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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mercredi 6 février 2019

La vie rêvée d’UFC-Que choisir…

Alors que « Jupiter » s’emmêle les pieds dans le tapis
 
En croyant intelligent de faire savoir qu’il prépare un référendum le 26 mai prochain à l’occasion du « scrutin européen de liste », l’Union fédérale des consommateurs – Que choisir, fédération de 154 associations locales regroupant plus de 150.000 adhérents et assurant 350 points d’accueil répartis sur l’ensemble du territoire, reconnue comme l’une des dix-huit associations de consommateurs pour être représentatives auprès des pouvoirs publics en « Gauloisie », reprend la balle au bond pour fédérer habituellement les attentes et besoins des consommateurs afin de faire pression sur les différents acteurs (industriels, grande distribution, fournisseurs de service, etc.)de façon générale.
J’attends avec impatience les initiatives des autres (60 millions de consommateurs par exemple) en marge du mouvement des « Gilets-jaunes » et lire également leurs propositions…
Car ce n’est pas nécessairement idiot.
 
Premier point de ce post : « Jupiter » et un référendum !
Il a vraiment de la semoule dans la tête en ce moment (nous y reviendrons) !
Il perd un temps phénoménal à « faire campagne » et battre … la campagne, tel qu’on a vraiment l’impression qu’il ne sert à rien que de vendre de la « poudre à laver plu blanc que blanc » là où il est posté : Il a loupé sa vocation de VRP pour quelques marques vedettes…
Passons.
Parce que je ne sais pas s’il sait qu’un référendum, c’est toujours le « contre » qui l’emporte depuis 1969 !
Pour contourner « ce problème », il va nous inventer un référendum à choix multiple sur plusieurs questions : Il va falloir des semaines pour dépouiller les résultats.
À moins que le « Gauloisien-démocratique » renonce à remplir les petites cases où ne se déplace même pas !
L’exact contraire du résultat espéré !
Et encore, je ne vous raconte pas les « colères » à venir sur les thèmes abordés et ceux laissés de côté : Il va y avoir de la « manif’-pour-tout-le-monde » (et peut-être même « pour tous ») jusqu’au mois de mai, présume-je !
Tout pour mettre de l’huile sur les feux pas encore éteints.
Complètement cinglés, les « autistes-trisomiques » qui l’entourent…
On aura l’occasion d’y revenir.
 
Deuxième point, j’ai appris également la « contribution des consommateurs » d’UFC-Que Choisir au « Grand débat national » pour répondre à  une crise durable du pouvoir d’achat chiffré à plus de 9 milliards d’euros, soit plus de 320 € par ménage. « 12 mesures concrètes, sans surcoût pour les finances publiques, porte en outre l’ambition d’une société de consommation responsable, protectrice de la santé et de l’environnement, et permettant à tous, sur tout le territoire, d’accéder aux biens et services essentiels. »
Je me méfie un peu de prime abord : La dernière fois que « la fédé » avait réuni près de 12.000 plaintes contre les ententes dans la téléphonie mobile, si le 29 novembre 2005, le Conseil de la concurrence avait condamné les trois opérateurs de téléphonie mobile du moment (SFR, Orange et Bouygues Telecom) à une amende record de 534 millions d’euros, ayant constaté une entente, entre 2000 et 2002, visant à garantir des parts de marché aux trois sociétés, dont la conséquence avait été, logiquement le maintien des tarifs des forfaits à des niveaux anormalement élevés pendant cette période, aucune indemnisation n’avait été attribuée aux consommateurs lésés par l’entente. En revanche, comme il a fallu payer les amendes, tout le monde les a retrouvées dans le prix des abonnements !
Et ça continue depuis, malgré l’arrivée de Free…
Une affaire « rentable ».
 
