Déjà déçu(e)s ? Pensez donc au « Propranolol » !
Je savais que ça existait, mais ce qui est nouveau, c’est
que la « pilule contre le chagrin d’amour » va arriver en « Gauloisie-des-cœurs-brisés » !
Un truc génial : Un seul cachet et ça atténue les
effets de toutes vos émotions !
Même les plus désastreuses et dévastatrices…
Si la pilule a été inventée par Luis Miramontes, un
chimiste mexicain né le 16 mars 1925 à Tepic (Nayarit – Mexique), décédé le 13
septembre 2004 à Mexico, le viagra par les laboratoires américains de Pfizer,
les canadiens ne sont pas en reste pour avoir mis au point une très sérieuse
thérapie à base de « propre-à-no-lol » et sont en train de former des
toubibs en Europe quant à son usage optimal.
Un chagrin d’amour, un chagrin d’estime, vous submerge
physiquement et moralement après une rupture, un divorce, une désillusion, un
coup de foudre sans lendemain … un petit comprimé et il n’y paraît plus rien !
Ou presque…
C’est la « pilule de l’oubli ».
En fait, un médicament, associé à une thérapie très
encadrée, que les victimes des attentats, notamment de ceux du 13 novembre 2015
à Paris, connaissent déjà.
Dans le cadre d’un essai clinique unique au monde, 360
d’entre elles, souffrant de stress post-traumatique, ont suivi ce protocole
innovant : Il a la capacité, non pas de détruire un souvenir, mais d’en
atténuer l’intensité négative !
Faut que j’en cause à mon boss et ses illusions
perdues sur le « Brexit »…
« Ce médoc m’a
sauvé la vie », avait confié Max, 55 ans. Ce Parigot-sur-la-Seine »
qui a accompagné jusqu’à son dernier souffle une des victimes des attentats du
13 Novembre (il était au café « À la Bonne Bibine ») a été le premier
patient à intégrer l’essai clinique « Paris Mémoire vive », mené par
l’Assistance publique-Hôpitaux de Paris.
Face aux résultats prometteurs, le chercheur canadien
Alain Brunet a élargi sa thérapie à la rupture amoureuse.
Encadré par un psychologue ou un psychiatre, le
patient prend un comprimé et écrit son souvenir traumatique.
Une heure plus tard, il lit son récit.
La pilule, un bêtabloquant, fait effet.
Elle interfère au moment où le souvenir passe de la
mémoire de court à long terme en lui faisant perdre de son intensité.
Le traumatisme reste mais devient un souvenir, certes
mauvais, mais vivable.
« Le chagrin
d’amour, cela a l’air léger. Et pour cause, il ne présente pas de menace
vitale. Mais si certaines personnes réagissent bien, pour d’autres, le sol se
dérobe sous leurs pieds. Il peut alors engendrer un trouble de l’adaptation, au
même titre que le stress post-traumatique. Ce sont des pensées répétitives, une
envie dévorante de pleurer, des nausées, de la détresse. C’est à ces patients
que la thérapie s’adresse », décrypte le praticien.
Et il forme depuis janvier des carabins-diplômés
Gauloisiens qui vont, comme lui, soigner les cœurs brisés de l’Hexagone.
Super !
J’aurai moins de remords à briser les espoirs de
toutes ses « folles-de-mon-corps », mais seulement à
Paris-sur-la-plage, pas encore à London…
Les futures divorcées, qui vivent parfois très mal comme
« d’une claque de première catégorie
» et perdent confiance en elles seront rassurées : « Le jour, je gardais mon côté rationnel mais la nuit, je faisais sans
cesse des cauchemars horribles. La fatigue s’accumulait, je limitais mes
sorties au strict minimum, je sursautais. J’étais comme sidérée », en
témoigne l’une d’elles.
Celle-là se rend à l’hôpital où le diagnostic de « stress
post-traumatique » est posé.
Elle aura intégré le dispositif du professeur-chercheur :
« C’était un peu dingue car pour moi,
c’était la thérapie des soldats en Afghanistan ! Je me suis dit, c’est sérieux,
académique, tente, tu n’as rien à perdre ».
Gagné ! En sept séances intenses, parfois très
difficiles, puis seize semaines de stabilisation, elle remontera la pente.
« La blessure
reste », note-t-elle, « mais
son impact est moins fort. Je ne rumine plus, j’avance ».
Mais reste qu’il est lui très difficile de « parler rupture ».
