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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 14 décembre 2018

Les absurdes de Jean-Marc

Relevées pour vous !
 
Petite annonce sous la rubrique articles ménagers de l’Express de Drummondville : « Une chaise électrique à vendre. 20 jours d’usage, 400$.
– Cause de la vente : Décès ! »
 
C’est devenu une tradition : Régulièrement, le centre de documentation et d’information de l’assurance publie les bévues les plus amusantes trouvées dans le courrier des assurances.
L’orthographe, le vocabulaire et la grammaire sont d’origine…
Et ça reste toujours impressionnant !
 
« Je vous serais obligé de m’adresser le courrier concernant mon accident a un de mes amis M.. .. car, pour la passagère blessée, ma femme n’est pas au courant, et il vaut mieux pas. Je compte sur votre compréhension pour ne pas déshonorer un honnête père de famille… »
 
« Il faut dire à ma décharge que le poteau que j’ai buté était caché par l’invisibilité du brouillard. »
 
« Ma voiture gênant la circulation, un portugais m’a aidé a la mettre sur le trottoir, ainsi que ma femme qui rentrait de son travail. »
 
« Je désire que ma voiture soit utilisable accidentellement par mes enfants majeurs considérés comme novices. »
 
« En qualité du plus mauvais client de votre agence (neuf accrochages en un an), je vous demande d’avoir le plaisir de résilier mon assurance auto avant la date d’échéance. »
 
« J’ai été victime d’un accident du travail alors que je faisais la sieste sous un pommier. »
 
« J’ai été blessé par une dent de râteau qui m’est tombée sur le pied. La dent était accompagnée du râteau. »
 
« L’accident est survenu alors que je changeais de fille. »
 
« J’ai bien reçu la fiche de mon épouse, je ne manquerai pas de vous renvoyer cette dernière dûment remplie par mes soins. »
 
« Je suivais la voiture qui me précédait qui après que je l’ai dépassé m’a suivie, c’est alors qu’elle m’a choquée en plein derrière et m’a forcé par la choquer moi aussi le derrière de celle qui était devant. »
 
« Il me semble que ma petite affaire va bouger au printemps, ce dont je serais heureux. »
 
« Circonstances de l’accident : est passé a travers une porte vitrée lors de l’opération « portes ouvertes » de l’entreprise. »
 
« En avançant, j’ai cassé le feu arrière de la voiture qui me précédait. J’ai donc reculé, mais en reculant j’ai cabossé le pare-chocs de la voiture qui me suivait. C’est alors que je suis sorti pour remplir les constats, mais en sortant j’ai renversé un cycliste avec ma portière.
C’est tout ce que j’ai a déclarer aujourd’hui. »
 
« J’ai heurté une voiture en stationnement et je me suis bien garde de me faire connaître auprès de l’automobiliste. J’espère que vous serez content et que vous pouvez faire un petit geste en m’accordant un bonus supplémentaire. »
 
« Je vous demanderais de ne tenir aucun compte du constat amiable. Vous comprendrez en effet que je fus brusquement pris d’une émotion subite : arrière défoncé, présence de la police, choc psychologique, tout concourrait a ce que je mette des croix au hasard. »
 
« Vous savez que mon taxi est transformé en corbillard et que je n’y transporte que des morts. Mes clients ne risquant plus rien, est-il bien nécessaire que vous me fassiez payer une prime pour le cas ou ils seraient victimes d’un accident ? »
 
« Depuis ma chute, je ne peux plus me déplacer. Veuillez m’indiquer la marche a suivre. »
 
« Vous me dites que d’après le Code Civil, je suis responsable des bêtises de mes enfants. Si c’est vrai, les personnes qui ont écrit cela ne doivent pas avoir, comme moi, neuf enfants a surveiller. »
 
« L’eau a traversé le plafond de cette dame qui attendait un enfant d’un moment a l’autre, ce qui n’a pas choses. »
 
« J’ai heurte brutalement l’arrière de la voiture qui me précédait. Mais grâce a mon casque, ma blessure au poignet est sans gravité. »
 
« Chacun des conducteurs conduisait sa voiture. »
 
« Le camion s’est sauvé précipitamment sans montrer ses papiers. »
 
Impressionnant, vous ai-je prévenu.
Autre série…
 
Un homme, identifié seulement comme Erwin M. a demandé et obtenu l’autorisation de faire lancer sur son cercueil, au moment de la mise en terre, des cassettes pornos au lieu des fleurs traditionnelles.
L’homme, âgé de 68 ans, voulait avoir ses amies et compagnons de plaisir avec lui.
Après enquête, le conseil municipal de Bonn a répondu affirmativement à la requête de l’homme qui était en phase terminale.
Les conseillers municipaux n’avaient pas d’objection au fait que le moribond veuille emmener avec lui sa collection de cassettes pornos.
 
