Une « revenue » pour commencer ?
Quoique je ne suis pas certain que ça
en soit vraiment une…
C’est l’histoire du curé qui se lève un
beau dimanche de juin et qui regarde à l’extérieur.
Il ne pense alors qu’à une seule chose…
aller jouer au golf !
Il téléphone à son vicaire, lui dit
qu’il est très souffrant et lui demande de dire la messe à sa place.
Il fonce ensuite vers un terrain de
golf situé à 75 Km de son église pour être sûr qu’il ne rencontrera personne
qui le connaît.
Au moment où il s’élance pour frapper
son premier coup, St-Pierre, qui, du haut du ciel a tout observé, dit à Dieu :
« – Vous n’allez pas le laisser
faire sans réagir, tout de même…
– Oui, je dois bien faire quelque
chose. »
Au même moment, le curé frappe la
balle, une belle « drive » en ligne droite qui tombe à 25 mètres avant le vert,
bondit trois fois et roule, roule et roule lentement pour tombe dans la coupe.
St-Pierre est furieux :
« – C’est comme ça que vous le
punissez ? Un trou d’un coup sur un normale 4 ?
– Oui ! À qui va-t-il raconter son
exploit ? »
Jean-Jacques va chez le médecin.
Après l’avoir ausculté, celui-ci lui
dit :
« – Il faut que vous arrêtiez
de vous masturber.
– Pourquoi, suis-je en train de devenir
aveugle ?
– Non, mais…
– Sourd alors ?
– Non, mais vous dérangez les autres
clients dans la salle d’attente. »
Une dame de très forte taille, portant
une superbe robe légère de saison, entre dans un bar, lève son bras laissant
entrevoir une énorme touffe de poil et en pointant la foule, elle dit :
« Y’a-t-il un homme dans la
place qui veut payer une bière à une femme ? »
Le silence…
Soudain, au bout du bar, un petit homme
tout maigre et à demi ivre, frappe sur le bar et dit :
« Barman, donne une bière à la
ballerine ! »
Le barman s’exécute et la dame l’avale
en une seule gorgée.
Elle se tourne encore vers la foule
avec le bras en l’air et démontrant toujours l’existence de cette énorme touffe
de poil, et répète la même chose :
« Y’a-t-il un homme dans la place
qui veut payer une bière à une femme ? »
Le même petit homme maigre et à demi ivre,
frappe sur le bar et répète :
« Barman, donne une bière à la
ballerine ! »
Le barman verse une bière à la dame qui
l’avale une deuxième fois en un seul trait.
La même scène se répète une troisième
fois.
Le barman va voir le petit homme au
bout du bar et lui dit :
« – C’est ton affaire si tu
veux lui payer une bière mais pourquoi tu l’appelles la ballerine ?
– Une femme qui peut lever son genou
au-dessus de sa tête, pour moi, c’est une ballerine… »
Un homme qui avait encore un ancien
téléphone à cadran, compose le 01.77.77.77.77. Une dame lui répond :
« – Pardon madame, suis-je bien
au 01.77.77.77.77 ?
– Oui monsieur, que puis-je faire pour
vous ?
– Pourriez-vous appeler pour moi le 18.
J’ai le doigt coincé dans le 7 depuis peu. »
Un jeune garçon va au jardin zoologique
avec ses parents. Ils arrivent à la cage des éléphants et le fils demande à sa
mère :
« – Maman, c’est quoi la chose
longue ?
– Eh bien c’est sa queue !
– Non, l’autre chose ?
– Eh bien, c’est sa trompe !
– Non, la chose au milieu ?
– Euh… Ce… Ce n’est rien… »
Le garçon va donc voir son père, et lui
demande la même chose :
« – Papa, c’est quoi la chose
longue ?
– Eh bien c’est sa queue !
– Non, l’autre chose ?
– Eh bien, c’est sa trompe !
– Non, la chose au milieu ?
– Eh bien, c’est son pénis !
– Mais Maman dit que ce n’est rien !
– Fils, ta mère est gâtée ! »
Jean-Marc et Jean-Paul font en
safari en Afrique.
Il fait une chaleur torride.
Ils aperçoivent un cours d’eau et
demandent au guide s’ils peuvent se baigner pour se rafraîchir.
« Pas de problème ! »
Jean-Paul, inquiet interroge le guide…
« – J’espère qu’il n’y a pas de
requin.
