Que se
disent deux nombrils qui se rencontrent?
« Y’a une partie en bas ! »
C’est une jeune fille de seize ans qui va sortir en boite avec un garçon
pour la première fois. Ne voulant pas paraître trop bête, elle demande des
conseils à sa grand-mère…
« Assieds-toi ici : Je vais te
donner quelques trucs sur les garçons. Ce soir, en discothèque, vous allez
danser, puis vous allez boire, puis vous allez re-danser…
Puis il va chercher à
t’embrasser et certainement que tu en auras très envie. Alors si c’est le cas,
tu pourras le laisser faire.
Ensuite, il va aussi
essayer de te caresser les seins, et certainement que de ça aussi, tu auras
très envie… Alors, si c’est le cas, tu pourras le laisser faire.
Mais ensuite, il essaiera
de placer sa main entre tes jambes, et peut-être que de ça aussi, tu auras très
envie… Là tu feras comme tu veux, par contre, il y a quelque chose de vraiment
très important qu’il ne faut pas oublier.
Si après ça il cherche à
monter sur toi et à faire son affaire avec toi, ne le laisse surtout pas faire,
car à ce moment-là, il mettrait la honte sur toi et toute notre famille. »
Munie de ces précieux conseils, l’adolescente part en boite avec le gars.
Dès le lendemain, elle retourne chez la grand-mère pour se confier…
« Tout s’est passé comme tu me
l’avais dit mamie, sauf que, quand on en est arrivé au moment où il cherche à
monter sur moi pour me faire mon affaire, là, c’est moi qui suis montée sur
lui. Comme ça, je me suis dit, la honte va tomber sur toute sa famille. »
Jean-Marc et Jean-Paul :
« – Sais-tu qu’il y a des
fausses pilules de Viagra !
– Oui, certainement. Celles
de contrebande… »
« – Qu’est-ce qu’une
mouche-à-feu qui a pris du viagra ?
– Un néon, Jean-Marc, un
néon ! »
« – Tu te rends compte que 40 %
des accidents sur la route sont provoqués par l’alcool.
– Mais c’est énorme !
– Non, ce qui est énorme,
c’est que ça veut dire que 60 % des accidents sont provoqués par des buveurs
d’eau. »
Le viagra arrive enfin en poudre pour votre thé sur les bords de la
Tamise.
« Il n’augmente pas votre
performance sexuelle, mais…
Il empêche vos biscuits
de devenir tout mous… »
Jean-Paul à son ami Jean-Marc :
« Chaque année, à la même
période, j’ai un petit pincement au cœur.
Cette année cela va faire
dix ans que j’ai perdu ma femme.
Je n’oublierai jamais
cette partie de poker… »
« Tu as déjà remarqué…
…que lorsque les gens te disent
: « Je veux partager ça avec toi », il ne s’agit jamais d’argent ? »
Jean-Marc, Jean-Paul, Jean-Charles et
Jean-Pierre, quatre amis passent des semaines à planifier une parfaite sortie
en forêt pour chasser et pêcher.
Deux jours avant leur départ la femme de Jean-Marc lui interdit d’y aller,
scène à l’appui.
Ses copains sont très agacés mais que peuvent-ils y faire ?
Deux jours après les trois arrivent sur le site où ils voulaient camper, trouvent
Jean-Marc assis là, près de sa tente, ayant empilé du bois faisant cuire du
poisson sur le feu.
« – Mais depuis quand es-tu là
et surtout comment as-tu donc fait pour convaincre ta femme de te laisser venir
?
– Eh bien, je suis là
depuis hier soir.
Hier après-midi j’étais
assis dans mon fauteuil et ma femme est venue derrière moi et m’a demandé «
Devine qui c’est? » en posant ses mains sur mes yeux.
Quand je me suis dégagé
je l’ai vue dans une nuisette sexy.
Elle me prit par la main
et m’emmena dans la chambre, où brûlaient au moins douze bougies et des pétales
de roses semées à la volée.
Elle avait préparé sur le
lit des menottes et des cordes !
Puis elle me demanda de
la menotter et de l’attacher au lit, ce que j’ai fait.
Alors elle m’a dit « Et
maintenant fais ce que tu veux ! ».
Et me voici ! »
Petit cours de « francilien-québécois » de la « Belle-Province » :
Le Québécois ne se trompe pas : Y se fourre.
Le Québécois n’est pas infidèle : Y saute la clôture.
Le Québécois n’est pas menteur : C’t’un bullshitter.
