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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

lundi 14 janvier 2019

Le « Grand débat national » déjà plombé…

Je ne sais pas ce qui leur passe par la tête.
 
On sait avec certitude, au moins depuis juin 2016 et le référendum sur le « Brexit » que, quand on demande son avis aux peuples, ils ne décident que des konneries.
C’est confirmé avec l’élection présidentielle US, mais encore ailleurs, comme en « Ritalie », en « Teutonnie », en « Batavie », en Turquie et encore ailleurs et ailleurs.
Même en Gauloisie-magnifique où ils ont amené un « gamin » à la magistrature suprême, même si en l’occurrence, c’était magnifiquement « trafiqué » tel qu’il s’agit de s’incliner devant la « belle-ouvrage » !
Comme au jeu « des chiffres & des lettres » : Pas mieux…
 
Le « maître des horloges » aura perdu pied à l’occasion de l’affaire « Benne-Allah » qui n’en finit pas de rebondir depuis 6 mois, de mensonges en non-dits, tel que « Jupiter » à qui tout réussissait sans mollir s’est retrouvé totalement isolé dans son propre entourage (que ça sent la ruine-à-venir tellement tous les rats qui l’entouraient de leurs conseils si utiles fuient le navire : Il ne reste plus que les « historiques » dans le dernier carré !), échoue désormais lamentablement à réinitialiser le mouvement « En Marche-même-pas-en-rêve ».
Dernière idée stupide : Un « Grand débat » !
Fabuleux…
Fabuleux d’autant que c’est lui qui choisit les thèmes et que de toute façon, il n’est pas question que cela débouche sur un autre calendrier de réformes que celui arrêté avant la présidentielle !
Comme quoi, quand on veut apporter la preuve de l’autisme ambiant, ils sont encore capables de le faire.
 
Le CESE – un ramassis de « planqués » de la République, pour la plupart « frangins-trois-points » – rebondit, probablement en mission « télécommandée » pour offrir une vague « ouverture » aux thèmes de ce débat à venir.
Une ouverture… disons plutôt une petit-hublot sitôt refermée.
Car, et ça n’est pas resté longtemps à la Une de vos médias, les trois-quarts des doléances portaient sur le « mariage pour tous » (à abroger) et pour une gros reste sur l’ISF (à rétablir)…
Étonnant ce grand-écart « national-soce »…
Et évidemment, il n’est pas question d’accéder ni à l’un ni à l’autre.
Tout juste, on pourra parler d’une « fiscalité plus juste »…
 
Comment le grand débat national va-t-il se dérouler dès demain ?
« Il n’y a jamais eu, ni en France ni à l’étranger, de débat public aussi vaste, disséminé au plus près du terrain, et portant sur tous les sujets. »
Je m’inscris en faux : D’abord ce n’est pas sur « tous les sujets » et en Islande, après deux référendums et des débats sur tout, ils ont même voulu refaire leur constitution…
Ce qui a échoué grave.
C’est pourtant ce que n’a pas manqué de rappeler l’ancienne sinistre « Chant-Al-Joue-anneau », présidente de la Commission national du débat public (CNDP), interrogée dans le Journal du Dimanche du 6 janvier car c’est la CNDP qui était à la manœuvre. Je vous rassure, elle ne l’est plus depuis.
Et de préciser que les thèmes abordés, le gouvernement en a identifié quatre (plus un plus récent) : La transition écologique, la fiscalité, la démocratie et la citoyenneté et pour finir l’organisation de l’État et des services publics (plus la migration).
Mais les discussions pourraient être plus larges : « Chacun sera libre de débattre du thème qui lui tient à cœur » et « nous rendrons compte de tout » promet-elle dans le JDD.
Le cœur, pas la tête…
 
