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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

samedi 8 décembre 2018

Ça pourrait se passer dans les heures qui viennent…

D’où cette nouvelle interruption de nos programmes.
 
L’autre jour (lundi 3 décembre) j’écoutais depuis Londres « Transe-Kul-ture » (incapable de retrouver « RCC » sur mon ordinateur) où « Manu-Totodd » faisait son numéro sur les « Gilets-jaunes ».
Ce n’est pas que j’aime le bonhomme – loin de là – mais « l’historien-anthropologue-universitaire-chercheur-retraité-auto-désigné » a eu un mot : « Hier, c’était d’ailleurs le 2 décembre… et le plus grand danger, ce n’est pas tant l’insurrection populaire, mais le coup d’État » (ou un truc comme ça…).
Ah tiens, voilà qu’il deviendrait intelligent l’eurosceptique ?
 
Parenthèse (hors sujet) : Je ne l’apprécie pas justement pour cette raison. L’Euro, il fallait le faire ou ne pas le faire seulement à compter du référendum sur le traité de Maastricht.
Et si je me souviens bien, il y avait certes des voix dissonantes quant à l’initiative de « Mythe-errant », à « gôche » comme à « droâte » (moi-même, « Chiraco-Tiberiste » à l’époque, j’avais voté contre et n’avais pas fait campagne estimant que c’était bien trop anticipé), mais une fois que ça eu été voté, on ne fait pas « l’angliche » à vouloir revenir sur ce qui a été décidé (ou alors on est un kon-total).
Lui s’était déclaré opposé à l’Euro en 1992 (très bien), mais « fat-de-lui-même », il a pu estimer en 2005 « qu’avec le recul, il valait mieux finalement avoir l’euro ».
Girouette ? Un intellectuel-chercheur-historien qui te donne des leçons ?
Et ça se revendique la qualité de « chercheur-scientifique » qui élabore des lois intangibles ?
Fume mon gars, c’est du belge !
 
Bé oui et pas qu’une seule fois puisqu’aujourd’hui il estime que l’euro ne permet plus aucun exercice de « souveraineté » hors celui de réduire la voilure des dépenses publiques.
Faudrait savoir, n’est-ce pas, même si je sais bien qu’il n’y a que les fous qui ont des idées fixes…
Raison pour laquelle je ne l’apprécie pas.
 
D’autant qu’il se trompe totalement : L’Euro, c’est juste une unité de compte.
Comme le mètre, le yard, la pinte, le litre, la livre, le kilo, la seconde et le degré d’alcool de mon pinard.
Rien de plus et il y a des tables de conversion pour s’y retrouver.
Sauf qu’une monnaie, elle se convertit en d’autres monnaies et que leurs valeurs bougent tout le temps depuis l’abandon à la référence à « l’étalon-or ».
Une liberté « gagnée » depuis la fin de l’empire Romain, quand les « seigneurs locaux » battaient monnaie en leur suzeraineté-locale. Et ça eut été le génie de Charlemagne de le leur interdire pour unifier la mesure de la valeur valable sur tout le Saint-Empire-Romain-Germanique.
Qui n’a hélas duré qu’un temps, jusqu’à l’apparition de l’Euro justement…
Parce qu’entre le « rendage », le « pesage », le « façonnage » et je ne sais plus quoi, ils ont été nombreux à dékonner avec les valeurs faciales de leurs monnaies en leurs provinces.
Et puis quand l’or a débarqué par galions entiers des Amériques, même la « relique-barbare » s’est mise à « bordèler » dans les échanges, que je ne te vous raconte pas…
 
Bref, ce n’est pas la monnaie qui les rend tous jaloux, haineux, débiles et négatifs (alors que c’est une très grande réussite – nous y reviendrons peut-être : En 20 ans « rien » est devenu le cinquième des réserves de change dans le monde et représente jusqu’à plus de 36 % des paiements internationaux… dites-z’y mieux pour voir !), c’est le « pacte de stabilité » complètement débile (d’autant quand on sait comment il a été arrêté sur un coin de table) que seul le Benelux et l’Allemagne pouvaient respecter (et encore à quel prix) au détriment de tous les autres.
« Manu-Totodd », il a l’intelligence limitée et l’opinion changeante : Pas assez fiable pour moi.
Mais, revenons à notre sujet…
 
