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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

lundi 11 février 2019

Ils ne sont pas bien nombreux à l’avoir noté…

Ils veulent vous apprendre votre propre « inutilité ».
 
Vous le savez depuis cette saillie de « Jupiter » : Vous coûtez « un pognon de dingue » !
Ce n’est pas une nouveauté… S’il y avait moins de « pôvre-sans-dents-qui-pue-le-diesel-et-la-clope », forcément, il y aurait plus de riches qui seraient encore plus riches que riche à n’avoir pas à financer les « inutiles » !
 
« Moussa-Dard-à-la-main », dit Gérard, « transfuge » des « Républicains-démocrates » n’a fait que « Sciences-Pô-Lille » : On ne lui a pas tout appris, alors il se rattrape depuis et s’est mis à vouloir apprendre à compter à tout le monde.
Personnellement, je me réjouis d’une telle ambition même s’il y a du boulot (vu le niveau actuel de la « Gauloisie-arithmétique »), mais j’estime que quand on fait (et re-signe jusqu’en 2020) « sinistres des comptes-publics » dans le civil, c’est un minimum que de savoir se servir d’une calculette (fusse-t-elle sous Windows : Merci une nouvelle fois à Bill Gates au passage !)
 
L’idée originale (encore un qui lit mes petits-posts plus souvent qu’il n’en avouera), c’est de s’attaquer aux « niches fiscales ». Mais pas pour les supprimer ou les « suspendre » comme je le propose, mais simplement de baisser le plafond global des niches de 10.000 euros !
Étonnant…
Car ça ne concerne qu’un petit-glaçon de la banquise, soit à l’heure actuelle, seulement 13.700 foyers pour une économie de 80 millions d’euros !
Les entreprises, qu’elles se rassurent, elles ne sont pas concernées. Pas tout de suite : On leur veut du bien…
Et 80 millions par rapport au 100 milliards annoncés, c’est tout juste une cacahouète…
Passons : Ce n’est pas comme ça qu’il va y arriver, mais c’est bien de commencer à l’envisager.
 
Donc, après l’impôt sur la fortune, la taxe d’habitation, la TVA à taux zéro, ce sont au tour des niches fiscales de faire leur entrée dans le grand débat…
Souvent évoqué dans les contributions, le sujet du plafonnement des niches a été mis sur la table par ledit « sinistre de l’Action et des Comptes publics », dans un entretien au « Parisien » lundi en huit : « Je propose que l’on revienne dessus en diminuant le plafond global des niches ou qu’on les mette sous condition de ressources pour qu’elles profitent aux classes moyennes et populaires plutôt qu’aux riches », déclare-t-il.
J’aime bien : 10.000 euros pour des « meks » qui gagnent 4.000 euros/mois (selon le critère de « Tagada-à-la-fraise-des-bois » avant qu’il ne fasse « Capitaine-de-pédalo », parce qu’après, il a été « riche pendant 5 ans » sans pour autant le dénoncer), c’est tout juste un bonus de 20 % moyennant dépenses éligibles d’au moins le double…
C’est plutôt le cas du « cadre sup’ » qui ont les moyens, pas du lambda au RSA.
Mais il est vrai, comme je vous l’avais indiqué que la niche, c’est finalement tous les « sans-dents » (et autre « Gilets-Jaunes ») qui la finance…
 
Or d’abord, souvent perçu comme un moyen de limiter les pertes de recettes, le plafonnement à 10.000 euros concerne en réalité seulement 14 milliards d’euros de niches fiscales des personnes physiques, alors que leur montant total tourne autour de 100 milliards (avons-nous déjà précisé). Les « dépenses fiscales », selon le terme de Bercy, recouvrent aussi bien les réductions d’impôts accordées aux particuliers que les taux de TVA réduits, les remboursements de TICPE ou encore le crédit impôt recherche…
Introduit en 2009, le plafond des niches fiscales a été progressivement abaissé. Initialement, il avait été fixé à 25.000 euros majorés de 10 % du revenu imposable puis a diminué par paliers à 18.000 euros majorés de 4 % du revenu. En 2013, les « soces » ont procédé à un coup de rabot majeur en fixant ce plafond à 10.000 euros pour tous. Depuis, les contribuables ne peuvent pas déduire plus de 10.000 euros de leur impôt au titre des niches fiscales.
À l'époque, le rapporteur du Budget, « Chri-chri-Équerre », reconnaissait déjà son caractère symbolique sur le plan budgétaire.
 
