Paix
et santé pour toutes et tous…
Une fois de plus, vous n’y coupez pas : Que 2019 vous soit une année douce
et riche de merveilles innombrables !
Que vous souhaitez de mieux que la Paix et une excellente santé ?
C’est aussi le moment de faire quelques « plans sur la
comète » : Si en 2017 vous aviez assumé 227 jours ouvrés (autant
qu’en 2016), en 2018 vous en avez assumé 225 en comptant vos 5 semaines de
congés-payés (et RTT) et hors les ponts.
Mathématiquement, la croissance aurait dû être négative de – 0,88 %, la
différence avec celle constatée de 1,5 point restant dans la progression de
l’inflation (réelle) de l’ordre de 2,3 %
Mais on saura ça plus tard.
D’autant que le mouvement des « Gilets-Jaunes » en novembre et
surtout en décembre aura un impact évident : De la force des
« aléas » (que je n’arrive pas totalement à maîtriser de mon côté
avec autant de précision : J’ai amélioré mon score de 10 points à désormais
5 points, mais c’est encore largement supérieur à la mesure ex-post…).
Le calendrier de 2019 étant ce qu’il est (s’il se déroule tel que prévu),
il n’y aura 226 jours ouvrés à fournir,
soit un petit « plus » de 0,44 point, pour la même paye…
Une « année de patron ».
Parce que 2018, « une « année de salarié »… avec la
saignée des prélèvements obligatoires qui est passée par là, on ne peut pas
dire que vous ayez été gâtés…
Passons…
Ça, plus une inflation qu’on peut prédire être du même ordre de grandeur
sans vraiment prendre le risque se tromper lourdement, « Jupiter »
pourra enfin se targuer d’une « croissance-positive » supérieure à
2,5 points, alors que tout le monde ne retient que 1,9 : Il pourrait donc
y avoir de « bonnes surprises » dans le courant de l’année et même
« plus de marges » à la disposition du futur gouvernement venir.
Oui, parce que l’équipe de branques qui dirige le pays (y compris les « potes
de promotion » et autres de « Jupiter » en qualité de directeurs
des administrations centrales) ont tellement cafouillé depuis quelques semaines
que je ne vois pas bien « Éd. Phi-Lippe » poursuivre sur sa lancée
sans s’arrêter après les européennes prévue pour le 26 mai (jour de la
fête des mères), vue la branlée que va prendre l’actuelle majorité.
Déjà qu’elle est nullissime au Parlement, que donc envoyer un quarteron de
novices sur les 79 sièges attribués au pays, alors qu’on veut relancer le
projet européen de Berlin à Paris en passant par Rome (et les autres du
« Club des six », sans compter les attentes du « club-Med »
des PIGS), ça sera d’un ridicule absolu pour « Jupiter ».
Il est « immortel », comme quoi même le ridicule ne peut pas le tuer…
Il est « immortel », comme quoi même le ridicule ne peut pas le tuer…
Passons : L’actuel gouvernement pourrait même ne pas dépasser les
premières semaines de 2019, si, au moins si, quelques « leaders-naturels »
pouvaient prendre le relai.
Mais comme on a déjà un « Jupiter » totalement
isolé à en mettre deux semaines pour un seul remaniement mineur, ce n’est
pas gagné.
À part « Castagneur »,
il y aurait bien « Rugby » (voire « Bébé-roux » qui croit
toujours à ses chances de « temporisateur-centriste », alors qu’il
faudrait un « combattant »), l’un étant un
« Marcheur-même-pas-en-rêve » de la première heure (il n’y en avait
pas beaucoup), l’autre de la 25ème heure !
Ce n’est pas moi qui choisirai, mais ça reste à suivre.
Ceci dit, je ne suis pas le seul à faire des prévisions.
J’ai lu avec un intérêt soutenu celles de « Saxo Bank » :
Décoiffant !
Ils prévoient un début de récession en « Teutonnie » (logique,
ils y rentrent déjà).
Il pense qu’Apple rachètera Tesla (ce qui est loin d’être totalement
idiot).
Que « Tromp » limogera Powell (il débarque tout le monde tour à
tour) ;
Et les Travaillistes remportent une victoire retentissante. Encore
faudrait-il qu’il y ait des élections anticipées en UK.
Dans cette hypothèse, « Jeremy Cor-pine » deviendrait Premier
Ministre et instaurerait la parité de change entre la livre sterling et le
dollar américain : Je ne sais pas comment sauf à claquer un pognon
monstrueux à soutenir le… dollar !
Car ils ne le disent pas, mais le dollar pourrait aller très mal…
Quant à leurs « Prévisions choc », elles sont pour 2019 :
– L’Union Européenne annonce un effacement de la dette (laquelle
grands-dieux, hors celle des Grecs ?) ;
– La crise du crédit aux entreprises avec la remontée des taux de la FED conduirait
Netflix à connaitre le même sort que General Electric (le dépeçage sur
pattes) ;
– L’Australie lancerait son propre plan Paulson après avoir nationalisé
les quatre principales banques du pays…
– Une éruption solaire de classe X sème le chaos et provoque des dégâts à
hauteur de 2.000 milliards de dollars…
– L’adoption d’une taxe mondiale sur le transport en raison de la
multiplication des inquiétudes relatives au climat sera une évidence.
– Et le FMI et la Banque mondiale annonceront leur intention de cesser de
mesurer le PIB, et de se concentrer sur la productivité. Ce qui n’est pas si
kon que ça : On a déjà un historique assez complet du PIB par
« heure-ouvrée » qui tient la route.
