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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

lundi 10 décembre 2018

Mercredi dernier, une page s’est définitivement refermée

Une autre s’ouvre
 
Ils ont enterré George Herbert Walker Bush.
Et ils étaient nombreux à faire le déplacement.
C’est effectivement l’occasion – avec les sommets internationaux – de se faire quelques « confidences » entre « initiés ».
Voire de prendre des « décisions-discrètes », même si c’est probablement plus compliqué que ça (cf. http://flibustier20260.blogspot.com/2017/11/twist-de-filo-chard.html).
On va y revenir.
 
Il y a vingt ans, pour rappeler qui il a été, lorsqu’il se présenta pour la seconde fois, George Bush récolta le plus faible pourcentage de voix jamais obtenu par un président sortant depuis William Howard Taft en 1912. Le peuple américain le rejeta, ce qui le fit beaucoup souffrir.
À l’aube des années Clinton, l’image que la nation se faisait de George Bush était celle d’un jogger vieillissant et gauche, qui vomissait ses sushi pendant une visite officielle et semblait émerveillé par les lecteurs de code-barres des magasins. Une réputation qui lui colla longtemps à la peau. Lorsqu’on le compare à Ronald Reagan, dont il a été vice-président pendant huit ans, et à Bill Clinton, qui l’a battu avec l’aide de la candidature de Ross Perot en 1992, « Poppy » Bush semble manquer de l’envergure nécessaire pour occuper le 1600 Pennsylvania Avenue.
Impression totalement erronée.
 
Même s’il n’a rien fait pour être apprécié, pendant son mandat, il considérait la comédie politique avec mépris et lorsque ses conseillers l’obligeaient à s’y livrer, il était mauvais. Lorsqu’il a quitté le pouvoir, alors qu’il était conscient de ses grandes réussites, il a décidé de ne pas écrire ses mémoires et n’a pas même consenti à enregistrer une histoire officielle orale pour sa bibliothèque présidentielle.
Lors d’une interview de 1999 avec le Miller Center of Public Affairs, le conseiller à la sécurité nationale de Bush, Brent Scowcroft, avait même raconté le défi que représentait d’obtenir de George Bush qu’il s’épanche sur lui-même et sur ses réussites.
Abattu par les Japonais et repêché dans le pacifique en 1945, le jeune George Bush n’oublia jamais la chance qu’il avait eu de survivre, ni ceux qui en furent privés. Son éducation et ses expériences firent de lui probablement un homme bon et tranquillement confiant, mais un communiquant déplorable dans une culture qui gratifie l’autopromotion.
 
Et pourtant, dans les mois critiques de son mandat, sans doute entre octobre 1989 et la fin août 1991, George H. W. Bush ne se contenta pas de faire son travail avec talent. Il fut aussi, il faut bien le dire, un grand président. Le vétéran patricien de la Seconde Guerre mondiale apporta le parfait mélange de pragmatisme, de réalisme et de bon sens à trois immenses défis, l’effondrement de l’Empire soviétique, celui des Reaganomics sur le territoire national, et l’ambition fanatique de Saddam Hussein au Moyen-Orient, dont le moindre aurait pu facilement saborder une présidence moins accomplie.
Dans la mesure où l’on peut tirer des leçons de l’Histoire, on aurait pu parier que Moscou n’allait pas laisser filer ses vassaux européens sans violence. Au XXème siècle, aucun des grands empires coloniaux, Gauloisien, Rosbif, Batave, lusitanien et Wallon/flamand, ne s’était écroulé sans effusion de sang. Et ces empires avaient chancelé sans avoir l’arsenal nucléaire alors gigantesque de Moscou.
Tandis que le Marxisme-Léninisme échouait à l’étranger (sans effusion de sang), les conséquences des Reaganomics provoquaient une crise dans le monde occidental. Un déficit budgétaire béant aux USA, un secteur bancaire et un marché du logement en difficulté exigeaient toute l’attention du nouveau président.
Le troisième défi intervint une année plus tard, quand Saddam Hussein chercha à exploiter le bouleversement des affaires internationales en envahissant le Koweït en août 1990.
Le début des affaires dont on tourne avec cet enterrement la dernière page pour être englouties à jamais dans les sombres secrets de l’Histoire contemporaine.
 
