Avant de revenir sur ce début de semaine politique
Absolument extraordinaire, il faut bien le
reconnaître, j’aimerai évoquer avec vous (ou pour vous… en fait pour
« moâ », je fais le point…) les effets de la COP 24.
Extraordinaire effectivement, dans la mesure où
finalement personne ne sait comment « décarboner » l’activité humaine
sur cette foutue planète.
Enfin si, on sait : Ça va coûter si cher (environ
la moitié de toutes les créations de richesses piquées sur votre train-de-vie à
toutes et tous) qu’il n’est même pas sûr que vous vous en remettiez.
Quand à vos gamins, n’en parlons même pas :
Retour à l’âge des cavernes, directement !
Un des problèmes justement, ça reste de nourrir
convenablement les générations actuelles et les générations futures et personne
ne vous en cause.
Alors je m’y colle (forcément…)
Et pour faire simple, il y a deux ékoles : Celle
qui cherche des solutions et une autre qui élabore en secret l’abomination.
Là, on l’a bien vu même si vos médias (occidentaux)
ont la tête ailleurs…
Pour
les uns, 22 solutions
permettraient de satisfaire la demande croissante de nourriture prévue d’ici
2050 tout en « stabilisant le
climat, promouvant le développement économique et réduisant la pauvreté »,
estime une étude publiée la semaine dernière par six organisations gauloisiennes
et internationales qu’un document regroupe en cinq « recettes ».
L'ampleur du défi a déjà été relevée à plusieurs
reprises : Pour répondre à la demande des 10 milliards de personnes qui
habiteront la Terre en 2050 (contre 7 milliards en 2010), l’offre de nourriture
devrait augmenter de plus de 50 %, et celle d’aliments d’origine animale même
de + 70 %.
Or aujourd’hui, alors que la faim dans le monde est
loin d’avoir été définitivement éradiquée, l’agriculture est à l’origine d’un
quart des émissions à effet de serre mondiales. Et elle est gravement menacée
par le changement climatique, puisque la sécheresse, les inondations et la
montée des eaux rétrécissent les terres arables.
Afin de parvenir à nourrir la planète tout en
améliorant l’impact environnemental du secteur, trois fossés doivent notamment
être comblés, explique le « think tank » américain World Resource
Institute (WRI), en partenariat avec la Banque mondiale, le Programme des
Nations unies pour l’environnement, le Programme des Nations unies pour le
développement, le Centre de coopération internationale en recherche agronomique
pour le développement (Cirad) et l’Institut national de la recherche
agronomique Gauloisien (Inra), dont une version résumée a été publiée le 5
décembre (la version longue est attendue pour le printemps 2019).
Tout d’abord un écart « alimentaire » : Celui
entre la quantité de nourriture produite en 2010 et celle « probablement »
nécessaire en 2050, puisque le WRI estime que la quantité de calories produites
devra augmenter de 56 %. Ensuite, la disproportion entre la surface des terres
cultivées en 2010 et celles qu’il faudra en 2050 seulement « si les rendements des cultures et des
pâturages continuent de croître au rythme du passé », de 593 millions
d’hectares (deux fois la taille de l’Inde). Enfin, la différence entre les
émissions annuelles de gaz à effet de serre (GES) prévisibles pour l’agriculture
si rien de change, de 15 gigatonnes de CO2 équivalent, et celles
compatibles avec l’objectif de limiter le réchauffement climatique à 2° C, de 4
gigatonnes de CO2 équivalent.
« Pour
maintenir le réchauffement en dessous d’une augmentation de 1,5° C, il faudrait
atteindre cet objectif de 4 gigatonnes plus libérer des centaines de millions d’hectares
pour le reboisement », ajoute le rapport.
Les « puits à carbone ».
Si faire face à ces trois défis simultanément est loin
d’être simple, un ensemble de 22 solutions permettrait néanmoins de satisfaire
la demande croissante de nourriture tout en « stabilisant le climat, promouvant le développement économique et
réduisant la pauvreté », affirment le WRI et ses partenaires. Afin d’atteindre
les « progrès considérables »
nécessaires, elles exigent chacune « l’action
de millions d’agriculteurs, entreprises, consommateurs, et de tous les
gouvernements ».
Ce qui, de vous à moi, est loin d’être acquis.