Mais rien sur l’éclatement de la zone euro (ce n’est plus la préoccupation
et les spéculations des milieux financiers… tant mieux !), rien sur le
départ de « Mère-Quelle » (déjà plus là et remplacée par « À-ka-ka »,
ni sur la fronde-fiscale qui se développera dans tout l’Europe au fil du temps :
Les citoyens veulent bien payer (de toute façon, ils sont bien obligés) mais à
condition d’en avoir pour leur argent. Ce qui n’est pas le cas actuellement un
peu partout.
Les migrations ? Même pas évoquées…
Et puis j’ai jeté un œil sur celles de « Bloomberg Businessweek »
publiées sous le titre de « Pessimist Guide », des prévisions
(noires) pour l’année à venir.
C’est toujours assez drôle.
Cette année, Bloomberg n’a pas fait 10 prévisions mais part d’un scénario
unique et totalement crédible : 2019 sera une année record de température qui
verra s’enchainer des phénomènes climatiques extrêmes (El Nino, sécheresses, incendies,
inondations diluviennes,…).
Du coup, partout dans le monde les récoltes agricoles (blé principalement)
s’écrouleront sauf dans les grandes plaines du Nord (Amérique du Nord, Russie,
Ukraine), ce qui va redessiner la carte géopolitique de « la faim ».
À partir de là, ils envisagent toute une série de conséquences : Inflation,
émeutes de la faim et naturellement, famines, agression de « Poux-tine »
en Ukraine qui laissera les bras ballants la communauté internationale devant
le « fait accompli », une fois de plus.
Mais également des agressions de la Chine sur les mers à la reconquête de
sa façade maritime (à prolonger en profondeur) en ramenant les îles du littoral
dans le giron de Pékin (alors que ce sont des possessions encore « nationalistes »
de Taipeh).
Eux envisagent de nouvelles vagues de migrations massives, notamment sur
le continent nord-américain, mais aussi en Europe.
Et alors, cerise sur le gâteau, ils voient bien « McDo-Trompe »
(et même le canadien « Trou-d’eau ») en position de sauveurs
potentiels de la planète…
Mais pas du tout « Jupiter » en maître de l’univers, hors le
périphérique parigot-sur-le-plage (Je rappelle que ma « petite-sœur »
le voit « exécuté ». Alors qu’il rentre « dans le rang » :
Pas bien sûr qu’elle ait raison…)
En tout cas, Bloomberg, au moins, ça c’est très « amusant » à
lire !
Surtout totalement crédible pour chaque conséquence identifiée, Bloomberg
ne reprend finalement à chaque fois comme d’une illustration, un article de
presse déjà publié qui retrace exactement les phénomènes qu’il décrit.
Comme le conclut lui-même ledit magazine, tous les scénarios envisagés ont
déjà existé !
Ils ne sont simplement pas intervenus au même moment… Jusqu’à présent.
Comme chacun le sait, l’Histoire ne se répète jamais, mais parfois elle
bégaye.
Alors pourquoi pas une conjonction desdits mêmes phénomènes ?
Notons seulement que l’édition de cette année tourne autour du thème «
trop c’est trop ». Un monde qui tourne à vide devra se réveiller et commencer à
créer des réformes, non pas parce qu’il le veut, mais parce qu’il le doit :
Vous savez, cette idée que le « monde d’avant » s’ouvrira peu ou prou
sur le « monde d’après ».
On y vient chaque fois un peu plus…
Et les signes sont partout. Les estimations sont exagérées, les
changements politiques sont soudains et même des développements culturels
apparemment mineurs, comme la montée en puissance de notre célèbre chef d’État,
semblent indiquer que la société a atteint son apogée.
L’excellent documentaire « The Four Horsemen » l’a cité comme
étant un signe d’exagération, ajoutant que « pendant les dernières décennies de leur empire respectif, les Romains,
les Ottomans et les Espagnols ont chacun fait de leur chef d’État une
célébrité. »
De là à en conclure que, nous aussi, nous sommes proches de la fin de
notre moment impérial, il n’y a pas loin…
Ils en disent, lucides, que « 2019
marquera un profond bouleversement de cette mentalité alors que nous arrivons
au bout du chemin en accumulant de nouvelles dettes et que l’année prochaine,
nous commencerons tous à payer la note pour nos erreurs. » Le grand
cycle du crédit montre déjà des signes de tension à la fin de l’année 2018 et
se répandra sur les marchés des pays développés l’année prochaine, les banques
centrales devant revoir totalement leur copie.
Notez que c’est déjà anticipé par « les marchés » qui mangent de
la valeur en veux-tu-en voilà à chaque séance.
Il faut dire que l’année 2018 n’était pas une année ordinaire. Une grande
partie de l’année a vu les marchés américains faire cavalier seul, mais une
fois que les programmes de rachat se sont épuisés, la gravité économique de
l’affaiblissement du crédit et de la hausse des prix de l’argent et de
l’anti-mondialisation s’est fait sentir. « Nous sommes maintenant confrontés à une fin d’année difficile ».
Il faut dire que curieusement, les courbes de rentabilité dégringolent
toutes, quel que soit l’actif considéré (sur les marchés, mais également
« dans la vraie-vie ») ce qui n’est pas banal.
Ce que j’en dis c’est que qui vivra verra.
Vous, je vous le souhaite, bien évidemment, moi, c’est nettement plus
hypothétique.
Alors, finalement, je m’en contre-cogne le coquillard (et même le reste)
sauf à rester « inquiet » pour ma nichée : Mais elle a désormais
les ressources pour surmonter, veux-je croire !
Seule chose qui compte c’est que mes vœux de bonne et heureuse année vous
accompagnent tout au long de 2019 !
Même si la paix reste une donnée précaire, au moins autant que la santé…
Bien à toutes et tous !
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