J’étais dans des « dispositions particulières » en rentrant de « Paris-sur-la-Plage » où on fêtait en famille les « t’huit-ans » de ma petite-sœur à moâ-même (celle que si elle n’existait pas, il faudrait quand même l’inventer… cf. http://flibustier20260.blogspot.com/2018/05/aujourdhui-cest-lascension.html) où naturellement on devisait de « l’acte III » alors en cours.
Et elle d’insister : « Ils l’enterrent quand ? » (Qui ? Papa-Bouche, tiens !).
Mercredi.
« C’est là que ça va se décider ! »
Je vous explique ça une prochaine fois : Pour elle, quand « ils » se rassemblent quelle que part dans le monde (G6, G7, G20, COP quelconque, AG ONU ou enterrement/mariage/circoncision/baptême…) « ils » prennent ou valident des décisions en aparté, loin des écoutes téléphoniques : C’est du « off » et ça n’existe pas.
Et là, c’est « Jupiter » qui a été averti qu’il est dans la ligne de mire : Depuis, il fait une tronche longue comme ça, ne montre même plus ses dents du bonheur et ses deux alliances (qui m’énervent au plus haut point, vous ne pouvez pas savoir combien, déjà que une seule, ce n’est pas facile à assumer…) et il s’entoure d’une armée de G-men.
On verra ça en détail en début de semaine prochaine…
 
Parce qu’il y a « l’acte IV » aujourd’hui dont la séquence mise en scène aurait été imaginée, élaborée, mise en œuvre par quelques géniaux planificateurs, exécutée sans le moindre bémol, chacun jouant sa partition à la perfection, jusqu’à « Juppette » qui prévient que tout cela va mal finir, dans le rôle du Sage-de-Bordeaux.
Curieux, tout de même !
Que Cauchy (le gilet-jaune, pas le matheux) en a dit hier qu’il s’agissait d’un « traquenard » !
Et oh que oui, même si ce n’est pas celui auquel il pensait.
Alors je décale l’analyse d’un arrêt du Conseil d’État des plus passionnants à une date ultérieure, car voilà ce qui pourrait, pourrait seulement (espérons), se passer.
 
Première hypothèse : Tout le monde reste calme, les Gilets-jaunes défient la République avec saucisses et merguez sur les boulevards et la « marche pour le climat » s’écoule tranquillement un peu plus loin.
Le « Téléthon » fonctionne normalement et les flics restent dans leurs cars.
Les appels à la responsabilité auront été entendus et chacun pourra en dire que c’est une « grande-victoire » du bon sens : Le courant passe de nouveau entre le peuple et ses dirigeants (qui auront compris) après les mesures de « suspension » puis d’abrogation prévues par l’exécutif (contre la décision des Parlementaires d’ailleurs, c’est vous dire s’ils comptent encore que pour des prunes, ceux-là…) et on se remet à préparer les fêtes de fin d’année dans la joie et la bonne humeur générale.
 
Deuxième hypothèse : Les flics appellent à la grève (pas les « opérationnels », ils ne peuvent pas, mais tous les autres), les manifestants descendent armés sur la kapitale comme ils ont prévenus qu’ils allaient le faire, les casseurs déboulent de leurs quartiers-chics et les pilleurs-loubards de leurs zones-de-banlieues.
Tout le monde est déjà prévenu depuis plusieurs jours qu’ils sont là pour « castagner » et consigne a été donnée de libérer les chaussées de tout obstacle dans un large périmètre de la kapitale.
Et les plus déterminés comptent bien marcher sur le palais de l’Élysée y défoncer les grilles…
Deux branches : 1/ La police les repousse plus ou moins violemment ; il y a du sang, des incendies, des bagarres jusque tard dans la nuit dans les quartiers autour de La Madeleine, Opéra, Denfert-Rochereau, Nation, Porte Maillot, du Palais Bourbon et pourquoi pas des ministères de la rue de Varennes, voire jusqu’au Sénat (tout cela tient dans le même kilomètre de diamètre) : Mai 68 bis repetita puisque les chauffeurs-routiers (qui se seront dégonflés entre-temps), les lycéens, les étudiants, les VTCistes, les ambulanciers, les infirmières, les syndicats et qui encore que je ne saurai dire, beaucoup d’autres quoi, prennent le relai dès lundi et durant toute la semaine pour « bloquer » le pays.
2/ La préfecture de police est débordée malgré ses renforts de gardes-mobiles et ce sont des chars (déjà 12 et probablement plus en réserve aux ordres de Matignon) qui stationnent devant les « lieux de pouvoir ».
Forcément, ça dégénère : Quand on n’a plus rien à perdre que sa vie – quitte à mourir en martyr (y’en a qui en font même « religion ») – on peut s’attendre à tout. Il faut avoir quelque chose à perdre pour ne pas faire la guerre.
 
