Bienvenue !

Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

dimanche 17 février 2019

Alors, les Valentines et Valentins de jeudi dernier ?

Déjà déçu(e)s ? Pensez donc au « Propranolol » !
 
Je savais que ça existait, mais ce qui est nouveau, c’est que la « pilule contre le chagrin d’amour » va arriver en « Gauloisie-des-cœurs-brisés » !
Un truc génial : Un seul cachet et ça atténue les effets de toutes vos émotions !
Même les plus désastreuses et dévastatrices…
Si la pilule a été inventée par Luis Miramontes, un chimiste mexicain né le 16 mars 1925 à Tepic (Nayarit – Mexique), décédé le 13 septembre 2004 à Mexico, le viagra par les laboratoires américains de Pfizer, les canadiens ne sont pas en reste pour avoir mis au point une très sérieuse thérapie à base de « propre-à-no-lol » et sont en train de former des toubibs en Europe quant à son usage optimal.
 
Un chagrin d’amour, un chagrin d’estime, vous submerge physiquement et moralement après une rupture, un divorce, une désillusion, un coup de foudre sans lendemain … un petit comprimé et il n’y paraît plus rien !
Ou presque…
C’est la « pilule de l’oubli ».
 
En fait, un médicament, associé à une thérapie très encadrée, que les victimes des attentats, notamment de ceux du 13 novembre 2015 à Paris, connaissent déjà.
Dans le cadre d’un essai clinique unique au monde, 360 d’entre elles, souffrant de stress post-traumatique, ont suivi ce protocole innovant : Il a la capacité, non pas de détruire un souvenir, mais d’en atténuer l’intensité négative !
Faut que j’en cause à mon boss et ses illusions perdues sur le « Brexit »…
 
« Ce médoc m’a sauvé la vie », avait confié Max, 55 ans. Ce Parigot-sur-la-Seine » qui a accompagné jusqu’à son dernier souffle une des victimes des attentats du 13 Novembre (il était au café « À la Bonne Bibine ») a été le premier patient à intégrer l’essai clinique « Paris Mémoire vive », mené par l’Assistance publique-Hôpitaux de Paris.
Face aux résultats prometteurs, le chercheur canadien Alain Brunet a élargi sa thérapie à la rupture amoureuse.
Encadré par un psychologue ou un psychiatre, le patient prend un comprimé et écrit son souvenir traumatique.
Une heure plus tard, il lit son récit.
La pilule, un bêtabloquant, fait effet.
Elle interfère au moment où le souvenir passe de la mémoire de court à long terme en lui faisant perdre de son intensité.
Le traumatisme reste mais devient un souvenir, certes mauvais, mais vivable.
 
« Le chagrin d’amour, cela a l’air léger. Et pour cause, il ne présente pas de menace vitale. Mais si certaines personnes réagissent bien, pour d’autres, le sol se dérobe sous leurs pieds. Il peut alors engendrer un trouble de l’adaptation, au même titre que le stress post-traumatique. Ce sont des pensées répétitives, une envie dévorante de pleurer, des nausées, de la détresse. C’est à ces patients que la thérapie s’adresse », décrypte le praticien.
Et il forme depuis janvier des carabins-diplômés Gauloisiens qui vont, comme lui, soigner les cœurs brisés de l’Hexagone.
Super !
J’aurai moins de remords à briser les espoirs de toutes ses « folles-de-mon-corps », mais seulement à Paris-sur-la-plage, pas encore à London…
 
Les futures divorcées, qui vivent parfois très mal comme « d’une claque de première catégorie » et perdent confiance en elles seront rassurées : « Le jour, je gardais mon côté rationnel mais la nuit, je faisais sans cesse des cauchemars horribles. La fatigue s’accumulait, je limitais mes sorties au strict minimum, je sursautais. J’étais comme sidérée », en témoigne l’une d’elles.
Celle-là se rend à l’hôpital où le diagnostic de « stress post-traumatique » est posé.
Elle aura intégré le dispositif du professeur-chercheur : « C’était un peu dingue car pour moi, c’était la thérapie des soldats en Afghanistan ! Je me suis dit, c’est sérieux, académique, tente, tu n’as rien à perdre ».
Gagné ! En sept séances intenses, parfois très difficiles, puis seize semaines de stabilisation, elle remontera la pente.
« La blessure reste », note-t-elle, « mais son impact est moins fort. Je ne rumine plus, j’avance ».
Mais reste qu’il est lui très difficile de « parler rupture ».
Si celle-là le fait aujourd’hui, « c’est parce que j’ai compris qu’il n’y a pas de honte à souffrir d’une séparation. J’espère que d’autres oseront demander de l’aide. »
 