Le Québécois n’est pas un expert : C’t’une bolle.
Le Québécois ne s’enivre pas : Y prend une brosse.
Le Québécois ne s’étend pas : Y s’évache.
Le Québécois ne se sert pas d’un ordinateur : Y pitonne.
Le Québécois n’essaie pas de convaincre : Y vend sa salade.
Le Québécois n’embrasse pas : Y frenche.
Le Québécois ne complimente pas son patron : Y liche le cul.
Le Québécois ne dérange pas : Y fâ chier.
Le Québécois ne te dit pas non : Y t’envoye chier.
Le Québécois ne mange pas : Y se bourre la face.
Le Québécois ne se fâche pas : Y se met en crissss.
Le Québécois ne te bat pas : Y t’en calissss une.
Le Québécois ne manque pas son coup : Y se casse la yeule.
Le Québécois ne congédie pas : Y crisssss dewors.
Le Québécois n’a pas oublié son déodorant : Y sent le swing.
Le Québécois ne se repose pas : Y s’effoire.
Le Québécois ne descend pas de l’auto : Y débarque.
Franchement, noter tout ça (j’en ai oublié) à l’arrache à Londres, les
onomatopées d’un canadien qui voulait éblouir ses invités anglophones, il y
avait un côté surréaliste indéniable…
Deux gamines dans la cour de récréation…
« – Hé, j’ai trouvé une capote
sous la véranda !
– Ah ! C’est quoi
une véranda ? »
Jean-Jacques chez son médecin de famille…
« – Je ne peux plus travailler
depuis mon accident.
– Pourtant vous avez un
emploi ?
– Ah, ça c’est pas
pareil, je suis fonctionnaire. »
Jean-Pierre est décédé.
Son testament prévoyait 40.000 € pour un service élaboré.
Au départ des derniers invités, son épouse Marie-Madeleine, se tourne vers
sa vieille amie…
« – Je suis sûre que Pierre
aurait été fier.
– Tu as raison », répond son amie Marie-Lucie,
qui baisse le ton en s’approchant de Marie-Madeleine :
« – Combien est-ce que cela t’a
vraiment coûté ?
– En tout et pour tout,
40.000 €.
– Hé, c’était pas bien terrible
pour 40.000 €…
– Le service a coûté 6.500
€, j’ai fait un don de 500 € à l’église. La boisson, le vin et les bouchées, un
autre 500 €. Le reste est allé pour la pierre commémorative.
– Yéééé, 32.500 € pour
une pierre commémorative ? Ça doit être très belle pierre ! De quelle
grosseur est-elle ?
– Tiens, regarde… » et elle lui montre son diamant !
Une gentille vieille dame va voir son docteur.
« – Docteur, j’ai un petit
problème avec mes gaz… je dois pourtant dire que ça ne me dérange pas tant que
ça.
Ils ne sentent jamais et
ils sont toujours silencieux.
Rien que pour dire, j’ai
pété au moins dix fois depuis que je suis dans votre bureau, je suis certaine
que vous vous en êtes jamais aperçu parce qu’ils sont silencieux et qu’ils ne
sentent pas.
– Je vois. Prenez ces
pilules et revenez me voir la semaine prochaine. »
La semaine suivante, la vieille revient.
« – Je ne sais pas trop ce que
vous m’avez donné, mes gaz restent silencieux, mais ils puent terriblement.
– Très bien », dit le docteur. « Maintenant que nous avons réglé le problème
des sinus, travaillons sur votre ouïe. »
Madame demande à son mari qui est à la retraite depuis quelques mois :
« – Et alors, quel est ton
programme pour la journée ?
– Rien.
– Rien ? Mais c’est tout
ce que tu fais de tes journées. Rien. Tu ne fais rien !
– Oui, mais je n’ai pas
fini. »
Jean-Marc à sa Germaine :
« – Il y a deux hommes en moi…
– J’aimerais tellement
connaître l’autre. »
La station de radio locale (Radio
Calvi Citadelle, 91,7) envoie un journaliste rencontrer un homme qui
célèbre ses 90 ans.
Interrogé sur le secret de sa longévité, le vieillard répond qu’il ne
s’est jamais obstiné avec personne.
« – Mais enfin, cela tient
sûrement à d’autres choses encore », insiste le journaliste,
sceptique.
« – Vous avez certainement
raison ».
Dans une animalerie, Jean-Marc
regarde deux oiseaux.