Dans l’une comme dans l’autre de ces deux branches de la seconde hypothèse, bien évidemment, « Jupiter » va réagir. Il a prévu une allocution télévisuelle d’abord dimanche, mais comme il va consulter, ce sera pour le début de semaine suivante.
Quand exactement, je ne sais pas…
Pas pour vous annoncer qu’il démissionne ou vire son premier-sinistre (il est déjà dehors), ou encore qu’il convoque des élections générales.
Puisque dans tous les cas, il s’estime légitime et son programme et décisions validés par les dernières élections présidentielles et surtout législatives : Il a majorité absolue pour poursuivre.
Et puis des élections après-Noël, ça n’a pas de sens alors qu’il s’agit de limiter les dégâts des « Marcheurs-même-pas-en-rêve » aux prochaines européennes (même si c’est assez mal « barré », hypothéquant la suite…)
Mais c’est une option intéressante : S’il dissout, il a les « pleins pouvoirs ». Seul le Sénat peut encore siéger pour le contrôler, mais comme celui-là n’a aucun pouvoir pour ce faire, il ne contrôle rien du tout.
 
« Perso », je jouerai plutôt l’autre solution qui s’offre à lui, à savoir la carte de l’article 16 de la Constitution (sans dissoudre, pour garder une majorité confortable en sortie de crise courant février ou mars) : Ce n’est ni « l’état d’urgence » (qui n’existe plus), ni l’état de siège (une situation dévaluée de guerre), mais une forme intermédiaire de « démocrature-républicaine » : « Lorsque les institutions de la République (…) sont menacés d’une manière grave et immédiate et que le fonctionnement régulier des pouvoirs publics constitutionnels est interrompu, le Président de la République prend les mesures exigées par ces circonstances, après consultation officielle du Premier ministre, des Présidents des Assemblées ainsi que du Conseil constitutionnel.
Il en informe la Nation par un message.
(…)
Le Parlement se réunit de plein droit.
L’Assemblée nationale ne peut être dissoute pendant l’exercice des pouvoirs exceptionnels.
Après trente jours d’exercice des pouvoirs exceptionnels, le Conseil constitutionnel peut être saisi par le Président de l’Assemblée nationale, le Président du Sénat, soixante députés ou soixante sénateurs, aux fins d’examiner si les conditions énoncées au premier alinéa demeurent réunies. Il se prononce dans les délais les plus brefs par un avis public. Il procède de plein droit à cet examen et se prononce dans les mêmes conditions au terme de soixante jours d’exercice des pouvoirs exceptionnels et à tout moment au-delà de cette durée. »
« Peut » ne veut pas dire « doit » et encore moins que « Jupiter » se pliera à ces avis ! Et comme en un mois (voire deux), il peut se passer tellement d’arrestations arbitraires, de modifications du corpus législatif par voie d’ordonnances, le tour est joué, plié : « Jupiter » aura les pleins pouvoirs jusqu’à ce que mort s’en suive…
Le Caudillo-sur-Paris-sur-la-Seine !
Pour quelle raison croyiez-vous qu’on vous parle « d’insurrection » depuis plusieurs semaines ? Tout serait déjà prévu dans ce scénario-là, ce traquenard, élaboré depuis la fin du mois de novembre (sans ça ni « l’acte IV » ni le « III » n’existeraient : On aurait pu depuis longtemps « calmer » les choses quand c’était encore si simple).
Je vous ai toujours dit que c’est ce qui vous attend : Au moins, vous aurez été prévenus de longue-date.

