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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 25 septembre 2020

Une « revenue » pour commencer ?

Quoique je ne suis pas certain que ça en soit vraiment une…

 

C’est l’histoire du curé qui se lève un beau dimanche de juin et qui regarde à l’extérieur.

Il ne pense alors qu’à une seule chose… aller jouer au golf !

Il téléphone à son vicaire, lui dit qu’il est très souffrant et lui demande de dire la messe à sa place.

Il fonce ensuite vers un terrain de golf situé à 75 Km de son église pour être sûr qu’il ne rencontrera personne qui le connaît.

Au moment où il s’élance pour frapper son premier coup, St-Pierre, qui, du haut du ciel a tout observé, dit à Dieu :

« – Vous n’allez pas le laisser faire sans réagir, tout de même…

– Oui, je dois bien faire quelque chose. »

Au même moment, le curé frappe la balle, une belle « drive » en ligne droite qui tombe à 25 mètres avant le vert, bondit trois fois et roule, roule et roule lentement pour tombe dans la coupe.

St-Pierre est furieux :

« – C’est comme ça que vous le punissez ? Un trou d’un coup sur un normale 4 ?

– Oui ! À qui va-t-il raconter son exploit ? »

 

Jean-Jacques va chez le médecin.

Après l’avoir ausculté, celui-ci lui dit :

« – Il faut que vous arrêtiez de vous masturber.

– Pourquoi, suis-je en train de devenir aveugle ?

– Non, mais…

– Sourd alors ?

– Non, mais vous dérangez les autres clients dans la salle d’attente. »

 

Une dame de très forte taille, portant une superbe robe légère de saison, entre dans un bar, lève son bras laissant entrevoir une énorme touffe de poil et en pointant la foule, elle dit :

« Y’a-t-il un homme dans la place qui veut payer une bière à une femme ? »

Le silence…

Soudain, au bout du bar, un petit homme tout maigre et à demi ivre, frappe sur le bar et dit :

« Barman, donne une bière à la ballerine ! »

Le barman s’exécute et la dame l’avale en une seule gorgée.

Elle se tourne encore vers la foule avec le bras en l’air et démontrant toujours l’existence de cette énorme touffe de poil, et répète la même chose :

« Y’a-t-il un homme dans la place qui veut payer une bière à une femme ? »

Le même petit homme maigre et à demi ivre, frappe sur le bar et répète :

« Barman, donne une bière à la ballerine ! »

Le barman verse une bière à la dame qui l’avale une deuxième fois en un seul trait.

La même scène se répète une troisième fois.

Le barman va voir le petit homme au bout du bar et lui dit :

« – C’est ton affaire si tu veux lui payer une bière mais pourquoi tu l’appelles la ballerine ?

Une femme qui peut lever son genou au-dessus de sa tête, pour moi, c’est une ballerine… »

 

Un homme qui avait encore un ancien téléphone à cadran, compose le 01.77.77.77.77. Une dame lui répond :

« – Pardon madame, suis-je bien au 01.77.77.77.77 ?

– Oui monsieur, que puis-je faire pour vous ?

– Pourriez-vous appeler pour moi le 18. J’ai le doigt coincé dans le 7 depuis peu. »

 

Un jeune garçon va au jardin zoologique avec ses parents. Ils arrivent à la cage des éléphants et le fils demande à sa mère :

« – Maman, c’est quoi la chose longue ?

– Eh bien c’est sa queue !

– Non, l’autre chose ?

– Eh bien, c’est sa trompe !

– Non, la chose au milieu ?

– Euh… Ce… Ce n’est rien… »

Le garçon va donc voir son père, et lui demande la même chose :

« – Papa, c’est quoi la chose longue ?

– Eh bien c’est sa queue !

– Non, l’autre chose ?

– Eh bien, c’est sa trompe !

– Non, la chose au milieu ?

– Eh bien, c’est son pénis !

– Mais Maman dit que ce n’est rien !

– Fils, ta mère est gâtée ! »

 

Jean-Marc et Jean-Paul font en safari en Afrique.

Il fait une chaleur torride.

Ils aperçoivent un cours d’eau et demandent au guide s’ils peuvent se baigner pour se rafraîchir.

« Pas de problème ! »

Jean-Paul, inquiet interroge le guide…

« – J’espère qu’il n’y a pas de requin.