Un « classique »  (pour vous en remettre) :
 
« Chère maman, cher papa.
 
Ça fait déjà trois mois que je suis à l’université. J’ai pris beaucoup de retard pour vous écrire et je m’en veux de vous avoir négligé. D’autant plus que vous faites de gros sacrifices pour m’envoyer ici.
 
Bon. J’ai quelque chose d’important à vous apprendre.
Voilà. Je vais plutôt bien maintenant. La fracture et le traumatisme crânien que j’ai eu en sautant par la fenêtre de ma chambre en feu, peu après mon arrivée, sont maintenant presque guéris.
 
J’ai eu tellement peur que vous appreniez la nouvelle à la télé, mais je vois qu’on n’en a pas parlé. Je n’ai passé que deux semaines à l’hôpital, et ma vue est redevenue presque normale. En plus, ces affreuses migraines ne m’arrivent plus qu’une fois par semaine, au maximum.
 
Heureusement, une dame très gentille qui travaille dans une boutique, en face, a tout vu. Elle a composé le 112 et c’est sans doute ce qui m’a sauvé la vie.
 
Elle m’a rendu visite à l’hôpital, et elle m’a offert de m’héberger, lorsque j’ai eu mon congé, car j’avais tout perdu. L’immeuble a été complètement ravagé.
 
On habite un 1/2 au sous-sol, mais c’est plutôt mignon. Elle a deux fois mon âge, mais c’est une femme adorable. On s’aime follement. On veut se marier. On n’a pas encore choisi la date, mais ce sera avant que sa grossesse commence à se voir.
 
Eh oui, chers parents, je serai bientôt père ! Je sais à quel point vous avez hâte de devenir grands-parents, et je suis certain que vous accueillerez le bébé avec tout l’amour et les tendres soins que vous m’avez témoignés quand j’étais petit.
 
La seule chose qui retarde notre union, c’est la petite infection qui nous agace, ma fiancée et moi et qui nous empêche de passer les analyses prénuptiales. Heureusement, les médecins disent que ça va vite disparaître avec les injections de pénicilline.
 
Je sais que vous l’accueillerez à bras ouverts dans notre famille. Elle est très gentille, et même si elle n’a pas fait d’études, elle a beaucoup d’ambition.
 
Bien qu’elle ne soit pas de même race ni de la même religion que nous, je connais votre tolérance et votre grandeur d’âme. Je suis certain que vous n’attacherez aucune importance au fait que sa peau soit un peu plus foncée que la nôtre.
 
Je suis sûr que vous l’aimerez autant que moi. Vu qu’elle a à peu près votre âge, vous allez très bien vous entendre. Papa, surtout, elle est très bonne au poker.
 
Ses parents sont, eux aussi, des gens très bien et son père est très riche car il a six femmes. Nous avons d’ailleurs communiqué avec lui pour l’inviter au mariage. Il faudra prévoir à les loger puisque ça coûtera trop cher à l’hôtel. Enfin, on verra…
 
Respirez par le nez. C’était une blague ! Ha ! Ha ! Ha ! Je vous ai bien eus hein !
 
Mon appartement n’a pas passé au feu. Je n’ai ni traumatisme ni fracture du crâne, je ne suis pas allé à l’hôpital, je ne suis pas fiancé, je n’ai pas la syphilis et il n’y a pas de femme bronzée dans ma vie.
 
Sauf que j’ai coulé mes examens de mathématiques et de physique. Mais, dans la fond, comme vous voyez, ça aurait pu être pire !
 
