« Gilou-Le-Beau-fils » fait œuvre d’humilité
Et c’est hilarant de la part du patron des « Jupitériens »
de l’Assemblée nationale !
Succédant à « Ricard-Faire-rang » passé au
perchoir à la place de « Rugby » (devenu « sinistre des
écololos-bobos »), il te vous nous déclarait encore : « Nous sommes tous unis pour aller de l’avant
».
C’était jusque-là un des vice-présidents et un des
portes-la-parole du groupe des « marcheurs-même-pas-en-rêve ».
Il vous a été présenté comme avoir fait une carrière
dans la presse économique et la création de plusieurs sociétés de conseil.
Élu dans la circonscription de « Haine-qu’à-Aime »,
ce serait un « libéral convaincu » qui a viré sa casque en « marcheur-même-pas-en-rêve
» de fond, dès mi-2016.
Bref, un « communicant » qui sait le poids
des mots (alors que lui-même se présente comme un « industriel » pour
n’avoir jamais été que … conseil en entreprises depuis une petite décennie,
probablement pour avoir envoyé boire le bouillon à l’entreprise « industrielle »
dont il avait la charge précédemment, suppose-je : Probablement une
reconversion professionnelle avant une autre elle-même plus lucrative [vue la
baisse constante de son chiffre d’affaires ces dernières années]… en « politique »).
Et le voilà qui confirme mon
propre propos (et analyses) de mardi dernier.
Le temps que ça me parvienne jusqu’à London, j’ai eu l’occasion
de m’en réjouir (tournée générale à midi, et encore une au soir !).
Je cite : « Nous avons insuffisamment expliqué ce que nous faisons. Et une 2ème
erreur a été faite : le fait d’avoir probablement été trop intelligent, trop
subtile, trop technique dans les mesures de pouvoir d'achat. Nous avons
saucissonné toutes les mesures ».
Punaise de gourgandine : Le « melon »
que voilà !
Une vraie pastèque…
Euh lui, il n’a rien fait que de soutenir des textes
pondus par « Jupiter » et sa cohorte.
En résumé, il traite les « Gauloisiens-vêtus-de-jaune »
(et tous les autres) de vraiment « trop kon » !
Pire que « Bling-bling » avec son « Kass-toi pôve kon ! »
D’ailleurs, il s’en est rendu compte rapidement :
« Quelques mots sortis de leur
contexte… Trop intelligents = trop techniques = trop compliqués. Je n’ai rien
voulu dire d’autre : les mesures sur le pouvoir d’achat sont désormais simples
et lisibles. Désolés, sincèrement, si j'en ai choqué certains. »
Mais non, tu ne m’as pas choqué, mon « Gilou »,
tu m’as fait rire aux éclats et tu m’as même fait vraiment plaisir d’abonder
dans mon sens !
Que je te prépare un texte le week-end dernier pour te
vous expliquer que la technostructure des « sachants » n’a rien
compris à rien, que je te vous le programme pour le mardi suivant (pour être en
déplacement sans trop le temps de m’y atteler) et que toi tu confirmes avec
brio : Je n’ai pas osé aller jusque-là !
Mais presque.
Et tu aurais dû lire (comme d’autres…) au-dessus de
mon clavier avant de raconter ta saillie dans le poste.
Ça t’aurait évité de te prendre une volée de bois vert…
que j’en dis.
Finalement, ils t’ont laissé déraper pour bien montrer
que – comme beaucoup d’autres – tu es une erreur de casting !
Bon, il faut dire que tu ne te dérobes pas : Cet excès
d’intelligence « nous (la majorité, le gouvernement) en portons tous la responsabilité, moi y
compris ».
Autrement dit, tu emmènes avec toi tous tes
petits-copains élus par des kouillons dans la même soupe !
Juré : Tu es vraiment extraordinaire de cécité, d’autisme,
de trisomie-appliquée, finalement !
« Nous répondons
à l’état d’urgence économique et social par des mesures de pouvoir d’achat plus
fortes, rapides, et lisibles. L’intelligence technique avait créé de la
complexité. Nous l’avons corrigée ».
Voilà qui reste à voir : Entre lucidité et
rêverie les « yeux-grands-ouverts », bé chez toi, il n’y a même pas l’ombre
d’une nuance de frontière, me semble-t-il.
Parce que franchement, ta « troisième erreur, c’est prendre les gens pour des cons »
rappelle « Elsa-Faux-sillon », du PCF…
Moi j’aurai dit « première », mais bon, je
ne dois pas avoir les mêmes valeurs que chez les staliniens.
Car il y a manière et manière de dire les choses.
De son aveu, qui rappelle un peu « la pensée complexe » prêtée à « Jupiter »
et son « en même-temps »
par l’entourage du chef de l’État, tourne au « bad buzz ».
Que j’en fais même un post, c’est dire.
