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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 15 février 2019

Diverses…

Selon Jean-Marc
 
En classe, la prof demande aux étudiantes d’écrire un texte, le plus court possible, dans lequel on parlera de religion, de mystère et de sexualité.
« – Facile !
– Qui a dit ça ?
– C’est moi », dit Marie-Hélène, très fière de l’effet de surprise ainsi provoqué.
« – Ah oui ? Alors est-ce qu’on peut t’écouter ?
– Mon dieu, je suis enceinte, mais de qui ? »
 
« Dieu nous a donné
2 jambes pour marcher
2 oreilles pour écouter
2 yeux pour voir
2 mains pour tenir
Et un seul cœur ?
Pour que nous trouvions le 2ème nous-mêmes ! »
 
Un homme s’évade de prison après 15 ans.
Il entre dans une maison pour voler de l’argent et un fusil.
Il trouve un jeune couple au lit.
Il ordonne à l’homme de sortir du lit et l’attache à une chaise.
Il attache ensuite la femme au lit.
Il se met dessus et l’embrasse dans le cou.
Ensuite il se lève et s’en va dans la salle de bain.
Le mari tout affolé en profite pour dire à sa femme :
« Écoute ma chérie, c’est un évadé de prison, regarde ses vêtements.
Cela doit faire longtemps qu’il n’a pas vu de femme. J’ai vu comment il t’embrassait dans le cou.
S’il veut du sexe, ne résiste pas, fais ce qu’il veut.
Donne-lui satisfaction même si ça te répugne.
S’il se fâche, il peut nous tuer.
Sois forte chérie.
Je t’aime. »
Sa femme lui répond :
« Il ne m’embrassait pas dans le cou, il m’a chuchoté a l’oreille qu’il était gay, qu’il te trouvait de son goût et voulait savoir si on avait de la vaseline.
Je lui ai dit oui, dans la salle de bain.
Sois fort chéri… Je t’aime ! »
 
Dans l’immeuble, Germaine, l’épouse de Jean-Marc et leur petit garçon croisent leur jolie voisine.
« – Dis bonjour à la dame et fais-lui un bisou.
– NON !
– Allons, pourquoi ne veux-tu pas embrasser la dame ?
– Parce que papa a essayé hier et il a reçu une paire de gifles. »
 
« – Germaine, comme nous étions heureux il y a 15 ans…
– Mais Jean-Marc, nous ne nous connaissions pas, il y a 15 ans !
– Justement, Germaine, justement… »
 
Une histoire « revenue » (mais enrichie), arrivée dans une toute petite ville bretonne.
Une histoire à la Alfred Hitchcock.
Terrifiante !
Une nuit sans lune, Jean-Marc marche sur une route.
Il pleut.
Les rafales de vent et de pluie sont terribles.
Jean-Marc peine à voir devant lui.
Soudain, il aperçoit une auto qui s’approche, très lentement, et qui arrête à sa hauteur.
Jean-Marc en profite immédiatement, ouvre la portière et monte dans la voiture pour se mettre à l’abri et remercie l’âme charitable qui a eu pitié de sa situation. Sauf qu’une fois bien assis, il constate qu’il n’a personne derrière le volant.
Et la voiture commence à rouler lentement.
Jean-Marc regarde éberlué la route devant lui, et aperçoit une courbe très prononcée qui s’approche.
Pétrifié, il commence à prier pour sa vie.
Juste avant la courbe, une main passe par la fenêtre et tourne le volant dans la bonne direction.
Jean-Marc, paralysé par la peur, regarde la main qui réapparaît chaque fois qu’on approche d’une courbe.
Il est atteint d’une peur blanche.
L’effroi.
Il ouvre la bouche pour crier, mais pas un seul mot n’arrive de sortir de sa gorge.
Il tremble.
N’en pouvant plus, les yeux affolés, il ouvre la portière et saute sur la route.
Sans regarder derrière lui, Jean-Marc fonce dans la nuit, le vent, la pluie, le froid, sans se retourner, ni s’arrêter.
Il voit enfin des lumières, et d’un pas rapide, il approche d’un petit bar à l’allure sinistre.
Exténué, à bout de souffle, il pousse la porte, s’approche du bar, et demande un rhum.
« Faites-le double, s’il vous plait ! »
Il avale les deux verres, et en demande un second.
Encore tremblant de peur, il raconte son histoire à tout le monde.
Il voit encore l’image de la main qui tourne le volant.
Une grosse main, puissante, et velue.
Le groupe, autour de l’homme, écoute son histoire, en silence, terrifiés…
Dehors, le vent rafale toujours.
La pluie s’écrase sur les fenêtres.
Jean-Marc commande un autre double-rhum et se met à pleurer.
« J’ai peur. Je ne comprends pas… »
Une demi-heure plus tard, deux gars entrent dans le bar.
Mouillés, les cheveux plaqués sur le visage, ils s’attablent et commande une bière. Soudain, l’un d’entre eux s’écrie :
« Hé, té ! Mais c’est le cinglé qui est monté dans l’auto pendent qu’on l’a poussait, là ! »
 