Sur la forme, ce grand débat devrait se dérouler selon plusieurs formats. Une plateforme numérique dédiée devait être lancée par le CNDP le 15 janvier et se croisera avec « La Lettre de Jupiter » à ses manants (sans-dents-qui-puent-la-clope-et-le-diesel).
Celle-ci permettra de recueillir des contributions et devait fournir également un « kit de méthodologie » des débats, ce qui ne se fera pas : On en reste aux cahiers de doléances ! L’organisation d’une réunion locale nécessitera ainsi de la déclarer au moins sept jours avant sa tenue et de préciser les horaires et lieux ainsi que le nombre de participants, comme une « manif’ »…
Des conseils sur le déroulement du débat dont « l’animation doit être neutre » seront également donnés. À l’issue de ces réunions locales, des propositions et un compte-rendu seront envoyés, originellement à la CNDP, mais on ne sait plus qui depuis la semaine dernière. Mais les contributions des citoyens pourront également être recueillies sur les marchés, dans la rue, via des « stands mobiles », les maires, qui s’y refusent, sont priés de se mobiliser. et des conférences de citoyens au niveau régional réuniront des « personnes tirées au sort »…
Pourquoi pas aller jusqu’au bout et, comme je le propose, de tirer au sort les sénateurs, renouvelés tous les ans par tiers ?
 
Enfin, dans la dernière ligne droite de cette vaste consultation – qui doit se terminer le 15 mars –, des citoyens, là encore « tirés au sort » ainsi que des représentants de la société civile (désignés par l’autorité, je suppose) prendront part à seulement quatre « ateliers nationaux » et voteront alors sur des propositions.
Je peux déjà vous dire que ce sera un enterrement de première classe !
Et note pour ma part qu’il s’agit là d’une pratique de l’homme de l’ombre dans le fonctionnement de son empire : « SOS Groupe ».
Vérifiez, mais je vous l’indiquais déjà en avril 2017.
Lui, il ne fait d’Assemblée Générale qu’entre membres auto-désignés (à jour de leurs cotisations et il n’y en a même pas chez « LREM-même-pas-en-rêve »), quelle que soit la taille et l’activité des associations et fondations intégrées dans « son groupe » : Une AG annuelle obligatoire, ça s’impose !
Les « bénévoles » qui font la richesse du tissu associatif du pays, ils sont juste conviés à venir « émettre des idées » à travers des comités annuels qui n’ont aucune voix au chapitre, même sur les comptes rackettés et encore moins voix aux décisions.
Après, les cadres dirigeants (du groupe SOS-Groupe) et les « administrateurs » desdites associations constitutives dudit « groupe » (les seuls cotisants, mais ce sont tous des « salariés » de l’échelon « au-dessus ») décident si oui ou non, l’idée est retenue (et comment la financer… en général avec une subvention municipale ou territoriale, vos impôts locaux, supplémentaire).
Autrement dit, le quidam, il ne sert à rien que comme d’une « boîte à idée ».
De toute façon, c’est comme ça que fonctionne le parti et pas autrement.
Vous étiez prévenus…
 
En bref, on le sait déjà, ça ne va servir à rien, même pas le rôle qu’a pu jouer les « Cahiers de doléances » en 1789 qui ont circulé dans tout le pays, alors qu’on nous précise déjà et en avance ceux qui existent déjà.
De toute façon, quelle que soit « les idées », on ne change ni de cap ni de timing des réformes à venir, c’est déjà annoncé comme ça.
Mais on ne ferme pas définitivement la porte à de nouvelles « réformes » qui seront jugées utiles et qui se financeront par de nouveaux impôts, naturellement.
Ils ne savent faire que ça, de toute façon…
C’est vous dire le nombre de cocus qu’il y aura au bout de cette « démocratie directe-inversée » où tout part du sommet et redescend en pluie-fine sur la tête de tout le monde !
 
