« Je ne suis ni pour, ni contre, bien au
contraire. »
« Les femmes, c’est comme les
piscines : C’est trop cher pour le peu de temps qu’on passe dedans. »
(Jean-Marc, bien sûr…)
Un vieux monsieur de 75 ans séjourne pendant une semaine dans un hôtel 5
étoiles avec une toute jeune femme pour son voyage de noces.
Le matin suivant leur arrivée, l’homme arrive au restaurant, pour le petit
déjeuner, en arborant un grand sourire.
Il se sert un énoOorme déjeuner, parle gaiement avec ses voisins de table,
plaisante avec tout le monde.
Une demi-heure plus tard, sa jeune épouse le rejoint, les yeux cernés,
l’air hagard. Elle commande un café d’une voix tellement faible que le garçon
doit lui faire répéter sa commande.
Lorsque son mari a terminé son repas, il s’excuse auprès de sa femme, et
remonte dans leur chambre.
À ce moment, le garçon qui se posait plein de questions au sujet des
nouveaux mariés, s’avance vers la jeune femme.
« – Euh, madame, si je puis me
permettre, vous avez l’air réellement fatiguée. C’est étonnant, d’autant plus
que votre mari, lui, tient une forme incroyable ! Quel as !
– Ce type m’a bien eue !
Il m’avait dit qu’il avait économisé pendant 50 ans ! Mais moi, je croyais
qu’il parlait d’argent… »
Le père Eugène entre à l’hôpital pour se faire opérer à la hanche.
Après l’opération, tous les jours, une jeune infirmière s’occupe de lui,
mais elle a un défaut : Elle traite le père Eugène comme un bébé.
Du genre: « Alors, comment on va ce
matin ? On a fait son petit pipi ? »
Et le père Eugène n’aime pas ça !
Un jour, le père Eugène décide de lui jouer un tour.
Lorsqu’on lui apporte le petit déjeuner, il transvase son jus de pomme
dans l’urinoir propre qu’on venait de lui apporter.
Lorsque l’infirmière débilitante arrive, elle prend l’urinoir et
l’exposant à la lumière elle dit :
« Ho-ho, on dirait que c’est un
petit peu trouble aujourd’hui… »
À ce moment-là, le vieux lui prend l’urinoir des mains, enlève le bouchon
du flacon et porte le tout à ses lèvres en disant :
« Pas de problème, je vais
refaire passer le tout et on verra si on peut mieux filtrer cette
fois-ci ! »
C’est Léon le routier derrière son volant qui chante pour passer le temps
:
« Je m’appelle Léon, j’ai un beau
camion et je m’en vais à Tarascon ! »
Notre Léon croise une bonne-sœur faisant de l’auto-stop !
Homme charitable, Léon stoppe son 38 tonnes.
La sœur monte et les voilà repartis.
Quelques kilomètres plus loin, voilà la sœur qui commence à faire de l’œil
à notre Léon et puis soudain, la sœur demande :
« – Et si l’on se trouvait un
coin tranquille ?
– Vous ma sœur ? Mais je
croyais que les religieuses faisaient vœu de chasteté. Et ne dit-on pas « Les
voies de Dieu sont impénétrables ? »
– Par devant peut-être,
mais pas par derrière vous savez… mon fils ! »
Là-dessus, le Léon passablement émoustillé par ce dialogue ne fait ni un
ni deux et stoppe le 38 tonnes et voilà Léon qui soulève la soutane de la sœur,
et hop, il lui fait son affaire par derrière.
Le temps passe, et nous retrouvons nos deux héros une demi-heure plus tard
sur la route.
Léon : « Je m’appelle Léon, j’ai un
beau camion et je m’en vais à Tarascon. »
Et la sœur : « Je m’appelle André,
je suis gay et je m’en vais au bal masqué. »
« On ne prête qu’aux riches.
Heureusement, car les
autres remboursent difficilement. »
(Probablement de Philippe Bouvard)
Un p’tit gars de douze ans avance sur le trottoir tirant une grenouille
aplatie au bout d’une corde.
Il arrête à la porte d’un bordel et cogne à la porte.
« – Bonjour petit.
– Je veux avoir du sexe
avec une des filles. J’ai de l’argent pour payer.
– OK ! Viens. Quelle
fille veux-tu ? Une grande, une petite, une grosse, une jeune, une vielle ?
– Non. Paraît qu’Irma est
malade. J’ai entendu dire que les hommes qui ont couché avec elle reçoivent des
injections.
– Oui.
– Bon, c’est elle que je
veux.
– OK ! Deuxième
chambre, à droite. »
Le p’tit avance vers la chambre,
traînant derrière lui sa grenouille aplatie.