Mais le potentiel de ces solutions, et notamment leurs
avantages sociaux, économiques comme environnementaux, « est souvent sous-estimé », souligne
le rapport que l’on veut bien croire.
Cinq « recettes » : Elle préconise tout
d’abord de favoriser un ralentissement du rythme de croissance de la demande de
produits agricoles, notamment en réduisant
le gaspillage alimentaire et en promouvant
des régimes davantage végétariens, mais aussi en « évitant toute nouvelle expansion de la
production de biocarburants » (ah flûte !) et « en améliorant l’accès des femmes à l’éducation
et à la santé afin d’accélérer la réduction
volontaire de la fertilité ».
La diminution de la consommation de viande devrait
surtout concerner celle de bétail ruminant (bovins, ovins et caprins), puisqu’il
monopolise deux tiers des terres agricoles et est responsable d’environ la
moitié des émissions de gaz à effet de serre de l’agriculture.
Vous allez tous bouffer de l’herbe à la place des
bêtes qui bouffent de l’herbe…
« Pour combler
les lacunes en matière d’atténuation des émissions de gaz à effet de serre et
de terres disponibles, il faudrait que, d’ici 2050, 20 % de la population
mondiale qui serait potentiellement une grande consommatrice de viande de
ruminants réduise sa consommation moyenne de 40 % par rapport à 2010 ».
Notez que les poissons ne sont pas concernés, jusqu’ici.
Notez que les poissons ne sont pas concernés, jusqu’ici.
Mais comme c’est dégueulasse à vivre dans leurs pipis/kakas
et que c’est plein d’arêtes…
Enfin passons…
Or, aujourd’hui on prévoit plutôt une hausse mondiale
de la demande de 88 % de protéine animale entre 2010 et 2050 : Pas
malin !
Alors ce rapport insiste sur la nécessité d’améliorer
la productivité du système agro-alimentaire, afin d’augmenter la production de
nourriture sans étendre la surface des terres agricoles.
« Cela
signifie augmenter les rendements des cultures à des taux supérieurs aux taux
(linéaires) historiques, et faire croître d’une manière spectaculaire la
production de lait et de viande par hectare de pâturage, par animal – en
particulier pour les bovins – et par kilogramme d’engrais ».
Y’aka-faux-kon…
En effet, « si
les niveaux actuels d’efficacité de la production devaient rester constants
jusqu’en 2050, alors nourrir la planète impliquerait de défricher la plupart
des forêts restantes dans le monde, d’éliminer des milliers d’autres espèces et
d’émettre assez de gaz à effet de serre pour dépasser les objectifs de
réchauffement de 1,5 degré Celsius et de 2 degré Celsius inscrits dans l’Accord
de Paris – même si les émissions de toutes les autres activités humaines
étaient entièrement éliminés », mettent en garde ces
« trouveurs » là.
Aussi afin de réduire les émissions de GES et la perte
de biodiversité, « les gouvernements
doivent explicitement associer les efforts visant à accroître les rendements
des cultures et des pâturages à la protection juridique des forêts, des savanes
et des tourbières », ajoute l’étude, qui englobe sous cet objectif
commun un troisième ensemble d’actions : Pour maintenir la hausse de la
température en dessous de 1,5 degrés Celsius il faudrait notamment des
centaines de millions d’hectares de reforestation !
Et pour nourrir la planète sans la détruire, il
faudrait encore augmenter les ressources halieutiques en améliorant la gestion
de la pêche et de l’aquaculture, rappelle le WRI, mais surtout inciter voire
imposer « à grande échelle »
la mise en place des mesures permettant de réduire considérablement les
émissions de gaz à effet de serre provenant de leurs principales sources
agricoles actuelles, à savoir la fermentation entérique des ruminants, le
fumier, les engrais azotés et l’utilisation d’énergie.
Afin d’atteindre l’ensemble des objectifs mis en avant
par le rapport, évidemment l’innovation joue un rôle important. Parmi les
« opportunités », ils
citent notamment des engrais améliorés qui réduisent le ruissellement d’azote,
de nouvelles cultures aux émissions de gaz à effet de serre réduites, des
sprays organiques qui conservent les aliments plus longtemps, des substituts végétaux
des protéines animales…
De jolis rêves.
Mais « les
progrès à l’échelle requise nécessitent d’importantes augmentations du financement
de la R&D, ainsi qu’une réglementation flexible qui encourage le secteur
privé à développer et à commercialiser de nouvelles technologies ».