« La première réponse du gouvernement aux légitimes attentes des Français en termes de pouvoir d’achat aura été un plan de 10 milliards d’euros de hausse des revenus et de baisses de taxes. Mais l’UFC-Que Choisir tient à rappeler que le pouvoir d’achat doit être abordé dans ses deux aspects conjointement : le niveau des revenus mais aussi celui des prix. C’est pourquoi l’association a établi une liste de douze mesures concrètes, à même de faire diminuer les prix en s’attaquant à divers rentes ou dysfonctionnements de marché ».
Bien sûr !
Et de rajouter en préliminaire que : « ces réformes concernent prioritairement les dépenses contraintes des consommateurs, comme l’alimentation, la santé, l’énergie ou encore la banque (…). Un plan qui doublerait l’ampleur des annonces présidentielles, sans peser sur les finances publiques. »
« Ce plan contient des propositions structurantes à même d’orienter les comportements de tous les acteurs vers une consommation plus vertueuse. Celle-ci se doit en effet d’être respectueuse de la santé et de l’environnement, et garantir à tous, où qu’ils se trouvent sur le territoire et quels que soient leurs revenus, l’accès aux biens et services essentiels. »
Et d’appeler les « Gauloisiens-sans-dents » à voter en masse pour la Contribution des consommateurs, et demande aux pouvoirs publics la mise en œuvre dès cette année des mesures de ce plan.
 
1. Répercuter les baisses des cours des matières premières agricoles sur les prix en rayon (340 millions d’euros libérés).
« Trop souvent, certains industriels ou distributeurs profitent des baisses des cours agricoles pour gonfler leurs marges. Ainsi, le cours du lait a baissé de près de 30 % entre 2014 et 2017 mais le prix de la bouteille de lait demi-écrémé a bondi de 5 % ! Un mécanisme empêchant les prix des denrées de rester élevés alors que leurs coûts de production chutent existe déjà pour les fruits et légumes.
Le généraliser aux produits alimentaires peu ou pas transformés (viande, lait…) vous ferait gagner au moins 340 millions d'euros/an de pouvoir d'achat. »
Je crois que c’est aussi le cas pour la gazoline de votre « tas-de-boue-à-roulettes » et par ricochet le prix du Kwh, du mètre-cube de gaz et des tarifs… des péages !
 
2. Annuler le relèvement du seuil de revente à perte, qui gonfle les marges de la grande distribution (800 millions d’euros libérés).
« Entrée en vigueur le 1er février 2019, dans le cadre de la loi Alimentation, la « réforme du seuil de revente à perte » relève de 10 % le prix minimal auquel les distributeurs peuvent vendre une denrée alimentaire. Ainsi, plus question d’étiqueter un produit moins de 1,10 € s’ils l’ont acheté 1 € au producteur. Résultat, la facture des consommateurs grimpe et la marge des commerçants est accrue ! Quant aux agriculteurs, que cette mesure est censée aider à être mieux rétribués, rien n’oblige distributeurs et fabricants à leur reverser le surplus prélevé sur le dos des consommateurs ! Alors supprimons cette réforme inutile. »
Kon, ça, une « réforme » majeure voulue par « Jupiter » et ses autistes…
 
3. Supprimer les commissions d’intervention en cas d’incident bancaire (2,8 milliards d'euros libérés)
« Ces « frais sanction » vous sont appliqués automatiquement alors qu’ils n’ont pas de légitimité économique. Dans les faits, ils ne rémunèrent pas la banque pour l’analyse de votre solvabilité ! D’autres frais (lettre d’information, par exemple) suffisent déjà à compenser les coûts de gestion des incidents. »
Ces commissions sont générées par les ordinateurs des banquiers, parfois même quand elles ne sont pas dues (les « jours de valeur »), le compte étant parfaitement solvable !
Et alors, pour en obtenir l’annulation, je vous garantis que c’est « galère »…
Des méthodes de voleurs !
 
