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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

lundi 28 septembre 2020

La « Gauloisie-des-lumières » finance-t-elle le terrorisme ?

D’ici que nous soyons classés sur « liste noire »…

 

…Il n’y a pas loin !

Car tout démarre par un rapport parlementaire sur les comptes de la Sécurité Sociale « que le monde entier nous envie ».

Et c’est Sputnik qui met le doigt là où ça peut faire mal…

Un comble dans ce pays de « liberté de la presse » qui passe sous silence le problème, se contentant de vous affirmer qu’il y a nettement plus de cartes Vitale actives que de personnes vivantes sur le territoire, mais vocifère à grande-gueule pour « protéger la liberté de la presse » à l’occasion du procès des attentats, ceux du « règne de Tagada-à-la-fraise-des-bois », #JeSuisCharlie.

 

Au démarrage, endiguer et prévenir la fraude sociale, telle était l’ambition de la commission d’enquête parlementaire qui vient de rendre son rapport. Si le phénomène n’est pas directement pointé du doigt, il transparaît que les ressortissants étrangers ou binationaux sont très actifs dans le détournement de l’argent de la solidarité nationale.

Fraude à l’identité pour accéder aux aides, fausses déclarations – parfois avec la complicité d’autorités étrangères –, ou encore trafic de médicaments… la fraude aux prestations sociales revêt bien des visages.

Pourtant, ceux-ci ont tous deux corolaires : Ils portent un coup de glaive au système de solidarité nationale et un meilleur contrôle de l’administration pourrait endiguer, voire enrayer, leur progression constante. Ainsi pourraient être résumées les 215 pages de ce rapport de la commission d’enquête.

 

Dans ce document, issu de six mois de travaux et d’une trentaine d’auditions, les députés dépeignent la fraude sociale comme « structurée » et tordent le cou à l’idée reçue selon laquelle elle ne serait que la « fraude des pôvres », en opposition à la fraude fiscale, perçue comme la « fraude des riches ».

Toutefois, comme cette dernière, la fraude sociale inflige un « préjudice financier considérable » aux organismes de protection sociale et porte « une atteinte directe au principe de solidarité nationale envers les personnes les plus fragiles ».

« Ce sont nos concitoyens âgés, malades ou précaires qui en sont les premières victimes », insistent les députés.

Ainsi devrait-elle être « combattue avec la même détermination » par les services de l’État.

Que je veux, tiens donc !

 

« La déclinaison sociale de l’universalisme à la française, hérité du Conseil national de la Résistance, est une singularité historique de notre pays. Elle répond à notre idéal de justice. Y renoncer serait mettre en péril l’ensemble de nos valeurs républicaines », met en garde le rapport.

Véritable pierre angulaire de ce type de fraude en pleine « internationalisation » : La falsification de documents !

Celle-ci surferait sur la dématérialisation des pièces administratives et profiterait même à des réseaux criminels, « trafics, blanchiment, terrorisme, traite des êtres humains », qui en auraient fait une activité connexe, finalement cohérente et indispensable aux autres activités criminelles.

Les députés s’attardent notamment sur le trafic qui s’est développé autour du passeport Gauloisien qui se « négocierait entre 300 et 450 euros ».

Ils dressent un parallèle avec les quelque 300.000 passeports et 800.000 cartes d’identité, perdus ou volés chaque année dans ma Patrie (celle que j’aime tant et qui me le rend si mal…).

Ces papiers trouveraient une seconde vie en Grèce et en Turquie, « véritables plaques tournantes du recyclage de documents d’identité français », à la faveur de la crise migratoire, expliquait simplement et benoîtement devant la représentation nationale le directeur central de la police aux frontières (DCPAF).

« En 2019, 22 % des 328 filières d’immigration clandestines démantelées disposaient d’officines de fabrication ou de distribution de faux documents. Pour 40 % de ces filières, la fraude documentaire représentait une activité annexe »…

 

Cette tricherie généralisée aurait tendance à se « concentrer géographiquement ». Parmi les utilisateurs de faux documents, « on trouve principalement des ressortissants de nationalité albanaise, iranienne, algérienne, malienne, guinéenne, ivoirienne, afghane, sénégalaise, marocaine ».

Pas d’américain, de britanniques, de nippon ni de teuton : Curieux, non ?

Consulté sur ce point, le ministère de l’Intérieur précisait ainsi début juin qu’en 2019, les Albanais représentaient 9,35 % des individus interpellés porteurs de faux documents, suivis des Iraniens (6,16 %), des Algériens (5,55 %), des Maliens (5,31 %) et des… « Gauloisiens-pure-souche » (5,02 %).