Hein, économie-dirigée et subventions, quand tu nous
tiens par tes mirages et promesses…
« Bien que
le défi soit énorme, un avenir alimentaire durable est réalisable si les
gouvernements, le secteur privé et la société civile agissent avec rapidité,
créativité et conviction », conclut le rapport.
Beaucoup trop de « si »…
Autant dire que ce n’est même pas la peine d’y
songer : Irréaliste !
Heureusement, il y a la seconde « ékole ».
Celle de l’abomination !
Pour certains spécialistes, la question démographique
est incontournable quand on parle de sauvegarde de la planète.
D’ailleurs, il paraît que certains renoncent à avoir
des enfants par « militantisme écologique ».
C’est assez drôle finalement : À mon époque
reculée (j’étais jeune-kon, le mur de Berlin n’était pas encore tombé et on
vivait dans la « peur de la guerre froide », de l’anéantissement
atomique de l’humanité et de « l’hiver-nucléaire », mais si, ça a existé,
j’en témoigne !), on se demandait bien à quoi faire des gosses si c’était
pour les sacrifier au totalitarisme de la destruction-mutuelle de l’équilibre
de la terreur.
Des notions oubliées, mais on a remplacé la
« grande-terreur » par une autre : Le destin vénusien de la
planète Terre…
Vous comprendrez pourquoi je reste très dubitatif aux
terreurs du moment : J’en suis à ma deuxième série en une seule vie
d’homme…
Et encore, je ne compte pas l’épidémie de Sida (et ses
sidatoriums voulus par « Le borgne-de-San-cloud », le papa à « Marinella-tchi-tchi »)
qui devait toutes et tous nous emporter pire que la peste bubonique.
« J’ai toujours
eu envie d’avoir des enfants » témoigne à son tour une gamine de 37 balais.
« Mais au vu de l’absence de progrès
concernant la situation climatique, j’ai pris la décision de pas en faire.
»
Imbaisable, quoi…
Un choix personnel et « politique »
précipité par le rapport sur la planète-étuve en août dernier. « Cela m’a fait un choc. En France, on a
encore accès à tout de façon extravagante, mais ça va changer. Ne pas faire
d’enfant, c’est une façon de ne pas être dans l’illusion que tout va bien.
»
Une constante qui avance, avance, avance dans
l’opinion publique.
Et pas pour rien : On a déjà entendu et lu ça.
Un choix que la doxa médiatesque qualifie « d’intime »
et que certains trouvent extrême alors que d’autres l’estime « altruiste »,
et qui est de moins en moins isolé. « Je
ne suis pas militante, mais c’est ma façon de protester à ma micro-mesure
(…) Depuis que j’en parle, je rencontre
beaucoup de femmes qui partagent cette même préoccupation. Certaines organisent
même un enterrement de vie de mère, sur le modèle de la baby shower ! »
Selon elle, « tant
qu’on ne change pas radicalement notre mode de vie, un enfant égale plus de
pollution et plus de consommation ». Ceux qui ont testé les kilos de
couches, de nourriture, de lessives, de jouets qui riment avec parentalité
pourraient en témoigner…
Ainsi que des biberons de 4-heures-du-mat’ après une
soirée arrosée : L’enfer !
« Je ne me vois
pas porter la responsabilité de mettre au monde un enfant qui risque de voir la
nature se déchaîner, de souffrir du manque d’eau, voir les maladies proliférer,
les migrations climatiques dans un climat populiste. Le scénario catastrophe
n’est plus du délire ou le fait de quelques illuminés. On en voit tous les
jours les conséquences… »
Courageuse, la « gamine » dans son délit de « non-assistance
à personne en devenir ».
« Cela traduit
dans cette génération une préoccupation écologique beaucoup plus ancrée
qu’avant », analyse une sociologue du CNRS dont je tairais le nom par charité
chrétienne.
« J’ai
réalisé cette enquête il y a deux ans, et les couples sans enfant étaient déjà
convaincus des défis écologiques. Mais j’ai l’impression que cet été
caniculaire, la démission de Hulot et le rapport des climatologues ont créé une
peur palpable. Maintenant trouver les moyens de répondre à ces défis, c’est
autre chose… »
« Hurle-Haut »
responsable de la dénatalité du pays, de la faillite des régimes de
retraite… ?