Si celle-là le fait aujourd’hui, « c’est parce que j’ai compris qu’il n’y a pas
de honte à souffrir d’une séparation. J’espère que d’autres oseront demander de
l’aide. »
C’est très drôle : Je me suis fait plaquer plus
qu’à mon tour et je n’ai jamais eu honte.
Tout juste une immense tristesse difficilement
surmontée, mais pas de « honte ».
De toute façon, j’avais bien pris conscience que « trop,
trop souvent (tout le temps), c’est trop » pour la plupart : Elles
aiment à avoir des temps de pause pour pouvoir récupérer…
Pas besoin de médoc pour comprendre ça…
Mais ça m’amuse et me déçoit en même temps.
Je m’explique…
D’habitude et surtout « chez les filles »,
les chagrins d’amour se transforment en « colères », dégoûts et
parfois violence.
Voire des « TS ».
Ou des boulimies ou encore de l’anorexie.
Ça se termine chez le psy et quelques calmants après
moult séances de « oh, mon nombril ! Serait-ce le centre du monde ? »,
ça peut « calmer ».
Mauvaise pioche : L’origine du monde, il faut
aller le chercher chez Gustave Courbet au Musée d’Orsay.
Et c’est en technicolor, en plus…
Et le meilleur remède c’est encore de tomber amoureux
d’un autre partenaire.
Tout le monde sait ça.
Bref, ça m’amuse parce que ça ôte de la bouche le pain
des psys.
Et puis avec cette « pilule de l’oubli »,
plus personne ne viendra se plaindre, désormais.
Mais je reste déçu : Moi, je fonds de voir un
oisillon tombé du nid de ces certitudes affectives et sentimentales.
Ce n’est pas que ce soit des « proies faciles »,
mais je préfère voir une femme sourire que pleurer.
Parce que (suivez bien le raisonnement) :
Après tout, Dieu a fait l’espèce humaine à Son image.
Bon, quand vous voyez les meks se mettre les doigts
dans le nez, se gratter les kouilles et les pieds sur la table dans le même
élan, se dilater la rate avec des vannes bidons, causer des bagnoles et des meufs
qu’ils n’auront jamais, aller faire les guignols sur les ronds-points déguisés
en schtroumpfs à « foie-jaune » au lieu de faire leur tiercé et critiquer
l’arbitrage de match où 22 « grands-garçons » jouent à la « baballe »
(une seule balle que ça fait des jaloux) en short-court et chaussettes
montantes sur un hectare de gazon réservé à leur délires, on se dit que Dieu,
il a dû bogué quelle que part…
Alors que quand on regarde une « poulie-fendue »
avec ses yeux de biche, ses maquillages et tenues enivrantes, ondulant lascivement
sous votre macula uniquement pour mettre en alerte votre seule neurone capable
d’activité cohérente (celui du nerf-honteux), il n’y a aucun doute, Dieu, s’il
doit ressembler à quelque chose faite à Son image, c’est à la femme, pas à l’homme.
D’ailleurs, la biologie le confirme : La paire « XX »
de ces dames contient un matériel génétique bien plus important que la petite paire
ridicule « Xy » des kouillus.
C’est mathématique…
Conclusion de ces observations hautement vérifiées, la
femme faites à l’image de Dieu, est bien Sa seule véritable réplique.
Placée au milieu du jardin d’Éden, elle avait tout
pour être heureuse, sauf que…
Sauf que, Dieu dans son éternité, Il s’est emmerdé de
toutes époques. C’est d’ailleurs pour ça que par jeu, Il a imaginé et créé l’Univers
entier en seulement une poignée de jours.
Vous connaissez l’histoire, je ne vous la refais pas.
Mais en créant la femme à Son image, Il lui aura
transmis ce défaut et Ève, dans son jardin, s’est mise à s’emmerder ferme tout
autant.
Immensément miséricordieux pour Sa créature, il lui a
donc fabriqué un « sex-toy » avec une de ses côtes flottantes et Son
souffle divin pour la distraire et ça aura été Adam !
Là encore, vous connaissez la suite.
C’est donc LA conclusion scientifique s’impose :
L’homme a été fait pour distraire la femme et être à son entier « bon
service » corps et âme !
Il ne peut pas en aller autrement.
L’ultime preuve : Si ces dames ciblées par
Cupidon s’en retrouvent « traumatisées » par mégarde, il aura bien fallu
un homme pour leur inventer le « Propre-à-no-LoL » et qu’elles
oublient leur tragique destin d’être les jouets de leurs jouets…
Logique.
Voilà qui est fait : Merci au Canada et aux
Canadiens !
Bonne fin de journée à toutes et à tous !
I3
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