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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mardi 8 septembre 2020

Autres stupéfactions

Les parigots vont regretter le confinement…
 
J’étais sur le départ (ou déjà parti) quand le pote de « Gaby-Mamétzeff » (le pédophile adulé de la « gôche-caviar » et autres pervers pour qui ce n’était que de l’art, rien de plus), à savoir « Gi-rare », le DG (ou équivalent) de Yves-Saint-Laurent, Bergé-&-Co de chez LMVH, a jeté l’éponge d’avoir confondu les genres entre pognon des parigots et celui de son patron à gueuletonner avec « Gaby »…
Franchement, de prime abord, je n’en ai rien à cirer des détournements d’actifs sociaux ou de prises illégales d’intérêt : Ils ne sont pas très nombreux à rester honnêtes avec du « pognon pas à eux », ce n’est jamais qu’une confirmation de plus, même avec celui des autres pôvres-kouillons qui triment toute une vie pour leur payer leur « largesses d’esprit ».
 
Entre-temps, je suis tombé sur « Le consentement » de la belle Vanessa Springora dans un aéroport quelconque : Je l’ai lu d’une traite, sidéré, abasourdi (moâ qui ne sais pas lire pour avoir été à l’ékole pue-plique).
Et j’en suis sorti estomaqué en me disant qu’on devrait toujours se méfier, avant même le premier mot échangé, de toutes les « têtes à claques » !
« Gi-rare » en fait partie, donc je ne vais pas pleurer comme le fait « Sœur-Âne » (la kon !)
 
Constatons seulement que du coup, à peine réélue et pour compenser, elle a mis « le turbo » sur la transformation de Paris : « Ce mandat sera celui de la végétalisation de Paris », a-t-elle annoncé dans le Parisien cet été, après une campagne axée sur l’écologie, et une alliance avec les Verts dans l’entre-deux tours qui l’auront bien entubée (par tous les orifices) avec l’affaire de son adjoint à la « cul-culture » ci-dessus démissionné…
Tant pis, hein, c’est comme ça quand on ne sait pas s’entourer : Je l’avais prévenue il y a bien des années.
De quoi en rire, finalement : Il vaut mieux ça que d’en pleurer.
 
« On va agir très vite. Le Paris de demain sera radicalement différent du Paris d’aujourd’hui », confirme son adjoint aux transports, le « verdoyant » « David-Bralliard ».
Et voilà qu’après deux mois caniculaires, la mairesse veut prioriser les « îlots de fraîcheur » et remettre de la nature en ville (même si désormais il fait plutôt froid, approche de l’hiver oblige) : Faire entrer les vertes campagnes et les forêts dans l’univers minéral d’une ville, c’est sportif et là encore d’un comique pétulant !
Ils envisagent ainsi la création de trois nouveaux parcs, des rues végétalisées, la plantation de plus de 70.000 arbres… pas encore sortis de terre : Qui va-t-on déforester ?
Peut-être même qu’on fera pousser du lierre ou de la vigne-vierge sur les façades des immeubles classés : C’est bon pour les araignées !
 
Symbole de la révolution qui se déclenche : La place de l’Hôtel de Ville doit devenir, avec la place de l’Opéra, les abords des gares de Lyon et Austerlitz, et les berges de Seine, l’une de ces « forêts urbaines » à la gloire de « Paris-sur-Seine » et de « Sœur-Âne ».
Tant pis pour l’harmonie minérale du travail des hommes depuis plusieurs générations : Quand on a décidé de détester, c’est comme une religion de sectaires.
« Mais il y en aura plus encore en fin de mandature », ajoute-t-on au cabinet de « Chri-chri-Nage-dove-ski », adjoint à la végétalisation de Paris, lui que je me suis tamponné à « la petite-enfance » du temps de « De-la-Nuée ».
Sérieux le mek : Il était prof’ d’économie publique dans un lycée pourri de banlieue. Il aura peut-être évolué et appris à compter entre-temps, mais ce n’est pas certain.
 
