Bienvenue !

Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 11 septembre 2020

C’était la rentrée

Même à l’ékole !
 
Et les « revenues » du moment :
La maîtresse de « Ti-Jean-Paul » qui est en maternelle est en train de vouloir lui mettre ses bottes. Il en a déjà mis une tout seul et l’autre semble ne pas vouloir rentrer.
La femme et l’enfant mettront plusieurs minutes pour y arriver.
Ti-Jean-Paul dit alors à la maîtresse :
« Elles ne sont pas du bon pied. »
La maîtresse s’arme de patience et ravale les gros mots qui lui passent par l’esprit et entreprend de lui enlever ses « crottes » de bottes (crisse étant ici un mot qu’elle a dit tout bas).
La tâche pour enlever les bottes s’avère tout aussi difficile que de les mettre. L’enfer.
Après une bonne demi-heure de travaux forcés, elle a finalement enlevé et remis les bottes à Ti-Jean-Paul qui s’empresse de dire à sa maîtresse que ce ne sont pas ses bottes… (ici on se ferme les yeux et mentalement on regarde la couleur du visage de la maitresse qui passe du blanc au rose au rouge puis au mauve et on entend une colossale collection de gros mots. Même pas assez pour se défouler !)
Et Ti-Jean-Paul poursuit…
« Elles sont à mon frère, ma mère m’a dit de les mettre parce qu’elles ne lui vont plus
– Bon. Bon. Bon. Où sont tes mitaines ?
– Je les ai mises dans le fond de mes bottes pour ne pas les perdre. »
Le procès commence dans dix jours …
 
« Tonto », un jeune amérindien quitte sa réserve pour la première fois dans le but de se faire dépuceler.
On lui a indiqué une maison des plaisirs dans la ville d’à côté… À la porte de la maison, la mère maquerelle lui demande :
« – Qu’est-ce que je peux faire pour toi, bel Indien ?
– Tonto veut Femme.
– Ah, ah… Et as-tu déjà connu une femme auparavant ? Tu m’as l’air bien jeune.
– Non. Tonto encore jamais connu femme. Mais Tonto venir ici pour connaître. Maintenant !
– Oh je suis désolé Tonto. Mais tu sais, ici, je n’ai que des jeunes filles très pures et très fragiles et tu ne manquerais pas de les mettre en morceaux ou pire encore si je te laissais monter avec l’une d’entre elles.
Il te faudra revenir me voir lorsque tu seras un peu plus expérimenté.
– Mais Tonto être venu ici pour avoir première expérience ! Comment va faire Tonto alors ?
– Je vais te le dire mon bel Indien : Tu vas retourner dans ta réserve, et tu vas chercher un arbre possédant un beau trou bien rond dans le tronc.
Quand tu l’auras trouvé, tu mettras ton sexe dedans et tu commenceras à le faire entrer et sortir. C’est comme cela que tu pourras t’entraîner.
Tu feras cela pendant une semaine, et ensuite tu pourras revenir me voir. »
Une semaine plus tard, Tonto revient voir la maquerelle et lui dit en arrivant :
« Tonto vouloir femme, Tonto être prêt maintenant, Tonto s’être beaucoup entraîné. »
Alors la maquerelle l’emmène dans la chambre d’une de ses protégées.
« Tonto, je te présente Tabata. Amusez-vous bien tous les deux. »
Deux minutes plus tard, elle entend des hurlements atroces qui proviennent de la chambre de Tonto.
Elle se précipite, et voit Tonto qui enfonce le manche d’un balai dans le sexe de Tabata.
« – Mais enfin ça ne va pas dans ta tête Tonto ? Je pensais que tu savais ce que tu faisais quand je t’ai laissé avec Tabata ?
– Tonto sait ce qu’il fait ! Tonto vérifie s’il n’y a pas d’abeille ! »
 
LES AVANTAGES DE VIVRE EN AMÉRIQUE…
1. Y’a juste en Amérique… qu’une pizza peut se rendre à votre domicile plus rapidement qu’une ambulance.
2. Y’a juste en Amérique… qu’on trouve des places de stationnement pour handicapés en face d’une patinoire.
3. Y’a juste en Amérique… que les pharmacies font marcher les malades jusqu’au fond du magasin pour obtenir leurs prescriptions pendant que les personnes en santé peuvent acheter leurs cigarettes à l’entrée.
4. Y’a juste en Amérique… que les gens commandent un cheeseburger double, une grosse frite et un coke DIET.
5. Y’a juste en Amérique… que les banques laissent les deux portes ouvertes mais enchaînent les stylos au comptoir.
6. Y’a juste en Amérique… qu’on laisse nos autos valant des milliers de dollars dans l’entrée et gardons plein de cochonneries inutiles dans nos garages.
7. Y’a juste en Amérique… qu’on utilise des répondeurs pour filtrer nos appels, et l’appel en attente pour s’assurer de ne pas manquer l’appel de quelqu’un à qui on ne voulait pas parler de toute façon…
 
Jean-Marc parlait avec mon nouveau voisin qui lui dit :
« – Je vous observe, vous et votre épouse depuis mon arrivée et je constate que vous n’avez rien en commun ! Pourquoi l’avez-vous épousée ?
– Les contraires s’attirent ! Elle était enceinte et je ne l’étais pas ! »
 
