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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 21 décembre 2018

Encore quelques-unes ?

La semaine de Jean-Marc
 
Peut-être s’agit-il de « revenue ».
Ces « histoires d’en rire » qui sont publiées jusqu’ici, partent ensuite autour du globe et me reviennent parfois enrichies.
Je ne me souviens plus :
 
Chez les protestants Baptistes, on pratique le baptême des adultes en les immergeant totalement dans l’eau d’une rivière.
Et voilà-t-il pas qu’en pleine cérémonie de baptême baptiste, un clochard, rond comme une queue de pelle, arrive en titubant gravement.
Voyant le pasteur au beau milieu de la rivière, le clochard le rejoint tant bien que mal en pataugeant.
L’homme d’église qui n’a pas remarqué l’état d’ébriété avancé du gars lui demande :
« Mon frère, es-tu prêt à trouver Jésus ? »
Le clochard regarde derrière lui, constate que c’est bien à lui que s’adresse le pasteur et fait :
« Oui Révérend… Hips ! Un peu que je le veux… »
À ce moment-là, le pasteur l’attrape par le col, lui plonge la tête sous l’eau, puis il le ramène à l’air libre.
« – Est-ce que tu as trouvé Jésus ?
– Nooon… Hips ! J’l’ai pas trouvé… »
Le révérend le replonge alors un peu plus longtemps dans l’eau de la rivière et lui demande :
« – Et maintenant mon frère, as-tu trouvé Jésus ?
– Hips ! Noooon… Toujours pas… »
Énervé, le pasteur laisse l’ivrogne pendant une bonne trentaine de secondes la tête sous l’eau, puis il le récupère enfin et lui demande d’un ton rude :
« Alors bon sang, as-tu enfin trouvé Jésus maintenant ? »
 Le clochard se frotte les yeux et murmure à l’oreille du pasteur :
« Hips ! Z’êtes sûr que c’est ici qu’il est tombé ? »
 
Jean-Paul dit à son copain Jean-Marc :
« – Moi, je fais l’amour quasiment tous les jours.
– Ah oui ?
– Eh oui, quasiment le lundi, quasiment le mardi, quasiment le mercredi… »
 
Jean-Marc en voiture avec sa femme se fait arrêter par la police.
« – Bonjour Monsieur. Vous rouliez à 135 km/h dans une zone de 100.
– Non, m’sieur l’agent. Je roulais à peine à 105 km/h.
– Voyons, Jean-Marc, tu roulais au moins à 135, si c’est pas plus. »
Jean-Marc lance un regard à Germaine…
« – Je vais aussi vous donner 48 heures pour réparer votre lumière arrière qui ne fonctionne pas.
– Quoi ? Un feu cassé ? Je ne savais pas qu’il était abîmé.
– Voyons Jean-Marc, ça fait des semaines que tu le sais et que tu ne las pas fais réparer. »
Jean-Marc est très fâché et regarde sa femme en lui faisant signe de se taire.
« – Je vais aussi devoir vous donner une contravention parce que vous ne portiez pas votre ceinture.
– Mais je la portais, m’sieur l’agent. Je l’ai détachée après que vous m’ayez arrêté, pendant que vous marchiez vers l’auto. »
Voyons Jean-Marc, tu ne mets jamais ta ceinture ! »
Jean-Marc est en furie. Il se retourne vers sa femme et lui crie :
« VEUX-TU BIEN FERMER TA GRANDE GUEULE, TOI ! »
L’agent se penche et demande à la femme :
« – Est-ce que votre mari vous parle toujours comme ça ?
– Non… seulement quand il a bu. »
 
« Tout ce qui est public devrait être gratuit. L’école, les transports et les filles. »
(Alphonse Allais)
 
Deux bons vieux ermites vivent ensemble depuis 10 ans, dans le fond d’un bois, sans se parler.
Une fin d’après-midi, un avion passe au-dessus de leur tête. Un lève la tête et dit :
« – Ça, c’est un avion-cargo.
– Non, c’est un transporteur » répond Jean-Marc.
Le lendemain, l’un se lève et trouve l’autre en train de faire son bagage.
« – Qu’est-ce que tu fais ?
– Je pars. Moi des chicanes comme hier, je ne suis pas capable d’en supporter plus longtemps ! »
 
Un homme âgé est arrêté par un barrage de police vers 2 heures du matin.
Le policier lui demande où il va à cette heure de la nuit.
Jean-Marc répond :
« Je me rends à une conférence sur l’abus d'alcool et ses effets sur le corps humain, ainsi que ceux du tabac et des soirées tardives. »
Le policier pas convaincu demande alors :
« Vraiment, et qui est-ce qui donne cette conférence à une heure pareille ? »
Jean-Marc répond :
« Comme d’habitude, ça va être ma femme. »
 