4. Simplifier le changement de banque avec la portabilité du numéro de compte bancaire (1,2 milliard d’euros libéré)
« Les frais bancaires vous coûtent cher : 215 € en moyenne ! Normal, les Français changent trois fois moins souvent de banque que les autres Européens. S’ils pouvaient conserver leur numéro de compte (portabilité), ce serait plus facile. Et en choisissant les établissements les moins chers, ils économiseraient 1,2 milliard. »
Moi, j’ouvre un compte « ailleurs », je résilie tous mes prélèvements et je ferme le compte trop cher.
Mais là aussi, c’est galère…
 
5. Faire varier les aides à la rénovation énergétique en fonction du niveau de performance et non des équipements (450 millions d’euros libérés).
Je croyais que c’était déjà le cas…
« Le logement représente 30 % de notre consommation d’énergie. La rénovation énergétique peut faire baisser ce poste de dépense. Le problème, c’est que les aides aux particuliers (crédit d’impôt, TVA réduite…) sont mal conçues. Au lieu de cibler les travaux les plus efficaces, comme une isolation performante, elles sont versées en fonction des équipements installés. Ainsi, le changement de fenêtres, qui a bénéficié d’une grande partie des aides, pèse peu dans la baisse des consommations. »
Il est surtout exact que les « marchands de bonheur » se servent de façon éhontée de « ces aides ».
Pratiquement tout le temps, quand vous engagez la dépense, elle coûte et il vous faudra un bon quart voir un tiers de siècle pour l’amortir !
Ça ne devrait exister que pour une acquisition « durable » d’au moins une génération.
Il n’y a vraiment que le double-vitrage qui apporte un confort… phonique bien venu !
« Passer à un dispositif unique et progressif soutenant les travaux les plus performants soulagerait financièrement les ménages et inciterait les professionnels à proposer des solutions mieux adaptées. »
Probablement…
 
6. Appliquer strictement le principe « préleveur-pollueur-payeur » pour l’eau potable (1,04 milliard d’euros libéré)
« Les consommateurs sont loin d’être les premiers préleveurs ou pollueurs de la ressource aquatique. »
Ouf, j’ai eu peur de devoir retenir mes étrons et mes urines…
« Pourtant, ils paient l’essentiel des taxes sur la consommation et la pollution via leur facture d'eau ! Ce surcoût représente pour eux un milliard d’euros par an. Appliquer le principe préleveur-pollueur-payeur encouragerait des pratiques agricoles plus vertueuses, bénéfiques pour nos finances, notre santé et notre environnement. »
Sauf que si on engage une réforme sur la tête de celui qui vous produit de quoi bouffer, ça va encore se retrouver dans « votre gamelle »…
À manipuler avec précaution…
 
7. Allonger la durée de garantie légale en fonction de la durée de vie des produits.
« La durée légale de garantie de deux ans est insuffisante. Passé ce délai, trop de consommateurs sont contraints de racheter un équipement neuf en cas de panne. L’allongement de la garantie légale en fonction de la durée de vie contrecarrerait l’obsolescence organisée et inciterait les industriels à produire des biens durables. Dans l’esprit de l’économie circulaire, c’est aussi bon pour le pouvoir d’achat que pour l’environnement. »
Sauf que là encore, ça va renchérir le coût des produits manufacturés mis sur le marché.
KIA garantit ses bagnoles 7 ans, mais c’est plus cher.
En revanche j’ai toujours ma calculette « scientifique » achetée pour mon bac (alors que les épreuves de maths avaient été supprimées pour mon « bac-poubelle » : Je crois que je n’ai toujours pas changé la pile…)
Mais « ma nichée » change d’Aï-phone tous les ans pour les casser là où j’ai gardé le mien une bonne décennie, tombé en panne la faute au chargeur qui a rendu l’âme… et qu’il ne se faisait plus !
 
Curieusement, UFC-Que Choisir ne nous dit rien des produits périssables. Dans le temps on avait plusieurs dates sur les étiquettes : Date de fabrication, date limite de vente, date limite de consommation. Parce que les « Gauloisiens-des-villes » ne savent pas lire, il n’y en a plus qu’une seule, la limite de vente ayant absorbé la limite de consommation… par simplification.
Excusez-moi, mais on perd globalement huit jours sur une viande hachée emballée sous azote alors qu’on repère à la noirceur (et à l’odeur) ce qui est mangeable ou non…
Et puis à quoi sert-il d’avoir une date sur une brique de lait UHT alors que c’est un produit mort, sans aucune bactérie ?
 