Au guichet automatique accessible par automobile…
Jean-Marc :
1 – Il s’approche du guichet ;
2 – Il enfile sa carte ;
3 – Il compose son code ;
4 – Il prend son argent, sa carte, son reçu et s’en va.
Germaine :
1 – Elle s’approche du guichet ;
2 – Elle arrête le moteur ;
3 – Elle serre le frein à main ;
4 – Elle met les clés dans sa sacoche ;
5 – Elle sort de la voiture parce qu’elle s’est stationnée trop loin du guichet ;
6 – Elle cherche sa carte dans sa sacoche ;
7 – Elle enfile sa carte ;
8 – Elle cherche dans sa sacoche le papier d’enrobage de gomme Dentine avec le code écrit dessus ;
9 – Elle compose son code ;
10 – Elle retire son argent ;
11 – Elle retourne à l’auto ;
12 – Elle démarre la voiture ;
13 – Elle avance de quelques mètres ;
14 – Elle s’arrête ;
15 – Elle recule sa voiture ;
16 – Elle sort de la voiture ;
17 – Elle ramasse sa carte et son reçu ;
18 – Elle retourne à la voiture ;
19 – Elle met sa carte dans son porte-monnaie ;
20 – Elle place son reçu dans son portefeuille ;
21 – Elle nettoie un endroit dans sa sacoche pour son porte-monnaie et son portefeuille ;
22 – Elle met la voiture en marche avant ;
23 – Elle s’en va ;
24 – Elle roule 3 kilomètres ;
25 – Elle enlève le frein à main.
 
« – Maman, maman, aujourd’hui à l’école j’ai empêché un de mes camarades de faire une vilaine farce au prof.
– C’est très bien mon petit ! Qu’as-tu fait ?
– Gilles avait mis une punaise sur la chaise du prof.
 Alors moi, quand j’ai vu que le professeur s’asseyait j’ai tout de suite retiré la chaise. »
 
Une histoire « Ummo » :
« – Sais-tu comment perdre un Ummo ?
– Non.
– Tu le places dans une pièce ronde, et tu lui dis : « Trouve le coin » ! »
 
De Jean-Paul à Jean-Marc, tous les deux déconfinés devant une bière :
« Quand on s’est connu, ma femme et moi, on était si timide qu’on n’osait pas se regarder.
Maintenant on ne peut plus se voir ! »
 
Deux copains, Jean-Éric et Jeanjean aiment jouer au baseball.
Jean-Éric dit à Jeanjean, « le premier qui meurt vient dire à l’autre si on joue au baseball au Ciel ».
Jean-Éric meurt suite à un accident d’automobile.
Quelques mois plus tard, il apparaît à son copain Jeanjean, et lui dit :
« J’ai deux nouvelles pour toi, une bonne et une mauvaise.
La bonne, oui on joue au baseball au ciel et la mauvaise, c’est que c’est toi qui lances demain. »
 
Jean-Marc dit à sa femme Germaine :
« – Mon pantalon est seize !
– Comment ça… est seize ? Je ne comprends rien !
– Oui, il est très étroit. Ça fait bien seize, non ? ».
 
C’est un condamné à mort à la chaise électrique qu’on emmène pour son exécution. Il demande au maton :
« Qu’est-ce qu'on va me faire ? »
Le maton lui répond :
« Du calme, asseyez-vous sur cette chaise, on va vous mettre au courant ! »
 
Jean-Marc philosophe avec Jean-Paul (tous les deux déconfinés, devant une bière) :
« – Tu sais, une journée sans orgasme est une journée de perdue.
– Alors, ça je veux bien l’admettre !
– D’autant que les jours ne reviennent pas.
– Pas plus que les nuits ! »
 
Les mêmes un peu plus tard, se racontant leurs vacances :
« – Moi, je suis parti à Lourdes avec mon Germaine.
– Alors ?
– Il n’y pas eu de miracle, je suis revenu avec. »
 
À sa femme qui était très bavarde Sacha Guitry avait dit :
« Madame, sur votre pierre tombale, je ferai inscrire ENFIN MUETTE. »
Et Lana Marconi avait répondu :
« Et sur la vôtre, je mettrai ENFIN RAIDE ! »
 
Un gay rend visite à un médecin et ce dernier prend son stéthoscope, écoute le coeur et demande au gai de dire 33.
« 33 ».
Le médecin utilise le stéthoscope pour écouter les poumons et demande au gai de dire 33.
« 33 ».
Le médecin fait installer le gay pour un toucher rectal, introduit un doigt dans l’anus et demande à nouveau au gai de dire 33.
« 1, 2, 3, 4… »
 
En traversant la rue, un piéton se fait renverser par une voiture.
Jean-Marc qui a tout vu s’approche de la victime.
« Je veux un prêtre ! je veux un prêtre ! »
Jean-Marc se tourne et il voit plein de monde autour d’eux.
« Y’a-t-il un prêtre car il risque de mourir. »
Un octogénaire s’approche…
« Ben je ne suis pas prêtre, mais j’habite à côté de l’église, et comme j’entends tout ce qui se passe, je connais tous les rites. Je peux vous aider. Laissez-moi approcher. »
Le vieux s’agenouille péniblement, prend la main du moribond et commence…
« B10
I18
N25
G33
O47
B I N G O !!!!
Voyez ! Il est sauvé ! »
 
C’était le jour le plus savant de l’année : Le 7 août.
(7 AOÛT = sait tout !)
 
 
« Le Pape menace la République ! »
« Notre mère est partie niquer… »
« Je cherche le sac des lapins. »
 
Celles de la semaine :
 
« Pauline est coquette. »
« Sagesse n’est pas folie !… »
« Elle est partie avec un grand salut à la noce. »
 
Bon week-end à toutes et à tous !
Moâ, je suis parti.
Je vous laisse avec « Charlotte » : Profitez-en bien…
 
I3
 
 

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