Il sort dix minutes plus tard, toujours avec sa grenouille, paye et
quitte.
« Hé petit », dit la
tenancière.
« – Oui ?
– Peux-tu me dire
pourquoi tu voulais une fille malade ?
– Ce soir mes parents
vont souper au restaurant, me laissant à la maison avec ma baby-sitter. La baby-sitter
va en profiter pour me faire l’amour parce qu’elle aime les petits garçons
mignons et que c’est une perverse. Elle va attraper la maladie que je viens
d’attraper.
Quand mes parents
reviendront papa va aller reconduire ma baby-sitter, il va la sauter dans
l’auto (c’est la baby-sitter qui me l’a dit) et il va attraper la maladie à son
tour.
Quand papa va revenir, il
va faire l’amour à maman et elle va l’attraper aussi !
Demain matin quand le
laitier va passer à la maison, il va baiser ma mère et il va attraper la
maladie et c’est lui le salaud qui a écrasé ma grenouille… »
« Il vaut mieux faire l’amour
avec un grand A qu’avec un gros tas ! »
(Anonyme)
Jean-Marc et Jean-Paul :
« – Le romantique a de grosses
couilles.
– Normal il ne s’en sert
jamais… »
« – Quelle différence entre un idiot
riche et un idiot pauvre ?
– Un idiot riche est
riche, tandis qu’un idiot pauvre est idiot. »
« – Comment se propage le SIDA ?
– Vite. »
« Y’a trois choses qu’on ne peut pas regarder en face : Le soleil, la
mort et le dentiste. »
« À part les singes, tous les
animaux refusent de faire l’amour face-à-face…
Ils doivent pressentir
que le derrière se ride moins vite que le visage. »
« Pinocchio n’a pas eu de
chance !
Il a eu la gueule de bois
toute sa vie ! »
C’est Jean-Marc qui va chez son
médecin parce qu’il ne vient plus.
« Docteur, je ne viens plus. »
Le médecin l’examine et lui donne des cachets :
« Prenez ces cachets. Si vous
venez, ne revenez pas, mais si vous ne venez toujours pas, et bien revenez me
voir. »
Quelques semaines plus tard, Jean-Marc est à nouveau chez le médecin.
Il s’adresse à la secrétaire.
« Mademoiselle, je suis venu il
y a quelques semaines parce que je ne venais pas. Le médecin m’a donné des
cachets et m’a demandé de ne pas venir si je venais, mais m’a dit que si je ne
venais pas, il me fallait venir aussitôt.
J’ai pris les cachets et
je suis venu. Alors, je ne suis pas revenu. Cependant, maintenant je ne viens
plus alors, me voici. »
La secrétaire, un peu interdite, va en parler au médecin.
« – Docteur, il y a ce type à
qui vous aviez demandé de ne pas revenir s’il venait et de venir s’il ne venait
pas.
Il est venu donc, il
n’est pas revenu, mais, aujourd’hui il ne vient plus alors, il est venu.
– Parfait mademoiselle, faite-le
venir.
– C’est ce que j’ai fait
docteur mais il est reparti. »
C’est la petite fille de 6 ans qui sort de la chambre à coucher de ses
parents en vitesse en criant :
« Dire qu’ils veulent m’envoyer
voir un psychologue parce que moi, je suce mon pouce ! »
La vieillesse c’est quand on te dit :
« Tu as l’air en pleine forme…
pour ton âge. »
« La vieillesse c’est quand tu
réalises que tu n’es plus bon à rien, même pas au golf ! »
Un couple âgé est étendu sur leur lit.
Le mari est sur le point de s’endormir, mais l’épouse se sent plutôt
romantique et a d’autres intentions.
Elle lui dit:
« Tu avais l’habitude de me
tenir la main quand nous étions plus jeunes. »
Le mari étire le bras et lui prend la main. Mais elle ne veut pas
s’endormir.
« Et de plus, tu avais
l’habitude de m’embrasser. »
Un peu irrité, il s’approche, lui donne un petit bécot sur la joue et se
retourne pour se rendormir.
Un peu plus tard, elle lui dit :
« Et parfois tu aimais bien me
mordiller dans le cou. »
Soudain, l’homme repousse les couvertures et se lève précipitamment !
« – Où tu vas ?
– Ben, chercher mes
dents, c’t’affaire ! »
Une superbe et plantureuse dame visite le docteur pour son examen.
Dès qu’il l’a voit, son professionnalisme vacille et il se met à saliver…
Il lui demande doucement :
« Déshabillez-vous pour que je
vous examine. »
Une fois nue, la superbe créature s’approche du médecin qui commence aussitôt
à la caresser.