8. Encadrer les loyers dans toutes les zones tendues.
Je croyais que c’est déjà fait… (pour la liste des « zones-tendues », se reporter à ce vieux post)
« La loi Élan (Évolution du logement, de l’aménagement et du numérique) de novembre 2018 rend facultative l’expérimentation de l’encadrement des loyers pour les collectivités où le marché immobilier est tendu ».
C’est donc déjà fait…
« Pourtant, ce dispositif a fait ses preuves à Paris et Lille. Pour contenir les hausses de loyers, il faut le rendre obligatoire dans toutes les zones tendues. »
Notez qu’entre ça et l’IFI, c’est le meilleur moyen d’éviter de bâtir des logements neufs (comme le montre les statistiques de mises en chantier) et d’avoir à remettre à niveau les logements anciens (comme récemment à Marseille où on les laisse véritablement tomber en ruine)…
 
9. Faciliter la comparaison et le changement d’assurance santé (1,2 milliard d’euros libéré)
« Offres illisibles et incomparables, résiliation difficile : le marché des complémentaires santé ne joue pas le jeu de la concurrence au service des consommateurs. Résultat, depuis 2006, les cotisations ont augmenté de plus de 50 %. Avec une présentation plus lisible et harmonisée des offres, la publication du taux de redistribution par organisme (part des cotisations reversée aux assurés) et la possibilité de résilier à tout moment, les consommateurs changeraient d’assurance santé plus facilement. Les frais de gestion devraient donc baisser. Et s’ils revenaient simplement à leur niveau d’il y a 5 ans, l’économie serait de 1,2 milliard. »
Il faut aussi compter avec les taxes supplémentaires qui s’envole (catastrophe naturelle et plus récemment la « taxe attentat » qui flambe)
On y reviendra peut-être : J’avais préparé un post sur le sujet…
 
10. Limiter les dépassements d’honoraires médicaux (650 millions d'euros libérés)
« Majoritairement non remboursés par les complémentaires santé, les dépassements d’honoraires (2,7 milliards d’euros en 2017) ont plus que doublé en 15 ans. L’Option de pratique tarifaire maîtrisée (Optam), censée limiter ce reste à charge sur le principe modération des dépassements contre aides publiques, est un échec. En effet, elle repose sur le volontariat des professionnels de santé. Rendre l’Optam obligatoire améliorerait l’accès aux soins et ferait économiser 650 millions d’euros par an aux patients. »
Un doux rêve…
 
11. Réformer l’apprentissage de la conduite pour baisser le prix du permis (365 millions d’euros libérés)
« Le permis de conduire coûte 1.800 € en moyenne. En favorisant l’émergence d’auto-écoles en ligne, moins chères grâce au numérique, en modifiant les règles d’attribution des places à l’examen pratique, actuellement trop favorables aux acteurs historiques, et en permettant à des enseignants indépendants de proposer des heures de conduite au-delà d’un socle obligatoire en auto-école, on ferait baisser le prix du permis sans nuire à la sécurité. »
Pas certain…
 
12. Libéraliser la vente de pièces de carrosserie automobiles (415 millions d'euros libérés)
« En France, les constructeurs automobiles décident seuls qui a le droit de fabriquer et de vendre les pièces détachées de carrosserie (pare-chocs, phare, rétroviseur, etc.). Conséquence : le prix de ces pièces, et donc de la réparation auto, est bien plus élevé chez nous qu’ailleurs en Europe. Et cela se répercute sur les primes d’assurance auto. Si on supprimait ce monopole, les Français économiseraient 415 millions d’euros par an. »
Par malchance, ils ont exigé des « garanties-qualités » que seuls les constructeurs peuvent fournir (et aussi des contrôles techniques récurrents et toujours plus chers et plus difficiles).
Maintenant, rien n’empêche de bricoler dans son jardin avec des pièces de récupération dans « les casses »…
 
Voilà pour ce panel (largement incomplet) qui a au moins le mérite d’exister.
« Jupiter » et sa clique « d’autistes-trisomiques » pourraient effectivement s’en inspirer également… « largement » au lieu de discourir à en perdre haleine partout au pays !
C’est dire leur niveau atteint de « fatuité » inutile.

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