« Une fois le fraudeur entré dans le système, il est très difficile pour les organismes de sécurité sociale de le détecter », soulignent les députés. En conséquence, une fois mises en pratique, ces fraudes organisées peuvent atteindre des montants considérables, comme le montrent les affaires découvertes.

Ainsi, les deux couples de Roms qui avaient déclaré 1.200 grossesses à la CAF (Caisse d’allocations familiales), via de fausses déclarations directement envoyées par la poste, avaient-ils probablement vu trop gros…

Grâce à de faux papiers d’état civil roumains, les deux femmes se faisaient enregistrer comme autoentrepreneurs dans le recyclage de métaux, avant de « tomber enceinte », le tout à un rythme ahurissant.

Une affaire médiatisée qui trahissait le manque de contrôle et de recoupement des bases de données, pour un préjudice de 1,7 million d’euros pour la CAF et le RSI (Régime social des indépendants).

Des allocs qui furent redirigées vers la Roumanie et investies dans l’immobilier en Moldavie…

Ou quand la CAF et le RSI financent des opérations de promotions immobilières sans le savoir !

 

Durant son audition, la directrice de Tracfin, le service de renseignement de Bercy, reviendra sur ce type de réseaux d’arnaque à la CNAF (Caisse nationale des allocations familiales) et évoquera une note de renseignement où « nous avons pu voir 29 allocataires concernés avec un seul collecteur. Nous avons également une note portant sur 225 allocataires et un seul compte bancaire à l’arrivée ».

Bien qu’il s’agirait d’un « phénomène restreint », celle-ci précise toutefois qu’« en l’occurrence, la Roumanie était systématiquement le point d’arrivée ».

 

Bien moins médiatique, le trafic de médicaments : En l’occurrence, des personnes se faisaient rémunérer pour se faire prescrire des traitements qui seront revendus à l’étranger.

« Un individu interpellé se faisait délivrer beaucoup de médicaments très coûteux et les investigations ont permis de remonter à un commanditaire, chez qui on a découvert une caverne d’Ali Baba : ordonnanciers vierges, plus de 500 boîtes de médicaments, des comprimés, tout cela parfaitement conditionné pour alimenter un trafic vers l’Égypte », relate aux députés la cheffe de la brigade de répression de la délinquance astucieuse (BRDA) au sein de la Préfecture de police de Paris.

 

Autre fraude organisée aux prestations sociales, qui attire toute l’attention en ces temps de chômage partiel : Celles auprès de l’URSSAF. En somme, celles des entrepreneurs.

Dans le cas présent, les interlocuteurs des caisses s’attardent auprès des députés sur un profil loin d’être celui du « col blanc » : Le président du Conseil national des administrateurs judiciaires et des mandataires judiciaires, détaille le procédé.

Il s’agit souvent de « sociétés éphémères, récurrentes dans des secteurs d’activité comme le bâtiment ou la sécurité et impliquant des communautés de personnes assez identifiées. Nous assistons à des demandes d’ouverture de procédure collective, avec un nombre de salariés relativement important souhaitant bénéficier de la prise en charge de l’AGS, du chômage, etc. », malgré le manque total de preuve de la moindre activité.

« Les dirigeants de ces entreprises du bâtiment déclarant une trentaine de personnes sont parfois des dirigeants de nationalité étrangère âgés de dix-huit ou dix-neuf ans », ajoute-t-il.

 

Autre cas de figure, où une dimension plus « diplomatique » s’invite dans ce rapport de la commission d’enquête : Celui des fraudes aux pensions de retraite versées à l’étranger. Pas moins de 1,2 million de pensionnaires seraient ainsi réputés en vie, le problème étant de s’assurer que c’est bien le cas, c’est-à-dire de s’assurer que les documents transmis soient là encore authentiques.

En tête de liste, des pays dits « à fort enjeu financier », c’est-à-dire regroupant un grand nombre de vrais et faux retraités, trône sans conteste l’Algérie, avec plus de 400.000 pensionnés, soit trois fois plus que le Portugal, qui arrive en seconde position.

L’Algérie cumule ainsi le plus grand nombre de centenaires, pour la CNAV…

Le problème, et non des moindres, est que si la Caisse nationale d’assurance vieillesse (CNAV) entretient depuis 2003 un partenariat de coopération administrative avec le Maroc, il n’est en est rien avec le voisin algérien, bien au contraire !

« Nous avons été alertés sur de possibles fraudes à grande échelle dans ce pays, reposant sur la falsification des certificats d’existence que doivent transmettre tous les ans les pensionnés vivant hors de France après les avoir fait viser par des autorités locales compétentes », soulignent les députés.

