D’ici que nous soyons classés sur « liste noire »…
…Il n’y a pas loin !
Car tout démarre par un rapport parlementaire sur les comptes de la
Sécurité Sociale « que le monde entier nous envie ».
Et c’est Sputnik qui met le doigt là où ça peut faire mal…
Un comble dans ce pays de « liberté de la presse » qui passe
sous silence le problème, se contentant de vous affirmer qu’il y a nettement plus
de cartes Vitale actives que de personnes vivantes sur le territoire, mais
vocifère à grande-gueule pour « protéger la liberté de la presse » à
l’occasion du procès des attentats, ceux du « règne de
Tagada-à-la-fraise-des-bois », #JeSuisCharlie.
Au démarrage, endiguer et prévenir la fraude sociale, telle était
l’ambition de la commission d’enquête parlementaire qui vient de rendre son
rapport. Si le phénomène n’est pas directement pointé du doigt, il transparaît
que les ressortissants étrangers ou binationaux sont très actifs dans le
détournement de l’argent de la solidarité nationale.
Fraude à l’identité pour accéder aux aides, fausses déclarations – parfois
avec la complicité d’autorités étrangères –, ou encore trafic de médicaments…
la fraude aux prestations sociales revêt bien des visages.
Pourtant, ceux-ci ont tous deux corolaires : Ils portent un coup de glaive
au système de solidarité nationale et un meilleur contrôle de l’administration
pourrait endiguer, voire enrayer, leur progression constante. Ainsi pourraient
être résumées les 215 pages de ce rapport de la commission d’enquête.
Dans ce document, issu de six mois de travaux et d’une trentaine
d’auditions, les députés dépeignent la fraude sociale comme « structurée
» et tordent le cou à l’idée reçue selon laquelle elle ne serait que la « fraude
des pôvres », en opposition à la fraude fiscale, perçue comme la « fraude des
riches ».
Toutefois, comme cette dernière, la fraude sociale inflige un « préjudice
financier considérable » aux organismes de protection sociale et porte « une
atteinte directe au principe de solidarité nationale envers les personnes les
plus fragiles ».
« Ce sont nos concitoyens âgés, malades ou précaires qui en sont les
premières victimes », insistent les députés.
Ainsi devrait-elle être « combattue avec la même détermination »
par les services de l’État.
Que je veux, tiens donc !
« La déclinaison sociale de l’universalisme à la française, hérité du
Conseil national de la Résistance, est une singularité historique de notre
pays. Elle répond à notre idéal de justice. Y renoncer serait mettre en péril
l’ensemble de nos valeurs républicaines », met en garde le rapport.
Véritable pierre angulaire de ce type de fraude en pleine « internationalisation
» : La falsification de documents !
Celle-ci surferait sur la dématérialisation des pièces administratives et
profiterait même à des réseaux criminels, « trafics, blanchiment,
terrorisme, traite des êtres humains », qui en auraient fait une activité
connexe, finalement cohérente et indispensable aux autres activités criminelles.
Les députés s’attardent notamment sur le trafic qui s’est développé autour
du passeport Gauloisien qui se « négocierait entre 300 et 450 euros ».
Ils dressent un parallèle avec les quelque 300.000 passeports et 800.000
cartes d’identité, perdus ou volés chaque année dans ma Patrie (celle que
j’aime tant et qui me le rend si mal…).
Ces papiers trouveraient une seconde vie en Grèce et en Turquie, « véritables
plaques tournantes du recyclage de documents d’identité français », à la
faveur de la crise migratoire, expliquait simplement et benoîtement devant la
représentation nationale le directeur central de la police aux frontières
(DCPAF).
« En 2019, 22 % des 328 filières d’immigration clandestines démantelées
disposaient d’officines de fabrication ou de distribution de faux documents.
Pour 40 % de ces filières, la fraude documentaire représentait une activité annexe
»…
Cette tricherie généralisée aurait tendance à se « concentrer géographiquement
». Parmi les utilisateurs de faux documents, « on trouve principalement
des ressortissants de nationalité albanaise, iranienne, algérienne, malienne,
guinéenne, ivoirienne, afghane, sénégalaise, marocaine ».
Pas d’américain, de britanniques, de nippon ni de teuton : Curieux,
non ?
Consulté sur ce point, le ministère de l’Intérieur précisait ainsi début
juin qu’en 2019, les Albanais représentaient 9,35 % des individus interpellés
porteurs de faux documents, suivis des Iraniens (6,16 %), des Algériens (5,55 %),
des Maliens (5,31 %) et des… « Gauloisiens-pure-souche » (5,02 %).
« Une fois le fraudeur entré dans le système, il est très difficile
pour les organismes de sécurité sociale de le détecter », soulignent les
députés. En conséquence, une fois mises en pratique, ces fraudes organisées
peuvent atteindre des montants considérables, comme le montrent les affaires
découvertes.