Il ne s’agissait pas pour le président de faire montre d’éloquence, mais d’agir avec prudence. Après un cafouillage initial sur le dossier Gorbatchev (son équipe et lui arrivèrent au pouvoir en pensant à tort que Reagan, vieillissant, avait pu exagérer les velléités d’ouverture de Gorbatchev au vrai changement en Europe de l’Est) Bush a brillamment géré la relation avec le leader soviétique non-conformiste, tout en entretenant le dialogue avec les alliés occidentaux nerveux de l’Amérique et ses nouveaux amis d’Europe de l’Est.
Quand les Allemands de l’Est ont commencé à abattre le mur de Berlin le 9 novembre 1989, Bush a résisté à la tentation de crier victoire. À l’instar de John F. Kennedy après la crise des missiles cubains, il avait compris que quand l’Histoire va dans votre sens, il est important de transformer vos adversaires en partenaires. Et cela ne se fait pas en leur mettant le nez dans leur kaka.
 
Bush, qui était aussi très bon au téléphone et en personne, travaillait en coulisses. Il rassurait, amadouait et guidait ses homologues à travers un champ de mines. Le plus épineux des problèmes était la question de la réunification de l’Allemagne. Il fut le premier de son cercle d’initiés à adhérer à l’idée que l’Allemagne de l’Ouest absorbe l’Allemagne de l’Est, pour fonder une Allemagne unifiée présente à l’Otan, et réussit à convaincre Gorbatchev, Margaret Thatcher et « Mythe-errant » que cela serait dans l’intérêt d’une nouvelle Europe plus vaillante.
Et puis, en juin 1990, il réussit l’impossible : Convaincre Gorbatchev de transcender des années de paranoïa soviétique bien compréhensible envers les Allemands, et d’accepter l’idée d’une Allemagne unifiée dans l’Otan.
Lui seul en a été capable.
C’est comme ça…
 
Dans le même temps, il a dû gérer les conséquences d’un rêve avorté sur le territoire national. Lors des élections de 1988, qui ne furent pas un des plus grands moments de sa carrière, parmi les déclarations regrettables du candidat figurait : « Vous m’avez bien compris : pas de nouveaux impôts. »
Il y en a qui y croit toujours et encore 30 ans plus tard, les gueux !…
Or, une fois au pouvoir, il comprit que s’il voulait empêcher les États-Unis de basculer dans le « précipice fiscal » de son époque (un déficit budgétaire de 221 milliards de dollars et un secteur bancaire en plein effondrement) il allait devoir négocier un accord budgétaire avec les démocrates qui contrôlaient le Congrès et entreprendre une perfusion de 88 milliards de dollars de liquide pour soulager le marché du logement, alors qu’un quart des « savings and loan associations » (institutions financières de financement de l’épargne à des fins immobilières) faisaient déjà faillite, bien avant 2007.
Ces chiffres peuvent sembler dérisoires aujourd’hui, mais Bush Senior paya son pragmatisme au prix fort.
 
Au début août 1990, Bush surprit même le cercle de ses proches en annonçant, après l’invasion du Koweït par l’Irak : « Cela n’est pas tolérable, cette agression contre le Koweït. » Bush était déterminé à donner une leçon à Saddam Hussein, malgré les hésitations des premières heures : Il s’agissait surtout de protéger Ryad et ses champs pétrolifères à portée de char du dictateur irakien.
Il ne voulait pas que la fin de la lutte avec Moscou invite au retour des guerres de frontières qui avaient dominé les relations internationales avant que l’avènement des armes nucléaires ne gèle nombre de jalousies nationalistes. Il a été aussi résolu à ce que le monde, et pas seulement les États-Unis et leurs alliés anglophones, donne une bonne leçon à Saddam Hussein. En utilisant les Nations Unies et une patiente diplomatie, et avec l’aide d’un vieil ami, le secrétaire d’État James Baker, il mit au point une vraie coalition de partenaires volontaires, incluant l’Union Soviétique. Une fois que les forces de la coalition eurent chassé l’Irak du Koweït, Bush comprit qu’il lui fallait mettre un terme rapide au conflit.
Juste après la « bataille des 100 heures »…
(cf. http://flibustier20260.blogspot.com/2016/08/laudato-si-xxxi.html).
 
