Selon
Jean-Marc
En classe, la prof demande aux étudiantes d’écrire un texte, le plus court
possible, dans lequel on parlera de religion, de mystère et de sexualité.
« – Facile !
– Qui a dit ça ?
– C’est moi », dit Marie-Hélène, très fière
de l’effet de surprise ainsi provoqué.
« – Ah oui ? Alors est-ce qu’on
peut t’écouter ?
– Mon
dieu, je suis enceinte, mais de qui ? »
« Dieu nous a donné
2 jambes pour marcher
2 oreilles pour écouter
2 yeux pour voir
2 mains pour tenir
Et un seul cœur ?
Pour que nous trouvions
le 2ème nous-mêmes ! »
Un homme s’évade de prison après 15 ans.
Il entre dans une maison pour voler de l’argent et un fusil.
Il trouve un jeune couple au lit.
Il ordonne à l’homme de sortir du lit et l’attache à une chaise.
Il attache ensuite la femme au lit.
Il se met dessus et l’embrasse dans le cou.
Ensuite il se lève et s’en va dans la salle de bain.
Le mari tout affolé en profite pour dire à sa femme :
« Écoute ma chérie, c’est un
évadé de prison, regarde ses vêtements.
Cela doit faire longtemps
qu’il n’a pas vu de femme. J’ai vu comment il t’embrassait dans le cou.
S’il veut du sexe, ne
résiste pas, fais ce qu’il veut.
Donne-lui satisfaction
même si ça te répugne.
S’il se fâche, il peut
nous tuer.
Sois forte chérie.
Je t’aime. »
Sa femme lui répond :
« Il ne m’embrassait pas dans
le cou, il m’a chuchoté a l’oreille qu’il était gay, qu’il te trouvait de son
goût et voulait savoir si on avait de la vaseline.
Je lui ai dit oui, dans
la salle de bain.
Sois fort chéri… Je
t’aime ! »
Dans l’immeuble, Germaine, l’épouse de Jean-Marc et leur petit garçon croisent leur jolie voisine.
« – Dis bonjour à la dame et
fais-lui un bisou.
– NON !
– Allons, pourquoi ne
veux-tu pas embrasser la dame ?
– Parce que papa a essayé
hier et il a reçu une paire de gifles. »
« – Germaine, comme nous étions
heureux il y a 15 ans…
– Mais Jean-Marc, nous ne
nous connaissions pas, il y a 15 ans !
– Justement, Germaine,
justement… »
Une histoire « revenue » (mais enrichie), arrivée dans une toute
petite ville bretonne.
Une histoire à la Alfred Hitchcock.
Terrifiante !
Une nuit sans lune, Jean-Marc
marche sur une route.
Il pleut.
Les rafales de vent et de pluie sont terribles.
Jean-Marc peine à voir devant lui.
Soudain, il aperçoit une auto qui s’approche, très lentement, et qui
arrête à sa hauteur.
Jean-Marc en profite immédiatement, ouvre la portière et monte dans la
voiture pour se mettre à l’abri et remercie l’âme charitable qui a eu pitié de
sa situation. Sauf qu’une fois bien assis, il constate qu’il n’a personne
derrière le volant.
Et la voiture commence à rouler lentement.
Jean-Marc regarde éberlué la route devant lui, et aperçoit une courbe très
prononcée qui s’approche.
Pétrifié, il commence à prier pour sa vie.
Juste avant la courbe, une main passe par la fenêtre et tourne le volant
dans la bonne direction.
Jean-Marc, paralysé par la peur, regarde la main qui réapparaît chaque
fois qu’on approche d’une courbe.
Il est atteint d’une peur blanche.
L’effroi.
Il ouvre la bouche pour crier, mais pas un seul mot n’arrive de sortir de
sa gorge.
Il tremble.
N’en pouvant plus, les yeux affolés, il ouvre la portière et saute sur la
route.
Sans regarder derrière lui, Jean-Marc fonce dans la nuit, le vent, la
pluie, le froid, sans se retourner, ni s’arrêter.
Il voit enfin des lumières, et d’un pas rapide, il approche d’un petit bar
à l’allure sinistre.
Exténué, à bout de souffle, il pousse la porte, s’approche du bar, et
demande un rhum.
« Faites-le double, s’il vous
plait ! »
Il avale les deux verres, et en demande un second.
Encore tremblant de peur, il raconte son histoire à tout le monde.
Il voit encore l’image de la main qui tourne le volant.
Une grosse main, puissante, et velue.
Le groupe, autour de l’homme, écoute son histoire, en silence, terrifiés…
Dehors, le vent rafale toujours.
La pluie s’écrase sur les fenêtres.
Jean-Marc commande un autre double-rhum et se met à pleurer.
« J’ai peur. Je ne comprends
pas… »
Une demi-heure plus tard, deux gars entrent dans le bar.
Mouillés, les cheveux plaqués sur le visage, ils s’attablent et commande une
bière. Soudain, l’un d’entre eux s’écrie :
« Hé, té ! Mais c’est le cinglé
qui est monté dans l’auto pendent qu’on l’a poussait, là ! »
« Un optimiste attends Minuit
pour être certain que la nouvelle année est arrivée !
Un pessimiste attends
Minuit pour être certain que la vieille année et bien partie. »
Jean-Marc consulte un psychanalyste pour une
première fois.
Le médecin l’interroge:
« – Depuis quand avez-vous
envie de faire l’amour avec votre mère ?
– Hé, oh ! Qu’est-ce
que c’est que ça ? Je n’ai jamais dit ça!
– Woah », rugit le psy, « si vous ne vous montrez pas plus coopératif,
comment voulez-vous que je vous soigne ! »
Germaine, complètement paniquée, appelle son médecin en urgence et lui dit
:
« – Docteur, docteur ! Je me
faisais bronzer dans mon jardin et une abeille est entrée dans mon vagin !
– Ah… bon alors
écoutez-moi, il faut dire à votre mari de se mettre de la confiture sur le sexe
et d’attirer l’abeille vers l’extérieur.
– Mais docteur, Jean-Marc, mon mari n’est pas là !
– Dans ce cas, je vais
devoir intervenir, ne bougez pas, Madame, j’arrive ! »
Le praticien se rend chez Germaine et sonne à la porte.
Elle lui ouvre, tout juste vêtue d’une robe de chambre.
Ébloui le médecin lui bafouille :
« Bon… Bonjour Madame. Donnez-moi un
pot de confiture et allez-vous allonger sur le lit. »
Germaine femme lui donne le pot, se dirige vers la chambre, ôte sa robe de
chambre, s’allonge sur le dos et écarte les cuisses.
La voyant dans cette position, le médecin a toutes les peines du monde à
garder son sang-froid.
Il s’approche d’elle en essayant de cacher tant bien que mal l’énorme
bosse que fait son pantalon…
Il ouvre le pot de confiture, mais…
Submergé par le désir, ne pouvant plus résister à ses pulsions, le médecin
dégrafe prestement son pantalon, et introduit d’un coup son pénis dans le sexe
de Germaine et commence à lui faire furieusement l’amour.
« – Mais enfin docteur ! Que
faites-vous ?
– J’ai changé de
technique madame ! D’abord, je l’assomme, et ensuite, je la noie ! »
« Ma femme est stupide »
dit Jean-Paul à Jean-Marc.
– Et pourquoi donc ?
– Elle a acheté un
climatiseur…
– Pourquoi dis-tu qu’elle
est stupide ? Elle ne veut pas que tu aies trop chaud, c’est tout !
– Elle est stupide, on
nous a coupé le courant électrique !
– Ce n’est rien, la
mienne a dépensé une fortune » rapporte Jean-Marc. « Elle
a acheté une laveuse et une sécheuse !
– Ben… Ce n’est pas si stupide,
ça !
– Oui, mais nous n’avons
même pas de plomberie à la maison !
– La mienne est pire que
les vôtres » affirme
Jean-Jacques ! « J’ai vu un gros
paquet de condoms dans son sac à main !
– Et alors. Elle est
prudente. Ce n’est pas stupide !
– Mais si : Elle n’a
même pas de pénis ! »
C’est Jean-Marc qui ne va pas
bien du tout.
Il se rend à l’hôpital et après une foultitude de tests, le médecin lui
dit :
« J’ai des mauvaises nouvelles
pour vous… Vous avez la syphilis, lèpre et le SIDA ! »
Jean-Marc qui ne s’y attendait pas est effondré :
« – Oh mon Dieu, et qu’est-ce
que vous pouvez faire ?
– Pas grand-chose
malheureusement. Vous devrez rester à l’hôpital et on vous prescrira un régime
alimentaire à base de crêpes, de soles et de pizzas.
– Et comment est-ce que
tout ça va me sauver ?
– Je ne sais pas, mais en
tous cas ce sont des aliments qu’on peut facilement glisser sous la porte. »
C’est Jean-Paul qui est malade et qui va voir son docteur.
Alors qu’il patiente dans la salle d’attente, il voit sortir une nonne de
la salle de consultation.
Elle a l’air effondrée et hagarde.
Lorsque le docteur le fait rentrer, le gars lui demande :
« – Je viens de voir sortir une
nonne de chez vous. Elle avait l’air vraiment mal en point. Je n’ai jamais vu
quelqu’un avec une si mauvaise mine !
– Ah oui ? Je venais de
lui dire qu’elle était enceinte…
– Non ! C’est pas vrai ?
Une nonne !
– Non, bien sûr que non,
elle n’est pas enceinte, mais ça lui a fait passer son hoquet. »
Alors qu’ils sont sur le point de se séparer après une partie de poker
nocturne, Jean-Marc et Jean-Paul
discutent :
Le second dit au premier :
« Je n’arrive jamais à berner
ma femme : J’éteins le moteur de la voiture et je laisse dérouler la voiture en
roue libre dans le garage, je retire mes chaussures, je monte sans bruit à
l’étage et je me déshabille dans la salle de bains… et ben, à chaque fois, elle
se réveille et se met à hurler que je rentre trop tard, que je devrais être
honteux de la laisser toute seule à la maison pendant que je vais m’amuser etc…
– Tu as tout faux ! Tu
devrais faire comme moi. J’accélère un bon coup en rentrant la voiture dans le
garage, je claque toutes les portes, je fais du bruit avec les pieds dans les
escaliers, je me déshabille dans la chambre, je fais du bruit dans la salle de
bains, et quand je me mets au lit, je lui mets la main au cul en disant «
Qu’est-ce que tu dirais d’un petit coup de bite ? »… Et là, c’est marrant, mais
elle fait toujours semblant de dormir. »
Les deux mêmes, au bar d’un hôtel.
« – Tu as vu, là-bas au fond du
salon. Quel est ton type de femme ? La brune ou la blonde ?
– Celle qui dit oui. »
Ça se passe à Moscou, alors que les communistes sont encore au pouvoir…
Un ouvrier russe raconte à un camarade de travail :
« – Tu te rappelles qu’hier, à
la suite d’une avarie dans une machine, on nous avait libérés plus tôt.
– En effet.
– En arrivant à la
maison, qu’est-ce que je trouve ? Ma femme au lit avec un flic du KGB. (Service
secret)
– Qu’a-t-il dit ?
– Par chance il ne m’a
pas vu. Sinon, on m’aurait envoyé pour dix ans dans un camp de concentration en
Sibérie pour espionnage. »
Philosophie de Jean-Marc :
« On réalise qu’on est vieux
quand, à la suite d’un coup de vent qui dévoile les cuisses d’une jolie femme,
on a des souvenirs plutôt que des désirs… »
Et aussi :
« Toutes les femmes cherchent
l’homme idéal, mais les plus intelligentes se marient. »
Nos deux compères :
« – Non mais peux-tu me dire
comment cette femme-là est devenue si riche ?
Elle ne travaille pas,
n’a pas de commerce, elle vient d’une famille pauvre et n’a pas de diplôme.
Je sais, on pourrait
penser qu’elle aurait une vie secrète, mais ce n’est même pas le cas.
– Simple, elle vient de
réussir son troisième divorce. »
Un couple fait chambre à part.
Soudain, en pleine nuit, la femme appelle au secours.
Jean-Paul, son mari se lève d’un bond, se précipite et aperçoit une ombre
s’éloigner dans le jardin.
« – Chéri », dit la
femme, « un type est entré dans la
chambre et il m’a violée 2 fois !
– 2 fois ? Mais pourquoi
n’as-tu pas appelé dès le début ?
– La première fois, dans
le noir, j’ai cru que c’était toi. C’est quand il a recommencé que j’ai compris
que c’était quelqu’un d’autre ! »
En quittant la piscine avec les élèves de sa classe, Lætitia (7 ans) a
oublié sa serviette de bain.
N’acceptant pas une explication aussi simple, sa mère, furieuse, appelle
la maîtresse, en hurlant, dans le téléphone :
« – Il y a un voleur ou une
voleuse, parmi les camarades de ma fille et je ne peux pas supporter l’idée de
cette malhonnêteté.
– On va la retrouver,
cette serviette », dit paisiblement
la maîtresse.
« – Pouvez-vous me la décrire ?
– Elle mesure environ
1,60 mètre sur 80, elle est en coton blanc avec, inscrit dessus, en lettres
bleues : Carlton – Lille ».
Bon week-end à toutes et à tous !
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