Non mais !!!
Heureusement qu’on a encore plein de migrants pour
compenser…
« C’est possible
que certaines personnes pensent à la planète quand elles prennent la décision
de renoncer à avoir des enfants. Mais il est rare que des considérations aussi
générales aient un effet important sur la fécondité. À la fin du XIXème
siècle, on encourageait les Français à avoir des enfants par patriotisme. Cela
n’a rien donné. Même en Allemagne, où l’écologie est plus développée, la baisse
de la fécondité est davantage liée à la difficulté de concilier vie
professionnelle et maternité qu’aux inquiétudes pour l’avenir de la planète »
précise heureusement un autre.
Dubitative également, une autre estimant que « certes, l’empreinte carbone d’un enfant est
effroyable. Mais cette justification écologique vient couronner un ensemble de
raisons personnelles et sociétales. »
Je préfère…
Il n’empêche.
La question démographique devient incontournable quand
on parle avenir de la planète. Selon l’ONU, nous devrions atteindre 8,6
milliards d’êtres humains en 2030, 9,8 en 2050 et 11,2 en 2100. Il y a un mois,
une infographie réalisée par l’AFP avait fait jaser sur les réseaux car on y
voyait clairement que la meilleure décision à prendre pour réduire son
empreinte carbone restait de… « faire un
enfant de moins ».
Un calcul issu d’une étude suédoise de 2017 qui avait
fait polémique : Mais on y arrive lentement alors que la Chine a levé
l’interdiction du deuxième enfant il y a plusieurs années de ça accusant le
coup de la mesure antérieure…
Si certains sur la Toile se sont offusqués, certaines
voix s’élèvent pour insister sur la surpopulation. « La démographie est le risque numéro 1 : chaque habitant consomme des
ressources et émet une quantité de CO2. En ce moment, on consomme
plus de ressources que la nature peut renouveler en un an à partir du 1er
août. Alors imaginez quand on sera 11 milliards ! »
Ne pas faire d’enfant pour protéger la planète, un
choix bientôt imposé ?
On y vient lentement mais sûrement.
Pourtant, « je
pense que cette étude suédoise fait abstraction de l’aspect économique des
choses. Dans beaucoup de pays qui se sont développé, la fécondité a été
remplacée par la consommation ! Prenons le Brésil : on est passé de 6 enfants
par femme en 1970 à 1,8 aujourd’hui. En même temps, le PIB a été multiplié par
4 ou 5. Même chose pour la Chine, devenu le 2ème producteur de CO2.
D’autant que les études montrent que quand on fait moins d’enfants, on a plus
de moyens de consommer : de voyager, d’avoir une grosse voiture… »
Bref, baiser ou bouffer…
Autre argument avancé par les démographes : « Si on veut gagner la cause écolo, il vaut
mieux faire des enfants écolos que pas du tout ! »
Bé voyons ! Et ça finira pas voter
« Marinella-tchi-tchi » comme il se doit !
Dans les pays développés comme ceux en voie de développement,
ce changement radical de société ne pourra avoir lieu si la surpopulation
poursuit sa course effrénée. « Si nos
enfants ont du mal à trouver de l’eau, si les choses élémentaires manquent, ils
seront en mode survie et ne pourront pas faire évoluer les choses dans le bon
sens pour protéger la planète », avance-t-on, par ailleurs.
« Quand on cesse
de faire des enfants, la société meurt. Et je sais que ce n’est pas à mon
échelle que je vais moins polluer, mais c’est tout un ensemble. Il y a une réflexion
à mener au niveau mondial. En Europe, le taux de natalité est faible. »
Alors crevons, puisqu’on veut
déjà vous affamer…
Et les démographes de renchérir : « Les deux régions du monde où la fécondité
est importante sont la zone intertropicale de l’Afrique et l’Asie de l’Ouest.