Il entendait non seulement que les petits pays apprennent à ne pas avoir recours à la violence pour résoudre leurs différends, mais ne voulait pas non plus que ses alliés tirent des conclusions erronées de la manière dont s’était terminée cette guerre-là. Il leur demanda leur aide pour libérer le Koweït, et une fois cela fait, il a eu la sagesse de ne leur pas demander davantage : La guerre du Golfe ne devait pas être considérée comme un acte d’impérialisme américain.
Et la retenue volontaire qui marqua sa réaction à la chute du mur influença aussi l’aboutissement de la guerre du Golfe.
 
Les défis auxquels il a été confronté, y compris la bataille budgétaire, étaient constamment relayés par les médias. Le rôle central qu’il joua ne reçut pas, en revanche, le traitement qu’il méritait. Ces dernières années, la publication de certains éléments ont révélé que Bush était entouré d’une équipe de mouches du coche. Ce n’était pas des rivaux mais les membres de son cercle d’intimes étaient rarement d’accord : Son secrétaire à la défense, Dick Cheney, et James Baker avaient des positions diamétralement opposées sur nombre des défis de politique étrangère auxquels il était confronté. Mais nous le savons maintenant, seul Bush décidait. S’il n’avait été à la barre, son administration aurait été paralysée.
 
Sans Bush, les réussites dont les Reaganiens s’attribuent le mérite (la fin pacifique de la Guerre froide et la prospérité économique des années 1990) n’auraient pas eu lieu. Dans la même veine, les « Pinetoniens » doivent garder à l’esprit que l’expansion économique sous son mandat n’aurait pas été possible sans les choix faits par « Daddy » Bush, qui lui ont pourtant coûté cher politiquement, dans les premières années de la décennie.
 
Certains lui ont reproché une campagne qui flirtait (au moins) avec les attaques racistes, en 1988. Et à la fin de l'année 2017, le mouvement #MeToo a fait surgir des allégations crédibles selon lesquelles il a touché de façon inappropriée des femmes en public depuis 2000 même si, lui, contrairement au président actuel, s’en est excusé affirmant que ses propos et intentions avaient été mal-interprétés.
Il combattit des idéologies pendant la Seconde Guerre mondiale et travailla d’arrache-pied pour aider l’Europe à divorcer pacifiquement du Marxisme-Léninisme. Quand l’idéologie d’extrême-droite, cette fois sous la forme des Reaganomics, ont menacé le niveau de vie américain, il a fait son devoir, non pas dans son propre intérêt politique mais parce que c’était la bonne chose à faire. Plus tard, quand les défenseurs du port d’armes sont allés trop loin et ont accusé l’administration Clinton d’employer des tactiques nazies après Ruby Ridge et Waco, George Bush a rendu sa carte de la National Rifle Association. S’il y a eu un héros américain dans le monde troublé de la fin des années 1980 et du début des années 1990, cela a été George H. W. Bush.
 
Ceci dit, paix à son âme.
Nous y revenons : Les secrets du pillage du Koweït en 1990/91 par les troupes de Bagdad et quelques-unes de celles de la coalition sont désormais enterrés.
Et jusqu’en « Gauloisie-archi-honnête ».
Le temps a fait son œuvre et ils ne seront pas rouverts. La preuve incontestable reste qu’« Opération Juliette-Siéra », qui existe depuis 2010 a enfin trouvé un éditeur (peut-être « Pourrito », juste là pour ralentir comme il le peut sa diffusion pour une demi-décennie… à un prix dirimant, mais il doit avoir des coûts à écraser) sans pour autant que le ciel ne me soit tombé sur la tête, alors que « l’Ami-Râle » n’a jamais pu faire autrement que de passer par Amazon.com pour rapporter la même histoire (et sans les mêmes coûts).
Et qui en « Gauloisie-archi-honnête » a su « effacer » les dernière traces de ses douteux détournements ?
« Jupiter-soi-même » !
Je vous l’expliquais là, chiffres à l’appui.
 