Puisque le budget de la Ville est d’ailleurs en cours de négociation, la mairesse veut mettre 1 milliard d’euros sur la table au titre de « l’embellissement et la végétalisation » de la capitale alors qu’elle n’est pas capable d’entretenir correctement ce qui existe déjà et de nettoyer les trottoirs a minima.
D’autant que la crise du « Conard-virus » aura amputé ledit budget de plusieurs centaines de millions d’euros de recettes putatives : Un détail à ses yeux.
 
« Sœur-Âne » doit répondre au double cap qu’elle s’est fixée pour son deuxième mandat : Verdir Paris, et boucler ses vastes chantiers d’urbanisme avec en ligne de mire les Jeux Olympiques de 2024.
Après, il n’y aura plus qu’à y mettre des HLM… de votants « soces » (la technique du « cousin Jean » [Tiberi] qu’on foudroyait pour « clientélisme » : Je constate que rien ne change sur ce plan-là à « Paris-sur-la-Seine »…).
Bref, ça ne va pas être facile…
Rénovation du Grand Palais, construction du Grand Palais Éphémère sur le Champs de Mars, aménagement d’arbres sur les Champs-Élysées et le périphérique (qui attend sa piétonisation promise), toilettage d’une dizaine de places, déploiement de pistes cyclables protégées, pérennisation des 50 km de « corona-pistes »… qui devaient rester « provisoires » !
L’effet cliquet : Chez nous, le provisoire est appelé à durer en toutes circonstances, c’est une spécificité « Gauloisienne » reconnue dans le monde entier (qui nous admire et nous envie…)
 
Vous savez, ces couloirs réservés aux suicidaires qui se promènent sous les pluies hivernales juchés sur leur vélo sans masque ni même le moindre casque.
« Ma nichée » en a fait l’expérience, une fois, malgré l’interdiction de principe : Direct aux urgences ! Terminés les parcours en vélo ou trottinette.
Que j’ai quand même été surpris en rentrant dans « ma ville » par l’avenue du Général Leclerc : L’autoroute déboule directement à trois voies sur les maréchaux, bloquée par le tramway (trois rotations de feux rouges au lieu de deux) et devant s’enfiler sur l’avenue 2 fois une voie : Péage de Fleury-en-Bière à la porte d’Orléans (environ 50 km), 45 minutes. Porte d’Orléans-Denfert Rochereau, 2,1 km, 45 minutes…
Je peux dire que j’ai pollué tout autant, mais c’était plus dense sur la seconde partie du parcours !
Il y a deux voies de bus, deux voies partagées (avec les motos et cyclomoteurs) pour les véhicules motorisés et deux voies pour les vélos. Et comme on pense « solide » à leur confort et sécurité, la voie des bus est décalée des trottoirs, obligeant « l’usager » piétinant à traverser les deux voies-vélos : Il faut bien calculer son coup pour ne pas se faire renverser ou seulement houspiller…
 
Bref, respecter le calendrier – ultraserré dans un contexte d’épidémie et de menace planante de reconfinement – ça s’annonce particulièrement hasardeux.
Déjà, la crise du « Conard-virus » aura mis de gros chantiers à l’arrêt, comme la rénovation du musée Carnavalet, ou en Île-de-France, la construction de tronçons des lignes 15 et 16 du métro (qui ne seront pas prêtes pour les Jeux, contrairement aux promesses initiales).
Rappelons que le premier sextennat de « Sœur-Âne » s’était illustré par une gestion calamiteuse de la petite dizaine de milliers d’entreprises travaillant sur l’espace public : Chantiers laissés à l’abandon, lenteurs sur les projets phare comme la Maison de la Radio, la Bibliothèque nationale de France, la Gare Montparnasse ou le Théâtre de la Ville, retard sur les transports comme le Grand Paris Express et le prolongement de lignes de métro 4, 11, 12 et 14, du RER E, de la ligne 3 du tramway…
Elle s’était brillamment défaussée : C’est pas moâ, c’est l’autre ! « La Ville ne gère que 7 % des travaux à Paris », avait tenté de désamorcer la mairesse durant sa campagne.
Les 93 % restants étant le fruit de chantiers à caractère privé (ravalements de façade obligatoires décidés sur injonction de la Mairie ou constructions d’immeuble également autorisées par la mairie) ou, il est vrai, les opérateurs de réseaux de chauffage, gaz, électricité ou transports.
Reste que « Sœur-Âne » a pris acte de la colère des Parisiens en nommant un « adjoint aux chantiers » supposé gérer la pagaille.
On a bien depuis peu des sous-préfets à la relance et même un haut-commissaire général au plan…
Alors pourquoi pas, puisque c’est vous qui payez et que vous si généreux de nature !
 