Autre point qui va plomber le processus de la « grande consultation nationale », c’est la polémique du salaire de sa présidente : 14.709 euros par mois (avec voiture et chauffeur de fonction, plus remboursement de ses frais de bouche et autre, bien entendu) !
Le boxon depuis qu’une information, débusquée par la « Lettre A », l’ex sénatrice et ex-sinistre de « Bling-bling » qui virera UDI par la suite, touchera en 2019, 14.709 euros par mois, au titre de sa fonction de présidente de la Commission nationale du débat public (CNDP).
Un salaire en hausse de 341 euros par mois par rapport à 2018, tandis que l’agence qu’elle dirige n’emploie que 10 personnes.
En plein débat sur le pouvoir d’achat et les inégalités, ce très confortable salaire fait tâche.
C’est presque les « émoluments » du président de la République et du Premier des sinistres. « Jupiter » perçoit 15.140 euros brut mensuel, « Ed.-Phil-Lippe » touche lui 14.910 euros brut par mois.
Le salaire de la présidente du CNDP est supérieur à celui des ministres et des secrétaires d’État, respectivement rétribués à hauteur 10.093 euros et de 9.559 euros bruts par mois et représente presque trois fois celui d’un député (même majoritaire).
C’est quand même pas mal pour une « girouette-politique » qui aurait tant de convictions à défendre…
 
Voilà qui fait tâche alors que les deux vice-présidents de la Commission nationale du débat public ne sont pas en reste. Ils sont payés environ 7.780 euros brut par mois chacun à un moment où tout le monde râle pour son pouvoir d’achat, manifestement, il y en a qui n’ont pas besoin de revêtir un gilet-jaune pour se faire comprendre !
Le pire de la crétinerie-en-barre, interpellée sur « Twister » à propos de sa rémunération, c’est la Miss qui aura précisé qu’elle ne touchait « aucune rémunération spécifique pour cette mission », mais « un salaire de présidente de la CNDP dont les missions sont plus larges que le Grand débat ».
Hein, quand on veut donner la preuve de sa trisomie, on n’hésite pas !
« Je pense que c’est important que les gens disent en quoi ça les choque. À la limite, s’ils veulent faire une proposition pour réviser ce salaire, ils en sont totalement libres », a-t-elle répondu à la polémique montante avant de se défausser (sans pour autant encore démissionner) .
Comme de toute façon, ce ne sont pas eux qui décident, elle n’en a rien à battre et peut s’en contre-cogner le clitoris !
 
Et puis ce n’est pas à l’ordre du jour (très encadré) puisqu’on ne causera que de « la transition écologique, la fiscalité et les dépenses publiques, la démocratie et la citoyenneté (dont l’immigration), l’organisation de l’État et des services publics. »
Pas des salaires…
Circulez, il n’y a rien d’autre à voir d’autant que dans un moment de lucidité, elle a décidé de ne pas présider ce grand débat (à quoi sert-elle ?) sans pour autant renoncer ni à ses émoluments (et autres avantages attachés à la fonction), ni à son poste, mettant un peu plus en difficulté le gouvernement : Il va lui falloir trouver sur le pouce un remplaçant, doigt sur le couture du pantalon, qui ne fasse pas trop guignol.
Pas facile en ces temps si difficiles pour le pouvoir.


Ce que j’en dis, c’est qu’à ce régime-là, ce n’est pas un seul portail de ministère (et encore ce n’était pas le sien qui est en réfection), mais plusieurs qui vont valser dans les semaines à venir. Pas pour l’acte IX - ils ont arrêté tellement de casseurs qu’il n'en reste plus - mais comme ils vont sortir de prison, ce pourrait être pour une prochaine étape à suivre.
Tant mieux (les flics ne sont plus sur les routes à vous fliquer) ou tant pis (les flics ne sont plus sur les routes à courir après les délinquants et autres criminels), mais une chose est sûre, ça ne va pas faire avancer le schmilblick mais rajouter de l’huile sur le feu.
Que j’en suis à me demander si le pouvoir « Jupitérien » ne cherche pas délibérément le conflit « dur » pour mieux justifier de son prochain coup d’État

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