« Mythe-errant », qui reste à l’origine de tout ce saint-frusquin (en vue de financer la réunification allemande à la même époque, mais il poursuivait aussi un but politique intérieur « respectable » sans jamais avoir cherché à s’enrichir personnellement) était un « intouchable » : D’abord à raison de l’utilisation « européenne » desdits fonds détournés, mais aussi parce qu’il a livré sa taupe Farwell aux américains.
Avec sa cascade d’arrestations aux USA et en Europe.
Le « Chi » n’a jamais rien voulu savoir et a refilé la patate-chaude à « Tonton-Yoyo », qui lui-même s’est retrouvé dans une situation intenable de ne pas désavouer son mentor, même « sous réserve d’inventaire ».
Il a giclé sèchement et de façon tout-à-fait inattendue dans les urnes un peu plus tard : Mauvaise pioche !
Rappelez-vous…
Le « Chi » s’est montré ensuite solidaire des USA après les attentats de septembre 2001, mais a refusé de « doubler la mise » en ne participant pas à une seconde guerre en Irak voulue sur des ragots d’armes de destruction massive par le fiston du prédécédé.
Le « Chi » a « gerbé » atteint par la limite d’âge, mais a été dans l’obligation de reprendre le « poulain » des amerloques (« Bling-bling ») à son corps défendant dans ses équipes qui en est ensuite devenu président : À lui de faire le boulot !
De nettoyer les écuries d’Augias.
Élu pour ça sans que vous ne le sachiez.
Il l’a fait, mais partiellement seulement et comme il a été parfaitement médiocre par la suite avec ses financements politiques pour le moins douteux avec d’autres dictateurs pas vraiment « glamour » avec Washington, il a été évincé par « Tagada-à-la-fraise-des-bois », le canasson boiteux improbable fringué comme un « capitaine-de-pédalo » qui a partiellement poursuivi en douce l’épuration des comptes.
 
C’est là que le météore « Jupiter » a été placé en orbite pour clore définitivement ce dossier.
Ce qu’il a fait avec le troisième PIA, un mécanisme de blanchiment d’argent-noir, rien de plus (et qui ne « dégouline » décidément pas dans l’économie réelle : Souvenez-vous de « Dévide-Gens » : « Avec 26 milliards et les effets multiplicateurs Keynésiens, c’est comme si j’en faisais 100 ! » qu’on lui avait dit de dire. Alors combien avec 82,7 ?).
 
Mission accomplie ?
Partiellement : Une réforme du droit du travail plus tard et quelques réformettes sans importance mais bien clivantes pour « casser » le « Mammouth » là où il se goinfre sur le dos des Gauloisiens sans rendre le service minimum, à quoi sert-il depuis qu’il cusse (c’est du sarthois) devant une bande de gilets-jaunes ?
Va-t-il pouvoir encore avancer ?
Car il n’a toujours pas engagé la mère des réformes, celle des dépenses d’État et d’une façon plus générale la simplification et l’allègement de la fiscalité (des entreprises et des particuliers) devenue parfaitement incompréhensible…
Décidément pas le « bon cheval » pour ça.
Et c’est ma « petite-sœur » (celle que si elle n’existait pas, il faudrait quand même l’inventer), qui me fait remarquer que non seulement « il » a les traits tirés, mais qu’il a le regard anxieux : Il a peur.
Et ce n’est pas forcément imputable à sa période de « mauvais karma » passager, débutée en juillet dernier : Il s’est passé quelque chose à ce moment-là (en amont, plus exactement) et c’est ensuite une cascade d’emmerdements (qui volent en escadrille serrée).
 
Il s’entoure d’une armée de garde-de-son-corps, se déplace moins, se cache presque.
« Lui » sait qu’il est menacé.
« On » a dû le lui dire, lui faire savoir par des voies (et voix) inattendues, même si la disparition d’un individu ne règle jamais tous les problèmes (et ses échecs) et reste à jamais à ne pas souhaiter : Mais lui y croit et c’est suffisant pour faire son effet sur son mental. La preuve, il recule (pour mieux sauter ?)…
Et ce n’est évidemment pas par des gilets-jaunes ou quelques factieux ultra-droâte-gôche, anarchistes et autres Rivarol parfaitement inoffensifs.
Non, par « eux » à la tête de leurs services de renseignements, qui se sont réunis à Buenos-Aires, qui se sont revus aux obsèques de Bush-père.
 