Ainsi, les deux couples
de Roms qui avaient déclaré 1.200 grossesses à la CAF (Caisse d’allocations
familiales), via de fausses déclarations directement envoyées par la poste,
avaient-ils probablement vu trop gros…
Grâce à de faux papiers d’état civil roumains, les deux femmes se
faisaient enregistrer comme autoentrepreneurs dans le recyclage de métaux,
avant de « tomber enceinte », le tout à un rythme ahurissant.
Une affaire médiatisée qui trahissait le manque de contrôle et de
recoupement des bases de données, pour un préjudice de 1,7 million d’euros pour
la CAF et le RSI (Régime social des indépendants).
Des allocs qui furent redirigées vers la Roumanie et investies dans
l’immobilier en Moldavie…
Ou quand la CAF et le RSI financent des opérations de promotions
immobilières sans le savoir !
Durant son audition, la directrice de Tracfin, le service de renseignement
de Bercy, reviendra sur ce type de réseaux d’arnaque à la CNAF (Caisse
nationale des allocations familiales) et évoquera une note de renseignement où
« nous avons pu voir 29 allocataires concernés avec un seul collecteur. Nous
avons également une note portant sur 225 allocataires et un seul compte
bancaire à l’arrivée ».
Bien qu’il s’agirait d’un « phénomène restreint », celle-ci précise
toutefois qu’« en l’occurrence, la Roumanie était systématiquement le point
d’arrivée ».
Bien moins médiatique, le trafic de médicaments : En l’occurrence,
des personnes se faisaient rémunérer pour se faire prescrire des traitements
qui seront revendus à l’étranger.
« Un individu interpellé se faisait délivrer beaucoup de médicaments
très coûteux et les investigations ont permis de remonter à un commanditaire,
chez qui on a découvert une caverne d’Ali Baba : ordonnanciers vierges, plus de
500 boîtes de médicaments, des comprimés, tout cela parfaitement conditionné
pour alimenter un trafic vers l’Égypte », relate aux députés la cheffe de
la brigade de répression de la délinquance astucieuse (BRDA) au sein de la
Préfecture de police de Paris.
Autre fraude organisée aux prestations sociales, qui attire toute
l’attention en ces temps de chômage partiel : Celles auprès de l’URSSAF. En
somme, celles des entrepreneurs.
Dans le cas présent, les interlocuteurs des caisses s’attardent auprès des
députés sur un profil loin d’être celui du « col blanc » : Le président du
Conseil national des administrateurs judiciaires et des mandataires
judiciaires, détaille le procédé.
Il s’agit souvent de « sociétés éphémères, récurrentes dans des
secteurs d’activité comme le bâtiment ou la sécurité et impliquant des
communautés de personnes assez identifiées. Nous assistons à des demandes
d’ouverture de procédure collective, avec un nombre de salariés relativement
important souhaitant bénéficier de la prise en charge de l’AGS, du chômage, etc.
», malgré le manque total de preuve de la moindre activité.
« Les dirigeants de ces entreprises du bâtiment déclarant une trentaine
de personnes sont parfois des dirigeants de nationalité étrangère âgés de
dix-huit ou dix-neuf ans », ajoute-t-il.
Autre cas de figure, où une dimension plus « diplomatique » s’invite dans
ce rapport de la commission d’enquête : Celui des fraudes aux pensions de
retraite versées à l’étranger. Pas moins de 1,2 million de pensionnaires
seraient ainsi réputés en vie, le problème étant de s’assurer que c’est bien le
cas, c’est-à-dire de s’assurer que les documents transmis soient là encore
authentiques.
En tête de liste, des pays dits « à fort enjeu financier »,
c’est-à-dire regroupant un grand nombre de vrais et faux retraités, trône sans
conteste l’Algérie, avec plus de 400.000 pensionnés, soit trois fois plus que
le Portugal, qui arrive en seconde position.
L’Algérie cumule ainsi le plus grand nombre de centenaires, pour la CNAV…
Le problème, et non des
moindres, est que si la Caisse nationale d’assurance vieillesse (CNAV)
entretient depuis 2003 un partenariat de coopération administrative avec le
Maroc, il n’est en est rien avec le voisin algérien, bien au contraire !
« Nous avons été alertés sur de possibles fraudes à grande échelle dans
ce pays, reposant sur la falsification des certificats d’existence que doivent
transmettre tous les ans les pensionnés vivant hors de France après les avoir
fait viser par des autorités locales compétentes », soulignent les députés.