« Un optimiste attends Minuit pour être certain que la nouvelle année est arrivée !
Un pessimiste attends Minuit pour être certain que la vieille année et bien partie. »
 
Jean-Marc consulte un psychanalyste pour une première fois.
Le médecin l’interroge:
« – Depuis quand avez-vous envie de faire l’amour avec votre mère ?
– Hé, oh ! Qu’est-ce que c’est que ça ? Je n’ai jamais dit ça!
– Woah », rugit le psy, « si vous ne vous montrez pas plus coopératif, comment voulez-vous que je vous soigne ! »
 
Germaine, complètement paniquée, appelle son médecin en urgence et lui dit :
« – Docteur, docteur ! Je me faisais bronzer dans mon jardin et une abeille est entrée dans mon vagin !
– Ah… bon alors écoutez-moi, il faut dire à votre mari de se mettre de la confiture sur le sexe et d’attirer l’abeille vers l’extérieur.
– Mais docteur, Jean-Marc, mon mari n’est pas là !
– Dans ce cas, je vais devoir intervenir, ne bougez pas, Madame, j’arrive ! »
Le praticien se rend chez Germaine et sonne à la porte.
Elle lui ouvre, tout juste vêtue d’une robe de chambre.
Ébloui le médecin lui bafouille :
« Bon… Bonjour Madame. Donnez-moi un pot de confiture et allez-vous allonger sur le lit. »
Germaine femme lui donne le pot, se dirige vers la chambre, ôte sa robe de chambre, s’allonge sur le dos et écarte les cuisses.
La voyant dans cette position, le médecin a toutes les peines du monde à garder son sang-froid.
Il s’approche d’elle en essayant de cacher tant bien que mal l’énorme bosse que fait son pantalon…
Il ouvre le pot de confiture, mais…
Submergé par le désir, ne pouvant plus résister à ses pulsions, le médecin dégrafe prestement son pantalon, et introduit d’un coup son pénis dans le sexe de Germaine et commence à lui faire furieusement l’amour.
« – Mais enfin docteur ! Que faites-vous ?
– J’ai changé de technique madame ! D’abord, je l’assomme, et ensuite, je la noie ! »
 
« Ma femme est stupide » dit Jean-Paul à Jean-Marc.
– Et pourquoi donc ?
– Elle a acheté un climatiseur…
– Pourquoi dis-tu qu’elle est stupide ? Elle ne veut pas que tu aies trop chaud, c’est tout !
– Elle est stupide, on nous a coupé le courant électrique !
– Ce n’est rien, la mienne a dépensé une fortune » rapporte Jean-Marc. « Elle a acheté une laveuse et une sécheuse !
– Ben… Ce n’est pas si stupide, ça !
– Oui, mais nous n’avons même pas de plomberie à la maison !
– La mienne est pire que les vôtres » affirme Jean-Jacques ! « J’ai vu un gros paquet de condoms dans son sac à main ! 
– Et alors. Elle est prudente. Ce n’est pas stupide !
– Mais si : Elle n’a même pas de pénis ! »
 
C’est Jean-Marc qui ne va pas bien du tout.
Il se rend à l’hôpital et après une foultitude de tests, le médecin lui dit :
« J’ai des mauvaises nouvelles pour vous… Vous avez la syphilis, lèpre et le SIDA ! »
Jean-Marc qui ne s’y attendait pas est effondré :
« – Oh mon Dieu, et qu’est-ce que vous pouvez faire ?
– Pas grand-chose malheureusement. Vous devrez rester à l’hôpital et on vous prescrira un régime alimentaire à base de crêpes, de soles et de pizzas.
– Et comment est-ce que tout ça va me sauver ?
– Je ne sais pas, mais en tous cas ce sont des aliments qu’on peut facilement glisser sous la porte. »
 