D’ici qu’on apprenne un jour ou l’autre, « qu’il aura été suicidé », comme « Grosse-ouvre », « Bérêt-Go-Voit » (tous les deux au cœur des secrets de « Mythe-errant ») et quelques autres (tout récemment l’amiral en chef du la Vème flotte US stationné dans le golfe Persique), il n’y a plus très loin.
À votre avis, pour quelle raison « Tagada-à-la-fraise-des-bois » n’a pas voulu risquer sa peau au-delà de son premier mandat ?
Alors qu’il compte bien revenir d’une façon ou d’une autre…
Curieux tout de même, non ?
Bref, une fois de plus à suivre dans les semaines (ou mois) qui viennent : Il va se passer tellement de choses que 2019 pourrait devenir passionnante.

4 commentaires:

  1. Il y a une autre explication pour Gorbatchev.
    Imoossible qu'un yankee ait pu le convaincre.
    Gorbatchev aurait été convaincu par des visites un peu plus éxotiques qu'un simple Bush !
    Et franchement ce serait plus plausible.
    Gorbatchev dépassant de loin un Bush !

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    1. C'est une hypothèse comme une autre.
      Personnellement je pense que l'URSS était alors en situation prérévolutionnaire.
      Un échec total de l'utopie stalinienne.
      La preuve, il a suffi à un Eltsine de monter sur un char entre deux cuites devant la Douma pour récupérer le pouvoir...
      Mais souvenons-nous que le coup fatal est venu de Gdansk en Pologne. Après, ça a été un jeu de dominos qui s'effondre.

      Ce qui m'inquiète le plus désormais, c'est que "Poux-tine", un pur produit de l'ex-URSS, officier du KGB, semble vouloir remettre le couvert sans tirer les leçons de l'Histoire de son pays.
      Et pour l'heure, ça lui réussit assez bien.
      Alors que "MacDo-Trompe" n'a pas pris la même dimension, la même "épaisseur" que "Boubouche-Senior".
      L'un et l'autre sont les produits de leur époque, tout simplement !

      Bien à toi !

      I-Cube

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    2. Gorbatchev aussi etait du KGB si je me souviens bien.
      Il a accéléré le mouvement c'est sur.
      Il n'est pas bete il devait savoir que ça allait laminer l'armée russe
      et il l'a fait quand meme.
      Je pense vraiment qu'il devait avoir une influence plus forte qu'une peur de révolution...
      Au contraire la chute du mur a du augmenter ces risques en URSS et meme en russie.
      Oui bon on discute seulement car hélas je n'ai pas de faits probants.

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  2. Salut "D.B" !

    Possible, mais il me semble qu'il soit seulement un "péquenaud" qui aura été remarqué par Andropov (lui, patron du KGB en titre à ce moment-là) et qu'à cette époque (la guerre des étoiles de "Riz-gan"), le pouvoir soviétique savait déjà pertinemment que la course aux armements était insoutenable pour l'URS : Presque 20 % du PIB, un PIB dépassé par celui du Japon au moment où la Chine faisait enfin sa révolution économique pour réussir son décollage...
    C'est historique.

    Quant à "Poux-tine", il commet la même erreur que de porter la guerre loin de ses frontières (alors qu'on sait que l'armée rouge s'est largement plantée en Afghanistan loin de ses bases : C'est une armée de défense du territoire, pas une armée "impérialiste". Ils n'ont aucun prérequis historique de "colonisateur"), mais tente de financer l'effort militaire en vendant ses technologies militaires à d'autres : 2ème exportateur d'armes cette année.
    Et lui est bien lieutenant-colonel du KGB, en poste à Berlin puis à Leningrad avant de devenir un élu municipal de cette ville pour finir par balayer Eltsine dans les urnes, si je me souviens bien.

    Comme quoi, les chiens ne font pas chats : La Russie est toujours sous la coupe (avec l'assentiment "démocratique" des populations) des services secrets de l'URSS.
    C'est un peu comme si "Mu-Nez", le secrétaire d'Etat à la sécurité de "Castagneur", ex-patron des services de contre-espionnage, était devenu premier ministre ou carrément président en "Gauloisie-des-Libertés".
    C'est te dire vers quoi nous dérivons nous-mêmes, quand un Vizir-dévoué prend la fauteuil du Calife !

    Bien à toi !

    I-Cube

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