L’épouse
de Jean-Marc n’en manque pas une.
Déjà avec cette « revenue », mais dans une version inversée de
l’originale :
« – Hic, mon chéri. Tu sais que
l’alcool te rend très beau !
– Mais je n’ai pas bu.
– Non, non, non… Ce n’est
pas ce que je veux dire… C’est juste que… quand je suis saoûle, j’oublie que tu
es laid comme le diable. Et que tu pues. »
« Ne dites pas : « Et tu sais,
tu es le premier. » Car il feindrait assurément de le croire, mais ce serait
courtoisie pure.
Mais dites : « Avant de
te connaître, je ne savais pas ce que c’était. »
Car cela, les hommes le
croient toujours. »
« Une femme peut fort bien
porter une robe de bal sans savoir danser, une robe de cocktail sans avoir
soif, un maillot de bain sans savoir nager.
Et se mettre toute nue
sans savoir faire l’amour.
Mais si elle met une robe
de mariée, elle sait tout de suite s’en servir. »
Et puis quelques autres :
Lors d’une revue du 14 juillet, le Général de Gaulle, alors président de
la République, passe en revue les anciens combattants de la guerre 14-18.
Il s’arrête devant l’un d’eux, fort avancé en âge et lui dit :
« Mais c’est Émile
Dunoyer ! Comment vas-tu, mon cher camarade de tranchées ? »
Le poilu, très étonné, ne le reconnait pas et secoue négativement la tête.
« Mais oui, Émile, le Chemin
des Dames !
– ????????
– Le 2ème bataillon.
– ????????
– La 5ème Compagnie.
– ????????
– Le lieutenant.
– Nom de Dieu ! Le
lieutenant De Gaulle…
Et qu’est-ce que tu
deviens de Gaulle ? »
C’est une fois un petit gars qui joue au hockey.
Il est assis sur le banc, enlève son casque et le lèche.
Il retourne sur la patinoire et met un but.
Il retourne sur le banc, lèche à nouveau son casque, retourne sur le
terrain et met un autre but.
Il refait cela, une troisième fois.
Son entraîneur qui avait remarqué son manège lui demanda pourquoi il lèche
son casque.
Alors le petit gars lui répond :
« Hier soir j’ai entendu mon
père dire à ma mère : Lèche-moi le casque ! Ça va rentrer ! »
Pour ceux et celles que ça intéresse, Jean-Marc
nous fait savoir qu’il y a maintenant une toute nouvelle position pour faire
l’amour.
« Il s’agit de LA CORDE À
LINGE.
C’est très simple, la
femme s’étend sur le lit, l’homme est étendu juste à côté, puis…
Il sèche ! »
Le patron de Jean-Marc vient de
découvrir les bienfaits de la culture.
Il est convaincu que cela ferait du bien aux ouvriers de son entreprise de
lire un peu plus.
Il offre alors à chacun de ses employés un abonnement d’un an au journal
ou au magazine de leur choix.
Il en informe tout le personnel et les réunit quelques jours plus tard
pour savoir ce que chaque personne a choisi comme abonnement.
L’une dit que c’est Géo, l’autre le Journal du Dimanche, l’autre Le
Parisien libéré et un autre Le Monde, etc.
Arrive le tour du délégué syndical de la boutique, toujours en bagarre
avec le patron.
« – Eh bien, mon cher Duconno,
qu’avez-vous choisi comme journal ou comme revue ?
– J’ai choisi : « Couture
moderne »
– Mais c’est un journal
de femmes !
Et pourquoi avez-vous
choisi « Couture moderne » ?
– C’est parce que chaque
semaine, dans ce magazine, il y a un patron à découper. »
En pleine affaire criminelle autour du consulat turc, l’ambassadeur
d’Arabie Saoudite vient de terminer son discours.
Il quitte la salle et passe dans un salon où il rencontre le Président américain qui
compte bien lui renouveler son appui.
Poignées de mains chaleureuses, etc…
L’ambassadeur demande au Président :
« – Dites-moi, j’ai une question
concernant une chose que j’ai vue en Amérique.
– Si je peux vous aider …
– En fait, c’est mon fils
qui a vu cette série appelée ‘‘Star Trek’’.
Il y a des Russes, des
Noirs, des Asiatiques, mais pas d’Arabes !
Il ne comprend pas
pourquoi ? »
Le Président éclate de rire et lui murmure à l’oreille…
« C’est parce que ça se passe
dans le futur. »
Dans une caserne de l’armée italienne, un sergent explique aux nouvelles
recrues la règle des galons de l’armée italienne.
Il fait sortir des rangs un jeune soldat à l’air peu futé et avec un geste
sur sa manche commence à lui expliquer la succession des galons :
« – Un galon, c’est un
sous-lieutenant.
Deux galons, c’est un
lieutenant.
Trois galons, c’est un
capitaine.
Quatre galons, c’est un
major.
Cinq galons, c’est un
colonel.
Tu as compris.
– NON », répond la nouvelle recrue.
« Bien je recommence tout, »
et c’est ce qu’il fait.
« – Tu as compris.
– Non, Non je ne
comprends pas, c’est trop difficile.
– Alors, écoute, je vais
te parler de nouilles, de pastachouta ! »
Et il explique à nouveau et plus lentement les cinq galons :
« Un gallon c’est une
tagliatelle : une pastachouta.
Deux gallon c’est deux
tagliatelles, deux pastachouta.
Etc. jusqu’à cinq gallons. »
Ah ce moment arrive le colonel Umberto, commandant du régiment
(Le colonel a de gros galons, de multiples décorations, des épaulettes
dorées, il brille de tous les côtés).
Il demande au sergent ce qu’il fait ?