Bon, on peut se planter sur les dates (je voyais ça un 2 décembre, avec la réforme de la constitution avortée, ça aurait eu de la gueule), les circonstances et le déroulé et peut-être que ça n’aura pas lieu.
Je vous le souhaite, d’ailleurs et bien naturellement (moâ, je m’en fous, je suis à l’abri des bombes à London, mais je crains quand même pour « ma nichée » que je suis encore capable d’organiser et de faire un raid avec quelques « cousins-natios » pour aller « l’extraire »…)
On verra.
 
Car ça peut aussi ne « pas se passer » et ça va tenir à très peu de choses.
La conduite des événements de la rue comme il vient d’être dit.
Mais aussi les « forces obscures », qui ont joué avec le feu en poussant leur poulain aussi loin, aussi haut, aussi peu expérimenté et en aussi peu de temps et qui s’en mordent les doigts de remords et feront peut-être (ou probablement) « barrage » (les fameuses consultations à venir de dimanche).
« Leur créature » leur a échappé (probablement à compter de l’affaire « Benne-Allah », mais peut-être aussi plus sournoisement depuis ses discours sur la souveraineté [pourtant bien « dans la ligne »] qui a débouché naturellement cette idée d’armée européenne [feu la CED, Communauté Européenne de Défense des années 50/60 qui aura débouché sur le régiment franco-allemand plus tard] – qui n’est pourtant pas si konne, mais qui aura fâché les « fratries-étatsuniennes ») et de toute façon cette précipitation à vouloir « réformer » la constitution du pays : La Constitution et les textes fondateurs, c’est l’affaire des « Francs-maçons » depuis celle de Paoli (1755) en « Corsica-Bella-Tchi-Tchi » (un « frère »), une génération avant celle des américains (et la première des vôtres successives), et ça aura été le « déclencheur ».
Un texte ni fait ni à faire, dans une précipitation suspecte qui aura mis la puce-à-l’oreille de ces messieurs-là.
Depuis, ils le lâchent et lui préparent un « tour de cochon » qui ira peut-être jusqu’au lynchage en règle.
Je ne le souhaite à personne – même pas à lui – tout aussi naturellement (ce n’est pas une solution), car…
 
Car ça ouvre des perspectives inattendues.
Soit « Jupiter » réussi à se maintenir, coûte-que-coûte et on part vers une séquence dont personne ne connaît l’issue, quitte à remettre à plus tard sa tentative de putsch, quand les choses seront mûres ;
Soit « Jupiter » se fait évincer salement et on part vers une séquence dont personne ne connaît l’issue…


Puisqu’à part « L’Archer », Président du Sénat devenant président par intérim pour gérer les affaires courantes et préparer une élection de substitution, un « homme de bon-poids », je ne vois personne ramasser le pouvoir et s’y maintenir.
À part « Deux-Villes-Liées » rejouant « Maréchal-nous-voilà », comme le réclament certains Gilets-Jaunes ?
C’est un « frangin-trois-points » : Il ne fera rien sans le soutien de ses confréries (qui testent pourtant l’idée dans la rue et les réseaux-sociaux).
« Marinella-tchi-tchi » ou « Mes-Luches » ? Ce seront les premiers à être mis au secret.
D’ailleurs, je serai « Jupiter » en son coup de force, je ferai comme le neveu de mon « cousin » (celui qui dort dans son septuple cercueil sous le dôme des Invalides entourés de ses maréchaux…), j’arrêterai toutes les « oppositions » (politiques et médiatiques), barricaderai les routes de provinces et enverrai en Guyane ou chez les Kanaks toutes les dissidences leur apprendre les bonnes manières républicaines (comme à une époque lointaine qui a succédé à la Commune).
 
Ça ne se passera peut-être pas comme ça, mais les heures qui viennent vont être intéressantes à suivre pour préparer vos fêtes de fin d’année dans la joie des foyers…
Ça valait la peine de vous prévenir et de dérouter le post prévu pour aujourd’hui.

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