– Oh non, les crocos les ont tous mangés. »

 

Jean-Marc et sa femme Germaine visitent Londres.

Ils entrent tous les deux dans un bus à impérial, à 2 étages.

Madame s’engage dans les marches pour monter à l’étage du haut quand, soudain, elle redescend à toute vitesse…

« Va pas par-là, il n’y a pas de chauffeur en haut ! »

 

Jean-Marc entre dans un bar.

Il s’assoit sur le banc à côté d’une très belle femme.

« – Il me semble qu’on se connaît. On ne s’est pas déjà vu chez…

– Écoute, le tas, en effet, on se connaît. Je n’ai pas oublié le moment où je t’ai rencontré, il y a cinq ans, et crois moi, ce n’est pas faute d’avoir essayé. »

 

Cet été, une jeune maman est sur la plage avec sa petite fille de cinq ans.

La jeune maman porte un superbe bikini de couleur fluo et la petite en porte un bleu.

La maman étend de la crème solaire sur son corps de déesse quand soudainement la petite lui demande :

« Maman, qu’est-ce que les hommes portent dans leur maillot de bain et qui fat une boule ? »

La jeune maman un peu embarrassée hésite et lui répond :

« C’est leur porte-monnaie, ma chérie. »

Quelques minutes plus tard la petite s’approche de sa mère et lui dit :

« Maman, tu vois l’homme qui est là-bas, eh bien, plus il te regarde, plus il est riche. »

 

Une « recyclée » j’en suis certain :

Un avion avec 5 passagers à bord – Donald Trump, Boris Johnson, Angela Merkel, le Pape et une écolière de 10 ans – est sur le point de s’écraser et il n’y a que 4 parachutes disponibles.

Trump dit : « J’en ai besoin. Je suis l’homme le plus puissant du monde et c’est à moi de résoudre la pandémie ! » Il prend un parachute, l’enfile et saute.

Johnson dit : « Je dois régler le gâchis COVID-19 en Grande-Bretagne ». Il en prend un, l’enfile et saute.

Le Pape dit : « Les catholiques du monde dépendent de moi pour se réconforter en temps de crise. » Il en prend lui aussi un, l’enfile et saute.

« Vous pouvez avoir le dernier parachute », explique Merkel à l’enfant de 10 ans. « J’ai vécu ma vie. La vôtre ne fait que commencer. »

La petite fille répond :

« Ne vous inquiétez pas, Madame, il reste 2 parachutes : L’homme le plus puissant du monde vient de sauter avec mon cartable. »

C’est une « revenue », remise à jour : Dans l’original c’est Bush Junior qui piquait le cartable alors que le Pape cédait le dernier parachute à la petite fille…

 

C’est l’histoire d’un homme très pieux qu’on avait surnommé dans son village : « Tout ce que DIEU fait est bon », car on aurait dit qu’il n’avait que cela à la bouche.

Un jour, son voisin perd sa femme.

Naturellement, le brave homme pour consoler son ami lui dit : « Tout ce que DIEU fait est bon ».

Et, il réussit à consoler son voisin.

Malheureusement, le brave homme perdit lui aussi sa femme, qu’il aimait beaucoup, il la chérissait de tout son cœur : Il l’aimait plus que lui-même !

Son voisin, celui, qu’il avait consolé, sachant cela, vint le consoler lui aussi.

Il le trouva en proie à une grande agitation, causée par la vive douleur que lui causait la perte de sa femme. Il s’en étonna :

« Voisin, je suis surpris de te trouver si agité ! Toi qui nous donnais de si bons conseils, toi qui disais : tout ce que DIEU fait est bon. »

Le brave homme lui répond :

« Ah, voisin ! Ce qu’il y a, c’est que ce que DIEU a fait pour ma femme est tellement bon… Que je ne peux pas supporter une telle grâce, moi si faible et si pécheur ! »

 

 

Un professeur demande à un de ses élèves :

« – Donne-moi la définition de l’eau.

– C’est un liquide transparent qui devient sale quand on met nos mains dedans ! »

 

Un jour, une députée du parti de l’opposition, dit au premier ministre britannique Winston Churchill…

« Monsieur si j’étais votre épouse, je mettrais du poison dans votre thé. »

Et Churchill de répondre :

« Madame, si j’étais votre époux, je le boirais. »

 

Une fille lave les fenêtres, elle monte sur le bord de la fenêtre, un coup de vent se lève et elle tombe du 15ème étage… elle tombe… elle tombe…

Au 10ème, il y a type qui tend les bras et qui l’attrape !