Une dame qui vient d’être opérée demande à son chirurgien :
« Docteur, quand vais-je pouvoir reprendre ma vie sexuelle ? »
Étonné, le chirurgien lui répond :
« C’est la première fois, madame, qu’on me pose cette question après une opération des amygdales ! »
 
Germaine, épouse de Jean-Marc dans le civil, téléphone au commissariat :
« – Je vous ai appelé hier au sujet de la disparition de mon mari. Je souhaite que vous interrompiez les recherches.
– Vous l'avez retrouvé ?
– Non, j'ai réfléchi ! »
 
Jean-Marc tombe une annonce classée : Ford Mustang presque neuve. 7.000 km. Garantie. Contrôle technique impeccable : 100 €
Il saute sur le téléphone.
« – Bonsoir, c’est pour votre annonce pour une Mustang ?
– Oui, c’est ici.
– J’ai bien lu, 100 €…
– Exact.
– C’est pas une blague ? Est-elle accidentée ?
– Pas du tout. Mais dépêchez-vous !
– J’arrive ! »
C’est bien vrai.
La voiture est en parfait état. Ce n’est pas un véhicule volé, ni une blague.
Fébrile, nerveux, Jean-Marc achète la voiture de ses rêves.
Il ne veut pas rater l’affaire.
Après la transaction, il demande à la vendeuse pourquoi elle ne demandait que 100 €.
« Mon mari est parti avec sa secrétaire, et il m’a envoyé un courriel où il me dit : Vends la voiture et envoie-moi l’argent. »
 
Quelques « combles » pour votre week-end ?
 
Le  comble du mathématicien ?
Se coucher avec une inconnue et se réveiller avec un problème !
 
Le comble de l’avarice ?
Un gars qui ne se masturbe jamais parce que ça vient de sa poche !
 
Le comble de l’innocence ?
Une nonne qui travaille dans une usine de préservatifs et qui pense fabriquer des sacs de couchage pour les souris.
 
Le comble de la propreté ?
Essuyer un refus.
 
Le comble du photographe ?
Poser une question.
 
Le comble de l’habilité pour un barbier ?
Raser les murs.
 
Le comble de la réussite pour un sourcier ?
Découvrir une source de revenus.
 
Le comble de l’habilité pour un chasseur ?
Poursuivre une idée, chasser un mauvais souvenir, tirer une conclusion.
 
Le comble de l’habilité pour un distillateur ?
Extraire l’essence de la rose des vents.
 
Le comble du dévouement ?
Être membre d’un Club Optimiste.
 
Le comble pour un nain ?
Se laisser dire qu’il est mal élevé !
 
Le comble pour un journaliste ?
Être à l’article de la mort.
 
Le comble pour un Écossais ?
Filer à l’anglaise.
 
Le comble pour un électricien ?
Ne pas être au courant et avoir des ampoules aux mains.
 
Le comble de la politesse ?
S’asseoir sur son cul et lui demander pardon !
 
Le comble pour un coq ?
Avoir la chair de poule…
 
Le comble pour un agneau ?
Avoir une faim de loup.
 
Le comble pour un petit pois ?
D’être chiche.
 
Le comble pour une souris ?
Avoir un chat dans la gorge.
 
Le comble de l’optimisme ?
Rentrer dans un restaurant et compter sur la perle qu’on trouvera dans une huître pour payer la note.
 
De Jean-Marc à Jean-Paul :
« – Hé mon gars ! J’ai trouvé le point G ! J’ai trouvé le point G !
– Hein ! Comment t’as fait ? Où ça ? Où ça ?
– Chez la voisine. »
 
« – À ton avis, pourquoi veulent-ils interdire les drogues dans les prisons ?
– Parce que ça brûle les cellules. »
 
L’encodage au féminin, selon Jean-Marc
 
– On a besoin de… = Je veux !
 
– Peut-être = Non !
 
– Il faut qu’on parle… = Je veux me plaindre !
 
– OK. Vas-y… = Je ne veux pas !
 
– Est-ce que j’ai un gros derrière = Dis-moi que je suis belle…
 
– OK, fais à ta tête = Tu vas me le payer !
 
– Tu dois apprendre à échanger = Tu dois m’écouter !
 
– Sois romantique, éteins la lumière = Je suis trop grosse…
 
– Hum, tu es viril = Ta barbe est piquante et tu transpires !
 
– M’aimes-tu ? = J’ai quelque chose à te demander !
 
– OK. C’est ta décision = Tu te trompes encore une fois !
 
– J’arrive dans une minute = Dix minutes…
 
De Jean-Paul à Jean-Marc :
« Les femmes adorent coucher avec des impuissants.
Ce sont les seuls qui prennent la peine de parler avec elles. »
 
Bon week-end à toutes et tous !
 
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