Notez que ce plafond concerne seulement une partie des niches. Parmi les plus emblématiques, on compte l’emploi à domicile (4,76 milliards de coût pour l’État), mais qui lui-même est déjà plafonné à 12.000 euros de dépenses annuelles, soit 6.000 euros de déduction maximale, sachant que ce plafond est majoré en fonction du nombre de personnes à charge.
Ainsi, seules les personnes qui cumulent plusieurs avantages fiscaux peuvent toucher le plafond de 10.000 euros : Celles qui réalisent en plus un investissement locatif ou des travaux de rénovation énergétique par exemple…
À noter que le plafond ne concerne que les opérations réalisées après 2013 pour des raisons de rétroactivité, ce qui limite aussi sa portée.
 
La loi fiscale prévoit un deuxième plafond à 18.000 euros pour les investissements dans l’Outre-mer (le « Girardin ») et le cinéma (Sofica). Enfin, certaines niches ont un plafond encore plus élevé comme le « Malraux » pour la restauration d'un immeuble bâti, ou le mécénat.
Les ménages aisés utilisent parfois d’autres moyens pour optimiser leur assiette fiscale, comme la location meublée, qui ne figure pas parmi les niches fiscales, mais bénéficie d’un régime propre aux microentreprises soumis aux BIC.
 
Ceci dit l’argument avancé est de dire que la moitié de ces 14 milliards concernent les 9 % des contribuables les plus aisés. Pourtant, seul un petit nombre de ménages atteint ce plafond à 10.000 euros. Selon les données de Bercy, cela concerne seulement 13.700 foyers qui ont dû renoncer à une partie de leur réduction d’impôt. Le gain pour les finances publiques s’élèverait à seulement 80 millions d’euros.
Et ce qui complique l’évaluation, c’est que certains ménages peuvent renoncer à des opérations de défiscalisation du fait du plafond, sans qu’on puisse vraiment le mesurer.
Si le gouvernement voulait clairement faire des économies sur ces niches fiscales, il faudrait abaisser nettement le plafond : Conséquences, on toucherait à l’emploi à domicile ou au logement, deux secteurs « sensibles » pour l’emploi, alors que ce sont surtout les classes moyennes supérieures qui bénéficient de ces niches, plutôt que les contribuables fortunés.
À rajouter aussi le fait que Bercy travaille à une mensualisation du crédit d’impôt pour l’emploi à domicile difficilement compatible avec le prélèvement à la source qui sera probablement transformé en aide directe.
Le plafonnement, dans ce cas, deviendrait inefficace.
Ce n’est plus du « calcul » arithmétique, mais un problème de logique du logiciel : Incompétent, manifestement, et largement…
D’autant qu’il est envisagé de mettre ces niches fiscales « sous condition de ressources ». La question est de savoir si une telle mesure passerait la rampe du Conseil constitutionnel : Problème de droit…
Kafkaïen.
 
Mais ce n’est pas tout : Dans le même entretien il s’est déclaré opposé au rétablissement de l’impôt solidaire sur la fortune (ISF) : « Vouloir taxer encore plus le capital, juste par idéologie fiscale, ça ne (marcherait) pas : ça ne donne même que de la pauvreté et du chômage (…) Je rappelle que seuls 45 % des Français sont imposables, et que les 10 % les plus aisés payent déjà 70 % du total de l’impôt sur le revenu ! ».
Ce qui n’est pas faux et, de façon assez étonnante, il leur en reste encore assez pour « en faire des tas », tel que ça rend jaloux et envieux tous les autres !
 