– Oh non, les crocos les ont tous
mangés. »
Jean-Marc et sa femme Germaine
visitent Londres.
Ils entrent tous les deux dans un bus à
impérial, à 2 étages.
Madame s’engage dans les marches pour
monter à l’étage du haut quand, soudain, elle redescend à toute vitesse…
« Va pas par-là, il n’y a pas de chauffeur
en haut ! »
Jean-Marc entre dans un bar.
Il s’assoit sur le banc à côté d’une
très belle femme.
« – Il me semble qu’on se
connaît. On ne s’est pas déjà vu chez…
– Écoute, le tas, en effet, on se
connaît. Je n’ai pas oublié le moment où je t’ai rencontré, il y a cinq ans, et
crois moi, ce n’est pas faute d’avoir essayé. »
Cet été, une jeune maman est sur la
plage avec sa petite fille de cinq ans.
La jeune maman porte un superbe bikini
de couleur fluo et la petite en porte un bleu.
La maman étend de la crème solaire sur
son corps de déesse quand soudainement la petite lui demande :
« Maman, qu’est-ce que les
hommes portent dans leur maillot de bain et qui fat une boule ? »
La jeune maman un peu embarrassée
hésite et lui répond :
« C’est leur porte-monnaie, ma
chérie. »
Quelques minutes plus tard la petite
s’approche de sa mère et lui dit :
« Maman, tu vois l’homme qui
est là-bas, eh bien, plus il te regarde, plus il est riche. »
Une « recyclée » j’en
suis certain :
Un avion avec 5 passagers à bord –
Donald Trump, Boris Johnson, Angela Merkel, le Pape et une écolière de 10 ans –
est sur le point de s’écraser et il n’y a que 4 parachutes disponibles.
Trump dit : « J’en ai besoin.
Je suis l’homme le plus puissant du monde et c’est à moi de résoudre la
pandémie ! » Il prend un parachute, l’enfile et saute.
Johnson dit : « Je dois régler
le gâchis COVID-19 en Grande-Bretagne ». Il en prend un, l’enfile et
saute.
Le Pape dit : « Les catholiques
du monde dépendent de moi pour se réconforter en temps de crise. » Il
en prend lui aussi un, l’enfile et saute.
« Vous pouvez avoir le dernier
parachute », explique Merkel à l’enfant de 10 ans. « J’ai vécu
ma vie. La vôtre ne fait que commencer. »
La petite fille répond :
« Ne vous inquiétez pas,
Madame, il reste 2 parachutes : L’homme le plus puissant du monde vient de
sauter avec mon cartable. »
C’est une « revenue », remise
à jour : Dans l’original c’est Bush Junior qui piquait le cartable alors
que le Pape cédait le dernier parachute à la petite fille…
C’est l’histoire d’un homme très pieux
qu’on avait surnommé dans son village : « Tout ce que DIEU fait est bon »,
car on aurait dit qu’il n’avait que cela à la bouche.
Un jour, son voisin perd sa femme.
Naturellement, le brave homme pour
consoler son ami lui dit : « Tout ce que DIEU fait est bon ».
Et, il réussit à consoler son voisin.
Malheureusement, le brave homme perdit
lui aussi sa femme, qu’il aimait beaucoup, il la chérissait de tout son cœur :
Il l’aimait plus que lui-même !
Son voisin, celui, qu’il avait consolé,
sachant cela, vint le consoler lui aussi.
Il le trouva en proie à une grande
agitation, causée par la vive douleur que lui causait la perte de sa femme. Il
s’en étonna :
« Voisin, je suis surpris de te trouver
si agité ! Toi qui nous donnais de si bons conseils, toi qui disais : tout ce
que DIEU fait est bon. »
Le brave homme lui répond :
« Ah, voisin ! Ce qu’il y a,
c’est que ce que DIEU a fait pour ma femme est tellement bon… Que je ne peux
pas supporter une telle grâce, moi si faible et si pécheur ! »
Un professeur demande à un de ses
élèves :
« – Donne-moi la définition de
l’eau.
– C’est un liquide transparent qui
devient sale quand on met nos mains dedans ! »
Un jour, une députée du parti de
l’opposition, dit au premier ministre britannique Winston Churchill…
« Monsieur si j’étais votre
épouse, je mettrais du poison dans votre thé. »
Et Churchill de répondre :
« Madame, si j’étais votre
époux, je le boirais. »
Une fille lave les fenêtres, elle monte
sur le bord de la fenêtre, un coup de vent se lève et elle tombe du 15ème
étage… elle tombe… elle tombe…
Au 10ème, il y a type qui
tend les bras et qui l’attrape !