Il lui demande :
« – Savez-vous ce que je fais ?
– Bien sûr, vous examinez
ma peau afin de détecter une anomalie dermatologique.
– Très bien. »
Et il commence à lui masser les seins à pleines mains.
« – Et maintenant, savez-vous
ce que je fais ?
– Vous examinez mes seins
afin de détecter des bosses qui pourraient indiquer une tumeur cancéreuse.
– Très bien. Très bien.
Vous avez de bonnes notions de médecine. Maintenant qu’est-ce que je fais », lui demande-t-il alors qu’il
la chevauche ?
« Vous êtes en train d’attraper
la MST que je suis venue me faire soigner ! »
Germaine et Jean-Marc
Germaine : « – Qu’est-ce que tu fais
?
– Rien.
– Rien…? Ça fait une
heure que tu lis le certificat de mariage !
– Je cherche la date
d’expiration. »
Le fiston de Jean-Marc à
Germaine, sa mère :
« – Maman, dans l’autobus,
aujourd’hui, papa m’a demandé de donner ma place à une jolie jeune dame.
– C’est bien, si tu l’as
fait.
– Mais, maman, j’étais
assis sur les genoux de papa… »
Jean-Marc, un jeune marié demande à sa femme :
« – Est-ce que tu m’aurais épousé si
mon père ne m’avait pas laissé une fortune ?
– Chéri », répond Germaine, « je t’aurais épousé, PEU IMPORTE QUI T’AURAIT
LAISSÉ UNE FORTUNE !!! »
Une jeune fille à Jean-Marc :
« – Un baiser et je suis à toi pour
toujours, mon amour !
– Merci pour
l’avertissement. Bye bye ! »
Jean-Marc, philosophe :
« Le mariage c’est comme un
compte en banque : Ça rentre, ça sort, puis en fin de compte on y perd de
l’intérêt. »
Deux gendarmes appellent leur compagnie et demandent à parler au commandant
:
« – Nous avons un problème ici,
mon commandant : Une femme vient d'abattre son mari d'un coup de fusil parce
que celui-ci a marché sur le carrelage frais lavé.
– Vous avez arrêté la
femme ? » demande l’officier.
« Non, mon commandant. Ce n’est
pas encore sec… »
Vous avez dit misogyne ?...
Le taux limite d'alcoolémie pourrait revenir à son ancienne valeur soit
0,8 au lieu de 0,5 mg/l.
Selon les statistiques provenant des sociétés d'assurances, depuis l’introduction
du taux de 0,5 mg/l, le nombre d'accidents de la route a considérablement
augmenté.
En effet, une étude de ces chiffres montre que les hommes, après une ou
deux bières, donnent le volant… à leur femme...
Ce qu’elle ne dira jamais…
« Hein ? Notre anniversaire de
mariage, c’est aujourd’hui ? Mince, j’avais oublié ! »
« Tu tiens vraiment à parler ce
soir ? Tu ne veux pas plutôt regarder ton match à la télé ? »
« Oh ! C’est magnifique !
Vraiment, ce diamant est trop gros ! »
« Et pour notre lune de miel, une
partie de pêche au gros au large ! ».
« Tu tiens vraiment à ce qu’on
reste seulement de « bons amis » ? Pas plus ? »
« Je crois que j’ai besoin de
prendre un peu de poids… »
« Meuh non, ça doit être la bonne
direction, t’inquiète pas ! »
« Si c’est pour moi au
téléphone, dis que je suis pas là. »
« Je m’en fous, 250 €, c’est
trop cher pour une robe. »
« Je veux juste voir ce que
cette auto a dans le ventre. »
« Tiens, chérie, prends la
télécommande. »
« Tu sais, si elle te plait
tant que ça, j’aimerais bien la revoir, même si elle n’est vraiment pas mon
genre. »
« Antonio Bandera et Brad Pitt ? Il
faut absolument qu’on voit ce film. »
« Pendant que je suis debout,
je peux aller te chercher quelque chose ? »
« Chérie, puisqu’on a rien
prévu cet après-midi, on peut aller choisir le papier peint pour la chambre ? »
« Je veux juste que tu me
tiennes dans tes bras, c’est tout. »
« Pourquoi ne viendrais-tu pas
m’aider à choisir une paire de chaussures ? Celles que j’ai sont trop
affreuses. »
« Oublions « Les oiseaux se
cachent pour mourir », tu as mieux à faire en regardant le match de foot ! »
« Laisse-moi porter ton sac
pendant que tu essaie ça. »
« Nous n’en parlerons plus. »
Eh oui, c’est comme ça…
Bon week-end à toutes et à tous !
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