Et il va encore plus loin : Il propose aussi d’envoyer « chaque année à tous les Français le coût réel des services publics qu’ils ont utilisés, sous la forme d'une simulation personnalisée », afin que chacun prenne « conscience de la façon dont leurs impôts sont employés ».
Une « news » qui est passée relativement sous silence dans la « presse aux ordres » pour n’avoir pas été reprise, des fois qu’on applaudisse !
Ce n’est pourtant pas compliqué : Ses services se sont fendus d’un « camembert » pour expliquer à tout le monde à quoi servent 1.000 euros de dépensés pour le compte de chacun.
Je me souviens d’avoir déjà reçu ce genre d’information sous « Bling-bling » avec ma déclaration d’IR (à une époque reculée). Notez que d’un tableau à l’autre, les évaluations ne sont pas découpées de la même façon : Peu importe.
La réalité, c’est que ça coûte !
 
C’est là qu’ils en viennent sans le dire : On va vous envoyer la note de ce que vous rapportez à l’État et combien vous lui coûtez !
Comme ça, soyez-en sûrs, vous saurez que vous coûtez vraiment « un pognon de dingue », que vous n’êtes rien et que vous ne lui rapportez pas tripette pour la plupart d’entre vous !
En un mot bande d’illettrés, vous êtes des « inutiles » !
Pas la peine de la ramener, tiens donc…
Et on en viendra peut-être à ce que si vous passez plus de 5 ans passées à coûter plus que ce que vous versez au pot commun, l’État vous fera parvenir une capsule de cyanure à avaler devant les vœux méprisants de la République pour arrêter l’hémorragie et en terminer de coûter si cher à l’État à la fin de l’année fiscale…
Vous verrez !
 
Moi, j’admire le procédé : Il y en a qui doivent faire des loopings dans leur cercueil (quand ils en ont un), parce que vous ne serez pas étonné que je vous rappelle que les « inutiles », les régimes fascistes en faisait de la colle et des tresses.
Le fascisme, c’est la déshumanisation de l’autre.
C’est cela qui rend possible son massacre.
Si l’on massacrait les Juifs, les handicapés et les gays sous Hitler, c’est exactement, en tous cas pour les handicapés, parce qu’ils coûtaient « un pognon de dingue » et qu’ils ne servaient à rien…
C’était également vrai en Italie sous « Benito », en Roumanie sous les Ceausescu, au Cambodge sous Pol-Pot, en Chine sous Mao et la « bande des quatre » (et s’améliore en se servant désormais du « big-data », des réseaux et de l’IA), en Corée du Nord sous la dynastie des Kim, et j’imagine un peu partout ou un dictateur s’évertue à recourir par tous moyens au « bonheur de son peuple ».
Ils sont nés pour ça !
La « Tcheka » massacrait 3.500.000 « d’opposants » et en envoyaient autant dans les Goulags (et Goulaks… je me documente pour le prochain roman d’été…), que des « ennemis du peuple », issus… du peuple !
Les autres, ils étaient internés : Il fallait être fou pour s’opposer à un régime qui veut le bonheur de l’humanité toute entière !
 
Évidemment, pour l’heure, le gouvernement ne fait pas déjà dans des chambres à gaz pour chômeurs. Toutefois, ce qui reste inquiétant, c’est la dérive intellectuelle et sémantique qui reste terrifiante : Le fait même de laisser des dirigeants croire qu’ils peuvent penser que nous ne sommes rien et que nous coûtons trop cher est un pas dans une direction qu’on ne peut pas prendre !
Que je me demande, parce que ce n’est pas la première fois que les « petites-phrases » dénigre la qualité « d’humain normalement constitué » dans le propos de « Jupiter » et de sa clique, si je ne vais pas revenir pour participer aux mouvements de contestation qui gangrène le pays et le cervelet de nos « autistes-trisomiques »…
 
Il me semble indispensable de ne pas laisser s’installer cette façon de penser autrui. Une rhétorique terrible envahit le paysage politique du pays qui oublie que toute politique, tout responsable politique et/ou public, doit rester tournée vers le bien commun et le bien-être de tous.
Sans ça, on dépasse la simple « tyrannie-élective », on enjambe la « démocrature » pour aller sombrer dans la dictature-absolue et aveugle.
Attention, c’est en cours : Vous étiez prévenus.
Et ça devient contagieux plus vite que je ne l’imaginais en prenant des détours improbables…

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