« – Tu baises ?
– Non. »
Il la lâche.
Au 7ème étage, un autre type
l’attrape…
« – Tu suces ?
– Non. »
Il la lâche… Au cinquième étage, un bras
se tend vers elle et, elle, direct :
« – Je baise et je suce !
– Salope ! »
Et il la lâche !
« Il n’y a pas de bonheur
parfait ! » dit Jean-Jacques à Jean-Marc.
« Quand ma belle-mère est morte,
on m’a présenté la note des pompes funèbres… »
Le premier jour de classe, un étudiant
se présente devant le professeur, trempé jusqu’aux chevilles.
Le prof lui dit :
« – Comment se fait-il que tu
sois trempé ainsi ?
– Je suis allé sortir du bois de l’eau.
– Qu’est-ce que c’est ça, sortir du
bois de l’eau, la première journée ? Va t’asseoir ! »
Un deuxième étudiant arrive trempé
jusqu’à la taille.
Le professeur lui demande la même
chose, l’étudiant lui répond :
« Je suis allé sortir du bois
de l’eau ! »
Le professeur l’envoie s’asseoir aussi.
Un troisième arrive trempé jusqu’au
cou, le professeur exaspéré lui dit :
« – Tu es allé sortir du bois
de l’eau toi aussi ?
– Non, c’est moi DUBOIS. »
Le lion est un animal bien vaniteux.
Un jour qu’il se promène dans la
savane, il hèle l’antilope :
« – Eh, toi, l’antilope, qui
c’est le roi de la savane ?
– Oh, c’est toi, le lion, ça, pour sûr ! » répond le frêle
animal terrorisé.
Le lion se rengorge et, bouffi
d’orgueil, poursuit sa route.
Il tombe sur la girafe et lui lance :
« – Ohé, là-haut, qui c’est le
roi de la savane ?
– Toi, bien évidemment », répond la girafe
qui en bégaye presque de peur.
Alors là, le lion ne se sent plus.
À tel point que, passant devant
l’éléphant, il lui prend l’envie de tester son prestige :
« Hé, l’gros tas, tu sais qui
c’est, le roi de la savane ? »
L’éléphant, pas très content qu’un
minus s’adresse à lui sur ce ton, attrape le lion par la queue, le fait
tournoyer au-dessus de sa tête et le projette à 30 m de là, dans une flaque de
boue.
Ébranlé, humilié, le lion se redresse
et lance…
« Ben quoi ? Je demandais juste
une information ! Pas la peine de s’énerver ! »
Après sa nomination aux fonctions de
Chef du Gouvernement, « Jean-Casse-Tête » est allé visiter l’hôpital
Sainte-Anne rue de la Santé à Paris, un hôpital pour malades mentales.
Monsieur « Casse-Tête » voit
un patient qui a l’air bien et lui demande :
« Qui êtes-vous mon brave ?
»
Et le gars de répondre :
« – Je suis Napoléon Bonaparte et
toi qui es-tu ?
– Moi, je suis « Jean-Casse-Tête »,
le premier Ministre du pays »
Et le patient de répliquer :
« Ha oui, Premier Ministre hein !
Moi aussi, au début lorsque je suis arrivé ici, j’étais premier ministre. »
Sur le Titanic, après avoir heurté
l’iceberg, c’est l’affolement général à bord.
On met les chaloupes à la mer, tout le
monde veut sauter dedans et, en tête, il y a un Français qui est immédiatement
arrêté par un Anglais qui lui dit :
« – Je suis désolé, jeune
homme, mais avez-vous remarqué qu’il y a des femmes à bord ?
– Franchement, Monsieur l’anglais, vous
croyez que j’ai envie de faire ce que vous pensez dans un moment pareil ? »
Solutions des contrepèteries de la
semaine dernière :
« Frémir
de joie… »
« Jean-Marc
pétrit le téton à la bonne ! »
« Les
nordistes aiment montrer leur cul… »
Celles
proposées cette semaine à votre sagacité :
« Inciter
à trouver, tout un programme… »
« Elle
s’est réveillée avec deux puces dans le cou. »
« Oh
que voilà l’habile bête ! »
Bon
week-end à toutes et à tous !
I3
PS : Donc, n’oubliez pas mon
« gardien » et « sa bibliothèque »
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