Je trouve que c’est plutôt à ce niveau-là internationalement que l’on doit
s’organiser pour lutter contre cette extraordinaire fécondité. »
« Mais il reste
très délicat d’expliquer qu’il faudrait limiter la fécondité africaine. La
meilleure méthode, c’est de faire l’éducation des femmes en Afrique, de leur
donner accès à la contraception et de mettre en place une retraite et une
couverture santé. Pour le moment, leurs enfants, c’est leur richesse. »
« La
surpopulation a toujours posé problème, mais on commence à pouvoir le dire
maintenant »…
Ou encore : « Il
faut que les efforts soient conjoints. Faire moins d’enfants mais aussi les
éduquer différemment pour limiter la consommation de viandes, de plastique, la
pollution, la déforestation et ainsi leur assurer un avenir meilleur. »
Vous savez, je suis passé sur cette planète un peu par
hasard (je n’y ai pas ma place ou je me suis trompé d’époque) et je n’ai pas
appris grand-chose.
Je me demande même à quoi peut bien servir la vie (à
part quelques orgasmes partagés) et son très, très long fleuve de souffrances diverses,
impitoyables et tous azimuts : Elle n’existerait pas que le cosmos s’en
passerait très bien et de façon parfaitement harmonieuse.
Sauf une chose. Un proverbe arabe : « Il n’est pas plus grand crime contre
l’humanité que de ne pas avoir d’enfant ».
En fait, le cœur de l’existence – sauf à donner vie
aux choses inanimées : Ce morceau de poussière d’étoile devenu
« bordure de trottoir » en granit – l’important c’est de transmettre.
La vie, la connaissance, l’espoir, les infortunes, peu
importe : Transmettre.
Et ceux, abomination, qui s’y refusent, ils ne
devraient même pas avoir le droit de respirer.
C’est vous dire qu’entre les « deux-ékoles »
ci-dessus, mon choix est vite fait.
Lol 3ème voie; la réaliste:
RépondreSupprimer"Le climat est un leurre" de François Gervais.
Je l'ai découvert il y a qques jours, dir de recherche etc..., sur sudradio !
Je résume:
- LE CO2 est LE fertilisant naturel et (encore) gratuit des plantes
- En un siècle on est passé de 300ppm à 400ppm de CO2; résultat les plantes ont poussées de 20% et un economiste américain estime le gain de production agricole à 3Trilliards de $ !
La température a augmenté de 0.56°C ds l'hémisphère nord et baisse depuis 2016 (les chauds climats ne donnent jamais de chiffre après 2015!) et est à +0.45 ds l'hémisphère nord, +O.4 ds l'hémisphère sud et 0.03°C dans les tropiques !
De plus la notion de température myenne est très subjective, d'ailleurs le GIEC vient de relancer une propagande sur le +1.5°C localisé sur le pole nord actuellement!
Mais je savias déjà tout celà en suivant Christie (nasa) qui est l'un des 3 à 4 nasa anti "panique" climatique et d'autres youtubes..
F.Gervais hormis sudradio une fois n'est invité nulle part et il fait l'itinérant de conf en conf surtout dans le sud.
Si réchauffement il y a j'ai déjà lu des olutions très simples durant les années 70,modifier l'albédo de 20% des toits et des carrefours en utilisant des couleurs claires aura le meme effet que les chemtrails d'aluminium (déjà en place!!!) pour 250 ans!
La COP24 était prévue pour officialiser ces chemtrails de geoengineering.
Une conférence juridique sur le geoengineering a été organisée il y a peu a rennes ou nantes par le CNRS , "publique" mais tickets d'entrée de 99€ ! Dissuasif !
Après décision de la COP24 on va présenter ces programmes comme "nouveaux" au public et comme l'UNIQUE solution d'ou l'intéret de provoquer la sidération par le terrorisme climatique!!
Tu devrais facilement retrouver cette conf et ses conclusions juridiques!
Avec les solutions simples d'albedo, tu ne peux rien faire d'autre!
Avec les chemtrails tu peux:
- refroidir avec l'aluminium/barium et autres métaux -> eau empoisonnée (j'ai déjà 20microgrammes d'Al/litre du robinet, zéero il y a 5 ans (sud-ouest)).
baysanto a déjà un OGML de blé résistant a l'aluminium (20ans!).
la luminosité moindre va obliger à la culture sous serre.
- réchauffer (si si) par nano carbonnes et controlés par microondes et convertissent une partie de la lumière en infrarouges.
l'année dernière france-info avait "promis" 50°C en été 2018.
ils auraient pu le faire mais n'ont pas osé je pense car aucune maison ne peut isiler 50°C donc une hécatombe.
le meme brevet peut faire monter les temps a midi à plus de 200°C. C'est une arme!
