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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mercredi 26 décembre 2018

Sincères autocongratulations.

« BBR » va avoir un successeur.
 
Je ne sais pas si vous vous rendez compte de la chance extravagante que vous avez en venant lire mes « petits-posts » sur ce « pitit-blog » sans importance.
Naturellement, vous y trouvez plein d’informations parfois assez étonnantes, mais c’est surtout le reflet de mes « émotions » du moment.
Je prends acte…
Il n’empêche, en 2015, le pays se prend une bordée d’attentats sanguinolents et ahurissants, cruels et violents, barbares même, mais comme un peu partout ailleurs en Europe (et encore ailleurs).
Moâ, j’écris « Laudato sì… » (en ligne depuis juin 2016), un peu « percuté » par l’encyclique papale. Je voulais faire une fresque de la guerre du Koweït à l’adresse des « anciens de la division Daguet », laissés sans soins d’avoir été empoisonnés aux poussières des obus d’uranium appauvri tirés pendant la « bataille des 100 heures » (et trois suivants) pour libérer le pays.
Je n’ai aucune admiration pour des « militareux » payés avec du « bon impôt gauloisien » pour aller tuer des gens à l’autre bout de la planète, même si je conçois parfaitement qu’ils sont tous indispensables.
Pas plus, pas moins, pas mieux que pour ceux qui leur fabriquent leurs armes et munitions…
Mais les laisser crever sans même les soigner, ça me dépasse, ça me désole au plus profond.
C’est parfaitement irresponsable.
Passons…
 
Et puis surviennent l’attentat de Nice (et l’exécution d’un prêtre en Normandie).
Et là, il y a « un truc » qui me chiffonne : Manifestement, les « autorités » prévoyaient « un… accident ».
Certes, tout le monde dans les services de renseignement pensait à un attentat contre « Tagada-à-la-fraise-des-bois » en déplacement privé à Valence (ou ailleurs, Avignon, je ne sais plus) : Ils se sont plantés et ça a été le massacre au camion sur la promenade des Anglais.
Du coup, je me renseigne, je gratte de l’information « sensible », je fouine et je tombe sur Palentir pour en tirer la deuxième partie de cette « Enquête de Charlotte » (qui n’en finit plus…), ce qui n’était pas prévu dans le scénario originel.
Qu’on comprend très vite ce que sont les algorithmes prédictifs de la délinquance (et leurs limites, qu’on a pu revoir le 1er mai 2018 autour des Gobelins) développés pour exploiter et « décoder » les « big-data » de vos comportements.
C’est même beaucoup plus vaste que la lutte anti-terroriste ou contre la délinquance primaire et viscérale, puisque même « Gogol, « Fesses-book », les russes, les britanniques, les israéliens en font un usage « marketing » sans concession ni limite et en très grande profondeur.
Vous ne le savez pas, mais on sait tout de vous, jusqu’à votre comportement devant une devanture de boutique et vos intentions de vote (et autres opinions ou moyens financiers).
J’invente donc le logiciel « BBR » pour « Blanc/Bleu/Rose », la classification qui me vient à l’esprit pour jauger d’une menace dans « une sphère de sécurité ».
Pure invention de ma part.
 
Eh bien, pas du tout, pas du tout !
J’apprends ainsi la semaine dernière que vingt-deux entreprises tricolores se sont regroupées pour proposer une offre complète de big-data et d’intelligence artificielle 100 % Gauloisienne.
Et que parmi elles, Flaminem entre en concurrence frontale avec Palantir !
« Nous, Français, n’avons pas à rougir face aux Américains et aux Israéliens » se vante le directeur d’« Intelligence Solution » chez Systran, spécialiste des technologies de traduction, et qui l’affirme haut et fort lors de la présentation du « cluster data intelligence ».
Vous savez, le « truc » de « Jupiter » qu’il l’a fait mousser un temps.
 
Ce groupement de 22 entreprises a été mis sur pied il y a deux ans par le GICAT (2016 donc), un groupement des industriels de défense et de sécurité, et propose désormais une offre complète de traitement et d’analyse de données 100 % hexagonale.
Au sein de cette « équipe de France », Flaminem est seule à se présenter frontalement face à l’Américain Palantir. En fait il a été lancé en 2013 par un start-upper comme une filiale du groupe Baracoda, éditeur de logiciel d’investigation, et est maintenant dirigé par un ex-conseiller à l’innovation de « Jupiter » quand ce dernier était ministre de l’Économie.
Pas un hasard, finalement, et à plus d’un titre.
Ce n’est pas moi qui l’invente, c’était dans la presse…
Autrement dit, quand « j’inventais » BBR et la « CISA », on regardait déjà au-dessus de mon clavier pour s’en inspirer !
Extraordinaire, n’est-ce pas ?
 