C’est Jean-Paul qui est malade et qui va voir son docteur.
Alors qu’il patiente dans la salle d’attente, il voit sortir une nonne de la salle de consultation.
Elle a l’air effondrée et hagarde.
Lorsque le docteur le fait rentrer, le gars lui demande :
« – Je viens de voir sortir une nonne de chez vous. Elle avait l’air vraiment mal en point. Je n’ai jamais vu quelqu’un avec une si mauvaise mine !
– Ah oui ? Je venais de lui dire qu’elle était enceinte…
– Non ! C’est pas vrai ? Une nonne !
– Non, bien sûr que non, elle n’est pas enceinte, mais ça lui a fait passer son hoquet. »
 
Alors qu’ils sont sur le point de se séparer après une partie de poker nocturne, Jean-Marc et Jean-Paul discutent :
Le second dit au premier :
« Je n’arrive jamais à berner ma femme : J’éteins le moteur de la voiture et je laisse dérouler la voiture en roue libre dans le garage, je retire mes chaussures, je monte sans bruit à l’étage et je me déshabille dans la salle de bains… et ben, à chaque fois, elle se réveille et se met à hurler que je rentre trop tard, que je devrais être honteux de la laisser toute seule à la maison pendant que je vais m’amuser etc…
– Tu as tout faux ! Tu devrais faire comme moi. J’accélère un bon coup en rentrant la voiture dans le garage, je claque toutes les portes, je fais du bruit avec les pieds dans les escaliers, je me déshabille dans la chambre, je fais du bruit dans la salle de bains, et quand je me mets au lit, je lui mets la main au cul en disant « Qu’est-ce que tu dirais d’un petit coup de bite ? »… Et là, c’est marrant, mais elle fait toujours semblant de dormir. »
 
Les deux mêmes, au bar d’un hôtel.
« – Tu as vu, là-bas au fond du salon. Quel est ton type de femme ? La brune ou la blonde ?
– Celle qui dit oui. »
 
Ça se passe à Moscou, alors que les communistes sont encore au pouvoir…
Un ouvrier russe raconte à un camarade de travail :
« – Tu te rappelles qu’hier, à la suite d’une avarie dans une machine, on nous avait libérés plus tôt.
– En effet.
– En arrivant à la maison, qu’est-ce que je trouve ? Ma femme au lit avec un flic du KGB. (Service secret)
– Qu’a-t-il dit ?
– Par chance il ne m’a pas vu. Sinon, on m’aurait envoyé pour dix ans dans un camp de concentration en Sibérie pour espionnage. »
 
Philosophie de Jean-Marc :
« On réalise qu’on est vieux quand, à la suite d’un coup de vent qui dévoile les cuisses d’une jolie femme, on a des souvenirs plutôt que des désirs… »
 
Et aussi :
« Toutes les femmes cherchent l’homme idéal, mais les plus intelligentes se marient. »
 
Nos deux compères :
« – Non mais peux-tu me dire comment cette femme-là est devenue si riche ?
Elle ne travaille pas, n’a pas de commerce, elle vient d’une famille pauvre et n’a pas de diplôme.
Je sais, on pourrait penser qu’elle aurait une vie secrète, mais ce n’est même pas le cas.
– Simple, elle vient de réussir son troisième divorce. »
 
Un couple fait chambre à part.
Soudain, en pleine nuit, la femme appelle au secours.
Jean-Paul, son mari se lève d’un bond, se précipite et aperçoit une ombre s’éloigner dans le jardin.
« – Chéri », dit la femme, « un type est entré dans la chambre et il m’a violée 2 fois !
– 2 fois ? Mais pourquoi n’as-tu pas appelé dès le début ?
– La première fois, dans le noir, j’ai cru que c’était toi. C’est quand il a recommencé que j’ai compris que c’était quelqu’un d’autre ! »
 
En quittant la piscine avec les élèves de sa classe, Lætitia (7 ans) a oublié sa serviette de bain.
N’acceptant pas une explication aussi simple, sa mère, furieuse, appelle la maîtresse, en hurlant, dans le téléphone :
« – Il y a un voleur ou une voleuse, parmi les camarades de ma fille et je ne peux pas supporter l’idée de cette malhonnêteté.
– On va la retrouver, cette serviette », dit paisiblement la maîtresse.
« – Pouvez-vous me la décrire ?
– Elle mesure environ 1,60 mètre sur 80, elle est en coton blanc avec, inscrit dessus, en lettres bleues : Carlton – Lille ».
 
Bon week-end à toutes et à tous !
 
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