- tu peux discrètement épandre virus produits maladies en "douce" (je me demande si la propagande anti canard du sud ouest n'aurait pa ét" provoquée car on n'a pas manqueé de canard malgré les faillites du coin à cause des abattages et cette viande venait de pologne et mauritanie en 2017 !!
- tu peux inoculer les futures IA nanoscopiques sans probleme;
- ces avions anonymes ne sont pas référencés avec les transpondeurs civils (OTAN?)
...
... correction roumanie et non mauritanie ...
RépondreSupprimer... suite ...
Ensuite la propagande mets au ban le CO2 car ce serait "un gaz a effet de serre"?.
- les bandes IR du CO2 sont couvertes à 70% par celles de la vapeur d'eau.
avec 0.04% de CO2 dans l'air libre je en vois pas ou peut etre le "réchauffement" car l'effet de serre est un effet de blocage de la convection que peuvent faire les nuages directement ou la vapeur d'eau par stockage de chaleur massique!
C'est simple les 426°C au sol sur Venus ne sont expliqués que par les traces de vapeur d'eau et de dioxide de souffre et non par les 96% de CO2 de son atmosphère!!
Seulement pour Venus c'est de la vraie science et non de la propagande du GIEC !
Sur Venus il fait +26°C à 40-50kms d'altitude et 1 atm, parfait pour une base flottante. La nasa et SpaceX y pensent !
IL suffit de transposer cet endroit à la Terre pour deviner que le pauvre CO2 ne changera rien aux températures! Mais c'est le coupable idéal car controle facile des plantes donc de la nourriture mondiale. Le CO2 se mélange sur tte la planète sur un cycle de 2 ans!
Une fois le CO2 banni; on va le retirer de l'atmosphère (des startups avec des procédés déjà en attente de feu vert; surtout suisses et espagnoles):
business modèle on le retire on le stocke dans des bouteilles pour encaisser la taxe carbonne puis le revendre aux serres de plus elles obligées de te racheter tes parts de carbonne taxe que tu meur refileras avec un bénéfe et nous on casque en bout de chaine :
- en dessous de 200 ppm les plantes commencent à mourir --> seules les serres seront possibles et alimentées en CO2 par ces startups.
Naturellement la population mondiale va se stabiliser a 11 milliards et à ce moment là il faudra au moins 600ppm pour mieux faire pousser les plantes et nourrir tout me monde sans controle ni surcouts.
Le CO2 n'est pas la cause des températures.
Les mesures Vostock montraient meme le contraire: la concentration de CO2 suivant les températures mais à 8 siècles de distance plus tard!
C'est la courbe qu'a montré AlGore dans son film et comme ça couvre 450000ans personne n'a remarqué sa tricherie de décalage. Oui il a trcihé car il était convaincu de bien faire (au mieux sinon je risque d'etre mal poli ;-) ).
Qui controlera le CO2 controlera le monde.
La taxe carbonne ha là là ça ce sera pire que la bulle US des prets immobiliers!!
Je te la laisse !
Les fonds des océans se réchauffent donc cette chaleur viendrait du coeur de la planète et non du soleil donc les chemtrails meme aluminium vont amplifier cet effet!
Il y a au moins 36 programmes différents qui se concurencent au dessus de nos tetes car il y a ceux qui controlent les pluies. La sécheresse au sud ouest depuis 3 ans peut etre la causse directe de ces tentatives car ici ces chemtrails datent de 5 ans. C'est 20 ans dans la région parisienne. Fait pas gris tout le temps pr rien!
Interet de la sécheresse provoquée dans le sud-ouest:
RépondreSupprimer- les fermes provées font faillite (déjà 1 suicide/semaine en france) et vendues une bouchée car les enfants se gardent de reprendre memeen succession.
Qui rachète par chez nous? De grands groupes financiers qui font venir bulgares, roumains et polonais qui acceptent d'etre payés une bouchée de pain!
Et les autorités locales complices; des batiments que les mairies revendent 1€ symboliques taudis loués à ces ouvriers dont le loyer est couvert par l'alloc logement! Refaits au bout de qques années puis reloués plus chers à des ouvriers enrichis installés ou autres clients! Jolie "culbute"!
Ah le fric. Tout ça avec qques vols d'avions chargés de produits pas chers et meme l'armée de l'air semble complice (impossibles que leurs radars ne voient pas ces avions!) et là je ne vois pas son interet !
Il faudra dire un mot sur le traffic carbonne taxe des éoliennes et de leur "réelle nécessité"!
Merci pour ces informations, Boumghar!
RépondreSupprimerElles corroborent mon "sentiment".
Mais le mien est issu de mes "jeunes-années" dans les caves à pinard (déjà) où tout le monde savait que le gaz carbonique issu de la fermentation des raisins ne file pas dans l'atmosphère (pour faire effet de serre) mais dans les recoins les plus en profondeur desdites caves : Un poison qui tue par étouffement (et cyanose) avec une teneur de 20 %...
Avec 4 ppm, on en est loin.
Et puis j'ai vécu : Je constate que l'humanité (occidentale) ne peut pas vivre sans "grande-peur" (qui fait tourner l'économie de façon artificielle) à exploiter.
D'abord la peur de la guerre nucléaire (et son "hiver-atomique" promis : plus de photosynthèse, plus d'alimentation possible sans même parler des rayonnements résiduels). Note au passage que la vie est désormais foisonnante autour des Mururoa, le site des essais nucléaire du pacifique ;
Ensuite la peur du Sida (le "bio") et sa promesse mortelle pour tout le monde (et quelques autres comme Ebola, la grippe du "konard", cochon/canard) et il y en aura d'autres.
Maintenant le destin de Vénus (qui est effectivement une ânerie scientifique confirmée.
Tout ça, sont des faux-nez qui cachent un autre objectif, mais lequel ?
Probablement les "niches" à enrichissement totalement artificielles que tu signales. J'étais parmi les "colleurs d'affiche" de René Dumont, candidat écologiste à la présidentielle qui avait fait une apparition à la télé buvant un verre d'eau. Avec ce commentaire : "A votre santé ! Dans 50 ans, il n'y aura plus d'eau potable".
Un message qui a été bien compris par la Générale des Eaux (et quelques autres), figure-toi !!!
Lesquelles veut-on nous forcer à acheter désormais ?
Et avec quel pognon ?
En bref, ce n'est que du marketing, rien de plus, même s'il me paraît important de ne pas souiller plus que ça notre belle planète : Nous n'avons (pour l'heure, mais on veut nous en vendre d'autres) qu'une seule !
Bien à toi !
I-Cube
Chez moi dans le sud ouest la concentration d'Aluminium par litre au robinet (VEOLIA!) est passée de 0 il y a 5 ans à >20 microgrammes en 2017!
RépondreSupprimerEn 2015 marqué 20 pile sans commentaire
EN 2017 veolia s'est senti obligé de rajouter ( à cause de l'eau qui dissout l'aluminium du sol et à cause des filtres utilisés!).
Apparemment veolia auriat trouvé un procédé "inédit" d'extraction de l'aluminium du sol à "froid". Ils devraient "breveter" car jusqu'à maintenant il fallait 2200°C !
Oui exact pour la densité du C02 il est plus lourd et assez normalement car sinon les plantes se seraient adaptées à un autre gaz et on aurait un autre biotope.
Le GIEC pr forcer "l'effet de serre" le place concentré a 20kms d'altitude dans leur "modèle". J'ai demandé les détails du modèle ou les sources -> aucune réponse !
Pire dans la dernière émission de RMCinfo avec leur train du "climat" itinérant et à bordeaux je crois l'une des journaliste a osé dire "Avec les 1.5°C la SNCF aura des problèmes car ça va dilater les rails et entrainer des accidents"!
PERSONNE n'a réagi y compris "l'expert" du GIEC PARIS !!
Là je me suis dit "ça dépasse les bornes" et j'ai donc mis mon Gilet Jaune qques semaines plus tard !
Il trone sur le tableau de bord en permanence !
Sur twitter un "anglais" a osé me dire que l'aluminium c'est à cause des briques (les réfractaires on rajoute de l'aluminium dedans) qu'il y en a dans l'eau.
Je lui ai fait "respectueusemnt" (lol) remarqué que dans le sud ouest la zone de captation des sources utilisées ne n'est pas tapissée de briques anglaises !"
Par contre ces maudits avions peuvent gaver le sol de leurs cochonneries.
L'objectif ?Simple le controle du CO2 donc le controle total global de la chaine alimentaire et aussi controle des pluies !