L’un aux couleurs chatoyantes, chante merveilleusement tandis que le
second, au plumage terne, reste silencieux dans un coin de la cage.
« – Combien pour ce bel oiseau
chanteur ?
– 150 € la paire », répond le marchand.
« – Mais seul le chanteur
m’intéresse. Vous ne pouvez pas me le vendre seul ?
– Impossible, monsieur.
L’autre, c’est le compositeur. »
À sa mort, Bill Gates, le patron de Microsoft, se retrouve au ciel.
« Compte tenu de votre
contribution importante au monde de l’informatique », lui dit Saint
Pierre, « je vous laisse choisir
entre l’enfer et le paradis. »
Sur ce, il l’entraîne dans une pièce où deux immenses écrans plats proposent
les options fondamentales : L’enfer est illustré par des plages sablonneuses,
de charmantes jeunes femmes et une multitude de divertissements ; le paradis
est peuplé d’angelots qui jouent de la harpe.
Bill Gates hésite, puis opte pour l’enfer, où il est immédiatement
précipité.
Deux semaines plus tard, Saint Pierre va voir comment se porte le
milliardaire.
Il le trouve en piteux état, enchaîné dans une caverne, le corps torturé
par des démons.
« – Saint Pierre, où sont les
plages, les femmes et tout ce que j’ai vu sur le moniteur ?
– Ça, Bill, ce n’était
que l’économiseur d’écran ! »
Fidèle à ses habitudes, une petite vieille assiste à la messe du matin,
quand tout à coup le curé dit :
« Que tous ceux qui ont commis
le péché d’adultère cette semaine s’avancent. »
La petite vieille, un tantinet dure d’oreille, demande à son voisin :
« – Qu’est-ce que vient de dire
Monsieur le curé ?
– Il a dit que tous ceux
qui désirent une pastille à la menthe s’avancent. »
La petite vieille, chancelante, se lève alors avec peine.
Le curé lui lance, offusqué :
« – Vous ? Madame ?!!! À votre
âge !
– Ce n’est pas parce que
je n’ai plus de dents que je ne suis pas capable d’en sucer une de temps en
temps, vous savez. »
Germaine fait remarquer à Jean-Marc,
son mari :
« – Le voisin a l'air très
amoureux de sa femme : Il l’embrasse souvent, la prend dans ses bras. Pourquoi
ne fais-tu pas la même chose ?
– Parce que je ne la
connais pas, la voisine ! »
Un monsieur âgé a un sérieux problème.
Il est complètement sourd depuis plusieurs années.
Il va voir son médecin qui lui prescrit un nouvel appareil auditif haut de
gamme.
Au bout d'un mois, il retourne voir son
médecin qui lui dit :
« Votre famille doit être
contente de voir que vous entendez très bien ! »
Le vieillard répond :
« Oh, je n’ai pas encore dit à
ma famille que j’avais un appareil. Je ne fais que m’asseoir et écouter les
conversations. J’ai déjà changé trois fois mon testament…
J’adore ! »
Ne vous êtes-vous jamais demandé ce qui poussait les chiens à se renifler
le derrière à chaque fois qu’ils rencontrent un de leurs congénères?
Jean-Marc vous donne l’explication:
« Il y a très, très longtemps,
bien avant que les humains n’apparaissent, c’étaient les chiens qui régnaient
en maîtres sur la planète. Ils étaient comme le sont les humains actuellement :
Ils marchaient sur leurs pattes de derrière, ils parlaient entre eux, bref, ils
avaient ce que l’on peut appeler une vraie société…
La seule différence est
qu’ils vivaient avec un Dieu vivant, le dieu « NONOSS ».
Un jour, en pleine
célébration du dieu NONOSS, un des chiens de l’assemblée laissa échapper une
flatulence d’une odeur pestilentielle et cette odeur infecte se propagea
jusqu’aux narines du dieu NONOSS.
Le dieu fut extrêmement
fâché, et demanda au chien coupable de se dénoncer pour qu’il subisse sa
punition.
Or, aucun chien n’avança.
Le Dieu NONOSS, après de
multiples menaces, décida de transformer tous les chiens en ce qu’ils sont
aujourd’hui.
Et depuis ce jour-là, les
chiens cherchent le coupable… »
Une « revenue », vous vous en doutez : Dans l’originale,
les chiens déposaient leur trou du cul à l’entrée du temple dédié à NONOSS.
Et un coup de vent les mélangea.
Depuis, les chiens essayent de retrouver leur trou du cul…
Bon week-end à toutes et tous !
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