 

Les élus appellent ainsi à développer des contrôles sur place, l’instauration de la biométrie pour s’assurer de la véracité des preuves de vie ou encore à arrêter de verser sur des comptes gauloisiens ou européens de telles aides, afin de faciliter le travail des services d’enquête. Car c’est bien là l’enjeu du rapport : Mettre en lumière les lacunes du système en matière de détections des fraudes.

Si les parlementaires soulignent que des progrès ont été réalisés ces dernières années, ils regrettent que les efforts soient « inégaux » entre les organismes.

Les députés appellent donc non seulement à un élargissement des prérogatives des agents de ces organismes, mais également à une plus large coopération entre ces derniers et les services de police.

 

Car si la fraude organisée aux prestations sociales « inquiète », par ses enjeux financiers « considérables, mais mal évalués » (ils ont renoncé à le faire…), c’est également par sa finalité.

En l’occurrence, que des sommes fraudées aux organismes sociaux arrivent entre autres dans les caisses d’organisations terroristes !

Ce phénomène « concernerait particulièrement les prestations familiales et les allocations chômage », notent-ils.

Appelé « noircissement », Le « Figue-à-rôt » (ce torchon de « francs-maks » d’extrême-centre) l’avait d’ailleurs illustré fin octobre 2017, lorsqu’il avait révélé que 20 % des djihadistes gauloisiens partis combattre en Syrie et en Irak ont continué à toucher leurs allocations chômage et familiales entre 2012 et 2017, pour un pactole d’un demi-million d’euros !

Il s’agit d’une enquête menée par une section spécialisée de la brigade anticriminalité et qui aurait mis à nu un vaste réseau d’escroquerie à la vente par correspondance, au crédit à la consommation, ainsi que de fraudes aux allocations chômage et aux prestations sociales.

En octobre 2014, un ancien député « Les Républicains-démocrates » des Gauloisiens de l’étranger avaient déposé devant l’Assemblée une proposition de résolution afin d’enquêter sur les abus d’allocations sociales à des « citoyens » partis faire le djihad. Son comparse, lui-même ancien juge antiterroriste, avait notamment souhaité qu’on recoupe les fichiers des caisses d’allocations avec ceux des services de sécurité.

Une proposition jugée « absurde » et « aberrante » par la place Beauvau, sous le gouvernement de « Menuet-Valse » (et la présidence de « Tagada-à-la-fraise-des-bois »), dont le locataire précaire n’était autre que « Nanar-Casa-Nova », futur « Premier sinistre » éphémère : Merci à eux tous !

 

Certains journalistes achevaient crânement le travail en expliquant que pour toucher des prestations sociales, il faut être sur le territoire de l’hexagone et que par conséquent même des « Gauloisiens » partis combattre à l'étranger nos propres troupes, payées par vos impôts, ne pouvaient pas profiter de tels subsides.

Mon œil, oui !

Une argumentation qui ne tient pas : Alors qu’en 2013 déjà, des faits similaires avaient été constatés au Mali, des circulaires vierges de Pôle emploi ayant été retrouvées dans les caches des islamistes.

Pour l’ancien député et ancien ministre « LRD », « ce qui est surprenant, c’est qu’on ait mis deux ans finalement, à découvrir ce qu’on dénonçait (…) il y a déjà un certain temps ! »

« Pour être très clair, nous avions des informateurs anonymes, qui étaient en réalité des employés dans les caisses d’allocations familiales, qui avaient de forts doutes et puis je ne vous cache pas aussi que je suis allé un certain nombre de fois en Syrie et qu’un certain nombre d’interlocuteurs nous avaient dit avoir trouvé sur des Français et même sur des Tunisiens – si je me souviens bien – des papiers prouvant qu'ils touchaient des allocations en France. »

 

Des fraudes aux prestations sociales rendues possible par le concours des familles des djihadistes qui, grâce à la carte d’identité de leurs proches, ont pu continuer à percevoir les aides de la CAF et de Pôle emploi avant de leur envoyer l’argent par mandats internationaux, explique le chef du groupe financier de la Brigade criminelle.

Merci les « journaleux » !

Un mode opératoire – par procuration – que décrivait le député, justement en octobre 2014 dans une interview au site d'information Atlantico. Des liquidités d’autant plus bienvenues pour une organisation internationale ayant juré la perte de l’Occident, qui était alors déjà en perte de vitesse, tant territoriale que financière.

 

Dit autrement, c’est de l’argent du contribuable Gauloisien dans la poche de djihadistes, un cas de figure qui n'inquiète personne : Où quand vos impôts et cotisations financent le terrorisme…

Rappelons que Salah Abdeslam, qui travaillait comme cogérant d’un bar à Molenbeek, avait malgré tout continué à toucher des aides de l’assurance chômage belge…

Des fonds qui ont pu servir à financer en partie les attentats de Paris en novembre 2015 et de Bruxelles en mars 2016, comme le soulignait le Wall Street Journal au mois d’août de la même année, révélant que quatre autres terroristes ayant participé à ces attentats avaient profité de subsides de l’État !