« J’explique à cette nouvelle
recrue la théorie des galons dans l’armée italienne ».
Le colonel se plante devant la recrue et lui demande :
« Qu’est-ce que je suis, moi ? »
Le jeune soldat le regarde un moment et s’écrie :
« Ah j’ai compris, maintenant,
vous êtes : Un plato des pastachouta »
Une infirmière très fatiguée entre à la banque.
Complètement exténuée après un quart de travail de 18 heures.
Elle se prépare à signer un chèque pour retirer de l’argent sur son compte
au comptoir.
Elle sort de sa sacoche un thermomètre rectal.
Et essaie d’écrire avec.
Tout à coup elle réalise son erreur.
Elle regarde le commis de caisse tout surpris qui lui propose un stylo de
la banque.
Du tac au tac elle dit :
« Eh bien ça c’est la meilleure… Vraiment c’est la meilleure !
Un trou-de-cul est parti
avec mon stylo ! »
George W. Bush se rend dans une école primaire pour parler aux enfants du
conflit armé au Proche-Orient. Après son discours, il permet une période de
questions.
« Alors, qui a une question ? »
demande Bush.
Un petit garçon lève la main.
« – Oui petit, quel est ton nom
?
– Billy, monsieur le
président.
– Quelle est ta question
Billy ?
– J’en ai trois monsieur
le président…
1. Pourquoi les
États-Unis ont-ils envahi l’Iraq sans le consentement des Nations Unies ?
2. Pourquoi êtes-vous
président alors qu’Al Gore a eu plus de votes que vous?
3. Qu’est devenu Oussama
Ben Laden ? »
La cloche annonçant la récréation se met alors à sonner.
Bush dit qu’il poursuivra la période de questions après la récréation.
Au retour, Bush demande :
« – Où en étions-nous ? Ah oui,
la période de questions.
Y a t-il quelqu’un qui a
une question ? »
Un petit garçon lève sa main.
« – Oui petit, quel est ton
nom?
– Steve, monsieur le
président.
– Quelle est ta question
Steve ?
– En fait… j’en ai cinq
monsieur le président :
1. Pourquoi les
États-Unis ont-ils envahi l’Iraq sans le consentement des Nations Unies ?
2. Pourquoi êtes-vous
président alors qu’Al Gore a eu plus de votes que vous ?
3. Qu’est devenu Oussama
Ben Laden ?
4. Pourquoi la cloche de
la récréation a-t-elle sonné 30 minutes plus tôt qu’à l’habitude ?
5. Qu’est devenu Billy ? »
Fidel Castro meurt à Cuba.
Bataille dans son entourage pour savoir où l’enterrer : Au Musée
national, sur une base militaire, etc.
On décide de consulter un vieux sage.
« – Mon opinion ? Enterrez-le
où vous voulez, mais surtout pas à Jérusalem.
– Mais Jérusalem, qui
vous parle de Jérusalem. Et surtout pourquoi pas à Jérusalem ?
– Parce qu’ON NE VEUT PAS
QU’IL RESSUCITE DANS 3 JOURS. »
Jean-Marc aura remarqué un jour de grand-froid
que :
Il faisait tellement froid que les pickpockets ne retiraient pas leurs
mains des poches de leurs victimes.
Il faisait tellement froid… que les vaches donnaient de la crème glacée.
Il faisait tellement froid que quand tu pissais debout, tu te prenais des glaçons
sur les chaussures.
Dieu marche sur le trottoir et aperçoit un homme qui pleure à chaudes
larmes !
« Qu’y a-t-il qui te mette en si grande détresse ? »,
demande Dieu.
Comme s’il ne savait pas pourquoi…
« – Je suis aveugle et je
voudrais tellement voir !
– Voilà ! C’est fait ! »
Et l’aveugle retrouva la vue !
Dieu poursuit sa marche et tombe sur un autre homme qui pleure à chaudes
larmes.
« – Qu’est ce qui se passe mon
fils ?
– Je ne marche plus
Seigneur et j’aimerais tellement marcher !
– Tiens, c’est réglé. »
Le paralytique se lève et part en courant !
Un peu plus loin, Dieu rencontre Myriam El-Konnerie qui pleure comme une
Madeleine.
« Pourquoi pleures-tu ? »
lui demanda-t-Il?
« Parce que je travaille pour
le PS ! »
À ces mots, Dieu s’assoit à ses côtés et se met à pleurer avec elle !
Une jeune journaliste part à la campagne pour enquêter sur la vache folle.
« – Bonjour monsieur ! Il
paraît que vous savez pourquoi les vaches attrapent cette maladie ?
– Oui Mademoiselle !
C’est parce que l’on présente le taureau qu’une fois par an aux vaches ! Et
vous n’êtes pas sans savoir que l’on trait les vaches deux fois par jour !
– Effectivement !
– Alors si on vous
pelotait les seins deux fois par jour et que l’on vous sautait qu’une fois par an,
vous ne deviendriez pas folle vous ? »
Vanina, au cinéma d’Île-Rouse chuchote à sa copine :
« – Le monsieur d’à côté joue avec
sa pine !
– Ne sois pas si bégueule », lui dit Marie-France
« Il ne fait rien de mal, laisse-le se branler.»
Vanina répond alors :
« D’accord, moi je veux bien, mais
faut-il vraiment qu’il se serve de ma main ? »
Une vieille femme à l’agonie, dicte son testament :
« Que tous mes amants suivent mon
enterrement. »
Or, il en vint plus de deux cents au cimetière !
Ce qui, en pleurs, fit dire à sa voisine :
« – Comme il est bon de les
voir enfin réunis !
– Qui ? Les hommes
de sa vie ?
– Non. Ses genoux, pardi
! »
Bon week-end à toutes et tous !
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