Comme Palantir, Flaminem et sa dizaine d'ingénieurs de haut vol assurent maîtriser l’intégration de centaines de flux de données volumineux (big data). « Une fois que nos clients peuvent croiser leurs données, ils peuvent investiguer avec notre interface », détaille-t-on.
Et comme Palantir, Flaminem démarche à la fois les entreprises et les services étatiques (police, renseignement).
De clic en clic, les enquêteurs relient les indices et les suspects, « à la manière d'un commissaire devant des photos punaisées sur un tableau en liège ». Pour détecter des fraudes ou répondre aux exigences réglementaires en matière de connaissance-client dans la banque et l'assurance. Ou pour arrêter criminels et terroristes.
Quoique pour l’instant, Flaminem n’a pas encore conquis de clients étatiques. « Nous discutons avec les grandes agences », assure le dirlo qui fait sa pub en attendant 2020 et le prochain appel d’offres de la DGSI, les services secrets Gauloisiens qui ont signé un premier contrat avec Palantir à l’été 2017.
Encore une date à retenir : J’en fais mes choux-gras dans « Ultime récit – suite » où je vous dévoile (encore une pure invention de ma part, et de circonstance en plus, tellement ça « s’emboîte bien ») comment le logiciel « BBR » a été acheté à la CISA et a permis le financement de la première tranche des « rêveurs-même-pas-en-marche » de « Jupiter ».
Rappelez-vous, en juillet 2016 il n’est encore que ministre et c’est lui qui signe les autorisations de transferts d’entreprises et de technologies (en application de la loi Florange).
Le deal se fait moyennant un retour.
Plusieurs mêmes : Le premier ce sont des rétro-commissions occultes, le second c’est la promesse d’un contrat à signer avec Palentir.
Effectivement, le pays n’a plus d’outil « prédictif » à disposition, alors que ça avait presque bien fonctionné autour des attentats de juillet 2016.
Et un chèque de 10 millions d’euros (c’était dans la presse spécialisée il y a encore peu), juste pour disposer du droit à émettre des requêtes jusqu’aux USA, couvrant les « rétro-commissions » évaluées à 8 millions (jusque dans le post de jeudi dernier).
 
Et on nous dit qu’avec son interface, Flaminem vient compléter l’offre des autres membres du « cluster » créé par le GICAT, des supercalculateurs (Atos), la géolocalisation en temps réel (Deveryware), des data centers (Critical Building) ou encore les drones (DIODON Drone Technology), Systran ayant, pour sa part, développé avec Pertimm et Vocapia Research une solution de retranscription, traduction et analyse d’enregistrements audio. La start-up Aleph-network se serait elle, fait une spécialité de fouiller le dark web, quand Geo4i analyse avec précision des images satellites.
« Palantir n'est pas un sujet pour nous », assure le président du cluster et responsable de l’offre big data « Atos Codex ». « Palantir ne fait qu'un logiciel de big data, certes très performant. Mais nous sommes des triathlètes : nos offres vont du satellite au data center enterré en passant par les supercalculateurs. »
Plus récente, l’offre du GICAT serait également « plus moderne » et « intègre davantage d’intelligence artificielle », en prétendent-ils.
À la ramasse tous les autres services, à l’en croire… !
 
Ensemble, les membres du « cluster » espèrent reconquérir non seulement les agents gauloisiens mais surtout de nouveaux marchés étrangers. « La France est un marché parmi d’autres ».
« Si nous voulons du matériel performant, il faut amortir la recherche et développement dans d’autres pays ». Mais chacun sait qu’une vente à l’export de technologies potentiellement dangereuses dans des États totalitaires ou ennemis passe par un « examen de conscience » et, dans de nombreux cas, par l’aval des autorités.
Autorités qui n’ont pas fait dans le détail, ni pour céder « BBR », ni pour signer avec Palentir…
 
En bref, vous venez lire jusqu’ici une « fiction d’été » (tous les étés) et cette fiction est dans l’instant dépassée par la réalité.
Je trouve ça particulièrement extraordinaire, d’autant que ce n’est pas la première fois : Souvenez-vous des trois « PAI » de la décennie (et des romans les « accompagnants » depuis le premier).
Avouez que le jour où je n’existerai plus (ça arrivera bien un jour), je vais vous manquer…
Au moins, je manquerai à quelqu’un, et pas seulement à « ma nichée ».

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