L’opposition, sur « Twister », s’en est
donné à cœur joie, épinglant « l’arrogance
» ou « le mépris de classe » de « LREM-même-pas-en-rêve ».
« La rengaine
n’a pas changé. Si les Français sont en désaccord, c’est parce qu’ils n’ont pas
compris ces imbéciles », ironise « Cléclé-ment-ine-Haut-Teint »,
tandis qu’un autre député de « La Gauloisie-insoumise », « Alex-six-Corps-bière »
tacle : « En matière de modestie,
nous sommes les meilleurs »,
aurait dit Sacha Guitry avec humour… Mais là c’est le président du groupe LREM
à l’Assemblée nationale qui parle, et lui se prend très au sérieux ! »…
Le melon, vous dis-je, une vraie mappemonde !
Au moins, il a de l’humour, celui-là, même s’il reste
grinçant.
« Trop
intelligent et trop subtil… trop modeste aussi », observe plus simplement
le soce « Beau-Rice-Va-L’eau » (le pourvoyeur de PIB [Production
Intérieure de Bonheur] de « Nagea-belle-qui-sème »).
Quant au coco « Stéph-de-Peu », lui,
s’interroge : « Mais où va LREM ? Que
cherche le chef à plume (du groupe LREM à l’Assemblée) quand il assène que l’intelligence supérieure de la macronie est
inaccessible au plus grand nombre, au peuple ? »
Eh bien moi, je vais vous dire : Remporter sur le
fil le prix de l’humour politique 2018 !
Ni plus ni moins.
Les handballeuses ont gagné l’Europe, lui il va gagner
« le monde » juste devant « MacDonald-Trompe »…
C’est tout le drame de ce pays : Plus personne ne
veut d’un « État « éducateur », qui
se conduit à leur égard (les Gauloisiens, mais ça vaut même de l’autre côté
de la Manche et encore ailleurs) comme un
régent de collège alors qu’il est incapable de se réformer ».
Ce n’est pas de moi, mais d’un « constitutionnaliste-réputé ».
Alors oui, peut-être que les « Gilets-Jaunes »
ont raison.
Le temps que ça remonte les flots de la Tamise, j’ai
appris qu’ils souhaitaient pouvoir « destituer » un élu après deux
ans d’exercice d’un mandat.
Par principe « constitutionnaliste », je
suis contre : C’est un outil de déstabilisation des institutions
représentatives, qui ont besoin de temps pour conduire une politique stable et
raisonnable.
Ils ont un mandat de 5 ans, mais n’en ont en fait que 4
ans pour « faire un bilan », plus une année pour le défendre contre
leurs adversaires politiques (et éventuellement être renouvelés).
Mais d’un autre côté, en qualité de juriste, je sais
que « le mandat ou procuration est
un acte par lequel une personne donne à une autre le pouvoir de faire quelque
chose pour le mandant et en son nom.
Le
contrat ne se forme que par l’acceptation du mandataire. » (Article
1984 du Code Civil).
En précisant que (Article 1986) « Le mandat est gratuit s’il n’y a convention
contraire. » Hors, celui de député est « indemnisé »,
rémunéré…
Ce qui implique que (Article 1992) : « Le mandataire répond non seulement du dol (la
tromperie), mais encore des fautes qu’il
commet dans sa gestion.
Néanmoins,
la responsabilité relative aux fautes est appliquée moins rigoureusement à celui
dont le mandat est gratuit qu’à celui qui reçoit un salaire. »
Ils sont prévenus…
Par ailleurs l’article 2003 précise que : « Le mandat finit :
Par la
révocation du mandataire,
Par la
renonciation de celui-ci au mandat,
Par la
mort, la tutelle des majeurs ou la déconfiture, soit du mandant, soit du
mandataire. »
En sachant que (Article 2004) : « Le mandant peut révoquer sa procuration
quand bon lui semble (…) », nonobstant l’article 2006 qui prévoit
que : « La constitution d’un nouveau
mandataire pour la même affaire vaut révocation du premier, à compter du jour
où elle a été notifiée à celui-ci. »
Autrement dit, un député, comme n’importe qui d’autre,
administrateur ou gérant de sociétés, d’associations, de fiducies, doit pouvoir
soit être viré « ad nutum »
par son remplacement ou ses « mandants » (ses électeurs), à moins qu’il
en démissionne ou en meurt (d’effroi) avant…
Simple !
Et pourtant pas eux : Ils ont un « blanc-seing »
quinquennal pour raconter et décider en votre nom n’importe quelle konnerie.
La preuve !
Je devrais dire « les preuves ».
Reste que ce qui est dramatique (et ils ignorent ô
combien) dans cet ultime épisode, ce n’est pas tant de traiter le « Gauloisien-qui-paye »
leurs âneries de konnards, c’est le mépris dans lequel ils le tiennent.
C’est à la fois « extraordinaire », hilarant
même, mais tellement affligeant !
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