Une fois de plus : Joyeux Noël à toutes et tous !

Petits & grands…

 

Vous rendez-vous compte, c’est le 5^ème que nous passons ensemble !

Incroyable et même inespéré.

L’année dernière, je n’avais pas trop la frite. Alors je vous ai fait un post « décalé ».

Je ne m’en suis même pas excusé auprès de vous…

Mais ça m’avait tout de même bien « défoulé ».

Et ça reste d’une actualité de plus en plus précise…

 

L’année précédente, 2016, je vous avais « torché » un post relevant quelques actes de christianophobie de l’année : Je vous rassure il y en a toujours plus, au moins en « Gauloisie-laïque », mais personne ne vous en parle (alors que j’en tiens un compte-fleuve qui n’en finit pas de s’incrémenter…).

On préfère vous faire tout un plat du saccage (éhonté) d’un cimetière juif dans l’est du pays qui aura aussi été victime d’un taré d’islamiste récemment.

Dénoncer l’antisémitisme (que l’on vous fait confondre allègrement avec l’antisionisme) fait toujours recette.

Vous aurez noté que le « pas d’amalgame » a disparu des Unes de vos « médias-aux-ordres » alors qu’ils nous bassinaient avec leur « tous ensemble » dès qu’on touchait de près ou de loin à nos « minorités visibles » (et autres, même autoproclamées).

Mais de là à s’insurger contre les massacres de chrétiens ailleurs dans le monde, il n’y a plus personne, même pour Asia Bibi (qui a pourtant fait exception)…

 

En 2015, Noël tombait un vendredi, rendez-vous quasi-hebdomadaire des « Histoires d’en rire » d’avec un public choisi et « d’élite » (même si vous n’étiez pas très nombreux ce jour-là : À peine 35 sur les 35.294 visiteurs/jour pour 576 jours qu’existait ce blog-ci…)

Figurez-vous que je ne m’étais pas privé… de tenter de vous en faire rire !

 

Et le premier que nous ayons passé ensemble, Noël 2014, je vous faisais juste un petit rappel de ce que cela représentait en qualité de Papiste-revendiqué et assumé.

J’assume toujours même si je ne suis pas très religieux.

Pas du tout même.

Plus j’avance dans ma vie, moins je comprends l’éventuel « grand-dessein-divin ».

Je pense qu’il n’y en a pas d’intelligible.

Pas pour notre espèce.

N’en déplaise aux « coranistes » et tous les autres assis sur leurs certitudes si incertaines.

 

Et puis, et puis… l’âge avançant, les petites douleurs matinales mettant plus de temps à s’estomper que « dans le temps », et celles du soir survenant plus tôt que d’habitude, « mon crabe » aidant (j’ai déjà consommé plus de la moitié de mon espérance de vie potentielle… enfin, statistiquement parlant et « l’Ami-râle » est parti cette année du même crabe découvert presqu’un an avant le mien), je passe plus de temps à enterrer mes copains ou encore plus âgés qu’eux, que de fêter des mariages ou des baptêmes.

C’était pourtant sympathique de marier ses ami(e)s…

Maintenant, c’est « ma nichée » qui marie les siens !

Drôle d’époque…

 

Tout ça pour vous dire que l’année 2018 a été particulièrement… « pas commode » à gérer et à traverser.

Nous arrivons à son bout dans une semaine, et je n’ai toujours pas « décroché » mon ultime post d’hommage à vous toutes et tous (du 31 décembre au soir, minuit moins une) pour l’année suivante, comme je le fais d’habitude depuis quelques années maintenant.

Je vais le faire, bien sûr, même si je ne suis pas bien certain d’en avoir envie : Il faut bien qu’à un moment ou à un autre, « ça s’arrête ».

Franchement marre de voir autant de souffrances s’accumuler autour de moi auxquelles je suis bien incapable d’apporter le moindre réconfort !

 

Même l’espérance n’y est plus : C’est pourtant le message qu’apporterait normalement Noël et ses promesses d’un monde merveilleux, libéré des malheurs de la condition humaine.

Fils de l’Homme, nous irons tous au paradis promis par Jésus-Christ né (arbitrairement) ce jour-là.

 

Vous  le sentez, je broie encore du noir et je me dis que c’est quand même la magie de Noël : Une fois de plus (peut-être la dernière, ou une des dernières, car elles sont comptées) je vais être entouré par « les miens ».

Et même s’il en manque, dont une partie est dans « mon cimetière » et le reste est dans mon cœur, cette perspective me remplit de joie, vous ne pouvez pas savoir combien !

Eux ne savent pas, mais peu importe : Ce sont des moments rares qu’il faut déguster avec une extrême gourmandise.

 

Je vous souhaite à toutes et à tous de vivre avec la même densité ce jour de festivité.

Et si déjà vous êtes esseulé(e)s, eh bien je suis là.

Je ne vous connais pas, mais vous me faites l’honneur de venir me lire (et de me connaître au moins un peu pour m’apprécier assez pour y revenir, quelques instants, à « communier »), alors pour vous et seulement pour vous, je suis là !

Je suis peut-être sale, moche, puant, crade, insupportable, kon et méchant (et désormais « sub-quintal »), mais je vous adore tout de même…

Merci d’être passé(e)s vous aussi !

 

Et JOYEUX NOËL À TOUTES ET À TOUS, petits & grands !

 

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