Un rapprochement qui n’avait pas été du goût des autorités belges, le porte-parole du Premier ministre évoquant auprès du quotidien américain « un raccourci intellectuel »… qui rend du jus !

 

Mais au-delà du cas de ces djihadistes, le rapport pointe aussi du doigt un système « en roue libre », où les abus, tant pour des raisons politiques que par manque d’effectifs, sont toujours plus nombreux.

Un secret de polichinelle qu’il est plus que jamais politiquement incorrect de dénoncer.

« Cloclo-Gué-an » (ex-sinistre de l’ordre public du temps de « Bling-bling »), en novembre 2011, en avait fait la douloureuse expérience pour avoir critiqué ceux qui, après un passage rapide par la Gauloisie-solidaire, repartaient vivre dans leurs contrées lointaines.

 

Mais ces fraudes ne sont pas l’apanage de résidents étrangers en Gauloisie-sociale, puisque des « Gauloisiens-patriotes » résidant à l'étranger sont également gourmands de subsides délivrés de manière peu contrôlée par les organismes sociaux leur permettant de s’assurer un niveau de vie confortable.

Un comportement que dénonce aujourd’hui notre ex-député, qui revient sur son expérience d’élu des Gauloisiens de l'étranger, tout particulièrement en Asie du Sud-Est où certains expatriés n’ont pas hésité à lui avouer vivre sur les allocations sociales, ne revenant au pays que tous les 18 mois pour se soumettre aux rares contrôles d’une administration aujourd’hui surchargée.

« Finalement j'ai découvert qu’on pouvait rester près d’un an et demi dans ces pays. Grâce à Internet, on peut répondre comme si on était dans son village, à repousser les rendez-vous, à répondre n’importe quoi et on peut toucher les prestations sociales en France pendant un an et demi sans le moindre contrôle et sans la moindre présence et vous avez – je pèse les mots – des milliers de personnes dans cette situation. »

 

Un manque de contrôles que fustige l’ancien député, prenant l’exemple des déclarations mensuelles de l’assurance chômage effectuées en ligne : « Rien ne vous empêche de le remplir en étant au fin fond de la Syrie, d’un pays africain ou d’un pays en Asie. En réalité, tout cela fait qu’avec un système ou le nombre d’assistés explose et où les employés sont débordés les contrôles sont quasiment inexistants. Il faut vraiment beaucoup de malchance pour se faire prendre. »

Alors, augmenter les mesures de contrôle ?

Une suggestion faite aux CAF par la Cour des comptes pas plus tard que cet été.

Il faut dire que pour la seule année 2016, avec pas moins de 43.000 fraudes constatées, le montant des escroqueries aux seules allocations familiales s'élevait à 275 millions d'euros (soit une augmentation de 8 % par rapport à 2015).

Fin juillet, après un long travail d’enquête de la PAF, un réseau de 1.200 fraudeurs, étrangers, aux prestations sociales était démantelé dans les Hauts-de-Gauloisie.

Montant du préjudice pour la région : Un million d’euros par mois !

Si les « politiques » semblent jusque-là s’accommoder de ces largesses des finances publiques, reste à savoir jusqu’où vous allez les tolérer, qui plus est dans un pays réputé pour son niveau record de prélèvements obligatoires ainsi que pour l’intransigeance de son administration fiscale à l’égard des contribuables.

 

Deux choses m’amusent : La première, c’est que finalement les djihadistes vivent bien des subsides reçus d’une Nation qu’ils veulent détruire !

C’est dire le niveau intellectuel de ces terroristes-là…

Mais ils s’en foutent puisqu’ils participent ainsi à « dépecer » financièrement la bête immonde qu’est à leurs yeux l’Occident qui, d’une façon générale, ils abhorrent …

D’autant que comme il s’agit de votre pognon et que, finalement, même vos dirigeants élus (ou non) et l’immense armée de vos fonctionnaires « dévoués corps & âmes » à l’intérêt général du public bien compris, s’en foutent également royalement : Ce n’est pas eux qui payent !

 

Plus drôle sera le jour où les uns (incapables de mettre fin à ces scandales) et les autres furieux du financement « occultes » du terrorisme international se réveilleront et exigeront, par « un raccourci intellectuel » dont ils ont le secret, des compensations… internationales jusqu’à prendre des mesures de rétorsions.

La « Gauloisie-des-Lumières » classée parmi les Nations qui financent le terrorisme, je la trouve assez comique, finalement !

 

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