Rien ne sera ni gratuit ni naturel; pire il faut meme montrer patte blanche !
A cause des gilets jaunes les avions ne passaient plus depuis presque 3 semaines; hé bien mon puits a gané 20 cm d'eau de plus car il y a enfin des brouillards et les bruines habituelles à cette saison.
Depuis 3 jours ça a repris et ... pas de pluies et un plafond gris !
Comme à Paris.
Alors que l'habitude ici c'est nuages à 1000m grossissent et qques jours après pluies puis éclaircies puis rebelotte.
Les nuages normaux ne se développent plus car l'humidité est bloquée par le plafond a 4-5000m de ces épandages par avion !
si pluie alors rachitique de qques mm !!
Les vieux disent n'avoir jamais vu ça depuis 80 ans !
C'est curieux ce que tu racontes...
SupprimerOui, c'est vrai que tout, absolument tout sera tôt ou tard "marchandisé" (même le soleil au Portugal...).
Déjà l'eau du robinet, ce scandale quotidien.
Mais reste qu'il faut pouvoir le faire payer par des gens "solvables", donc leur donner les moyens financiers qui vont avec (par leur activité à procurer - lutte contre le chômage -, ou leur patrimoine à racketter).
Ca ne sert à rien de s'adresser à des gens qui n'ont plus les moyens d'assumer : C'est exactement le message des "Gilets-jaunes", si tu veux bien analyser la situation.
Note qu'on y répond par des "mesurettes" à la kon : Il aurait quand même été plus simple de baisser les taux de TVA de quelques points (revenir au 7 % au lieu de 10, assumer de perdre 2 points sur le taux de 20 %, toutes mesures prises par "Tagada-à-la-fraise-des-bois").
Ca a déjà été fait, si je me souviens bien (disparition du taux de 33 %, le taux de 19,6 qui est passé à 17,6 avant de revenir à son ancien niveau...)
Mais ils ont tellement peur de réduire les "dépenses publiques" qu'ils ne l'ont même pas envisagé !
Et je ne te raconte pas les quelques 200 taxes à la production que tu retrouve partout et jusque dans ton assiette.
Il faut que je te fasse un post sur le sujet, tellement on nage en pleine absurdité.
Juste une livrée en avance : Il existe une taxe sur les "surfaces imperméabilisées" (qui vise les parkings) et une taxe pour défaut de création de parking.
Pas mal, n'est-ce pas ?
Bien à toi !
I-Cube
Ah oui tu as remarqué je pense que toutes les radios et les TV de france sont alimentée en météo par le WMO (World Meteo Organisation) en lieu avec le NOAA US et NON PLUS par meteo france (depuis qques mois je crois).
RépondreSupprimerL'association air parif ne transmets plus que les "mesures" et "alertes" d'un sombre logiciel à Bruxelles.
J'ai mis une heure sur le site pr savoir que les mesures réelles sont centralisées par la préfecture et inaccessibles au public !!
Car souvent les horizons semblent souvent très pollués (monochromité dépendant de la taille uniforme donc artificielle des particules en suspension) et AUCUNE alerte "pollution" désormais !
Oui en effet, c'est "archi-contrôlé" (comme le nuage de Tchernobyl) !
SupprimerDe toute façon, les cartes météos diffusée par les médias sont fausses : Il suffit d'aller sur les sites de météo-marine pour s'en rendre compte.
Ou suivre le vol des hirondelles (quand il y en a) pour faire des prévisions locales pertinentes.
J'avais un pote, dans le temps, qui avait trouver l'astuce de se brancher sur la météo des tours de contrôles de Roissy. Là les prévisions sont impeccables à 24 heures : Comme quoi on sait faire et au quart d'heure-près !
Mais je ne sais plus ce qu'il est devenu.
Pour ma part, quand je descends sur "Paris-sur-plage", on voit très nettement le halo de pollution se dessiner au-dessus de la kapitale. Il m'arrive même d'avoir les yeux qui piquent.
Un phénomène que tu retrouves à London, mais ni à Nice/Monaco et absolument pas du tout en Balagne (où se sont les odeurs de maquis qui t'accueillent).
La différence ?
Le vent !
Un coup de mistral ou de tramontane dans le sud, et ça te fait une lumière fabuleuse.
Bien à toi !
I-Cube