Les élus appellent ainsi à développer des contrôles sur place,
l’instauration de la biométrie pour s’assurer de la véracité des preuves de vie
ou encore à arrêter de verser sur des comptes gauloisiens ou européens de
telles aides, afin de faciliter le travail des services d’enquête. Car c’est
bien là l’enjeu du rapport : Mettre en lumière les lacunes du système en
matière de détections des fraudes.
Si les parlementaires soulignent que des progrès ont été réalisés ces
dernières années, ils regrettent que les efforts soient « inégaux » entre les
organismes.
Les députés appellent donc non seulement à un élargissement des
prérogatives des agents de ces organismes, mais également à une plus large coopération
entre ces derniers et les services de police.
Car si la fraude organisée aux prestations sociales « inquiète », par ses
enjeux financiers « considérables, mais mal évalués » (ils ont renoncé à
le faire…), c’est également par sa finalité.
En l’occurrence, que des sommes fraudées aux organismes sociaux arrivent
entre autres dans les caisses d’organisations terroristes !
Ce phénomène « concernerait particulièrement les prestations familiales
et les allocations chômage », notent-ils.
Appelé « noircissement », Le « Figue-à-rôt » (ce torchon de « francs-maks »
d’extrême-centre) l’avait d’ailleurs illustré fin octobre 2017, lorsqu’il
avait révélé que 20 % des djihadistes gauloisiens partis combattre en Syrie et
en Irak ont continué à toucher leurs allocations chômage et familiales entre
2012 et 2017, pour un pactole d’un demi-million d’euros !
Il s’agit d’une enquête menée par une section spécialisée de la brigade
anticriminalité et qui aurait mis à nu un vaste réseau d’escroquerie à la vente
par correspondance, au crédit à la consommation, ainsi que de fraudes aux
allocations chômage et aux prestations sociales.
En octobre 2014, un ancien député « Les Républicains-démocrates »
des Gauloisiens de l’étranger avaient déposé devant l’Assemblée une proposition
de résolution afin d’enquêter sur les abus d’allocations sociales à des « citoyens »
partis faire le djihad. Son comparse, lui-même ancien juge antiterroriste,
avait notamment souhaité qu’on recoupe les fichiers des caisses d’allocations
avec ceux des services de sécurité.
Une proposition jugée « absurde » et « aberrante » par
la place Beauvau, sous le gouvernement de « Menuet-Valse » (et la
présidence de « Tagada-à-la-fraise-des-bois »), dont le locataire précaire
n’était autre que « Nanar-Casa-Nova », futur « Premier sinistre »
éphémère : Merci à eux tous !
Certains journalistes achevaient crânement le travail en expliquant que
pour toucher des prestations sociales, il faut être sur le territoire de l’hexagone
et que par conséquent même des « Gauloisiens » partis combattre à
l'étranger nos propres troupes, payées par vos impôts, ne pouvaient pas
profiter de tels subsides.
Mon œil, oui !
Une argumentation qui ne tient pas : Alors qu’en 2013 déjà, des faits
similaires avaient été constatés au Mali, des circulaires vierges de Pôle
emploi ayant été retrouvées dans les caches des islamistes.
Pour l’ancien député et ancien ministre « LRD », « ce
qui est surprenant, c’est qu’on ait mis deux ans finalement, à découvrir ce qu’on
dénonçait (…) il y a déjà un certain temps ! »
« Pour être très clair, nous avions des informateurs anonymes, qui
étaient en réalité des employés dans les caisses d’allocations familiales, qui
avaient de forts doutes et puis je ne vous cache pas aussi que je suis allé un
certain nombre de fois en Syrie et qu’un certain nombre d’interlocuteurs nous
avaient dit avoir trouvé sur des Français et même sur des Tunisiens – si je me
souviens bien – des papiers prouvant qu'ils touchaient des allocations en
France. »
Des fraudes aux prestations sociales rendues possible par le concours des
familles des djihadistes qui, grâce à la carte d’identité de leurs proches, ont
pu continuer à percevoir les aides de la CAF et de Pôle emploi avant de leur
envoyer l’argent par mandats internationaux, explique le chef du groupe
financier de la Brigade criminelle.
Merci les « journaleux » !
Un mode opératoire – par procuration – que décrivait le député, justement
en octobre 2014 dans une interview au site d'information Atlantico. Des
liquidités d’autant plus bienvenues pour une organisation internationale ayant
juré la perte de l’Occident, qui était alors déjà en perte de vitesse, tant
territoriale que financière.
Dit autrement, c’est de l’argent du contribuable Gauloisien dans la poche
de djihadistes, un cas de figure qui n'inquiète personne : Où quand vos
impôts et cotisations financent le terrorisme…
Rappelons que Salah Abdeslam, qui travaillait comme cogérant d’un bar à
Molenbeek, avait malgré tout continué à toucher des aides de l’assurance
chômage belge…
Des fonds qui ont pu servir à financer en partie les attentats de Paris en
novembre 2015 et de Bruxelles en mars 2016, comme le soulignait le Wall Street
Journal au mois d’août de la même année, révélant que quatre autres terroristes
ayant participé à ces attentats avaient profité de subsides de l’État !
Un rapprochement qui n’avait pas été du goût des autorités belges, le
porte-parole du Premier ministre évoquant auprès du quotidien américain « un
raccourci intellectuel »… qui rend du jus !
Mais au-delà du cas de ces djihadistes, le rapport pointe aussi du doigt
un système « en roue libre », où les abus, tant pour des raisons
politiques que par manque d’effectifs, sont toujours plus nombreux.
Un secret de polichinelle qu’il est plus que jamais politiquement
incorrect de dénoncer.
« Cloclo-Gué-an » (ex-sinistre de l’ordre public du temps
de « Bling-bling »), en novembre 2011, en avait fait la douloureuse
expérience pour avoir critiqué ceux qui, après un passage rapide par la Gauloisie-solidaire,
repartaient vivre dans leurs contrées lointaines.
Mais ces fraudes ne sont pas l’apanage de résidents étrangers en Gauloisie-sociale,
puisque des « Gauloisiens-patriotes » résidant à l'étranger sont
également gourmands de subsides délivrés de manière peu contrôlée par les
organismes sociaux leur permettant de s’assurer un niveau de vie confortable.
Un comportement que dénonce aujourd’hui notre ex-député, qui revient sur
son expérience d’élu des Gauloisiens de l'étranger, tout particulièrement en
Asie du Sud-Est où certains expatriés n’ont pas hésité à lui avouer vivre sur
les allocations sociales, ne revenant au pays que tous les 18 mois pour se
soumettre aux rares contrôles d’une administration aujourd’hui surchargée.
« Finalement j'ai découvert qu’on pouvait rester près d’un an et demi
dans ces pays. Grâce à Internet, on peut répondre comme si on était dans son village,
à repousser les rendez-vous, à répondre n’importe quoi et on peut toucher les
prestations sociales en France pendant un an et demi sans le moindre contrôle
et sans la moindre présence et vous avez – je pèse les mots – des milliers de
personnes dans cette situation. »
Un manque de contrôles que fustige l’ancien député, prenant l’exemple des
déclarations mensuelles de l’assurance chômage effectuées en ligne : « Rien
ne vous empêche de le remplir en étant au fin fond de la Syrie, d’un pays
africain ou d’un pays en Asie. En réalité, tout cela fait qu’avec un système ou
le nombre d’assistés explose et où les employés sont débordés les contrôles
sont quasiment inexistants. Il faut vraiment beaucoup de malchance pour se
faire prendre. »
Alors, augmenter les mesures de contrôle ?
Une suggestion faite aux CAF par la Cour des comptes pas plus tard que cet
été.
Il faut dire que pour la seule année 2016, avec pas moins de 43.000
fraudes constatées, le montant des escroqueries aux seules allocations
familiales s'élevait à 275 millions d'euros (soit une augmentation de 8 % par
rapport à 2015).
Fin juillet, après un long travail d’enquête de la PAF, un réseau de 1.200
fraudeurs, étrangers, aux prestations sociales était démantelé dans les
Hauts-de-Gauloisie.
Montant du préjudice pour la région : Un million d’euros par mois !
Si les « politiques » semblent jusque-là s’accommoder de ces
largesses des finances publiques, reste à savoir jusqu’où vous allez les
tolérer, qui plus est dans un pays réputé pour son niveau record de
prélèvements obligatoires ainsi que pour l’intransigeance de son administration
fiscale à l’égard des contribuables.
Deux choses m’amusent : La première, c’est que finalement les
djihadistes vivent bien des subsides reçus d’une Nation qu’ils veulent détruire !
C’est dire le niveau intellectuel de ces terroristes-là…
Mais ils s’en foutent puisqu’ils participent ainsi à « dépecer »
financièrement la bête immonde qu’est à leurs yeux l’Occident qui, d’une façon
générale, ils abhorrent …
D’autant que comme il s’agit de votre pognon et que, finalement, même vos
dirigeants élus (ou non) et l’immense armée de vos fonctionnaires « dévoués
corps & âmes » à l’intérêt général du public bien compris, s’en
foutent également royalement : Ce n’est pas eux qui payent !
Plus drôle sera le jour où les uns (incapables de mettre fin à ces
scandales) et les autres furieux du financement « occultes » du
terrorisme international se réveilleront et exigeront, par « un raccourci
intellectuel » dont ils ont le secret, des compensations… internationales
jusqu’à prendre des mesures de rétorsions.
La « Gauloisie-des-Lumières » classée parmi les Nations qui
financent le terrorisme, je la trouve assez comique, finalement !
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