Notez également que d’autres projets restent en suspens, comme la Tour Triangle, gratte-ciel de 180 mètres de haut à la porte de Versailles (15ème arrondissement), dont les travaux doivent commencer fin 2020, après plus de douze ans de polémiques.
Pareil pour la Gare du Nord, théâtre d’un bras de fer entre la Ville et l’État, dans la première semaine qui a suivi la réélection de la maire, début juillet.
Les « hidalgistes » se sont opposés à ce projet de 142.000 m² et ses galeries commerciales prévues dans la gare…
Alors que le préfet d’Ile-de-France vient d’en délivrer le permis de construire, contesté devant les tribunaux administratifs !
« Le gouvernement vient de s’inventer un Notre-Dame-des-Landes en plein Paris », avait aussitôt réagi le premier adjoint à la mairesse.
Et c’est sans compter le bordel de la réhabilitation de « Notre-drame-de-Paris ». Un chanter qui est l’affaire de l’État…
Et sa future zone commerciale dédiée exclusivement aux touristes en l’Île de la cité, sur l’emplacement de l’ex-palais de Justice, le tribunal de commerce et de la Sainte-Chapelle.
Tout cela va être charmant.
 
Dans le même temps (c’est à la mode le « en même temps »), le Paris de « Sœur-Âne » se dote d’ouvrages majestueux, comme la Samaritaine, attendue depuis une quinzaine d’années, la Bourse du Commerce de Paris, nouveau musée qui accueillera les collections d’art de François Pinault, ou l'hôtel de la Marine, sur la place de la Concorde.
De quoi redorer le blason d’une ville abîmée par les dernières grèves et les manifestations des « Gilets-jaunes » ?
Pas bien certain, bien au contraire.
Je vous parie d’ailleurs qu’ils vont revenir peu ou prou mettre la pagaille, tous ces gueux étonnés qu’on puissent claquer autant de fric en frivolités alors qu’ils vont refaire les « fins de mois dès le 5 du mois en cours »…
 
N’oublions pas que dans son premier mandat, elle n’a pas vraiment réussi à virer les rats qui pullulent, ni réduit la pollution. En revanche les embouteillages jusque sur le périphérique et dans la plupart de « mes raccourcis » de « petites-rues » ont réussi à faire reculer la fréquentation des commerces, grands et petits.
Et qu’elle a réussi à doubler l’endettement de la ville, mais à réduire l’offre de nuitées.
Pour la gestion des JO, on va pouvoir la voir à l’œuvre, mais vu son passif, soyez sûr que les parigots vont en caguer un long moment.
 
Tout ça pour la gloire de se retrouver dans la loge présidentielle des cérémonies d’ouverture et de clôture avec des têtes couronnées et/ou présidentielles à accueillir dignement devant 20 millions de spectateurs.
Pas sûr que ce soit suffisant : Quand elle a accueilli sa très gracieuse majesté britannique sous la pluie, elle avait son porte-flingue qui l’abritait avec un parapluie, pendant que la souveraine restait impassible sous la bruine, sans protection particulière… Un cliché qui a fait le tour du monde pour admirer « la classe » innée de « Sœur-Âne »
Et il n’y avait pas de mesure de « distanciation sociale », à l’époque…
 
Bref, 4 ans à en baver et des milliards qui vont s’évaporer.
Pas pour tout le monde, soyez-en sûrs.
Une période de calamités à venir : Ça me fait frémir…
Au moins, au temps du confinement, les rues étaient désertes, on dépensait un minimum, on n’avait pas de bruit, pas de pollution et on se signait des autorisations de sorties en veux-tu en voilà.
Ça avait quand même une autre gueule…

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