C’est très drôle : Je me suis fait plaquer plus qu’à mon tour et je n’ai jamais eu honte.
Tout juste une immense tristesse difficilement surmontée, mais pas de « honte ».
De toute façon, j’avais bien pris conscience que « trop, trop souvent (tout le temps), c’est trop » pour la plupart : Elles aiment à avoir des temps de pause pour pouvoir récupérer…
Pas besoin de médoc pour comprendre ça…
Mais ça m’amuse et me déçoit en même temps.
Je m’explique…
 
D’habitude et surtout « chez les filles », les chagrins d’amour se transforment en « colères », dégoûts et parfois violence.
Voire des « TS ».
Ou des boulimies ou encore de l’anorexie.
Ça se termine chez le psy et quelques calmants après moult séances de « oh, mon nombril ! Serait-ce le centre du monde ? », ça peut « calmer ».
Mauvaise pioche : L’origine du monde, il faut aller le chercher chez Gustave Courbet au Musée d’Orsay.
Et c’est en technicolor, en plus…
Et le meilleur remède c’est encore de tomber amoureux d’un autre partenaire.
Tout le monde sait ça.
 
Bref, ça m’amuse parce que ça ôte de la bouche le pain des psys.
Et puis avec cette « pilule de l’oubli », plus personne ne viendra se plaindre, désormais.
Mais je reste déçu : Moi, je fonds de voir un oisillon tombé du nid de ces certitudes affectives et sentimentales.
Ce n’est pas que ce soit des « proies faciles », mais je préfère voir une femme sourire que pleurer.
 
Parce que (suivez bien le raisonnement) :
Après tout, Dieu a fait l’espèce humaine à Son image.
Bon, quand vous voyez les meks se mettre les doigts dans le nez, se gratter les kouilles et les pieds sur la table dans le même élan, se dilater la rate avec des vannes bidons, causer des bagnoles et des meufs qu’ils n’auront jamais, aller faire les guignols sur les ronds-points déguisés en schtroumpfs à « foie-jaune » au lieu de faire leur tiercé et critiquer l’arbitrage de match où 22 « grands-garçons » jouent à la « baballe » (une seule balle que ça fait des jaloux) en short-court et chaussettes montantes sur un hectare de gazon réservé à leur délires, on se dit que Dieu, il a dû bogué quelle que part…
 
Alors que quand on regarde une « poulie-fendue » avec ses yeux de biche, ses maquillages et tenues enivrantes, ondulant lascivement sous votre macula uniquement pour mettre en alerte votre seule neurone capable d’activité cohérente (celui du nerf-honteux), il n’y a aucun doute, Dieu, s’il doit ressembler à quelque chose faite à Son image, c’est à la femme, pas à l’homme.
D’ailleurs, la biologie le confirme : La paire « XX » de ces dames contient un matériel génétique bien plus important que la petite paire ridicule « Xy » des kouillus.
C’est mathématique…
Conclusion de ces observations hautement vérifiées, la femme faites à l’image de Dieu, est bien Sa seule véritable réplique.
Placée au milieu du jardin d’Éden, elle avait tout pour être heureuse, sauf que…
 
Sauf que, Dieu dans son éternité, Il s’est emmerdé de toutes époques. C’est d’ailleurs pour ça que par jeu, Il a imaginé et créé l’Univers entier en seulement une poignée de jours.
Vous connaissez l’histoire, je ne vous la refais pas.
Mais en créant la femme à Son image, Il lui aura transmis ce défaut et Ève, dans son jardin, s’est mise à s’emmerder ferme tout autant.
Immensément miséricordieux pour Sa créature, il lui a donc fabriqué un « sex-toy » avec une de ses côtes flottantes et Son souffle divin pour la distraire et ça aura été Adam !
Là encore, vous connaissez la suite.
C’est donc LA conclusion scientifique s’impose : L’homme a été fait pour distraire la femme et être à son entier « bon service » corps et âme !
Il ne peut pas en aller autrement.
 
L’ultime preuve : Si ces dames ciblées par Cupidon s’en retrouvent « traumatisées » par mégarde, il aura bien fallu un homme pour leur inventer le « Propre-à-no-LoL » et qu’elles oublient leur tragique destin d’être les jouets de leurs jouets…
Logique.
Voilà qui est fait : Merci au Canada et aux Canadiens !
 
Bonne fin de journée à toutes et à tous !
 
I3

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire