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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 8 février 2019

De Jean-Marc

Histoires de couple.
 
Première histoire :
Un couple se balade en voiture à la campagne.
Suite à une discussion plutôt acerbe, ils ne se parlent pas.
Passant devant une ferme où on voit des ânes et des cochons, le Jean-Marc ose briser le silence et dit :
« Tiens, de la famille à toi ! »
Germaine, son épouse répond du tic au tac :
« Oui, par alliance !»
 
Deuxième histoire :
Jean-Marc lit son journal et dit à son épouse :
« Savais-tu que les femmes utilisent 30.000 mots par jour et les hommes 15.000 ? »
Germaine, sa femme lui répond :
« C’est facile à expliquer, il faut toujours répéter deux fois la même chose aux hommes… »
Jean-Marc  se retourne vers elle et dit :
« Quoi ? »
 
Troisième histoire :
Jean-Marc dit à son épouse :
« Comment le bon Dieu a-t-il pu te faire aussi belle et aussi stupide à la fois ? » Celle-ci répond :
« Laisse-moi t’expliquer : Dieu m’a faite belle pour t’attirer… Et il m’a faite assez stupide pour que je te garde. »
 
Quatrième histoire :
Suite à une nouvelle dispute, un couple ne se parle plus.
Aucun ne veut rompre le silence.
Soudain le mari, Jean-Marc, se souvient qu’il doit se lever à 5 heures du matin pour prendre l’avion en vue d’un rendez-vous d’affaires important.
Il prend un bout de papier et écrit :
« Réveille-moi à 5 heures, je dois prendre l’avion ».
Et il le place bien en vue.
Le lendemain, il se réveille à 9 heures.
Furieux, il se lève et aperçoit un papier sur sa table de nuit sur lequel il lit :
« Il est 5h, lève-toi ! »
 
Cinquième histoire :
Il était une fois un homme très pingre qui avait travaillé toute sa vie et épargné son argent…
Il aimait l’argent plus que tout et juste avant de mourir il dit à sa femme :
« Lorsque je mourrai, je veux que tu mettes tout mon argent dans le cercueil avec moi, ce sera pour ma vie après la mort ».
Bien à contrecœur, sa femme lui fit le serment de mettre tout son argent dans le cercueil avec lui.
Peu de temps après, il mourut…
Au cimetière, il était étendu dans son cercueil entouré de quelques amis, membres de sa famille et de son épouse toute de noire vêtue.
Comme la cérémonie de mise en bière se terminait et juste avant que le cercueil soit refermé et porté en terre, l’épouse dit :
« Attendez une minute ».
Elle prit alors une boîte qu’elle déposa dans le cercueil avec son époux.
Les préposés fermèrent alors le cercueil et posèrent les scellés avant que le corbillard n’emmène tout le monde au cimetière où il a été posé en terre.
Un ami lui dit alors :
« Écoute bien, j’espère que tu as été assez intelligente pour ne pas mettre tout son argent dans le cercueil avec lui comme il t’avait demandé ? »
L’épouse dit alors :
« Bien sûr que si ! Je suis une bonne chrétienne et je ne puis revenir sur la parole faite à un mourant de mettre son argent avec lui dans le cercueil »
Et elle ajoute : « Je lui ai fait un chèque. »
 
Et quelques autres encore
 
« – Quelle est la différence entre Windows et un clou ?
– Aucune ! Les deux se plantent. »
 
« – Comment est mort le capitaine Crochet ?
– En se grattant les couilles. »
 
« – Comment appelle-t-on, au pays des blonds, un homme intelligent ?
– Un touriste. »
 
« Preuve que Noé était un grand optimiste …
Il a fait monter deux termites à bord de l’arche. »
 
« – Bonjour, c’est pour un sondage. Vous préférez les préservatifs ou la pilule ?
– Oh ben la pilule ! C’est quand même plus facile à avaler ! »
 
Un sondage (encore un) réalisé auprès des femmes au foyer :
« – Madame, quand vous faites l’amour, vous parlez à votre mari ?
– Très rarement. Seulement quand il téléphone… »
 
Deux potes, Jean-Marc et Jean-Paul, discutent.
« – Puisqu’on se dit tout, j’aimerais savoir si ta femme baise bien.
– Oh, je saurais pas trop te dire. Y’en a disent que oui, d’autres que non… »
 
Jean-Marc demande à Jean-Paul :
« – Tu fais quoi après l’amour ?
– Je dors et toi ?
– Je m’en vais avant que tu ne rentres à la maison ! »
 
Germaine à son amant :
« – Oh, dis donc, tu baises aussi vite qu’un lapin !
– Tu ne peux pas dire ça. On ne peut pas juger en quelques secondes… »
 
« Je suis reconnaissant(e)…
Pour le conjoint qui s’écrase devant la télé car il est à la maison avec moi et non sorti dans un bar.
Pour la conjointe qui fait réchauffer des restants pour souper parce qu’elle est à la maison avec moi et non avec quelqu’un d’autre.
Pour l’adolescent qui se plaint encore d’avoir à faire la vaisselle, car il est dans la maison au lieu de traîner dans la rue ou faire le trottoir.
Pour les taxes que je paye, ce qui signifie que j’ai un emploi.
Pour le ménage à faire après un party, parce que ça signifie que j’ai été entouré d’amis.
Pour les vêtements qui sont un peu serrés, cela signifie que j’ai assez de nourriture pour manger.
Pour l’ombre qui me regarde travailler, cela signifie que je suis dehors au soleil.
De tondre le gazon, de laver les fenêtres, de réparer le lavabo, parce que cela signifie que j’ai un toit.
Pour toutes les plaintes que j’entends à propos du gouvernement. Cela signifie que l’on a la liberté d’expression.
Pour la place de stationnement que je trouve au bout du stationnement, cela signifie que je suis capable de marcher et que je suis chanceux d’avoir un moyen de transport.
Pour ma facture élevée de chauffage car cela signifie que je suis au chaud.
D’entendre une personne se plaindre ou chanter faux, cela signifie que je ne suis pas sourd.
Pour la pile de linge sale parce que cela signifie que j’ai du linge à me mettre sur le dos.
Pour la fatigue, pour les muscles qui me font mal à la fin de la journée, car cela signifie que je suis capable de travailler fort.
Pour mon réveille-matin qui me réveille à tous les matins car cela signifie que je suis en vie.
Et finalement pour la tonne de courriels que je reçois, car cela signifie que j’ai des amis qui pensent à moi ! »
 
« – Germaine, comme nous étions heureux il y a 15 ans.
– Mais Jean-Marc, nous ne nous connaissions pas, il y a 15 ans !
– Justement, Germaine, justement. »
 
Les huit vérités de l’homme par Germaine …
« – S’il vous tient par la main c’est qu’il est fidèle !
– S’il vous caresse les cheveux c’est qu’il veut être pardonné !
– S’il vous prend dans ses bras c’est qu’il vous aime !
– S’il vous embrasse le cou c’est qu’il veut faire l’amour !
– S’il vous frappe c’est qu’il n’aime pas votre physique !
– S’il aime s’endormir dans vos bras c’est qu’il veut y passer la nuit !
– S’il vous caresse les cuisses c’est qu’il a quelque chose derrière la tête !
– S’il s’endort au cinéma c’est que vous n’êtes pas plus intéressante que le film ! »
 
Trois petites chattes parlent de leurs portées.
La première évoque ses futurs chatons :
« Moi, ce seront de superbes siamois, comme leur papa »
 « Et moi, dit la seconde, ça sera des jolis petits chartreux »
Et s’adressant à la troisième :
« – Et toi, qu’est-ce que ce sera ?
 – Oh, j’sais pas, j’avais la tête dans une poubelle ! »
 
Anne-Nicole, 6 ans, court vers sa mère:
« – Maman, nos voisins sont très, très pauvres.
– Pourquoi crois-tu cela ?
– Parce qu’ils sont en train de crier très fort parce que mon amie a avalé une pièce de 1 centime ! »
 
Jean-Marc rentre chez lui avec un chien minuscule qu’il vient d’acheter et annonce fièrement à sa Germaine :
« Chérie ! Je t’ai acheté un chien pour te protéger quand tu sortiras seule, et pour garder la maison ».
Germaine regarde avec étonnement le chien qui est à peine plus grand qu’un lapin.
« – Mon amour, crois-tu vraiment qu’un si petit chien pourra me protéger ? Regarde-le, il n’a pas l’air bien méchant. Il ne ferait même pas peur à un enfant de 2 ans.
– Je sais ma biche, il ne paie pas de mine mais c’est un chien d’une race très spéciale, qu’on trouve uniquement au Japon et, tiens-toi bien, il fait du karaté. Viens avec moi dehors je vais te montrer. »
Une fois dehors, Jean-Marc dit au chien :
« Karaté râteau ! »
Alors le petit chien se précipite sur le râteau au milieu du jardin.
Avec ses pattes avant il donne de grands coups sur le râteau, si bien qu’en un rien de temps, le râteau est transformé en un tas de petites brindilles…
Pour convaincre totalement son épouse, Jean-Marc dit au chien :
« Karaté barbecue ! »
Et l’animal se jette sur le barbecue en briques, lui assène de nombreux coups de pattes.
Une minute après, à la place du barbecue, il ne reste plus qu’un tas de gravats.
Attiré par le bruit qu’a fait la démonstration un voisin arrive et demande ce qui se passe.
Ravie d’avoir désormais un chien pour la protéger, Germaine lui explique :
« – C’est notre chien, il est incroyable ! Il fait du karaté !
– Karaté, mes couilles… »
 
Jean-Marc et Jean-Paul
« – Veux-tu me dire ce qui se passe. Ça fait trois jours que tu fais la gueule ?
– Ouach…
– As-tu perdu quelqu’un ?
– Non. J’attends quelqu’un !
– Comment ça ?
– Un bébé !
– Félicitations. Et alors ?
– Ma maîtresse m’a donné 24 heures pour le dire à ma femme… »
 
Les dauphins sont tellement intelligents qu’après quelques jours de captivité, ils apprennent aux hommes à les nourrir de poissons frais tous les jours.
 
« – Quel est le point commun entre un homme et une balançoire ?
– Au début c’est amusant, ensuite ça donne la nausée. »
 
« – Pourquoi dit-on que les femmes ont des pouvoirs surnaturels ?
– Parce qu’elles arrivent à faire lever une chose sans la toucher. »
 
« – Pourquoi les hommes s’asseyent avec les jambes ouvertes ?
– Pour ne pas écraser leur cerveau… »
 
« – Pourquoi quand on dit quelque chose aux hommes, ça entre d’une oreille et ça sort de l’autre ?
– Parce que le son ne se propage pas dans le vide. »
 
« – Pourquoi les meilleures blagues sur les femmes ne prennent-elles que deux lignes ?
– Pour que les hommes les comprennent. »
 
La maîtresse demande à ses élèves de faire une phrase avec le mot « et pourtant » :
« – Vas-y, toi Jean-François.
– Hier, j’ai été à la pêche avec mon papa, et pourtant il pleuvait !
– Oui ce n’est pas trop mal. À toi Isabelle.
– La souris courait vite, et pourtant le chat l’a attrapée !
– Voilà, c’est très bien! À toi Jean-Marc ! »
Jean-Marc réfléchit un instant, et se lance :
« Les filles mouillent, et pourtant elles ne rouillent pas ! »
La maîtresse, très mécontente :
« Pour demain, tu me copieras 100 fois « Je ne raconte pas de grossièretés en classe » et tu prépareras une phrase correcte avec « et pourtant » ! »
Le lendemain, Jean-Marc remet sa punition à la maîtresse.
« – J’espère que tu as compris. Et maintenant vas-y, dis-nous ta nouvelle phrase…
– La terre est ronde… et pourtant ça baise dans tous les coins ! »
 
Une mère-maquerelle ouvre la porte du bordel et voit un homme élégant, d’âge moyen.
« – En quoi puis-je vous être utile ?
– Je souhaite voir Nathalie.
– Monsieur, Nathalie est une de nos dames les plus coûteuses, peut-être souhaitez-vous voir une autre fille ?
– Non merci, je dois voir Nathalie. »
Arrive Nathalie qui lui dit qu’elle demande 1.000 € par visite et l’homme, sans discuter, sort dix billets de 100 €.
Ils montent dans la chambre bleue et l’homme, tout heureux, redescend une heure plus tard.
La nuit suivante, le même homme frappa à la porte et demanda de nouveau à voir Nathalie.
La patronne n’en revient pas. Mais si c’est comme ça…
Notre homme paie et redescend, toujours aussi souriant, une heure plus tard.
Le troisième soir, même manège… Nathalie qui est pourtant très discrète, se risque quand même à lui demander d’où il vient.
« – Personne n’a fait usage de mes services trois nuits de suite. D’où êtes-vous ?
– De Saint-Pétersbourg.
– Vraiment ? J’ai de la famille à Saint-Pétersbourg…
– Je sais. Votre père est décédé. Je suis l’avocat de vos sœurs, et je suis en mission.
– En mission ?


– Oui, elles m’ont demandé de vous remettre en mains propres votre part de l’héritage, soit 3.000 €… »


Bon week-end à toutes et tous !

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