« – Tu baises ?

– Non. »

Il la lâche.

Au 7ème étage, un autre type l’attrape…

« – Tu suces ?

– Non. »

Il la lâche… Au cinquième étage, un bras se tend vers elle et, elle, direct :

« – Je baise et je suce !

– Salope ! »

Et il la lâche !

 

« Il n’y a pas de bonheur parfait ! » dit Jean-Jacques à Jean-Marc.

« Quand ma belle-mère est morte, on m’a présenté la note des pompes funèbres… »

 

Le premier jour de classe, un étudiant se présente devant le professeur, trempé jusqu’aux chevilles.

Le prof lui dit :

« – Comment se fait-il que tu sois trempé ainsi ?

– Je suis allé sortir du bois de l’eau.

– Qu’est-ce que c’est ça, sortir du bois de l’eau, la première journée ? Va t’asseoir ! »

Un deuxième étudiant arrive trempé jusqu’à la taille.

Le professeur lui demande la même chose, l’étudiant lui répond :

« Je suis allé sortir du bois de l’eau ! »

Le professeur l’envoie s’asseoir aussi.

Un troisième arrive trempé jusqu’au cou, le professeur exaspéré lui dit :

« – Tu es allé sortir du bois de l’eau toi aussi ?

– Non, c’est moi DUBOIS. »

 

Le lion est un animal bien vaniteux.

Un jour qu’il se promène dans la savane, il hèle l’antilope :

« – Eh, toi, l’antilope, qui c’est le roi de la savane ?

– Oh, c’est toi, le lion, ça, pour sûr ! » répond le frêle animal terrorisé.

Le lion se rengorge et, bouffi d’orgueil, poursuit sa route.

Il tombe sur la girafe et lui lance :

« – Ohé, là-haut, qui c’est le roi de la savane ?

– Toi, bien évidemment », répond la girafe qui en bégaye presque de peur.

Alors là, le lion ne se sent plus.

À tel point que, passant devant l’éléphant, il lui prend l’envie de tester son prestige :

« Hé, l’gros tas, tu sais qui c’est, le roi de la savane ? »

L’éléphant, pas très content qu’un minus s’adresse à lui sur ce ton, attrape le lion par la queue, le fait tournoyer au-dessus de sa tête et le projette à 30 m de là, dans une flaque de boue.

Ébranlé, humilié, le lion se redresse et lance…

« Ben quoi ? Je demandais juste une information ! Pas la peine de s’énerver ! »

 

Après sa nomination aux fonctions de Chef du Gouvernement, « Jean-Casse-Tête » est allé visiter l’hôpital Sainte-Anne rue de la Santé à Paris, un hôpital pour malades mentales.

Monsieur « Casse-Tête » voit un patient qui a l’air bien et lui demande :

« Qui êtes-vous mon brave ? »

Et le gars de répondre :

« – Je suis Napoléon Bonaparte et toi qui es-tu ?

– Moi, je suis « Jean-Casse-Tête », le premier Ministre du pays »

Et le patient de répliquer :

« Ha oui, Premier Ministre hein ! Moi aussi, au début lorsque je suis arrivé ici, j’étais premier ministre. »

 

Sur le Titanic, après avoir heurté l’iceberg, c’est l’affolement général à bord.

On met les chaloupes à la mer, tout le monde veut sauter dedans et, en tête, il y a un Français qui est immédiatement arrêté par un Anglais qui lui dit :

« – Je suis désolé, jeune homme, mais avez-vous remarqué qu’il y a des femmes à bord ?

– Franchement, Monsieur l’anglais, vous croyez que j’ai envie de faire ce que vous pensez dans un moment pareil ? »

 

Solutions des contrepèteries de la semaine dernière :

 

« Frémir de joie… »

« Jean-Marc pétrit le téton à la bonne ! »

« Les nordistes aiment montrer leur cul… »

 

Celles proposées cette semaine à votre sagacité :

 

« Inciter à trouver, tout un programme… »

« Elle s’est réveillée avec deux puces dans le cou. »

« Oh que voilà l’habile bête ! »

 

Bon week-end à toutes et à tous !

 

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PS : Donc, n’oubliez pas mon « gardien » et « sa bibliothèque »

 

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