Jean-Marc
 
PS – Je serai là pour les Fêtes. »
 
Une revenue :
 
Petit Jean-Marc rentre de l’école et dit à son père :
« – Papa, je dois faire un devoir sur la politique et expliquer le Fonctionnement du gouvernement. Peux-tu m’expliquer ?
– Rien de plus facile » (dit le père), il suffit de comparer la société à notre famille.
Tu vois, moi je rapporte l’argent, je suis Capitaliste.
Ta mère, gère le ménage et fait les dépenses, elle est le Gouvernement.
La bonne, qui travaille pour nous, est la Classe ouvrière.
Toi, tu es Le Peuple et ton petit frère de quatre mois est la génération future.
As-tu compris ?
– Je pense, Papa. »
La nuit Jean-Marc est réveillé par son petit frère qui pleure et hurle.
Il se lève et constate que son petit frère a besoin d’être changé, sa couche étant pleine de m…
Il se rend dans la chambre de ses parents et tente en vain de réveiller sa maman qui dort profondément.
Voulant alors réveiller son père, il constate que celui-ci n’est pas dans le lit.
Il le cherche, le voit dans le lit de la Bonne et va se recoucher.
Le lendemain, au petit déjeuner, Jean-Marc dit à son père :
« – Tu sais Papa, j’ai tout compris !
– Ah oui, et qu’as-tu compris ?
– C’est très simple, j’ai compris que le Capitalisme baise la Classe Ouvrière pendant que le Gouvernement roupille, restant sourd aux appels du Peuple en laissant la Génération Future dans la merde. »
 
De la Comtesse-au-pied-dénudé :
 
« C’est l'histoire d’un mouflet de maternelle. Il doit se préparer pour rentrer à la maison. La maitresse veut lui enfiler ses bottes … Difficile, mais, bon, elle y arrive.
« – Maitresse, les bottes, elles sont à l'envers !
– Allez, bon » …
La maitresse enlève les bottes (tout aussi difficilement, évidemment).
« – Maitresse, c’est pas mes bottes !
– Scrongneugneu ! Tu ne pouvais pas le dire plus tôt ? »
La maitresse enlève les bottes.
« – Où elles sont, tes bottes ?
– Maitresse, celles-là, c’est celles de mon frère. Maman a dit qu’il fallait que je les mette.
– Très bien ! Ca y est … Ton manteau, ton cache-nez … Tes gants. Où ils sont tes gants ?
– Je les ai mis dans mes bottes ! C'est pour pas les perdre … »
 
Autre chose :
 
Ça fait du bien de…
 
1. Tomber amoureux ;
 
2. Rire jusqu’à en avoir mal au ventre ;
 
3. Trouver un tas de courrier quand on rentre de vacances ;
 
4. Conduire dans un endroit où les paysages sont magnifiques ;
 
5. Entendre sa chanson favorite à la radio ;
 
6. Lové sous les couvertes et écouter la pluie qui tombe ;
 
7. Sortir de la douche et s’envelopper dans une serviette toute chaude ;
 
8. Réussir son dernier examen ;
 
9. Prendre part à une conversation intéressante ;
 
10. Trouver de l’argent dans un tiroir… en fouillant dans ses vêtements ;
 
11. Rire de soi-même ;
 
12. Prendre un bon repas entre amis ;
 
13. Rire sans raison particulière ;
 
14. Entendre accidentellement quelqu’un dire quelque chose de bien sur soi ;
 
15. Se réveiller en pleine nuit en se rendant compte qu’on peut encore dormir quelques heures ;
 
16. Observer un coucher de soleil ;
 
17. Écouter la chanson qui rappelle cette personne spéciale dans sa vie ;
 
18. Recevoir et donner le premier baiser ;
 
19. Sentir des picotements dans le ventre quand on voit cette personne si spéciale ;
 
20. Passer un bon moment avec ses amis ;
 
21. Voir heureux les gens qu’on aime ;
 
22. Porter le gilet de la personne aimée et sentir encore son parfum ;
 
23. Visiter un vieil ami et réaliser que les choses n’ont pas changé entre nous ;
 
24. Entendre dire que l’on vous aime…
 
Et souvenez-vous : « Les vrais amis viennent dans les bons moments quand on les appelle, et dans les mauvais, ils viennent d’eux-mêmes. »
 
Bon week-end à toutes et à tous !
 
I3

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