 36.000, Allemagne 16.000, Suisse 6.100, au Luxembourg 567…
Et puis il a vraiment muté pour devenir « gentil »
car il ne tue plus grand monde si l’on en croit la courbe des décès
hebdomadaires publiée.
Il va falloir vous armer d’un microscope pour tenter
d’identifier une seconde vague : 11.750 personnes en moyenne décèdent
chaque semaine en « Gauloisie-morbide », toutes causes confondues, mais
moins d’une centaine décède de la Covid.
L’exécutif voudrait gouverner par décret en suscitant
la peur qu’il ne s’y prendrait pas autrement.
D’ailleurs, pour faire « bon poids », on ne
vous raconte plus le bilan de la journée précédente (sauf sur « RCC »,
Radio-Calvi-Citadelle), mais de la semaine, soit 7 fois plus pour mieux vous
affoler (même si ça ne prend pas vraiment)…
En réalité, il est taquin ce virus !
D’abord, il est très snob et ne fréquente que des « clusters
».
Il s’attaque aux jeunes dans leurs fêtes mais pas aux
5.000 spectateurs d’un match de foot.
Il s’attaque aux baigneurs sur les plages, mais pas
aux sans-abris.
Sur certaines plages, il est dangereux seulement de 21
h à 7 h du matin mais pas dans la journée…
Il s’attaque aux petits commerces mais pas aux grandes
surfaces.
Il peut tuer votre grand-mère de 70 ans si elle vient
vous voir, mais pas si elle garde vos enfants.
Il amène des scientifiques sur les plateaux télé pour
dire tout, n’importe quoi et son contraire.
En certains lieux, il n’est contagieux que le
week-end, quand les gens se détendent, mais pas dans la semaine quand ils
turbinent dans leurs bureaux, ateliers et transports en commun bondés.
Il n’était pas assez dangereux au début et le masque
était inutile, puis il est devenu très dangereux avec des masques rendus
obligatoires.
Il permet de s’asseoir côte à côte dans un train, mais
pas au théâtre.
Il autorise des rassemblements jusqu’à 5.000
spectateurs pour des concerts mais interdit de se réunir à plus de 10 sur la
voie publique (six chez nos amis grands-bretons), en plein air.
Il n’est pas contagieux lorsqu’on est assis à la table
d’un restaurant mais le devient quand on se lève pour aller aux chiottes.
Il est très malin car il réagit différemment en
fonction des lieux, des individus et des intérêts.
Taquin, vous dis-je…
Et puis « Bojo » (on l’a déjà évoqué) qui s’emmêle
les pinceaux avec sa loi anti-accord UE devant ses parlementaires qui justement
l’avait votée à sa demande.
« BoJo », vous rappelle-je, a été hospitalisé
pour être malade de la Covid : Ce n’est donc ni l’agueusie ni l’anosmie qu’il
faut redouter, mais son niveau de QI.
Déjà il y a deux ans, le Pr « Rat-out » (mais
tout le monde a oublié) s’inquiétait que les britanniques aient perdu jusqu’à
10 points de QI en 30 ans : Et ce n’était qu’un début…
Le « Conard-virus » n’arrange rien :
Regardez les délires brésiliens, ceux de l’américain, du russe et même du
coréen…
Depuis, « BoJo » comme « McDo-Trompe »,
il se promène sans masque, puisqu’il serait immunisé.
« Casse-tête », notre « Premier-sinistre »,
ex « Monsieur déconfinement » aussi, notez bien, puisqu’il n’est pas
atteint et donc « non contagieux »…
Mais vous, si !
Au moins tant que vous ne serez pas testé négatif.
Un méli-mélo de contradictions qui devait être levées
avec l’application « Stop-Covid » qui aura coûté si cher mais qui ne
fonctionne pas.
Quand même dommage de gâcher le pognon du kon-tribuable
pour rien…
(Ils s’en contre-cognent le coquillard et les roubignoles
dans le même élan : Ce n’est de toute façon pas le leur !)
Bref, j’attends avec impatience la « bordée de la
semaine » en cours de crétinerie-appliquée qu’ils vont pouvoir nous
déballer.
C’est qu’il en faut du talent pour « amuser »
le bon peuple tout en lui faisant bien peur…
J’adore.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire